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Robert FAURISSON 28 juillet 2012
En dépit de la répression le révisionnisme vaincra
Ce 25 juillet, à Paris, un juge d’instruction m’a notifié trois mises en examen qui concernent essentiellement ma participation à la conférence internationale de Téhéran sur « l’Holocauste ». Je rappelle qu’à cette conférence, qui s’est tenue les 11 et 12 décembre 2006, tous les participants sans exception, aussi bien les croyants que les contestataires de la nouvelle religion, ont pu librement faire entendre leurs arguments. Le 13 décembre 2006, Jacques Chirac, à l’époque président de la République française, avait dénoncé ma participation à ladite conférence et annoncé qu’il demandait à mon encontre l’ouverture d’une enquête judiciaire. C’est précisément cette enquête qui vient ainsi d’aboutir, cinq ans et demi plus tard, à ma triple mise en examen. Il faut comprendre que de pieuses associations ont entre-temps joint leurs propres plaintes à l’initiative de Supermenteur, lequel, tout à fait normalement, s’était ainsi porté au secours d’un Supermensonge en péril.
Par ailleurs, aujourd’hui même, 28 juillet, je reçois une convocation de la police judiciaire pour le 31 juillet. Renseignement pris, il s’agit d’un propos révisionniste que j’aurais tout récemment tenu sur Internet.
J’ai pour habitude de me rendre aux convocations d’un juge d’instruction ou d’un officier de police judiciaire mais jamais je ne réponds aux questions en dehors de celles qui portent sur mon identité. Même si le fonctionnaire renâcle, je lui fais toujours consigner dans le procès-verbal de l’interrogatoire ma brève déclaration rituelle : « Je refuse de collaborer avec la police et la justice françaises dans la répression du révisionnisme historique ». Auparavant je préviens l’intéressé qu’au cas où il refuserait d’inscrire cette phrase, je ne signerais pas le procès-verbal.
L’inéluctable victoire du révisionnisme
Sur le plan strictement scientifique et historique, la victoire des révisionnistes est déjà totale mais encore faut-il porter la nouvelle à la connaissance du grand public, ce qui n’est pas une mince affaire.
De toute façon, il existe nécessairement un considérable temps de retard entre le moment où se produit une découverte scientifique qui est renversante et le moment où, enfin, l’opinion publique se décide à accepter cette découverte. Autrefois ce pouvait être l’affaire de plusieurs siècles mais aujourd’hui, surtout grâce à Internet, deux ou trois générations pourraient suffire (de 66 à 99 ans après 1945 !). Un jour, des chercheurs venus de tous les horizons joindront leurs efforts en vue de publier sur Internet une interminable Encyclopaedia Universalis des mensonges de l’Holocauste, un immense Bêtisier de la Shoah, une vaste recension du faux et de la falsification chez « les vrais faussaires de l’Histoire ». Sources ou références à l’appui, on y découvrira les noms et les œuvres de ceux qui se sont déshonorés aussi bien par leurs mensonges, leurs calomnies, leurs faux témoignages que par leurs appels à la répression contre les révisionnistes. Les générations futures y verront sur pièces comment naît, vit et meurt un certain type de religion universelle essentiellement fondée sur la haine, la fraude et le lucre. Nul complot, nulle conjuration n’ont été nécessaires pour produire ces abjections holocaustiques ; ont suffi, d’une part, l’orgueil du vainqueur doté d’un pouvoir illimité, son aplomb, son cynisme, son goût de la vengeance, et, d’autre part, l’exploitation de la Bêtise, du Mensonge et de la Crédulité.
Sur les victoires jusqu’ici remportées par le révisionnisme et le plus souvent cachées au grand public, voyez dans le blog http://robertfaurisson.blogspot.com mes textes du 11 décembre 2006 (http://robertfaurisson.blogspot.it/2006/12/les-victoires-du-revisionnisme.html) et du 11 septembre 2011 (http://robertfaurisson.blogspot.it/2011/09/les-victoires-du-revisionnisme-suite.html). Dans ce dernier texte, intitulé « Les Victoires du révisionnisme (suite) », j’appelle l’attention du lecteur sur la section titrée « Le coup de grâce porté, le 27 décembre 2009, au mythe des ‘chambres à gaz’ nazies ». Il y est question de Robert Jan van Pelt, que je nomme parfois « le dernier des Mohicans de la cause exterminationniste ». Voilà un chercheur juif qui, de guerre lasse, a fini par reconnaître qu’il n’existe à Auschwitz, capitale de « l’Holocauste », aucune PREUVE d’une extermination des juifs mais seulement des « témoignages » (sic). Il préconise que sur le site tout entier d’Auschwitz et de Birkenau on laisse la nature reprendre ses droits. Autrement dit, si l’on comprend bien, les dizaines de millions de touristes ou de pèlerins qui se sont rendus sur les lieux ont été et continuent d’être abusés par une abondance de fausses preuves. Pour moi, les exploiteurs du mythe d’Auschwitz ne se moquent pas seulement des vivants ; ils se moquent aussi des morts dont les souffrances réelles sont ainsi reléguées au second plan pour laisser place à des récits fantasmagoriques nés de cerveaux malades et exploités par des filous.
Je le confirme ici : depuis le 27 décembre 2009, il ne s’est trouvé personne pour apporter une preuve scientifique à l’appui de cette cause qui s’est construite à la fois sur la trop réelle douleur des victimes et sur trop de « faits [non] établis » et, par conséquent, « destinés aux poubelles de l’histoire ». L’aveu est de Jean-Claude Pressac. Encore sous le coup de la déroute qu’il avait eu à subir lors de mon procès du 9 mai 1995, où nous avions, Me Eric Delcroix et moi-même, exigé sa comparution, l’homme a signé cet aveu un mois plus tard, exactement le 15 juin 1995, au terme d’un texte de près de quarante pages. Cette capitulation d’un ancien collaborateur du couple Klarsfeld a d’abord été tenue sous scellés pendant cinq ans. Puis, le texte nous en a été enfin révélé par Valérie Igounet en un petit caractère typographique et vers l’extrême fin de son ouvrage, Histoire du négationnisme en France, Seuil, 2000, p. 613-652.
Sic transit gloria turpis mendacii ! [Ainsi passe la gloire du honteux mensonge !].
L’imposture d’Auschwitz a fait son temps. Quant à la répression exercée par les imposteurs, elle est le signe que ces derniers sont à bout d’arguments. On leur demandait « une preuve, une seule preuve » à l’appui de leur terrible accusation : selon eux, pendant plus de quatre ans l’Allemagne aurait perpétré contre le peuple juif un crime sans précédent dans l’histoire de l’humanité et, durant toutes ces années, le reste du monde, à l’exception d’une poignée de « Justes », serait resté indifférent à cette horreur sans nom. En un premier temps, les imposteurs ont fourni une abondance de « preuves » qui, toutes, se sont révélées fallacieuses et cela à telle enseigne qu’en un second temps, dès 1979, il leur a fallu conclure qu’au fond il n’y avait pas lieu de prouver l’évidence ! Il ne restait plus qu’à frapper les récalcitrants et ils ont frappé. Ils l’ont fait aussi bien par la production d’ouvrages où la supputation le dispute à la spéculation, aussi bien par le cinéma que par le roman, aussi bien par le matraquage des esprits que par la violence physique et la force injuste de la loi. En pure perte. Le révisionnisme vaincra.
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