FRENCH Reynouard sur le renforcement de la répression en France et Europe et sa définition radicalement différente de “la liberté”

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Voici des réflexions profoundes du grand Reynouard sur le fond de notre problème…. d’où la nécessité — que je reconnus déjà en 1984 — d’une nouvelle et véritable religion aryenne. Car le Juif ne fait qu’exploiter les problèmes en nous-autres qui préexistent….la “condition humaine”….

Trouvé dans l’excellent hebdomadaire Rivarol du 1 septembre 2021

RIVAROL : Vous venez de publier une brochure intitulée : “Mais Qui ? Lettre ouverte à Cassandre Fristot.”

Quel est votre objectif, votre message ?

Vincent REYNOUARD : A travers Cassandre Fristot, ma brochure s’adresse à ceux qui se focalisent exclusivement sur les Juifs, les considérant comme la cause principale de tous nos maux. Ces gens disent : « Dénonçons le pouvoir juif et, lorsqu’il sera démasqué auprès de la majorité, alors il tombera. »

D’où l’utilisation du slogan interrogatif : « Mais qui ? »

Je souhaite déjà leur démontrer que la dénonciation est inefficace, surtout si, en parallèle, certains de ses partisans se livrent à des imprécations contre les Juifs, comme on le voit sur les réseaux sociaux.

Ma démonstration s’appuie sur l’Histoire. Prenons l’exemple du mouvement antijuif qui se développa en France à partir de la fin des années 1880 avec la parution des ouvrages d’Édouard Drumont. Sur des centaines de pages, l’auteur avait dénoncé ce qu’il appelait la « lèpre juive ». A l’aube des années 1900, le mouvement antisémite était devenu puissant. Outre les faits révélés par Drumont et ses continuateurs, l’affaire Dreyfus et l’hostilité de la République à l’encontre des catholiques avaient galvanisé les énergies.

Dès 1899 toutefois, un observateur suisse écrivit :

« Le cri de “Mort aux juifs” a marqué l’apogée et par conséquent le déclin commençant du mouvement. Il a réveillé des gens qui en suivaient la marche avec une sympathie vague ou une molle indifférence, il en a fait saillir le danger. Désormais la lutte contre l’antisémitisme est en bon train […] Et il ne restera […] plus de ce stérile bouillonnement d’écume qu’un mauvais souvenir »(1).

Il avait raison. En 1904, l’univers israélite put se féliciter de l’échec électoral des antisémites en Algérie, leur bastion(2). Dans ses mémoires, un proche de Drumont raconte le déclin du mouvement antijuif jusqu’à sa chute, en 1909, avec une dernière défaite électorale cuisante(3).

A cette époque, La Libre Parole d’Édouard Drumont ne tirait plus qu’à 47 mille exemplaires, contre 200 mille vingt ans plus tôt.

R. : On ne peut tout de même pas imputer l’échec du mouvement antijuif à ses seuls slogans parfois radicaux ?

V. R.: Non, naturellement. Mais cette dénonciation permanente du Juif allait trop souvent de pair avec un manque—pour ne pas dire une absence — de propositions constructives. Le mot d’ordre était : « Expulsons les Juifs, rendons la France aux Français et tout ira comme avant. »

Mais quel était cet “avant” ? La monarchie ? L’empire ? La république ? En 1889, dans son ouvrage La fin d’un monde, Édouard Drumont se lamentait :

« Nous agonisons sur un grabat, dans une chambre déjà déménagée d’où l’on a enlevé peu à peu, en même temps que les valeurs et l’argent, toutes les reliques du Passé, tout ce qui parlait d’âme, tout ce qui rappelait la vie des aïeux. »(4)

Preuve que le passé était révolu, définitivement. Car depuis 1789, la société avait subi bien des transfor mations irréversibles. Je pense notamment à la révolution industrielle, rendue possible par la domestication de la vapeur, et à l’exode rural qui avait suivi. Dans une thèse universitaire présentée en 1905, un auteur démontra que, pour des raisons de commodité, les industries s’étaient installées dans les centres urbains. Ce phénomène avait tout naturellement provoqué un exode rural, grand transformateur de la société(5).

Au crépuscule du XIXe siècle, ces transformations étaient en cours. Dans un ouvrage publié en 1881, un auteur avait souligné :

« Si la démocratie […] a vaincu dans l’ordre politique, la transformation est loin d’être achevée.

Le pays, en proie à mille luttes, n’a pas retrouvé l’unité et la paix. La plupart des institutions nouvelles restent à édifier ; les mœurs sont à faire, et l’œuvre rencontre partout des difficultés de nature très complexe […] Placé entre un monde qui n’est plus, et un monde qui n’est pas encore, nous nous efforçons d’éclairer […] les confusions inévitables aux époques de transition. »(6)

Croire qu’il aurait suffi d’expulser les Juifs pour que tout revienne dans l’ordre relevait de la naïveté. Les enjeux étaient bien plus vastes.
D’où le déclin du mouvement antisémite qui resta dans le domaine de la réaction. Un peu comme le boulangisme…

R. : Vous pensez qu’il en va de même aujourd’hui ?

V. R. : Je pense que la situation s’est détériorée. Car un facteur aggravant est intervenu, inconnu voilà 120 ans : la répression de ce qui est perçu comme de l’antisémitisme.

