….Je remercie un camarade francophone pour ces liens
POURQUOI HITLER EST REPRÉSENTÉ COMME L’INCARNATION DU MAL ABSOLU ? PARCE QUE CE SONT LES VAINQUEURS QUI ÉCRIVENT L’HISTOIRE !!!
Hitler a ARRÊTÉ les cafards sataniques Rothschilds en Allemagne ( 1933 ), en Autriche ( 1938 ) et en France ( 1940 ) et a SAISI LEURS ACTIFS !!!
Hitler a INTERDIT la franc-maçonnerie ( les sbires des youpins ) en Allemagne, Autriche, France, Belgique, Danemark. Norvège, Hollande, Luxembourg et Pologne. ( Comme Franco l’a fait en Espagne & Mussolini en Italie ) :
Hitler A PROTÉGÉ L’ESPAGNE ( guerre ” civile ” espagnole 1936 – 1939 ) ET LA FINLANDE ( guerre d’hiver 1939 – 1940 ) DU COMMUNISME ( appelé BOLSHEVISME à l’époque ) !!
Hitler a ABOLI l’USURE !
Hitler A PROTÉGÉ L’EUROPE DU COMMUNISME PAR L’ATTAQUE PRÉEMPTIVE APPELÉE OPÉRATION BARBAROSSA !!!
Pour débarrasser la Russie des juifs Bolschéviks qui avaient déjà exterminé 1/4 de la population de l’Ukraine en 1921 et 33 par la famine soit 17 000 000 de morts sourcés ( journaux d’époques + charniers ). Beaucoup de ces photos de personnes maigres ont été utilisé pour accuser l’Allemagne en 1945, mais elles datent de 1921, 1933 & 1946
(https://gab.com/5x0yz3h9/posts/109568928823143657 ) !!!
SI Hitler était un franc-maçon ou un agent juif, il lui suffisait de continuer à suivre la politique de la République de Weimar pour dévaster COMPLÈTEMENT l’Allemagne et l’Europe !
Explication ÉTALON OR vs ÉTALON TRAVAIL :
” BEST UNCENSORED SOURCES ABOUT 卐 Adolf HITLER 卐 ” ©
https://odysee.com/@didi18:e/Pour-en-finir-avec-le-mythe-du-financement-couv-souple-s%C3%A9rie-normale:4 ( PDF – Fr )
⚡
” ✞ 卐 MEIN KAMPF MON COMBAT 卐 ✞ | PDF ” by Adolf ✞ HITLER ©
https://odysee.com/Mein-Kampf-Adolf-Hitler-fran%C3%A7ais:3
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…..Le pire tyran de tous les temps dan la Ville-lumière
Paris sous Hitler …. puis sous Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron
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Un supporter français dévoué, généreux et très intelligent m’a envoyé une copie de cette photo qu’il a prise lui-même du magnifique Opéra de Paris pendant la nuit :
Je connais bien ce bâtiment, appelé aussi le “Palais Garnier.” Le guide a été déconcerté par les détails que je connaissais par cœur de cette magnifique structure aryenne.
Nous nous sommes précipités, moi et l’entourage, à travers le divin Paris en seulement trois heures, craignant non le peuple français [qui n’avait guère voulu cette guerre-là de 1939-40 contre l’Allemagne] mais un assassin communiste dans cette capitale, qui avait été conquise juste il y a quelques jours — ou, tout aussi grave et tout aussi possible, un raid aérien surprise de la RAF britannique sur ordre du nouveau premier ministre britannique, le va-t-en-guerre Churchill.
Le mot évidemment s’est vite répandu : Hitler est à Paris !
Pour une fois une rumeur s’est validée. 😉
Dans l’Opera d’une beauté céleste
Albert Speer :
Nous avons traversé les vastes banlieues directement jusqu’à l’Opéra, le grand bâtiment néo-baroque de Charles Garnier. . . . C’était le bâtiment parisien favori d’Hitler et la première chose qu’il voulait voir.
