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POUR EN FINIR AVEC LA PROPAGANDE MENSONGERE, TROMPEUSE, ABSURDE ET STUPIDE SUR L’ORIGINE DES MUSIQUES NORD-AMERICAINES
A entendre les boniments des médias de l’Empire du Mal et donc ceux de la propagande juive sioniste et collaboratrice qui s’exerce partout, relayée par des esprits malveillants sur Wikipédia, l’encyclopédie en ligne bien connue pour sa judéophilie et sa complaisance envers le sionisme, ce sont les nègres qui auraient tout apporté musicalement à l’Amérique, les Blancs n’ayant fait que copier et interpréter les chants, les musiques et les danses négroïdes des esclaves, accompagnés des instruments musicaux de ces derniers ; cela fonctionne à merveille
puisque la grande majorité des Blancs (zombies) s’est encrassée ces fadaises au plus profond de sa matière grise !
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La réalité est tout autre et l’évidence historique le confirme ; l’Europe “chrétienne” colonise le continent américain à partir de la fin du 15e siècle (bien que les Vikings y aient déjà pointé le nez vers l’an 1000) en emportant avec elle ses traditions populaires musicales : celtique orale anglo-irlandaise d’une part, folklorique et classique de l’Europe continentale d’autre part (chants, musiques, rythmes, danses et instruments de musique), alors que les esclaves nègres seront déportés en Amérique du Nord avec les fers aux chevilles pour tout bagage, à 100% par leurs propres compatriotes et par des marchands juifs et arabes, entre les 17e et 19e siècles.
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Ces esclaves noirs africains sont déracinés, non pas afin d’apprendre aux Blancs à chanter, à danser, à jouer du piano, de la harpe, du violon, de la contrebasse, de la guitare, de la trompette, de l’accordéon, de l’harmonica, etc, etc, mais afin de travailler pour des propriétaires blancs en qualité de domestiques ou ouvriers agricoles. (Par la suite, certains esclaves noirs libérés sont véritablement devenus propriétaires terriens et eux-mêmes détenteurs d’esclaves). N’oublions pas, également, les Noirs nord-américains ont conservé certains noms de famille anglo-saxons que les anciens maîtres blancs leurs avaient attribués !
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A partir du milieu du 17e siècle, les colons blancs nord-américains encouragent fortement ou imposent à leurs esclaves leurs valeurs religieuses et culturelles (le premier baptême d’esclave eut lieu en 1641). Les propriétaires incitent fermement ou obligent leurs esclaves nègres à participer aux offices religieux dans les églises où les Blancs, rassemblés en chorales, pratiquent les psaumes, les sermons et les cantiques qui, par leur simplicité et leur authenticité, servirent d’outils à l’évangélisation en masse des esclaves nègres, cette évangélisation rencontrant un succès important parmi la population noire.
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A partir de là, les Blancs apprirent aux nègres à chanter dans les langues prédominantes des territoires colonisés nord-américains, le français et l’anglais, et plus tard à danser et à jouer des instruments de musique ; les Blancs leur enseignèrent, tout particulièrement, les hymnes religieux. Les nègres adaptèrent les mélodies religieuses des Blancs avec leur instinct primitif et en firent usage dans les champs de plantation pour se donner du courage ; voilà la vraie origine des chants religieux dits “negro spirituals” puis “gospels”, termes inventés par les juifs pour masquer ceux de psaume, sermon, cantique, hymne, etc. Ces mêmes juifs, depuis le début du 20e siècle et jusqu’à nos jours, ont la manie obsessionnelle et délétère de donner un nom, comme bon leur semble, à la matérialité musicale du moment (exemple
renversant : voir la liste aberrante des genres de « metal » toutes les grosses boites de disques mondiales étant, depuis l’avènement de l’enregistrement sonore, entre leurs griffes.
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Cette analyse de l’origine du gospel est applicable à tous les autres styles musicaux blancs adoptés par les esclaves et leurs descendants avec leurs sentiments négroïdes, ce qui produira des couleurs musicales négroïdes différentes et dépendantes des essences originelles musicales blanches (il n’exista point de nom spécifique donné aux musiques populaires avant l’accession de l’industrie du disque).
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C’est un pan entier de la gigantesque manipulation juive qui s’effondre. Celui qui croit encore aux bobards est celui qui refuse de voir. C’est un syndrome connu chez les lâches et les faibles qui préfèrent vivre avec un mensonge plutôt que d’affronter la peur de la réalité; il y en a beaucoup, car le monde blanc est devenu une société de couards et de crétins.