Dénoncer le Juif n’est donc plus seulement inefficace, c’est devenu dangereux, parce que puni de 45 000 euros d’amende et d’un an de prison. Cassandre Fristot en fera bientôt l’expérience.

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R. : Pourtant, la simple question « Mais qui ? » n’est pas antisémite, surtout si la réponse implique également des non-juifs.

V. R. : Il est vrai que parmi les “traîtres” désignés par Madame Fristot figuraient MM. Macron et Véran. Dans ma brochure toutefois, j’explique pourquoi, aux yeux de nos adversaires, l’adjonction de quelques goïm ne change rien. Car ils savent que l’antijudaïsme moderne ne vise pas uniquement les Juifs ; il
dénonce également les “enjuivés”.

Voilà peu, un avocat juif, Maître Oudy Bloch (photo), a lancé : « Cette question : “qui” permet de viser la communauté juive sans la nommer. »(7).

Convenons qu’il a raison. Trente ans de lutte en première ligne m’ont amené à connaître mes adversaires. Je les ai lus, je les ai écoutés. Je puis vous dire que, s’ils ont bien des défauts, ils ne sont ni stupides, ni naïfs. Au contraire, ils devinent très bien où vous voulez en venir.

R. : Notons toutefois qu’avec sa pancarte, Madame Fristot n’appelait ni à la haine, ni à la violence. Et rien ne vient démontrer qu’en cachette, elle voudrait molester ou persécuter les Juifs.

V. R. : Certes, mais même exposée calmement, la dénonciation des Juifs peut aboutir à une condamnation.

La stratégie employée par nos adversaires est très simple. Considérez l’Organisation juive européenne (OJE) : avec ces 55 avocats bénévoles, elles « traque l’antisémitisme sous toutes ses formes ».

Dans une vidéo de présentation, sa présidente montre d’abord la violence physique ou verbale à l’encontre des Juifs : insultes, menaces, graffitis, dégradations, profanations…(8)

Puis, dans sa vidéo “réagir”, elle explique : « Certains [antijuifs] écrivent très bien, et […] leurs mots vont s’imprimer[…] dans des esprits qui sont peut-être un peu moins bien formés, un peu moins solides, des esprit plus faibles. Et ce sont les esprits faibles qui passent à l’acte. Donc de la haine en ligne, on passe directement aux actes criminels, aux actes violents. »(9).

Voilà comment ces gens justifient la répression contre ce qu’il appellent « l’antisémitisme sous toutes ses formes ».

R. : D’où les poursuites intentées à Cassandre Fristot, qui s’était contentée de désigner quelques Juifs (et deux non-Juifs).

V. R. : S’y ajoute une plainte contre la souverainiste Agnès Cerighelli. On lui reproche d’avoir déclaré : « presque tous les leviers du pouvoir politique, du pouvoir médiatique, du pouvoir judiciaire sont aux mains des franc-maçons et des sionistes »(10).

Là encore, remplacer “juifs” par “sionistes” ne trompe personne. Cessons de prendre nos adversaires pour des naïfs qui seraient dupes d’un artifice aussi grossier. Agnès Cerighelli en fera, elle aussi, la triste expérience.

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R. : Sans oublier Samuel Goujon, l’animateur du site, aujourd’hui désactivé, « Ils sont partout »…

V. R. : Avec son site Internet, Samuel Goujon est une victime emblématique de la stratégie adverse. Maître Oudy Bloch explique :

« Sur ce site Internet, il y a une sorte de planisphère avec toutes ces personnalités juives et la façon dont elles sont en contact les unes avec les autres. Ce qui en ressort, c’est la théorique du complot, comment les Juifs — bien sûr — contrôlent la politique, l’économie, les media […] le fameux “lobby juif”. C’est Les Protocoles des Sages du Sion. Et sur la page VK, Monsieur Goujon postait des photos de personnalités juives, et les commentaires étaient violemment antisémites: c’était de la provocation à la haine, de la provocation à la violence, des appels au meurtre de ces juifs, mais [aussi] des Juifs en général.

Et Monsieur Gonjon, ès qualité de directeur de la publication de son site internet et de sa page VK, est tout aussi responsable de ceux qui font ces commentaires. »(11).

Le discours est clair :

« M. Goujon se livre à un simple travail de recensement qui pourrait être celui d’un sociologue. Toutefois, même s’il dénonce sans outrances, il agit conformément à l’esprit du brûlot antijuif Les Protocoles des Sages de Sion. Son travail est donc motivé par l’antisémitisme. Voilà pourquoi en aval, il produit de la “haine” dont M. Goujon est entièrement responsable. »

J’ajoute que, poursuivi pour « provocation publique à commettre des atteintes volontaires à la vie », le prévenu risque jusqu’à 5 ans de prison ferme.

R. : Nous vivons donc un effrayant renforcement de la répression qui dépasse la France. Car même l’Angleterre est désormais concernée.