Le colonel Speidel, délégué par l’Autorité d’occupation allemande, nous attendait à l’entrée.
Le grand escalier, célèbre pour ses volumes et ses ornements, le foyer resplendissant, l’élégant parterre doré, ont tous été minutieusement inspectés par le Führer et par moi, architecte.
Toutes les lumières brillaient comme elles le feraient lors d’une soirée de gala. Hitler s’était engagé à diriger le parti. Un préposé aux cheveux blancs a accompagné notre petit groupe à travers le bâtiment désert. Hitler avait en effet étudié avec beaucoup de soin les plans de l’Opéra de Paris.
Près de la loge de l’avant-scène, il trouva qu’un salon manquait, le remarqua et s’avéra avoir raison. Le préposé a déclaré que cette pièce avait été éliminée au cours de rénovations il y a de nombreuses années. « Voilà, vous voyez comme je m’y connais », commenta Hitler avec complaisance.
Il semblait fasciné par l’Opéra, s’extasiait de sa beauté, les yeux brillants d’une excitation qui me parut presque étrange.
Le préposé, bien sûr, avait immédiatement reconnu la personne qu’il guidait à travers le bâtiment.[…]
Ensuite, nous sommes passés devant la Madeleine, en bas des Champs Elysées, jusqu’au Trocadéro, puis jusqu’à la Tour Eiffel, où Hitler a ordonné un autre arrêt. De l’Arc de Triomphe avec sa tombe du Soldat Inconnu, nous sommes allés aux Invalides, où Hitler s’est tenu longtemps devant la tombe de Napoléon.
Hitler, devant l’énorme cerceuil de Napoléon, a promis devant son entourage de faire revenir en France le cerceuil de fils du grand Conquérant de l’Autriche, alors partie du Reich. Les Français semblent ignorer ce beau geste de sa part.
Enfin, Hitler inspecte le Panthéon, dont les proportions l’impressionnent beaucoup. […]
La fin de notre visite était la basilique du Sacré-Cœur à Montmartre […]
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Ici, Hitler est resté longtemps entouré de plusieurs hommes puissants de son escouade de gardes du corps, tandis que de nombreux fidèles l’ont reconnu mais sont passé de côté.
Après un dernier coup d’œil sur Paris, nous sommes retournés rapidement à l’aéroport. À neuf heures du matin, la visite guidée était terminée. «
C’était le rêve de ma vie de pouvoir voir — en toute sécurité, dans une ville bourrée de Juifs et de communistes — le magnifique Paris. Je ne peux pas dire à quel point je suis heureux d’avoir réalisé ce rêve.
Speer:
J’ai ressenti un instant comme de la pitié pour Hitler : trois heures seulement à Paris, la seule et unique fois où il pouvait le voir, l’avaient rendu aussi heureux alors qu ses triomphes militaires dont il se trouvait alors au faîte.
Je souhaite maintenant remercier les Français de la division Charlemagne de la Waffen-SS, qui ont combattu jusqu’à la mort le 30 avril 1945 devant la Chancellerie du Reich à Berlin, défendant ainsi le Bunker dans lequel je me trouvais de l’Armée rouge marxiste jusqu’à ce que je mette fin à cette incarnation.
J’ai beaucoup à remercier à certains Français nobilissimes d’antan et de nos jours.
Mon plus grand “influenceur” (neologisme) dans la psychologie des foules fut un Français que je lisais (en traduction) comme une Bible à Munich:
Et comment gagnerons-nous la prochaine fois ?
Par une religion qui unit tous les Blancs !
….et promet une vie meilleure à tous les non-blancs qui cherchent à être gouvernés par des vrais Aryens et protégés, eux, des monstrueux juifs !
