FRENCH 17 octobre 1961 — un massacre de 300 Algériens à Paris par des “fromages” racistes aussi irréel que l’Holofraude; “en Métropole, ce fut le FLN qui assassina 6000 des ses compatriotes algériens”

Spread the love

Tout ce qui culpabilise l’homme blanc sert les deux communautés sémites qui parasitent la France et l’Europe

Excerpté d’un article de Léon Camus à la page 13 du numéro 3491 de Rivarol (hebdomadaire superbe que j’utilise constamment et que je viens de réabonner malgré mes propres difficultés pécuniaires vu le haut prix mensuel de la défense numérique de ce site, qui se fait attaquer quotidiennement par des équipes entières de pirates électroniques juifs)

AIDEZ-NOUS ! AIDEZ RIVAROL !

Le 4 novembre, le directeur de RIVAROL a été condamné par la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris à trois mois de prison avec sursis, 4 000 euros d’amende et 11 000 euros de dommages et intérêts pour différents écrits, datant de 2018 et début 2019, dont un éditorial sur la panthéonisation de Simone Veil. La loi interdit de demander des dons pour le paiement des amendes et des dommages et intérêts, mais il est possible de nous aider autrement, de manière tout à fait légale :

l Abonnez-vous, réabonnez-vous (voir le bulletin d’abonnement page 11 avec tous les tarifs), même par anticipation (auquel cas, votre abonnement sera prolongé d’autant), abonnez des amis, des connaissances, de la famille, des relations de travail ou autres. Que tous ceux qui le peuvent prennent l’abonnement de soutien (175 euros), de propagande (210 euros) ou à vie (2 000 euros). Vous pouvez également souscrire à un abonnement couplé papier et numérique d’un an à 150 euros ou prendre l’abonnement numérique seul d’un an à 80 euros.

******

[….] et les conclusions reflètent aussi peu la réalité que les nombres des morts des manifestions organisées par le FLN [le violent et haineux mouvement indépendantiste algérien] le 17 octobre 1961. Des centaines, dit-on !

C’est une constante… Les chiffres publiés et commentés par les media (en particulier ceux du service public) sont systématiquement multipliés ou divisés par dix : quand on nous annonce trente mille manifestants en France contre le pass sanitaire, il faut entendre trois cent mille. Trois cents victimes noyées ou tuées par balles en 1961 (les quartiers populaires étaient à cette époque quadrillés par l’armée, les Algériens, pour des questions de racket politique, s’entretuaient au coin des rues), seraient en fait 3 ou 7 selon des estimations rigoureuses…

En 1998, Lionel Jospin, socialiste sectaire et Premier ministre (1997-2002) de Chirac, réunit une commission d’enquête, présidée par le conseiller d’État (((Dieudonné Mandelkern))), afin de faire toute la lumière sur les événements du 17 octobre 1961 à Paris.

Son rapport final — mais les pitoyables journalistes incultes par définition et vocation — ont l’air de l’ignorer ! — fit litière de la légende noire du prétendu “massacre”.

*** JdN

***

Les paragraphes 2.3.5 dudit rapport font état de sept morts, précisant qu’il n’y eut qu’un seul mort dans le périmètre de la manifestation, les six autres victimes n’ayant pas de lien avec les manifestations qui ont fait trembler la capitale, parce qu’ayant perdu la vie postérieurement et dans des circonstances parfaitement connues et détaillées(14).

Ce funeste 17 octobre, les 30 à 50 000 individus qui ont terrorisé la Capitale sous la houlette du Parti communiste français et du FLN algérien, n’ont eu en fait à déplorer qu’un seul noyé !

Ce que confirment les registres de la Morgue de Paris qui, sauf à avoir été outrageusement falsifiés, ne recensent qu’un unique cadavre lié avec certitude à la répression d’un mouvement à caractère insurrectionnel, cela sans aucune discussion possible.

14. On se reportera à l’incontournable étude de Bernard Lugan relative à l’indécente commémoration d’un « massacre qui n’a pas existé » [JeuneNation23oct21]. Pour le contexte :

du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, pour cette même période, 1433 Algériens furent tués et 1726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6000 Algériens et en blessa 9000 autres.