V. R. : Oui. Début août, un Britannique de 69 ans, Graham Hart, a été reconnu coupable d’incitation à la haine antijuive. Le Tribunal lui a infligé deux ans et huit mois de prison ferme.

Dans son garage reconverti en station radio, le condamné animait « The Graham Hart Show ». Il avait notamment lancé : « Pourquoi [Hitler] haïssait-il les Juifs ? Pourquoi ont-ils été chassés à 199 reprises de 79 pays ? Parce que ce sont des ordures, voilà tout. »

Et aussi : « Si vous nous écoutez, monsieur le Juif, sachez que nous arrivons. Débarrassons-nous des Juifs, il est temps qu’ils partent. Après Noël, je me mettrai au travail, je passerai à l’attaque parce que j’en ai assez. »

D’après l’enquête, son public se bornait à une trentaine de personnes. Mais l’argument a été écarté au motif qu’Internet permet de nombreuses
retransmissions postérieures… Son avocate ajouta que, désormais, Hart « comprenait parfaitement et regrettait amèrement » ; d’ailleurs, le prévenu plaida coupable et déclara qu’il s’attendait à une peine de prison ferme. La défense consistait donc à dire : « J’ai compris, je ne le referai plus, soyez donc indulgents. »

En vain : le 6 août, Hart fut condamné à 32 mois de prison ferme, 10 ans de bannissement des media et obligation de suivi psychiatrique(12).

Deux semaines plus tard, la Justice britannique aggrava la peine de prison ferme infligée à Alison Chabloz : 32 semaines au lieu de 18.

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Outre le fait qu’Alison n’avait pas effectué la totalité de ses heures de travail d’intérêt général, le juge Beddoe justifia sa décision en lui disant :

« Vous n’éprouvez aucun regret, vous ne faites que défier les autorités » ; « on ne peut vous trouver aucune circonstance atténuante ».

Plus généralement, il déclara : « Vous ne devez pas être surprise si vous opinions méchantes et blessantes provoquent la colère » ; « Il y a une différence entre un commentaire raisonnable et un propos profondément choquant. Vous savez où se situe la frontière ; en tout cas vous le savez maintenant. »

Enfin, le juge avertit Alison qu’en cas de nouvelle condamnation (pour des faits similaires), « la sentence serait encore plus sévère ».

Satisfait, le porte-parole de l’association juive qui poursuivait l’artiste a lancé : « Les antijuifs comme Mme Chabloz et Graham Hart (récemment condamné) savent désormais que nous ne cesserons de défendre la communauté juive. Que ceux qui pensent comme eux le sachent. »(13)

R. : Cette aggravation générale est très inquiétante, car rien ne semble pouvoir l’arrêter.

V. R. : Il est vrai que nos adversaires iront toujours plus loin. Pour eux, par exemple, l’antisionisme est toujours une forme d’antisémitisme. Maître Oudy Bloch lance : « L’antisionisme, c’est la critique de l’existence même de l’État d’Israël. Or vouloir la disparition de l’État d’Israël compte tenu de sa spécificité juive, ne peut se comprendre qu’au travers du prisme de l’antisémitisme. »(14)

L’argument est spécieux. L’antisionisme est d’abord la défense de gens que l’on regroupe sous le terme de Palestiniens. Personnellement, je ne m’oppose pas au fait que les Juifs puissent bénéficier d’une terre ; toutefois, je reste très critique sur la façon dont Israël a été créé, c’est-à-dire aux dépens de gens établis là depuis très longtemps. On répondra que, voilà vingt siècles, cette région était le foyer juif. Mais même à l’admettre, un peuple qui a perdu son territoire depuis une si longue période ne peut y revenir si son retour implique d’expulser, sans compensation suffisante, d’autres habitants qui n’y sont pour rien. Notez que ces deux arguments sont universels : ils s’appliquent (ou devraient s’appliquer) en tout lieu, en tout temps et quel que soit le peuple concerné.

Dans cette affaire, le fait que les Juifs soient impliqués est purement accidentel. Quoi qu’il en soit, Israël est le fruit de deux injustices : l’une contre le
peuple allemand (que l’on a calomnié), l’autre contre des Palestiniens (que l’on a spoliés).

Depuis 70 ans, la paix au Moyen-Orient est introuvable. Il n’y a là rien d’étonnant. [Le philosophe italo-français] Lanza del Vasto prévenait :

« Dans l’injustice la paix est impossible, car l’injustice est un état de violence et de désordre qui ne peut, qui ne doit pas se maintenir. Elle s’impose par la violence, se conserve par la violence, et provoque la violence de la révolte. »(15)

R. : Cela signifie qu’à terme, selon vous, Israël est condamné ?

V. R. : Sans doute, mais cet État possède des ogives nucléaires. Je suis persuadé que si, un jour, Israël se trouve dans une situation désespérée, ses dirigeants n’hésiteront pas à les utiliser… Petite remarque en passant : l’existence de cet arsenal a été révélé le 5 octobre 1986, photos à l’appui, par le Sunday Times. Le quotidien bénéficiait des informations di vulguées par un Israélien qui travaillait sur le site de fabrication et qui avait fait défection :
Mordechaï Vanunu.