..Je reste toujours touché par mes rencontres avec deux ennemis chevaleresques, un Français et un Anglais
Résumé de cette vidéo en anglais: DÉSARMÉ, étourdi et souffrant d’une commotion cérébrale, j’étais à la merci d’un soldat anglais – un guerrier qui avait déjà tué 19 Allemands le jour même et recevrait pour ses actes martiaux la plus haute médaille de vaillance de l’Empire britannique, la Croix de la reine Victoria….. Allait-il me montrer de la pitié?
Ce qui est tendancieux et typique pour le dénigrement sémitique d’Hitler à la fin de cette vidéo judéo-américaine, c’est que, moi, je aurais certainement baissé ma tête et fait un signal de ma main comme une salutation pour exprimer du fond de mon coeur ma profonde gratitude envers cet Anglais miséricordieux qui fut Henry Tandey !
Jamais je n’aurais juste souri légèrement pour me détourner de lui. (Tandey avait déjà tué, comme je dis et je le répète, 19 de mes compatriotes allemands ce jour-là, à Marcoing, en France, et allait obtenir la Croix de Victoria pour cela! Cet homme était un guerrier total qui n’hésitait point à tuer!)
Marcoing, ville celto-germanique tout comme ma Braunau natale en Autriche
La Wikipédia francophone ne dit mot sur cet incident majeur qui allait changer l’histoire du monde et qui se produit à Marcoing: https://fr.wikipedia.org/wiki/Marcoing, mais en anglais on le voit bien: https://en.wikipedia.org/wiki/Marcoing
.https://www.youtube.com/watch?v=wu0Z1eshtRU
La Croix de Victoria est visible à gauche lorsque nous lui faisons face. C’est la plus haute médaille britannique, comme la Congressional Medal of Honor aux États-Unis, ou la Pour le Mérite pour les Allemands pendant la Première Guerre mondiale, ou la Croix de chevalier avec épées, feuilles de chêne et diamants pour les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.
C’est vraiment lui qui a épargné la vie du caporal allemand Adolf Hitler à Marcoing, en France, en 1918. (Il ne pouvait pas se résoudre à tirer sur un soldat qui se remettait sur ses pieds après avoir été assommé par une explosion.) Regardez ça visage saxon résolu, les yeux bleus, le nez droit et le menton fort.
Voici un acteur aujourd’hui qui ressemble fortement à AH alors, sauf que son visage est trop étroit — et mes yeux, alors comme maintenant, sont bleu foncé, pas gris.
Ce poème de 1916 montre mon profond respect pour tous les hommes courageux et honorables qui ont combattu de tous les côtés.
Composé en Flandre française, dans la forêt d’Artois, printemps 1916
D’après une histoire vraie
[puis le poème réel vient]
Mon dessin pour illustrer mon poème
jusqu’à ce qu’ils arrivent aux avant-postes allemands.
Hitler en convalescence dans un hôpital de Berlin en 1916
Et lui dit avec un sérieux pressentiment :
Hitler après quatre ans au front
Quand un homme se voit
dans un autre homme,
Que Dieu soit avec vous!”
Fantassins français, “poilus”, dans les tranchées (reconstitution historique)
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….Hitler sur sa mère et toutes les mères
Cette poésie a été écrite par Adolf Hitler en 1923. Il dit ‘respecter son père, [Alois], mais aimer sa mère”, Klara, pleurant amèrement sur sa tombe lorsqu’elle mourut d’un cancer du sein, comme le rapporta le médecin de famille des décennies plus tard.
Poème d’Hitler sur
“La mère”
« Quand ta mère aura vieilli,
Quand ses yeux chers et fidèles
ne verront plus la vie comme autrefois,
Quand ses pieds, fatigués,
Ne voudront plus la porter en marchant »
Alors prêtez-lui votre bras en appui,
Escortez-la avec un plaisir heureux.
L’heure viendra où, pleurant, tu
devras l’accompagner dans sa dernière promenade.
Et si elle vous demande quelque chose,
alors donnez-lui une réponse.
Et si elle demande à nouveau, alors parlez !
Et si elle demande encore une fois, répondez-lui,
Pas avec impatience, mais avec un calme doux.
