FRENCH Il est des femmes blanches, même de nos jours avilis, qui ont encore du cœur

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Ouf… c’est dur de lire ça. (Je l’ai trouvé sur Facebook.) Les enfants blancs en particulier sont victimes de traffic sexuel par centaines de milliers, et surtout mis à la disposition de monstres juifs, et plus ils sont blonds, plus ils veulent les violer et les souiller.
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Je connais très bien deux hommes blancs, des adultes aujourd’hui, qui étaient dans leur enfance dans des familles d’accueil ou des orphelinats, l’un du Wisconsin et l’autre du Texas, qui m’ont dit que les juifs payaient bien pour violer de tels enfants.
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Il y a aussi des mères blanches qui prostituent volontairement leurs propres fils et filles — pour beaucoup d’argent. Je connais une de ces adultes qui m’a dit que sa propre mère l’avait “louée” aux pédophiles. Il n’y a pas de mot adéquat pour exprimer l’énormité d’un tel crime.
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Cependant, il y a de nombreuses femmes encore très bonnes et attentionnées.

« Elle a été déposée chez moi avec à peine quelques informations – juste son nom, son âge et un passé de négligence et de traumatisme qui se sont manifestés de manière déchirante….. le genre de traumatisme qui vous fait cacher tout ce qui est tranchant, même les couteaux à beurre.
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J’ai tenu cette petite fille dans mes bras, son visage enfoui dans mon cou, mouillé de ce dont je n’étais pas sûre – des larmes ? De la morve ? Cela n’avait pas d’importance. Ce qui comptait, c’était qu’elle était maintenant dans mes bras, et que je n’allais pas la repousser.
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Le premier jour, elle s’est recroquevillée en boule au milieu du lit que nous avions si soigneusement préparé pour elle. Ma fille avait défait son propre lit, offrant la plus belle couette que nous possédions. « Tu penses qu’elle aimera les volants ? », a-t-elle demandé.  « Je ne sais pas ce qu’elle aimera », ai-je dit, « mais c’est si gentil de ta part de lui offrir ta couverture! 🙂 »
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Pendant des heures, cette douce fille est restée recroquevillée là, trop effrayée pour montrer son visage. Jusqu’à ce qu’enfin, dans un murmure doux, elle me demande : « Peux-tu t’allonger avec moi ? » « S’il te plaît, ferme la porte. » « Chante-moi. »
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Alors j’ai chanté. J’ai chanté toutes les chansons que je connaissais jusqu’à ce que j’en ai plus, puis je les ai toutes rechantées. Lentement, elle a commencé à s’ouvrir. D’abord à nos chiens. Puis à notre chat. Puis, enfin, à mes propres enfants, qui étaient assis par terre dans sa chambre, le sourire aux lèvres, ne sachant pas comment la réconforter, mais voulant désespérément essayer.
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Au dîner, elle était penchée sur son assiette, ses cheveux blonds trempant dans la sauce marinara. J’ai dû résister à toute envie de corriger sa posture ou la façon dont elle tenait sa fourchette – il y avait des batailles plus importantes à mener.
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Et à l’heure du coucher, alors que je relevais la couette à volants jusqu’à son menton, ses grands yeux bleus me regardant, elle a demandé : « Est-ce que je peux rester ici pour toujours ? »
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Mon cœur s’est brisé. Parce que je sais, pour de nombreuses raisons, que son histoire ne finira peut-être pas comme ça.
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Je pensais que je serais douée pour ça : être une famille d’accueil. Je pensais que je serais assez forte pour être présente, faire le travail dur, aimer sans condition et lâcher prise quand le moment viendrait.
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Mais en ce moment, avec ce petit ange qui me regarde et me demande de rester pour toujours, je ne suis pas sûre d’être assez forte. Je ne suis pas sûre de pouvoir faire ce qu’il faut, même si je sais qu’elle a besoin que je sois forte.
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Alors pour l’instant, je vais lui donner tout l’amour que j’ai. Je l’embrasserai sur le front, je sourirai à travers les larmes et lui murmurerai que tout ira bien. Puis je sortirai de sa chambre sur la pointe des pieds, je tomberai à genoux devant sa porte et je supplierai Dieu de me donner de la force, car en ce moment, toute la mienne est partie.
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Je savais que devenir une famille d’accueil serait difficile, mais je n’aurais jamais imaginé que ce serait aussi difficile.

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Ce normie commence à comprendre à quel point les choses sont désastreuses.   

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“Le système, je vois bien, est cassé. Il  faut le réparer!”

“Ah non. Ce système fonctionne exactement comme prévu. Il faut l’anéantir.”

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Seul son retour — avec sa solution pour notre situation actuelle — peut nous sauver.

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