“On ne brisera jamais l’esprit humain.”

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Si, vraiment, les Juifs contrôlaient toute la presse, alors ces informations seraient restées cachées. L’affaire de l’arsenal nucléaire israélien démontre donc que le lobby sioniste ne contrôle pas tout, loin de là.

R. : On vous objectera que l’action était voulue, préméditée.

V. R. : Non, car le 6 octobre 1986, le Pre mier ministre israélien d’alors, Shimon Peres, rassembla tout son culot pour déclarer : « Israël n’a pas changé sa politique ; ce n’est pas lui qui prendra l’initiative de faire entrer des armes nucléaires dans la région » (16)

Ce mensonge effronté, ridicule même, démontre que les autorités israéliennes avaient été prises au dépourvu. Cessons donc de croire qu’un lobby juif manipulerait tout, prévoirait tout, serait derrière chaque événement…

R. : Pourtant, certains affirment que Les Protocoles des Sages de Sion avaient tout prévu.

V. R. : On peut le croire en citant de courts extraits. Par exemple celui-ci : « Il n’y a plus que quelques années qui nous séparent de l’effondrement de la foi chrétienne, notre plus redoutable adversaire par ses théories sur le surnaturel, et la vie future »(17).

Certains y voient l’annonce de Vatican II avec un siècle d’avance. Mais le début de la phrase est capital : « La liberté de conscience est partout proclamée, par conséquent il n’y a plus que quelques années qui nous séparent de l’effondrement de la foi chrétienne… »

Ce n’est donc pas une prophétie, mais le constat que dès la fin du XIXe siècle, en Europe, la Foi avait considérablement reculé.

Je pourrais citer bien d’autres exemples. J’ajoute que les Protocoles n’ont annoncé 1) ni l’arrivée de Hitler au pouvoir,

ni 2) la création de l’État d’Israël, ni 3) la contre-religion de la Shoah, autant d’événements capitaux dans l’histoire du XXe siècle.

R. : Vous parlez de la contre-religion de la Shoah. Mais justement, ne faut-il pas dénoncer activement ces insupportables dérives venues d’Israël ?

V. R. : Bien entendu ; j’ai d’ailleurs consacré une grande partie de ma vie à cela. Cependant, il faut agir sans haine, en se contenant d’opposer la vérité au mensonge. Voilà peu, ainsi, j’ai diffusé une vidéo intitulée : “Simone Veil, menteuse de la Shoah”.

Début 2005 en effet, Madame Veil prétendit que, soixante ans plus tôt, à Birkenau, elle n’avait jamais vu le ciel : « C’était à cause du crématoire, dit-elle, de la fumée noire en suspension ».

Le journaliste qui recueillait ses propos renchérit : « [Simone Veil] ne se souvient pas avoir vu le Soleil en 1944 : la fumée noire des fours crématoires obscurcissait le ciel. »(18)

Ce “souvenir” voulait faire croire qu’en 1944, les crématoires d’Auschwitz-Birkenau auraient fonctionné toute la journée, incinérant des centaines de milliers de corps. A cela, j’ai opposé trois clichés aériens du camp pris par des avions de reconnaissance alliés les 31 mai, 23 août et 13 septembre 1944. A chaque fois, le ciel est totalement dégagé.

J’en conclus que Simone Veil a menti. Ce fait établi, je n’ai ni injurié, ni insulté ; je me suis déclaré prêt à répondre de mon accusation devant des historiens et des survivants du camp(19). C’est bien plus constructif.

R. : Je suppose qu’on ne vous a pas répondu…

V. R. : J’attendais avec curiosité la critique de mon contradicteur habituel, que je laisse s’exprimer librement sous mes vidéos.

En guise de réponse, il s’est livré à un flot d’imprécations contre ma personne : je suis un raté, un orgueilleux et j’en passe… Il terminait avec un hommage de quelques lignes à Simone Veil.

En cas de débat face-à-face, j’aurais attendu la fin de sa logorrhée, puis j’aurais dit calmement :

« Bien, venons-en au sujet : en racontant qu’à Birkenau, la fumée des crématoires obscurcissait le ciel de façon permanente, Simone Veil a-t-elle menti ? Pouvez-vous répondre par oui ou par non ? ».

R. : On objectera que, si vous dénoncez le témoignage d’une Simone Veil, c’est pour, à travers elle, atteindre toute la communauté juive. C’est donc par antisémitisme.

V. R.: La première question est : Simone Veil a-t-elle menti ? Si oui, alors on doit pouvoir le dire calmement ; si, en revanche, on juge qu’elle n’a pas menti, alors il faut le démontrer lors d’un débat loyal, face-à-face, entre les deux parties. Que je sois antijuif ou non ne fait rien à l’affaire.

R. : Élargissons le débat. Bien que Simone Veil ait présidé la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, elle est surtout connue pour avoir laissé son nom à la loi qui dépénalisait l’avortement en 1975.

