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…..à chaque chat sa boîte
…..Jean Soler décrédibilise “la grande contribution” des Juifs
[source: http://www.lepoint.fr/grands-entretiens/michel-onfray-jean-soler-l-homme-qui-a-declare-la-guerre-aux-monotheismes-07-06-2012-1471224_326.php… toutes les photographies à par la première et tous les commentaires ont été ajoutés par moi, JdN]
[JdN: J’ajouterai que je crois fermément dans un Créateur Suprême, juste non pas dans le dieu sémite. Je suis d’accord avec cette vidéo avec des sous-titres en franais: https://www.youtube.com/watch?v=aeQysfHWnB8&feature=share Mais j’ai eu moi-même des expériences surnaturelles et je connais beaucoup de personnes de confiance qui ont eu pareilles. Voici mon point de vue principale: https://johndenugent.com/francais/levidence-de-la-reincarnation/ Je crée une nouvelle religion, l’Éternelle Solutréenne, basée entièrement sur le vrai, le vérifié, le réel et les expériences des gens qu’ils n’osent pas raconter à cause de cette ambiance franc-maonnique et enjuivée de ridicule de tout ce qui est au-delà du matériel!]
Une religion de lutte, non de paix! Parce que les religions juive et islamique sont martiales et militantes, et nous, “aimez vos ennemis”!
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Polémique. Dans “Qui est Dieu ?” (Éditions de Fallois), Jean Soler, philosophe érudit et méconnu, s’attaque aux trois religions monothéistes. Un livre décapant qui va faire débat.
L’homme ne se répand pas, il va à l’essentiel. Son oeuvre dense concentre le résultat d’années de travaux solitaires et de recherches loin du bruit et de la fureur. Voilà pourquoi le fruit de ses études se trouve ramassé dans Aux origines du Dieu unique, un essai en trois volumes : L’invention du monothéà¯sme (2002), La loi de Moà¯se (2003) et Vie et mort dans la Bible (2004). En 2009, il ajoute un opus intitulé La violence monothéiste.
Six idées reçues
Le dieu unique : un guerrierFort de ce premier déblayage radical, Jean Soler propose l’archéologie du monothéisme. à€ l’origine, les Hébreux croient à des dieux qui naissent, vivent et meurent. Leurs divinités sont diverses et multiples. Yahvé a même une femme, Ashera, reine du ciel, à laquelle on sacrifie des offrandes – libations, gà¢teaux, encens. Pour ramasser cette idée dans une formule-choc, Jean Soler écrit : “Moà¯se ne croyait pas en Dieu.” Le même Moà¯se, bien que scribe de la Torah, ne savait pas écrire : les Hébreux n’écrivent leur langue qu’à partir du IXe ou du VIIIe siècle. Si Yahvé avait écrit les Dix Commandements de sa main, le texte n’aurait pas pu être déchiffré avant plusieurs siècles.Le dieu unique naà®t dès qu’il faut expliquer que ce dieu national et protecteur ne protège plus son peuple. Il y eut un temps bénit, celui de la sortie d’Égypte, de la conquête de Canaan, de la constitution d’un royaume ; mais il y eut également un temps maudit : celui de la sécession lors de la création de la Samarie, un État indépendant, celui de son annexion par les Assyriens, à la fin du VIIIe siècle,et de la déportation du peuple, celui de la destruction de Jérusalem par le roi babylonien Nabuchodonosor au début du VIe siècle.
Empire néo-babylonien
Le monothéisme s’impose dans la seconde moitié du IVe siècle. Le dieu des Perses, qui leur est favorable, devient le dieu des juifs, qui souhaitent eux aussi obtenir ses faveurs. Ce même dieu favorise l’un ou l’autre peuple selon ses mérites. On cesse de nommer Yahvé, pour l’appeler Dieu ou Seigneur. Les juifs réécrivent alors le premier chapitre de la Genèse.
