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[JdN Summary: After 40 years, a White anti-immigrant party has now become part of the ruling coalition in Norway. …..Of course, they will accomplish NOTHING, because they will not attack the JEWS who are behind immigration, just as the FPÖ party in Austria accomplished NOTHING when it too was in a coalition government with jew-controlled Establishment conservatives from 2000-2005. http://en.wikipedia.org/wiki/Freedom_Party_of_Austria Instead, the leader of the FPÖ, Governor Jörg Haider, ended up murdered — a jew-caused “car accident” — and the country is more full of gang-raping muslims than ever. All these puppet “anti-immigrant” parties support Israel as “our ally against muslim extremism,” and they all say they “hate Nazis,” and have no problem with race-mixing, as long as Mustafa learns to speak good Norwegian and says he likes dried codfish ;-)]
[source: http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/10/01/l-extreme-droite-en-position-de-force-dans-le-futur-gouvernement-norvegien_3488164_3214.html#xtor=EPR-32280229-[NL_Titresdujour]-20131002-[titres]]
Siv Jensen, présidente du parti populiste norvégien, ne pouvait rêver plus belle victoire. Depuis mardi 1er octobre à 15 heures, elle négocie d’égale à égale avec Erna Solberg, la future première ministre conservatrice pour la formation du gouvernement minoritaire norvégien qui devra être annoncé au plus tard dans deux semaines. Le Parti du progrès (FrP), formation populiste et anti-immigrés, rentre ainsi pour la première fois au gouvernement, quarante ans après sa création.
Lundi soir, deux semaines après les élections du 9 septembre, Erna Solberg avait dû admettre à l’issue de douze jours de discussions qu’elle formerait un gouvernement minoritaire avec le seul FrP et donc sans les deux petits partis centristes, les libéraux et les chrétiens-populaires. Ces derniers ont certes signé lundi un programme commun dans lequel ils s’engagent à soutenir le gouvernement au Parlement, mais ils ont préféré garder leur liberté pour ne pas trop se compromettre avec les populistes.
Kjell Magne Bondevik, ancien premier ministre du Parti chrétien-populaire, qui a gouverné plusieurs années avec le soutien sporadique et pesant du FrP, s’est félicité du choix de son parti de se tenir hors de la coalition gouvernementale, estimant que l’écart politique et idéologique est trop important entre le FrP et les centristes.
DURCISSEMENT DE LA POLITIQUE D’IMMIGRATION
Dans ce programme commun, les chrétiens-populaires ont réussi à contenir une influence trop extrême des populistes sur la future politique d’immigration qui va tout de même se durcir. Mais les enfants demandeurs d’asile depuis plus de trois ans seront autorisés à rester à certaines conditions.
Si le FrP s’est suffisamment adouci pour rassurer les conservateurs, depuis que Siv Jensen a pris la tête du parti en 2006, il reste trop sulfureux pour convaincreles centristes. Anders Behring Breivik, l’auteur du double attentat du 22 juillet 2011, qui a fait 77 morts, a été membre du FrP pendant dix ans.
Pour les conservateurs, qui étaient les grands vainqueurs le soir des législatives, la formation du gouvernement avec le seul FrP a un goût amer. Erna Solberg n’avait pas caché que sa préférence allait à une coalition à quatre, avec les deux partis centristes, pour au moins deux raisons : les centristes auraient permis decontrebalancer partiellement le poids des populistes au sein de la coalition et avec une majorité stable. Au lieu de cela, son gouvernement sera minoritaire et plus fragile, tandis que les travaillistes vont tout faire pour courtiser les partis centristes.
Pour le FrP, une coalition à deux avec les conservateurs est la solution idéale. Selon le quotidien Klassekampen, le FrP préférait de loin cette alliance, car dans une coalition avec les centristes, il aurait fallu être d’accord avec eux sur tous les dossiers, ce qui semblait impossible.
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