Un siècle plus tôt, en 1884, Alfred Naquet présenta une loi qui autorisait le divorce. Et l’on pourrait ajouter la loi Neuwirth légalisant la pilule contraceptive en 1967. Trois lois contre la famille promues par trois parlementaires juifs. Les gens n’ont-ils donc pas quelque raison de se focaliser sur les Juifs ?

V. R. : Tel est, justement, l’objet de ma brochure. Je mets en garde contre ces analyses superficielles. A plusieurs reprises, déjà, j’ai parlé de l’avortement. Les causes ne sont pas seulement à rechercher dans un complot judéo-maçonnique ourdi en loges, elles sont aussi d’un autre ordre. A partir des années 1820 la dénatalité fut corrélative à l’exode rural(20).

Car les conditions de vie citadine, avec les problèmes de logement, de ravitaillement et de famille éclatée, entraînèrent logiquement une baisse de la natalité.

Cette baisse fut le résultat non de la continence chrétienne, mais de pratiques dites anticonceptionnelles illégales, de la contraception à l’avortement. Le phénomène prit une telle ampleur qu’en 1881 un livre sur l’infanticide parut. Intitulé : Étude médico-légale sur l’avortement, il était destiné à faciliter la découverte des coupables(21) bien que très incomplètes, puisque l’immense majorité des avortements restaient inconnus, les statistiques montraient une augmentation vertigineuse du nombre de cas : en quarante ans, le nombre d’affaires jugées aux Assises avait été multiplié par trois, et le nombre de prévenus multiplié par cinq (Ibid., p. 13).

En 1939, on déplorait 450 mille avortement annuels, dont beaucoup étaient pratiqués dans 10 mille officines
clandestines(22). L’expansion des moyens de contraception moderne ralentit le phénomène.

Mais peu avant l’adoption de la loi qui dépénaliserait cette pratique, on dénombrait chaque année entre 50 et 80 mille avortements, soit un minimum de 140 par jour(23).

Alors certes, le texte a été défendu par une parlementaire juive, Simone Veil, mais il était hélas aussi le fait d’une demande sociale pressante. La meilleure preuve est qu’en 1976, le nombre d’IVG recensés avoisina les 135 mille(24). A qui ferat-on croire qu’en 1975, les gens auraient été opposés à l’avortement mais qu’un an plus tard, suite au vote de la loi Veil, ils auraient subitement changé d’avis ? .

C’est inepte. Depuis, d’ailleurs, la demande sociale s’est maintenue : à partir de 2001, le nombre annuel d’IVG
est resté supérieur à 200 000.

J’en conclus, qu’avec ou sans Mme Veil, l’avortement aurait hélas été légalisé. Il en va de même avec le divorce. En 1792, la Révolution réinstaura le divorce qui n’existait plus depuis Charlemagne.

En 1816, la Restauration l’abolit. La France devint-elle un pays idyllique, composé de familles soudées par la foi et la vertu du peuple ?

Non. Soixante ans plus tard, une enquête démontra que, depuis 1816, le nombre d’enfants nés hors mariage avait presque doublé, passant de 41 mille à 70 mille. L’auteur concluait :

« Il est bien évident que notre moralité ne va pas en grandissant sous le régime de l’indissolubilité du mariage. Il y a en France 3 millions d’enfants illégitimes […] et, sur ce chiffre, il y en a un nombre considérable qui est dû aux époux séparés »(25).

Car si, en 1816, le législateur avait aboli le divorce, il en était revenu à la séparation de corps qui existait sous l’Ancien Régime(26).

Or, de 1841 à 1867, le nombre annuel de demandes de séparation était passé de 987 à 2 849, soit une augmentation de 200 % (27) !

90 % des demandes avaient été formulées par des femmes, la grande majorité en raison de sévices graves infligés par le mari. Sauf exceptions, le reste des requêtes faisait suite à un adultère commis par l’un des deux époux (Ibid., p. 59).

En 1878, la situation s’était encore aggravée : 3 277 séparation prononcées, dont 86 % à la demande de l’épouse, dans 98 % des cas pour sévices graves (28).

Dans son livre sur le divorce paru en 1881, Alfred Naquet souligna cette situation(29). Les partisans du divorce précisaient que la séparation, qui laissait des gens dans l’impossibilité de se remarier, était source de désordres très graves: multiplication des ménages irréguliers, enfants abandonnés, sans état civil, etc.(30)

D’où l’adoption de la loi sur le divorce. Tout comme l’avortement, elle fut le résultat d’une pression sociale. Car un fois votée, un nombre croissant de couples y eut recours, avec une explosion des cas à partir des années 1970(31).

R. : Quelle conclusion tirez-vous de ces études ?

V. R. : Dans le cas du divorce et de l’avortement, [les Juifs] Alfred Naquet et Simone Veil n’ont été que les révélateurs et les accélérateurs, certes nocifs, de maladies dont souffrait la société depuis bien longtemps.

Cet enseignement, je le généralise : si les Juifs ont pu faire œuvre de dissolution, c’est parce qu’ils ont trouvé une société déjà gangrenée. Loin, donc, d’être la cause première de notre décadence, les Juifs en sont tout au plus un accélérateur et un propagateur.