Menacé de disparition physique, le peuple juif cherche son salut dans l’écrit. Il invente Moà¯se, un prophète scribe qui consigne la parole de Yahvé. Il se donne une existence littéraire et se réfugie dans les livres dont le contenu est arrêté par des rabbins vers l’an 100 de notre ère. Les juifs deviennent alors le peuple du Livre et du dieu unique.
Le dieu unique devient vengeur, jaloux, guerrier, belliqueux, cruel, misogyne. Jean Soler associe le polythéisme à la tolérance et le monothéisme à la violence : lorsqu’il existe une multiplicité de dieux, la cohabitation rend possible l’ajout d’un autre dieu, venu d’ailleurs ; quand il n’y a qu’un dieu, il est le vrai, l’unique, les autres sont faux. Dès lors, au nom du dieu un, il faut lutter contre les autres dieux, car le monothéisme affirme : “Tous les dieux sauf un sont inexistants.”
[JdN: ou bien “diaboliques….! et leurs adorateurs des serviteurs de démons!]
Invention du génocide
“Tu ne tueras point” est un commandement tribal, il concerne le peuple juif, et non l’humanité dans sa totalité. La preuve, Yahvé commande de tuer, et lisons Exode, 32. 26-28, trois mille personnes périssent sur son ordre. Dans Contre Apion, l’historien juif Flavius Josèphe établit au Ier siècle de notre ère une longue liste des raisons qui justifient la peine de mort : adultère, viol, homosexualité, zoophilie, rébellion contre les parents, mensonge sur sa virginité, travail le jour du sabbat, etc.
Jean Soler aborde l’extermination des Cananéens par les juifs et parle à ce propos d'”une politique de purification ethnique à l’encontre des nations de Canaan”. Puis il signale que le Livre de Josué précise qu’une trentaine de cités ont été détruites, ce qui lui permet d’affirmer que
“les juifs inventent le génocide“
…”le premier en date dans la littérature mondiale”… Jean Soler poursuit en écrivant que cet acte généalogique “est révélateur de la propension des Hébreux à ce que nous nommons aujourd’hui l’extrémisme”.
[JdN: ce qui me rappelle la belle phrase d’Hervé Ryssen de l'”inversion accusatoire” des Juifs!]
Toujours soucieux d’opposer Athènes à Jérusalem, Jean Soler note que la Grèce, forte de cent trente cités, n’a jamais vu l’une d’entre elles avoir le désir d’exterminer les autres.
En avanant dans le temps, Jean Soler, on le voit, ouvre des dossiers sensibles. La lecture des textes dits sacrés relève effectivement de la politique. Il interroge donc la postérité du modèle hébraà¯que dans l’histoire et avance des hypothèses qui ne manqueront pas de choquer.
Le judaà¯sme, écrit-il, a été en crise cinq fois en mille ans. Il l’est aux alentours de l’an 0 de notre ère. D’où son attente d’un messie capable de le sauver et de lui redonner sa splendeur. Il y a pléthore de prétendants, Jésus est l’un d’entre eux. Ce sectateur juif renonce au nationalisme de sa tribu au profit de l’universalisme. Dès lors, il n’y a qu’un dieu, et il est le dieu de tous. Plus besoin, donc, des interdits qui cimentaient la communauté tribale appelée à régner sur le monde une fois régénérée.
Si Jésus séparait bien les affaires religieuses et celles de l’État, s’il récusait l’usage de la violence et prêchait un pacifisme radical, il n’en va pas de même pour l’empereur Constantin, qui, en son nom, associe religion et politique dans son projet impérial théocratique. Sous son règne, les violences, la guerre, la persécution se trouvent légitimées – d’où les croisades, l’Inquisition, le colonialisme du Nouveau Monde. Pendant ce temps, les juifs disparaissent de Palestine et constituent une diaspora planétaire. L’islam conquiert sans discontinuer et la première croisade, précisons-le, se trouve fomentée par les musulmans contre les chrétiens.