Et si elle ne peut pas vous comprendre correctement,
expliquez-lui tout joyeusement.
L’heure viendra, l’heure amère,
Où sa bouche ne demandera plus rien.
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…Je retrouve à Boston une jolie Francaise, réincarnée, qui avait été mon amante à Lille, occupée des Allemands, en 1916
traduction de https://johndenugent.com/english/have-you-had-a-supernatural-experience-tell-your-story/
Une de mes nombreuses expériences surnaturelles (et beaucoup d’entre nous les expérimentent mais trop de gens, par peur du ridicule, les gardent pour eux)….
Beaucoup d’entre nous ne divulguons pas le fait que nous avons eu des expériences «étranges», qui reflètent notre peur de se faire moquer.
J’en ai eu beaucoup, et remontant à l’âge d’un an et demi, quand j’ai lu à haute voix tous les ingrédients d’une bouteille de “AI Steak Sauce” à mes parents choqués depuis ma chaise haute – et ils ont arrêté de mâcher. MDR! (“Qui est cet enfant?”)
Ma mère, une artiste, m’a dit un jour :
“Vous avez de grands dons, et j’espère que vous les utiliserez à bon escient. Vous savez, John, votre père et moi étions debout au berceau après la naissance de Todd [mon jeune frère].
Todd fut un homme jovial et de bons moments, vu ici penché en arrière, la tête de profil sous la peinture. (Mort d’un cancer du cerveau à l’âge de 60 ans 🙁 )
C’est lui qui hisse à l’arrière une bière et porter une casquette de baseball
.
Et ton père a regardé Todd dans le berceau et a dit : « C’est un bon garçon, mais il n’y aura jamais d’égal à John. ”
Sur NBC Television’s Nightly News , en direct, le 11 juin 2009 juste après l’incident de la fusillade de James von Brunn le 10 juin 2009 au US Holocaust Museum : https://en.wikipedia.org/wiki/James_von_Brunn
Maintenant, cette expérience subtile mais surnaturelle que je vais raconter s’est produite en 1998, alors que je faisais la queue devant un guichet automatique à Boston, un guichet automatique juste dans la rue, et protégé par un toit vitré, situé à l’avant de une banque sur la très glamour Boylston Street dans le quartier de Back Bay à Boston.
Une jolie petite brune se tenait juste devant moi dans la file d’attente pour retirer de l’argent, et juste avant que ce ne soit son tour d’utiliser la machine, une vieille dame avec une canne a demandé de couper à travers la longue ligne afin d’entrer dans le porte d’entrée de la banque afin d’effectuer certaines transactions.
Boylston Street — l’arrondissement noble de Boston
Cette brune ouvrit la bouche et se contenta de dire à la vieille dame, d’une manière très amicale, un petit mot : “Bien sûr !”
Dès que ce mot “surrrre” en anglais est sorti de sa bouche, et cela s’entendait plutôt à “chüüüüre”, quelque chose a commencé à devenir fiévreux en mon for intérieur!
Après le passage de la dame avec la canne, cette brune juste devant moi dans le file s’est alors avancée et a fait sa propre transaction rapide au guichet automatique. Puis elle s’est retournée, se trouva brièvement face à moi, et elle a clignoté ses yeux d’un beau bleu profond, tout droit sur moi et parfaitement mis en valeur par un incroyable eye-liner.
Wow…
Je n’avais jamais vue cette jeune dame avant (enfin, du moins pas dans cette incarnation ! )
Quelque chose m’a pris en charge, puis des mots ont juste sauté de ma bouche, sont tombés de mes lèvres.
J’étais comme “possédé” et ne pouvais point hésiter.
Je lui ai dit ce qui suit, très impulsivement – je ne lui ai rien demandé , ni ne l’ai saluée avec une sorte de “HI!” ou “Bonjour” ou “Salut” toute ligne de ramassage amicale … et ce que j’ai dit, je lui ai dit malgré le fait qui nous nous trouvions dans la Boylston Street à Boston, dans les États-Unis anglophones — mais à ma surprise je les disais en français (cette langue ayant été ma sous-dominante à l’université Georgetown):
« Vous êtes de Lille !”