Le mal est d’abord en nous-mêmes.

R. : Mais pour agir comme accélérateur, il faut avoir du pouvoir. Il a donc bien fallu que les Juifs prissent préalablement ce pouvoir.

V. R. : Oui, et pour les mêmes raisons : si les Juifs ont pu acquérir de la puissance, c’est  parce qu’ils ont trouvé une société déjà gangrenée par le matérialisme mercantile.

Dans ma brochure, je le prouve, textes à l’appui. C’est la partie la plus importante de mon exposé. Voilà pourquoi m’appuyant sur l’Histoire, j’affirme que dénoncer les Juifs est insuffisant. Car c’est laisser intacte la racine du problème.

R. : Mais quelle est cette racine ? Et que proposez-vous ?

V. R. : Au-delà du « qui ? », les antijuifs doivent se poser deux questions capitales : « laquelle ? » et « comment ? » Plus précisément : « Quelle est la cause profonde du triomphe, chez nous, du matérialisme mercantile, et comment la supprimer afin de se débarrasser des parasites ? »

Dans ma brochure, je démontre que cette cause réside dans la disparition du sentiment de transcendance. L’une des premières conséquences est l’apparition de l’égoïsme qui tue le Bien commun. La solution consiste donc à corriger nos erreurs, nos défauts et nos manques pour retrouver le service
du Bien commun.

R. : Mais comment croyez-vous pouvoir toucher les gens ? Dans les cortèges anti-pass sanitaire, les manifestants scandent :
“Liberté”.

V. R. : Justement. Dès 1867, dans un livre hélas oublié, La Décadence de l’Europe(32), un auteur [Stefan Buszcynski] écrivait :

Selon la Wiki polonaise:

L’une des œuvres les plus importantes de Buszczyński était La décadence de l’Europe (1867), dont les lecteurs étaient, entre autres, Napoléon III, Jules Michelet et Victor Hugo.

decadence-europe-stefan-buszczynski-1867

 

« Il ne suffit pas de vouloir la liberté, il faut encore en être digne.

Il ne suffît pas d’être prêt à mourir, il faut savoir mourir.

Celui-là est un héros, un véritable fils de la liberté, qui meurt pur ; et celui-là est pur, qui connaît et aime la vérité. » (p. 122).

Plus loin, il précisait : « En vérité, il est plus rude d’être aux prises avec ses passions qu’avec un ennemi armé d’une baïonnette.

Dans une lutte corps à corps, le sang monte aux yeux, le tumulte trouble les sens ; un moment d’oubli mène au courage. Mais la lutte morale contre les passions, la lutte successive, continue, de chaque jour et de chaque heure, du matin au soir, pendant toute la vie, voilà le chemin de la victoire.

Quand on s’est vaincu soi-même, quand on est maître de soi, on peut se nommer libre et marcher bravement au combat.

Quand on s’est élevé à cette hauteur sublime, où doit se placer le vrai défenseur de la liberté, on a devant soi un immense horizon, on est comme inondé d’une éclatante lumière.

On ne risque pas de se tromper. On succombera peut-être, mais ce ne sera pas sans gloire. Une armée formée d’hommes comme ceux-là serait invincible. » (p. 123)

Pourquoi cela ? L’auteur expliquait :

« La force intellectuelle a le don de multiplication ; elle a la propriété de se doubler, de se tripler, de se centupler. On dirait qu’elle magnétise les foules. La force de la lumière les pénètre et les rend invincibles. »

Mais attention :

« si l’esprit négatif se sert de ces forces, il ne peut qu’agir d’une manière négative ; alors chaque mouvement devient artificiel, galvanique, éphémère. »

Car, souligne l’auteur :

« Ceux qui sont esclaves eux-mêmes, peuvent-ils défendre la liberté ?

Est-il possible de secouer le joug des tyrans, quand on courbe volontairement la tête sous celui des passions ? »(p. 124)

Et de conclure :

« Il n’y a que la liberté qui puisse conduire à la liberté. Et celui qui prononce le mot de liberté, prononce en même temps les mots de lumière, de vérité et d’amour. La liberté [extérieure] est la fille de la liberté [intérieure].

Son premier droit, son premier élan est l’amour. […] Celui qui renie la lumière suprême, renie toute lumière, renie la vérité ; il sert les ténèbres,  il est l’esclave de l’erreur. Les mains des esclaves ne sont ni dignes, ni capables de relever la liberté.”

Voilà pourquoi dans ma brochure, j’appelle Cassandre Fristot — et à travers elle tous ceux de mon camp— à ne certes pas avoir peur de dire crânement la vérité mais à rester sans haine dans son combat.

R. : On retrouve ici le message de Jésus-Christ dans le Sermon de la montagne :

« Aimez vos ennemis ».

V. R. : Oui, mais cela n’empêche pas de les combattre activement, résolument et publiquement — ma vie le démontre.

Mais il faut combattre sans haine, en se bornant à exposer la vérité. Saint Jean ne disait-il pas que le Vérité nous libérerait ? Pour ma part, je sais que jusqu’à présent, la Providence m’a beaucoup aidé.