Le 5 octobre 1961, un couvre-feu est imposé en réaction, le 17, le FLN décide d’une démonstration de force…

Le paragraphe du Rapport intitulé « Les victimes des manifestations » est particulièrement éloquent, il parle de sept morts, précisant qu’il n’y eut qu’un seul mort dans le périmètre de la manifestation, les six autres victimes n’ayant aucun lien avec cet événement ou ayant perdu la vie postérieurement à ladite manifestation dans des circonstances précisément documentées.

Or, il ne s’agissait pas d’un Nord-Africain, mais d’un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21 h devant le cinéma REX, le crâne fracassé.

le cinéma Rex aujourd’hui

Pour les journalistes assurant le direct, ce dernier avait été la victime de la fureur des manifestants.

 

….L’inventeur du mensonge du massacre des 300 beurs, Jean-Luc Einaudi, fut journaliste de l’horrible “Parti communiste marxiste-léniniste de France”, et lui nia sans honte en bon communiste les vrais massacres de millions d’innocents commis par ses héros Staline et Pol Pot! 

Oh, les pauvres égorgeurs et violeurs qui voulaient uniquement apporter de la civilisation aux Gaulois réfractaires — passés tragiquement à tabac par les ingrates “faces de craie” (comme ils disent) parisiennes

.

…..Wikipédia sur Einaudi, reportage pour une seule fois équilibrée:

Biographie[modifier | modifier le code]

Militant du Parti communiste marxiste-léniniste de France (PCMLF) [auto-dissout en ] de 1968 à 19827, il a été rédacteur du journal du parti, L’Humanité rouge8.

En , Jean-Luc Einaudi publie sous pseudonyme de « André Colère », une brochure intitulée « la fascisation en France », (supplément au no 186 de L’Humanité rouge), dans laquelle il écrit notamment : « Partout où le fascisme se manifeste, la riposte de masse doit venir, en n’oubliant pas que le danger vient de l’État, que c’est lui qu’il faut frapper »”9. Une seconde édition de cette brochure paraîtra à la mi- (supplément au no 198 de L’Humanité rouge)9.

Jean-Luc Einaudi est alors membre du Collectif de Travail Parisien (CTP), qui supervisait l’action des cellules et sections du PCMLF en région parisienne9. Selon lui, le rôle des « maoïstes » a été souvent occulté, mais tous les militants et sympathisants de Paris du PCMLF ont été mobilisés, ainsi que ceux de la Gauche prolétarienne, à qui étaient échus « plus particulièrement la fabrication et l’utilisation de cocktails Molotov »9.  […]

Les thèses et les chiffres avancés par Jean-Luc Einaudi concernant les événements d’ ont été sévèrement critiqués par l’historien Jean-Paul Brunet14. Einaudi dresse une liste des 393 victimes algériennes qu’il rapporte à la manifestation du  (les policiers auraient fait ce soir-là plus de 200 morts) et dont il attribue le décès aux forces de police.

Au lendemain du , la Préfecture de Police communique un bilan se montant à deux morts parmi les manifestants15. De fait, les archives de l’Institut médico-légal de Paris n’enregistrent aucune entrée de corps de nord-africain à la date du 16.

En , la mission Mandelkern, quant à elle, retrouve dans les archives du cabinet du préfet une liste de fin octobre dénombrant sept décès survenus dans le ressort de la Préfecture de Police17.

En 2006, les historiens britanniques Jim House et Neil MacMaster18 précisent que dans la liste d’Einaudi des 246 victimes pour lesquelles la date du décès est connue, 141 décès ont été enregistrés avant le .

Dans la liste de Jean-Luc Einaudi se trouvent plusieurs corps non identifiés; des Algériens morts des suites d’un suicide ou d’un accident; au moins 8 victimes mentionnées deux fois ; Jean-Paul Brunet y découvre aussi un harki.

Jean-Paul Brunet relève que dans la liste des 393 victimes de Jean-Luc Einaudi, 57 seulement sont décédées les 17 et « la répression ne serait donc responsable que d’une minorité des morts Algériens ». Ces historiens montrent cependant que la plupart des morts nord-africains sur la période devrait être attribuée à la Police, et que l’estimation de J.-P. Brunet est minimaliste.