Le schéma judéo-chrétien s’impose, même à ceux qui se disent indemnes de cette religion. Jean Soler pense même le communisme et le nazisme dans la perspective schématique de ce modèle de pensée. Ainsi, chez Marx, le prolétariat joue le rôle du peuple élu, le monde y est vu en termes d’oppositions entre bien et mal, amis et ennemis, l’apocalypse (la guerre civile) annonce le millénarisme (la société sans classes).
Une oeuvre qui gêne
De même chez Hitler, dont Jean Soler montre qu’il n’a jamais été athée mais que, catholique d’éducation, il n’a jamais perdu la foi. Pour Jean Soler, “le nazisme selon Mein Kampf (1924) est le modèle hébraà¯que auquel il ne manque même pas Dieu” : Hitler est le guide de son peuple, comme Moà¯se ; le peuple élu n’est pas le peuple juif, mais le peuple allemand ; tout est bon pour assurer la suprématie de cette élection ; la pureté assure de l’excellence du peuple élu, dès lors, il faut interdire le mélange des sangs.
Pour l’auteur de Qui est Dieu ?, le nazisme détruit la position concurrente la plus dangereuse. Jean Soler cite Hitler, qui écrit : “Je crois agir selon l’esprit du Tout-Puissant, notre créateur, car, en me défendant contre le juif, je combats pour défendre l’oeuvre du Seigneur.” Les soldats du Reich allemand ne portaient pas par hasard un ceinturon sur la boucle duquel on pouvait lire : “Dieu avec nous”…
On le voit bien, Jean Soler préfère la vérité qui dérange à l’illusion qui sécurise. Son oeuvre gêne les juifs, les chrétiens, les communistes, les musulmans. Ajoutons : les universitaires, les journalistes, sinon les néonazis. Ce qui, convenons-en, constitue un formidable bataillon ! Faut-il, dès lors, s’étonner qu’il n’ait pas l’audience que son travail mérite ?
Accusation
L’accusation d’antisémitisme, bien sà»r, est celle qui accueille le plus souvent ses recherches. Elle est l’insulte la plus efficace pour discréditer le travail d’une vie, et l’être même d’un homme. En effet, Jean Soler détruit des mythes juifs : leur dieu fut un parmi beaucoup d’autres, puis il ne devint unique que sous la pression opportuniste ethnique et tribale, nationaliste. Toujours selon Jean Soler, le monothéisme devient une arme de guerre forgée tardivement pour permettre au peuple juif d’être et de durer, fà»t-ce au détriment des autres peuples. Il suppose une violence intrinsèque exterminatrice, intolérante, qui dure jusqu’aujourd’hui. La vérité du judaà¯sme se trouve dans le christianisme qui universalise un discours d’abord nationaliste. Autant de thèses iconoclastes !
à€ quoi Jean Soler ajoute que la Shoah ne saurait être ce qui est couramment dit : “Un événement absolument unique, qui excéderait les limites de l’entendement humain. Effort désespéré pour accréditer à tout prix, jusque dans le pire malheur, l’élection par Dieu du peuple juif ! En réalité, l’existence de la Shoah est la preuve irréfutable de la non-existence de Dieu.” Soler inscrit la Shoah dans l’histoire, et non dans le mythe. Il lui reconnaà®t un rôle majeur, mais inédit dans la série des lectures de cet événement terrible : non pas événement inédit, mais preuve définitive de l’inexistence de Dieu – quel esprit assez libre pourra entendre cette lecture philosophique et historique ?
Renaissance grecque
Jean Soler, on le voit, a déclaré une guerre totale aux monothéismes. Bien sà»r, il ne souhaite pas revenir au polythéisme antique, mais il propose que nous nous mettions enfin à l’école de la Grèce après plus de mille ans de domination judéo-chrétienne. Une Grèce qui ignore l’intolérance, la banalisation de la peine de mort, les guerres de destruction massive entre les cités ; une Grèce qui célèbre le culte des femmes ; une Grèce qui ignore le péché, la faute, la culpabilité ; une Grèce qui n’a pas souhaité l’extermination massive de ses adversaires ; une Grèce qui, à Athènes, où arrive saint Paul, avait édifié un autel au dieu inconnu comme preuve de sa générosité et de son hospitalité – cet autel fut décrété par Paul de Tarse l’autel de son dieu unique, le seul, le vrai. Constantin devait donner à Paul les moyens de son rêve.