(Oui, de Lille, autrefois une grande ville industrielle du nord de la France.)
Un bel immeuble de bureaux à Lille
Elle en était stupéfaite.
“Ah ! OUI !” ….Euh,
tu es français ? Euh…
Vous êtes Lillois, vous ?!”
« Ah non, je suis Americain»
Moi dans les années 90
Eh bien, au fil de la conversation, elle s’est avérée être une jolie fille, cette Sophie Huissier. (Je révèle son vrai nom parce que c’est un nom très courant là-bas, comme “Jason Smith” ou “Tiffany Jones” ici.)
Cette fille est rentrée en France depuis longtemps, mais c’était en quelque sorte mon type, une jolie femme aux yeux bleus, avec de jolies courbes , d’environ 30.
Je la respectais aussi parce qu’elle avait déjà été en surpoids en raison de la privation émotionnelle de son enfance et d’un père trés méchant… mais elle avait perdu tout cet excès de poids.
Elle travaillait à l’époque dans un hôtel cinq étoiles de Back Bay, juste à la réception, où ils n’embauchaient que de jolies femmes de moins de 30 ans, comme elle me l’a dit (et puis, sans pitié, les propriétaires licencient ces femmes dans la trentaine comme elle se plaignait).
Sophie aimait la littérature, elle réfléchissait beaucoup aux problèmes du monde, et était tellement française dans tous les sens.
J’en suis aussi venu à l’admirer vraiment au fur et à mesure que je la connaissais, principalement pour avoir surmonté une enfance misérable, en particulier d’un père cruel qui l’a toujours “déprimée” et lui a incroyablement menti qu’elle était d’une manière ou d’une autre laide, grosse et stupide !
Pourtant, elle ne l’était pas du tout; c’était juste un bâtard psychopathe. Comment un père peut-il saccager L#estime de soi de sa propre fille ???
Je voulais aller le trouver en France et mettre ma botte de US Marine dans ses fesses. Horrible!
Elle était devenue une mangeuse excessive parce qu’elle avait cru les mensonges de son père pourri et qu’elle se sentait totalement mal aimée par lui (cette partie étant tragiquement véridique), et pourtant elle a repris sa vie en main, perdant les 20 kilos supplémentaires qu’elle avait pris. Puis elle a réalisé le rêve de sa vie de venir voir l’Amérique.
En fait, Sophie m’a lancé sur le long chemin qui a conduit à mon arrivée en France en 2004 (ou plutôt en arrière, puisque j’y ai passé 1914-18, mais dans des circonstances malheureuses), et je l’ai aidée à faire face au chagrin d’avoir eu un père sans amour.
Comme c’est terrible pour une gentille jeune fille d’avoir pour père un bâtard aussi cruel !
Chaque fille doit être adorable aux yeux de son propre père !
Ayant tant aimé mes propres deux filles, Erika et Ingrid (photo), toutes deux maintenant très réussies et toutes deux bien mariées depuis longtemps, j’ai trouvé les mots justes pour la réconforter et la féliciter pour son amaigrissement spectaculaire.
Erika et Ingrid
Alors maintenant, comment exactement pu “savoir” — et je l’ai bel et bien SU — qu’elle provenait de cette ville spécifique, donc de Lille? Elle n’avait dit en ma présence qu’un seul mot “sûr” – et ceci en langue anglaise!
À vous de me l’expliquer!
Je vous assure que ma maîtrise de la language française était à l’époque — et reste encore — assez avancée, et ceci accompagné d’un assez bon accent.
Il est assez bizarrement mélangé de l’allemand comme chez les Alsatiens qui sont encore germanophones; ce n’est pas l’accent de chewing-gum américain. Malgré cela, non, j’étais parfaitement incapable de deviner la ville de naissance de la jolie Sophie par son accent, surtout pas moyennant UN SEUL MOT en anglais !