Notamment lorsque, lourdement condamné en 2015, j’ai dû me résigner à l’exil pas où aller, lorsque, soudainement, une amie m’a proposé une maison en Angleterre.

R. : Où peut-on se procurer votre brochure ?

V. R. : Auprès de RIVAROL (Editions des Tuileries, 19 avenue d’Italie, 75 013 Paris), l’hebdomadaire le plus courageux qui nous reste (10 euros franco), ou directement aux éditions Critias (<https://editions-critias.com>).

Bon courage et bonne chance à tous!

***

Propos recueillis par Jérôme BOURBON.

_________________

1. Voyez Henri Dagan, Enquête sur l’Antisémitisme (Stock, Paris, 1899), p. 25-26, lettre de Georges Re nard.
2. Voyez L’Univers israélite, 1er juillet 1904, p. 371.
3. Voyez Raphaël Viau, Vingt ans d’antisémitisme, 1889-1909 (éd. Eugène Fasquelle, Paris, 1910), p. 371.
4. Voyez Édouard Drumont, La fin d’un monde (éd. Albert Savine, Paris, 1889), p. VI.
5. Voyez Jean Guillou, L’émigration des campagnes vers les villes (éd. Arthur Rousseau, Paris, 1905), p. 238, 244 et 245.
6. Voyez Clarisse Coignet, De l’éducation dans la démocratie (éd. Delagrave, Paris, 1881), p. VI et IX.
7. Source : https://youtu.be/G2V9shnJ0IU, 7’35 à 7’41.
8. Source : https://youtu.be/xn0I39zs95c, la première minute.
9. Source: https://youtu.be/S4tbggFBAEE, 3’03 à 3’22.
10. Source : https://fb.watch/7F1ZuL0DfS/ 2’40 à 2’46.
11. Source : https://youtu.be/G2V9shnJ0IU, 1’22 à 2’12.
12. Source : https://www.minds.com/newsfeed/1274216077139644423.
13. Source : https://gab.com/Reynouard/posts/106778249648283417.
14. Source : https://youtu.be/xn0I39zs95c, 3’02 à 3’23.
15. Voyez Lanza del Vasto, Pages d’Enseignement (éd. du Rocher, 1993), p. 31.
16. Voyez, par exemple, The St. Louis Post Dispatch, 7 octobre 1986, p. 6.
17. Voyez Les Protocoles des Sages de Sion, traduction de Butmi, VII, 03.
18. Voyez La Libre/Match, 19 juin 2005, p. 33 et 46.
19. Vidéo à l’adresse suivante : https://www.bitchute.
com/video/nhNVME7X42J5/
20. Voyez Le Matin, 15 janvier 1942, p. 1.
21. Voyez Ambroise Tardieu, Étude médico-légale sur l’avortement, (Librairie Baillère et Fils, Paris,
1881).
22. Voyez Le Jour, 6 juin 1939.
23. Voyez, par exemple, Jean Legrand, « L’avortement avant et après 1975 », publié par le Comité protestant évangélique pour la dignité humaine.
24. Source : https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/avortements-contraception/
avortements/.
25. Voyez le Journal Officiel, 26 juin 1876, p. 4602.
26. Voyez Essais de Jurisprudence, par H.D.L.M.,
avocat au Parlement (Paris, 1757), tome 2, p. 18.
27.Voyez Ernst Cadet, Le Mariage en France. Statistiques. Réformes (éd. Guillaumin et Cie, Paris, 1870).
28. Voyez Le Journal Officiel, chambre des députés, 7 mai 1882, p. 522.
29. Voyez Alfred Naquet, Le Divorce (éd. E. Dentu, Paris, 1881), p. 5-6.
30. Voyez Le Journal Officiel, chambre des députés, 9 mai 1882, p. 529.
31. Voyez Le Divorce en France (Les collection de l’inséé, n° 85-86), p. 48.
32. Voyez Stefan Buszczynski, La Décadence de l’Europe (Librairie du Luxembourg, Paris, 1867)

 

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…..Mon commentaire

JdN: J’y ajoute ceci de Buszczynski:

Le mot pompeux de “progrès” qu’inscrivent fièrement sur leur étendard de prétendus meneurs de l’humanité a pour but de nous faire croire que la société marche d’un pas gigantesque en avant.

Le contraire ressort pour moi de faits qui me sautent aux yeux et des enseignements de l’histoire.

En vérité j’aperçois un certain mouvement de l’humanîté visible pour tout le monde, mais en m’approfondissant, je constate que le progrès, dont on parle si haut, est très lent, dévoyé souvent par la mauvaise volonté et la violence, plus souvent encore par une fausse théorie, acheté au prix de nombreuses victimes sacrifiées sans aucune nécessité réelle, je reconnais enfin qu’il est en opposition avec les lois de la nature et ennemi des droits humains.

La liberté est la maîtrise de ses pensées, et donc de son coeur, ete par la suite de ses agissements.