Nous vivons encore sous le régime de Jérusalem. Jean Soler, solitaire et décidé, campe debout, droit devant deux mille ans d’histoire, et propose une Renaissance grecque. Le déni étant l’une des signatures du nihilisme contemporain, on peut décliner l’invitation. Mais pourra-t-on refuser plus longtemps de débattre de l’avenir de notre civilisation ? Avons-nous les moyens de continuer à refuser le tragique de l’histoire pour lui préférer la comédie des mythes et des légendes ? Nietzsche aurait aimé ce disciple qui va fêter ses 80 ans. Et nous ?
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Qui est Dieu ?, de Jean Soler (éditions de Fallois).
Repères
1933 Naissance à Arles- sur-Tech.
1959 Agrégation de lettres classiques.
1973 ” Sémiotique de la nourriture dans la Bible ” (revue ” Annales “).
2002 ” Aux origines du Dieu unique “, t. I : ” L’invention du monothéisme ” (Ed. de Fallois), salué par Edgar Morin et Claude Simon. Réédité dans la collection ” Pluriel ” (Hachette).
2009 ” La violence monothéiste ” (Ed. de Fallois). 2012 ” Qui est Dieu ? ” (Ed. de Fallois).
…..de l’article “Le livre d’Esther et l’antisémitisme nazi”
[source: http://dilettante-miscelanea.blogspot.fr/2014/03/le-livre-desther-et-lantisemitisme-nazi.html]
Il est affirmé, ni plus ni moins, que c’est le seul livre de la livre qui dit la vérité sur les juifs, le reste de la Bible n’étant qu’un instrument permettant de réduire les gentils en esclavage.Il faut rappeler qu’à l’époque la critique de Nietzsche du christianisme comme religion d’esclaves avait toute son actualité. Non seulement parce que le christianisme avait à ses débuts trouvé un grand succès parmi des esclaves mais parce que à l’époque de Nietzsche l’évangélisation des esclaves aux USA et en Afrique du Sud servait bien aux intérêts des maà®tres.La conclusion d’Eckart était que les livres de la Bible, à l’exception de celui d’Esther, étaient des livres pour écrits pour “la religion d’esclaves” qui devait soumettre les gentils.
Pour Eckart et Hitler le Livre d’Esther était le seul livre où les juifs disaient la vérité sur eux-mêmes parce que :
– C’est un livre où aucune mention de Dieu n’est faite.
– C’est un livre qui répond à une logique purement tribale.
– C’est un livre qui exprime une cruauté totale à l’égard des gentils.
– C’est le premier texte qui parle d’un personnage, l’héros Mordekhai, comme étant un “juif” ( ×Ö´×™×©× ×™Ö°×”×•Ö¼×“Ö´×™) [Esther 2.5]. C’est la première mention dans la Bible du mot “juif”.
Beaucoup des choses on été dites sur Hitler comme étant un Haman des temps modernes, et du texte d’Esther comme étant prémonitoire de la Shoah. La lecture du pamphlet d’Eckart et Hitler nous amène à inverser cette perspective : La vision que Hitler avait des juifs était fortement inspirée du livre d’Esther. Haman n’a certainement pas pu s’inspirer de Hitler mais Hitler c’est très vraisemblablement inspiré du personnage de Haman et voulut être un Haman qui réussit.
….Mon appel aux camarades francophones
Le 494 avr. 2015 à 16:0445, John de Nugent <john_denugent@yahoo.com> a écrit :
[Je lui répondis]
Cher camarade, Merci bien de vos recherches! Ce serait une trouvaille pour démontrer à¡ quel point le Führer fut contre l’athéisme et pour le personnage de Jésus. Amitiés, JdN
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La dolce vita d’un national-socialiste 😉
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