Avait-elle été mon amante dans une autre vie ?
Oui, elle l’était — pendant la Première Guerre mondiale.
Ce n’était pas mon âme sœur à Boston, donc ça n’a pas duré longtemps, mais la dernière fois non plus, en 1916. Pourtant, elle était sympa…..
Mais l’autre fois, en 1916, elle avait reçu un petit souvenir de moi, soldat bavarois.
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Une aquarelle que j’ai faite à cette époque. Contrairement à d’autres soldats, étrangement, je ne buvais pas, je ne faisais pas de pute ou je ne jouais pas aux cartes. J’ai peint des aquarelles, écrit de la poésie et je lisais dans les oeuvres du philosophe allemand aux tendaqnces bouddhistes Arthur Schopenhauer. Bien sûr que je semblais un peu bizarre aux yeux de mes camarades.
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Le front approximatif entre les Alliés franco-britanniques et les Allemands 1914-18, avec un cercle autour de la ville de Lille, qui se trouvait derrière les lignes allemandes. Les trois batailles du saillant d’Ypres ont amené le caporal Adolf Hitler près de Lille : https://en.wikipedia.org/wiki/Military_career_of_Adolf_Hitler
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Wiki :
Il était fantassin dans la 1ère compagnie lors de la première bataille d’Ypres (octobre 1914),
.dont on se souvient en Allemagne sous le nom de Kindermord bei Ypern (Massacre des Innocents) parce qu’environ 40 000 hommes (entre un tiers et la moitié) de neuf divisions d’infanterie nouvellement enrôlées ont été tués en 20 jours.
Le régiment d’Hitler est entré dans la bataille avec 3 600 hommes et à la fin en a rassemblé 611. [ 5] Le commandant du régiment a été tué et par la suite ils ont été connus sous le nom de Regiment List en son honneur. En décembre, la propre compagnie d’Hitler de 250 a été réduite à 42.
Le biographe John Keegan affirme que cette expérience a poussé Hitler à devenir distant et retiré pendant les années de guerre restantes. [6]
Une photo d’identité militaire révélatrice…. C’était un permis d’armes à feu du caporal Hitler juste après la guerre ; c’était l’armée allemande qui l’avait envoyé vérifier un «Parti ouvrier allemand» (le DAP) à Munich, à la recherche d’un parti ouvrier de droite qui s’opposerait aux communistes, et non les rejoindre.
J’adorais, alors comme aujourd’hui, les brunes aux yeux bleus, comme ma mère d’alors, Klara, que j’adorais totalement. (Cette peinture parentale était accrochée au Berghof. Un Américain en Californie en est maintenant propriétaire.)
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…..Mon petit-fils aujourd’hui, PhilippeLoret, mon descendant en provenance une autre vie
Son père, qui fut en même temps mon fils, né en 1917, Jean-Marie Loret. Il avait 23 ans en 1940.
Moi
Une photo de mon amante qui est également de plus tard, Charlotte Lobjoie dans les Années trente
Ma peinture de cette aimable paysanne lilloise Charlotte en 1916, qui à mon avis doit être la lilloise Sophie de notre époque
Extrait:
Bien que Charlotte ait abandonné son fils [mi-allemand] pour adoption, Philippe dit que lui et elle ont été réunis à Paris pendant l’occupation de la France, qui a commencé en mai 1940.
Il dit également que des officiers allemands l’ont retrouvée jusqu’à son adresse à Paris et avaient l’habitude de lui remettre de l’argent.
Philippe dit : ˜Mon père a retrouvé sa mère par des officiers allemands pendant l’Occupation. Il a même passé une semaine à vivre avec elle dans son appartement. C’est alors qu’elle lui a dit que son père était Hitler, et non sur son lit de mort comme certains l’ont rapporté.