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Articles principaux de John de Nugent en français

 

Contact/Soutien

— 5 septembre 2021 300 euros de M en France— 31 août 2021 500 euros via PayPal de C en Allemagne

— 25 août 2021 300 euros via PayPal de L en Belgique wallonne

— 22 août 2021 $41 dollars via PayPal de V à Odense au Danemark

— 20 août 2021 200 $ en espèces d’un partisan local

C’est une nouvelle tendance — les gens locaux  me soutiennent. “Hitler eut raison!”

 

Depuis hier, c’était un autre slogan :

“AH eut raison.”

Tout ce que je peux dire, c’est que les anciens combattants de la guerre US en Afghanistan ici à Onto sont choqués par la débâcle afghane.

— 19 août 2021 300 euros et carte de M en France

— 14 août 2021 400 $ australiens ( = 300 $ US) de P en Australie et lettre re vaccins contre l’ARNm Covid

Le jour étant venteux, j’ai placé des presse-papiers sur le contenu. Je les garde toujours près au cas où le vent se lèverait. 

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— 11 août 2021 300 Euros de M en Belgique

–10 août 2021 500 $ en espèces de G au Michigan

— 4 août 2021 500 Euros de L au Québec, Canada

— 28 juillet 2021 200 $ :

Ce Texan, qui m’avait déjà envoyé un étui de pistolet superbe,

… a fait don, comme il l’avait promis, de deux cents dollars (100 $ en espèces et 100 $ par mandat postal USPS) – et il m’a écrit une belle lettre.

— 28 juillet 2021 400 euros via PayPal de M en France

— 25 juillet 2021 500 $ en espèces de S à Edmonton, Alberta, Canada

— 22 juillet 2021 40 euros, photos et note de M en France

— 21 juillet 2021 30 euros via PayPal de M en France

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— 16 juillet 2021 400 euros, photos et carte de M en France

dav

–15 juillet 2021 400 euros via Moneygram depuis C en Allemagne

–15 juillet 2021 25 $ via une carte-cadeau Amazon de S dans un lieu inconnu

— 14 juillet 2021 400 $ via une carte-cadeau Amazon de J au Nevada

–13 juillet 2021 deux superbes livres historiques de J au Nouveau-Mexique,  Stalin’s War of Extermination  de Joachim Hoffmann, et  Chief Culprit,  du juif soviétique et historien militaire Suvorov, prouvant que Staline était sur le point d’attaquer massivement l’Allemagne par surprise, en août 1941 (malgré le pacte de non-agression Berlin-Moscou de 1939) lorsque l’Allemagne hitlérienne à la place, avec une justification complète, l’a attaqué par surprise.

–13 juillet 2021 livre de Stan Hess in Idaho  Defensive Racism  par le regretté avocat de WN Edgar Steele, qui a ensuite été tragiquement accusé de tentative de meurtre  sur la parole d’honneur d’un criminel condamné qui lui avait volé des milliers de pièces d’argent DE LUI!  Ensuite, le FBI a créé un faux audio profond – en utilisant la technologie du Media Lab du MIT – de Steele soi-disant en train de discuter AU TÉLÉPHONE de la suppression de sa propre femme, ce que sa femme Cindy n’a jamais cru une seconde. Steele a ensuite été emmené en prison, recevant une « thérapie au diesel » (il se déplaçait constamment de prison en prison (dans un bus à moteur diesel, d’où une « thérapie au diesel ») avec son courrier jamais transféré, il n’avait donc presque aucune communication avec ses amis. , supporters et famille pendant des mois). Il est ensuite décédé en prison en raison de la suspension de ses médicaments par les autorités fédérales et probablement aussi du désespoir. Ce livre est superbe.  Vous pouvez voir pourquoi les juifs le haïssaient et le craignaient.

 

— 12 juillet 2021 100 dollars australiens [ = US$75], lettre, infos sûrs des  OVNI/Annunaki de J en pays des koalas

— 10 juillet 2021 200 Euros de M en France

— 9 juillet 2021 50 Euros et cartes de S en Allemagne

 

— 28 juin 2021 $23 en liquide et lettre amicale de W au Tennessee

dav

–24 juin 2021 190 $ en espèces et en litres de N en Géorgie

–21 juin 2021 200 euros, photos du musée du Louvre, et un gentil mot de M en France

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–18 juin 2021 150 euros, photos des arènes romaines du Paris antique, alors appelé « Lutetia », et carte de M en France.

–17 juin 2021 200 euros, photos et carte de M en France. (En bas à droite : j’emporte toujours un sandwich au cas où j’aurais faim…)

— 16 juin 2021 100 dollars australiens ( = 60 $ US) du camarade australien P

Il termine son aimable lettre :

A TOUS MES AMIS AMÉRICAINS !

Veuillez envoyer un don à John – tout ce que vous pouvez épargner.

John fait un travail formidable sur la question des vaccins.

Il essaie de sauver des vies !

 

— 11 juin 2021 20 $ et billet de T dans l’État de New York

— 8 juin 2021 500 $ US et aimable note de C en Caroline du Nord (avis de coupure Internet/téléphone sur papier rose à droite)

dav

 

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