D’une manière générale, Jean-Paul Brunet dénonce dans l’exploitation de cette affaire un « mythe forgé pour les besoins d’une cause militante bien incertaine » car en attribuant « systématiquement à la police française toutes les morts de Nord-Africains […] on reste abasourdi, mais on comprend pourquoi la vérité historique n’est pas le souci premier de Jean-Luc Einaudi ».

Jean-Paul Brunet, qui rappelle l’engagement de Jean-Luc Einaudi au Parti communiste marxiste-léniniste de France (PCMLF) de 1967 à 1982, son rôle de rédacteur en chef de L’Humanité rouge qui « chantait les louanges des Khmers rouges [qui massacrèrent deux millions de Cambodgiens dans l’ancienne colonie française]

.

et des bons présidents chinois Mao, nord-coréen Kim Il-sung et albanais Enver Hodja », signale aussi son attitude de dénégation des crimes contre l’humanité commis par Pol Pot et Mao-Tse-Toung19. Et il conclut « il est grave qu’une fraction de la société française d’aujourd’hui se soit laissée abuser » par son manque de professionnalisme20,21.

Paul Thibaud estime qu’« Einaudi entasse les pièces d’un réquisitoire alors que Brunet essaie d’écrire une histoire »22 ; ainsi, « beaucoup des résumés d’enquête qu’Einaudi nous livre ne permettent pas de savoir qui a tué »23 mais, suivant un « choix global et politique »23, Einaudi met les décès au compte de la police afin d’exonérer le FLN de ses « visées totalitaires ».

.

.

.

.

…….Qu’est-ce exactement qui pousse les gens á nier les faits?

Dire que les gens sont “aveugles” ou des “moutons”, victimes d’un lavage de cervelle, n’est que parler en synonymes.

Nier des faits qui sautent carrément aux yeux, c’est la négation de la réalité.

Et pourtant, chaque homme qui a réussi sa vie un tant soit peu sait qu’on doit payer ses factures, sinon l’électricité disparaîtra.

Si votre époux/se ne vous aime ou supporte plus, alors il/elle s’en ira et le lit conjugal sera vide et froid.

Ou bien vous avez des douleurs au corps ou non.

On vieillit — et par conséquence on a des rides.

C’est du réel. Impossible de survivre á long terme en niant la sainte réalité!

Moi en 1990

.

En 2020 — Le vieillissement est une astuce divine pour rappeler que toute vie prendra sa fin et pour nous pousser donc vers l’accomplissment de notre mission personnelle.   

Il faut aimer le réel, car lui est notre seul moyen de survie!

On voit en vrai droitiste avec une belle clarté la négation du Réel chez les gauchistes, les vaccinomanes, les anti-racistes….

Mais nous-autres sont des nieurs tout autant, mais en d’autres domaines.

Dans le même numéro de Rivarol, il y a un bon article sur le brillant historien paléo-conservateur Paul Gaxotte (1895-1982) de l'”Action française”.

Mais on constate que comme les autres militant de l’Action francaise il continua obstinément à détester tous les Allemands, de plein coeur, et de haïr leur national-socialisme, qui fut ostensiblement le seul sauvetage et espoir possible de l’Europe den 1940 face à la force immense et des juifs capitalistes de Roosevelt et des juifs bolchéviques de Staline.

On aurait dû essayer de surmonter ses antipathies contre les Allemands — peuple génial mais parfois arrogant, sans humour, difficile, et têtu — vu le grand péril qui menace nous tous d’extermination!

Les Parisiennes trouvaient les Allemands très corrects, mûrs et impressionnants 

N’oubliosn pas qu’on connaissait donc depuis Saint Louis (!) le contenu affreux du Talmud, dont le Roi fit brûler des centaines d’exemplaires (si coûteux aux juifs, car l’ouvrage est trés long et fut copié à la main!) devant la cathédrale de Notre Dame de Paris!

.

Connaissant à fond ce contenu exécrable, le roi  Louis IX ordonna en 1242 l’incendie de 24 charrettes de manuscrits hébreux d’un prix inestimable. Nous devons garder à l’esprit qu’au Moyen Âge, chaque livre était écrit à la main. Le Talmud à lui seul compte, dans son format actuel, environ 2 300 pages.