˜Mon père m’a dit qu’il avait entendu de sa mère comment les soldats allemands lui apportaient régulièrement de l’argent.
Cela ne l’a pas aidée à devenir riche, mais elle en a vécu.
[….] [Ma mère] m’a dit qu’Hitler était un amant doux et un bon amant, tout comme ma grand-mère disait.’
En savoir plus : (en traduc. rapide par Google]
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Par un de ces jours j’écrirai une lettre de salutation à ce brave Philippe Loret, maintenant à l’âge de 67, et moi ayant 69.
Lui et moi, tous deux des Non-Allemands, sont des symboles vivants de la multinationalité de la réincarnation — et de la compréhension et de l’unité des Blancs.
…..Certificat de mort d’un parent, mort pour la France en 1914
C’est le certificat de décès officiel d’un parent français tombé au cours de la Première Guerre mondiale en août 1914 ….
Bien qu’aristocrate, il s’est battu non comme un officier, comme était coutumier à son stand (considérer les nombreux noms avec le préfixe “von” dans l’histoire militaire allemande). Non, il s’est battu et est mort en tant que simple soldat altruiste.Malheureusement, contre l’Allemagne, mais en 1914 était l’illusion nationaliste de tous les peuples blancs qui ont été aveuglés par les Juifs et les francs-maçons.
Ma visite en 2004 au cimetière de Verdun, où 600 000 Allemands et Français sont tombés dans une guerre n’infligeant que les Juifs.
Sehr interessante Seite über Festungsanlagen und Gefechte um und bei Verdun:
https://www.verdunbilder.de/
Ein Detail der Geschichte, und zwar:
Original Kochofen – unter dem Kruzifix platziert wie ein Altar
https://www.verdunbilder.de/fort-douaumont/innenwerk-douaumont/
Ein Zeitzeuge spricht – und gemahnt uns:
“Die Menschheit ist verrückt geworden. Was für ein Massaker! Dieser Horror, dieses Gemetzel. Ich finde keine Worte, um meine Eindrücke wiederzugeben. So furchtbar kann nicht einmal die Hölle sein!”
Das notierte der französische Leutnant Alfred Joubaire am 22. Mai 1916 in seinem Tagebuch. Eine Woche später fiel auch er, mit gerade einmal 20 Jahren. In einem Abschlachten, dessen Ungeheuerlichkeit schon damals alle Vorstellungen überstieg. Joubaire war einer der über 300.000 Soldaten, die in der zehnmonatigen Schlacht um Verdun ihr Leben ließen.
Danke.
Keiner bleibt ungerührt nach einem Besuch Verduns.
Ich sah gestern ein Video über die furchtbaren, ganz neuartigen Aufputschmittel, die in der ukrainischen Armee gang und gäbe sind, wo die Gefallenzahlen riesig sind. Alle Müdigkeit, auch alle normalen Gefühle des Horrors, und auch des Anstandes als Soldat den Gefangenen und Zivilisten gegenüber werden mit Ami-Drogen aus CIA-Forschung chemisch überwunden. Auch merkt man kaum noch eine sehr schwere Verwundung und kämpft weiter für den Sieg der Juden.
Im übrigen war Verdun in der Zeit Karls des “Großen” der große jüdische Umschlagplatz für weiße Sklaven aus den slawischen Ländern. Da die meisten Slawen noch Heiden, also noch nicht bekehrt waren, und somit keine Christenwaren, besaßen sie keine Rechte in den Augen des frommen, katholischen Karls.
Also ließ er, selbst Judenfreund, die Juden Verduns ihr schreckliches Geschäft machen. Die Sklaven wurden nach Süden, nach Marseilles weiterverfrachtet, um in die arabisch-muslimische Länder zu gelangen — die weißen und oft blonden slawischen Frauen ab in die Harems, die Männer in die Galeeren oder Bergwerke.
In Verdun wurden auch männliche Sklaven mit einem besonderen Messer kastriert und zu Eunuchen gemacht.