L’incendie de Notre Dame où les Talmuds furent jetés aux flammes une coïncidence?

 

On savait surtout depuis Édouard Drumont et son livre vedette La France juive avec qui on avait affaire! Il apparut en 1886, trois ans avant la naissance du bébe Adolf Hitler. Tout Français pouvait se renseigner sur la question juive.

L’affaire Dreyfus renforça encore l’antisémitisme — de certains.

.

L’historien britannique David Irving (que je connais un peu), malgré ses fiertes anglaises, a dû conclure: “Si tous les soldats alliés, avang leur mort au combat, auraient pu voir l’avenir de leurs patries, ils auraient jeté leurs armes par terre pour combattre aux côtés des Allemands.”

.

Les Britanniques n’ont jamais, jamais aimé les Allemands non plus, mais regardons toujours en face la réalité! Dut-on vraiment se permettre de se faire, comme de Gaulle, le pote du sanglant Staline et de ses ineffables juifs?

Rivarol:

Gaxotte s’efforça [pendant la Guere et l’Occupation], mais en vain, de persuader Maurras [fondateur de lAF] de suspendre la parution de L’Action française, de prendre ses distances d’avec Vichy et de s’abstenir de toute critique à l’égard de la France Libre et de la Résistance. La Gestapo le soupçonnant d’actes de résistance, il doit se cacher à Varennes-sur-Allier, avec Mitty Godin, juif d’origine roumaine et directeur du music-hall ABC. Après la période d’Occupation, Gaxotte peut se satisfaire de la justesse de ses prévisions quant à l’issue du conflit et au sort réservé à l’AF, mais a la douleur de voir Maurras honni, maudit et condamné à la prison à vie, et L’Action française interdite.

C’est d’ailleurs toute la droite nationaliste qui disparaît alors, avec sa presse. Gaxotte échappe à l’épuration en raison de ses rapports conflictuels avec les Allemands, mais les journaux qu’il dirigeait ou auxquels il contribuait ont disparu. Il ne s’exprimera plus guère que comme éditorialiste du Figaro, et collaborera occasionnellement à divers périodiques nationalistes.[….]

Donc la cécité mentale, psychologique et émotive existe aussi chez nous, dans nos propres rangs  de “vraie droite”!

Une autre preuve en est la fratricide et des querelles intra muros.  Tout cela, c’est donc aider les Juifs!  Frapper son frère et camarade, c’est en fin de compte de la trahison.

Et pourtant on en témoigne de tous les jours et dans tous les pays blancs.  Les camarades se sautent à la gorge, ils se maudissent, ils se diffament, ils se sabotent.

.

Ceci est la maladie qu’Eckart Tolle dénonce avec une profondeur et sériosité germaniques comme l'”esprit égoïque.” Il l’explique de façon claire et détaillée. Si on ne comprend pas ce maudit “esprit égoïque”, on continuera à regarder uniquement la superficie des choses et les symptomes, pas la maladie elle-même qui est à l’origine de tous, mais vraiment de TOUS nos maux. Cette maladie mentale, que le Christianisme cible avec le mot “péché”, ouvre la porte d’en bas à toutes nos forteresses à la haute juiverie.

Tolle en français:

A propos d’Eckhart Tolle

 

Si nous nous déberasserons de notre esprit egoïque, on peut enfin commencer à gagner de nouveau.

Car ainsi on va s’unir, collaborer bien avec ses chers camarades et s’arrêter à faire des folies ou, pire, rien du tout!

Ma mission est de combiner Tolle avec un nouveau national-socialisme pour tous les peuples blancs! Il faut saper la véritable base du fratricide!

Articles principaux de John de Nugent en français

 

Contact/Soutien

— 2 novembre 2021 $10 en liquide de S à Ontonagon

— 31 octobre 2021 300 euros via PayPal de M en France

— 30 octobre 2021 $50 via PayPal de V au Danmark

Lui dans une vie antérieure de Viking, lui aussi doué pour recevoir des dons 😉

 

— 27 octobre 2021 $400 en liquide d’un ancien officier du Marine Corps. P en Floride, donateur et ami depuis 12 ans

Be the first to comment

Leave a Reply

Your email address will not be published.


*