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Autre exemple caractéristique ; le premier enregistrement de jazz au monde de style dit “New Orleans” ou “Dixieland” apparut initialement à Chicago (USA) le 26 février 1917 grâce au fameux groupe” The Original Dixieland Jass Band” qui deviendra rapidement “The Original Dixieland Jazz Band” , avec le titre « Livery Stable Blues ».
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Dans le “French Quarter” de la Nouvelle Orléans
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Le mot « jass » étant l’une des expressions les moins flatteuses pour qualifier le jazz au début du 20e siècle, signifiant
littéralement la musique de cul. C’est pourquoi les créateurs du jazz ont abandonné ce terme très prosaïque pour l’époque. Immense formation fondée en 1916 à la Nouvelle Orléans, dont les membres originels furent Larry Shields (clarinette), Eddie Edwards (trombone), Henry Ragas (piano), Tony Sbarbaro (batterie), et Nick La Rocca (trompette) ; ils ratiquaient le jazz depuis de nombreuses années dans différents orchestres comme le “Papa Jack Laine’s Reliance Brass Brand” avec une large panoplie de musiciens qui seront les pionniers du jazz dit new orleans ou dixieland.
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Cathédrale de Saint Louis en Nouvelle Orléans
Nous devons à cette formation les plus grands standards de jazz tel le plus grand parmi les plus grands « Tiger Rag » enregistré le 17 août 1917 (l’envers du disque fut Dixie Band Jass One Step), écrits par Nick La Rocca. C’est l’une des compositions les plus enregistrées de tous les temps à tel point que cet enregistrement a été mis sur la bibliothèque du Congrès américain en 2003. Autre version de « Tiger Rag » enregistrée le 9 février 1936.
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Carte postale de 1918
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Des spécialistes de la ville de Lyon, en France, grands amateurs et collectionneurs de jazz “New Orleans”, affirment que cette musique est née en réalité en Europe et tout particulièrement en Grande-Bretagne, dans un kiosque à musique pour fanfares. Pas moins de 2300 orchestres ont existé dans ce pays.
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1906 – L’une des formations de Papa Jack Laine (assis) : Manuel Belasco et Giuseppe Alessandra,
(debout) : Dave Perkins, Vincent Barocco, Sidney Moore, Pete Pelegrini,Freddie Neuroth et le chef Papa Jack Laine
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George Vetiala (1873-1966) alias George Vital Laine, alias Papa Jack Laine était un chef d’orchestre et batteur, l’un des pionniers du jazz ; il n’était pas techniquement un musicien de jazz lui-même, mais il était un découvreur de talents de maître. Sa carrière remonte à son adolescence car il forme son premier groupe en 1888 à l’âge de 15 ans et quelques années plus tard il fonde et dirige le Brass Band Reliance à la Nouvelle Orléans, groupe qui dura plus de quatre décennies. Il a créé au moins cinq autres orchestres plus ou moins avec le même nom, travaillant tous simultanément. Il se retire en 1920. Plus de 100 musiciens de haut niveau sont passés dans ses groupes.
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1921 – Tom Brown’s Band From Dixieland, USA. Steve Brown (contrebasse), Tom Brown (trombone), William
Lambert (batterie), Ray Lopez (cornet), Arnold Loyocano (guitare), Paul Mares (cornet), Gus Meuller (clarinette),
Yellow Nunez (clarinette), Larry Shields (clarinette).
1922 – Ted Lewis And His Band, USA. Frank Lhotak, Harry Raderman, Frank Ross, Ted Lewis, Harry Barth, John
Lucas, Dave Klein, Walter Kahn. Diffusion à l’Union Trust Co.’s, station de radio de Cleveland, dans l’Ohio, le mardi 24
octobre 1922 à 19 heures.
1922 – The New Orleans Rhythm Kings, USA. Léon Roppolo, Jack Pettis, Elmer Schoebel, Arnold Loyacano, Mares
Paul, Frank Snyder, Brunies George.
1923 – The Savoy Orpheans, Londres, Angleterre.
1924 – Rumolino’s Hot Boys Band, France. —- Dalh (Américain), Tony Rumolino (Italien), —- Jalouseau (?)
(Français), Clarence J. Gransie (Américain), Paul Gason (Belge), Billy Thorburn (Anglais).
1924 ou 1925 – Carlyle Stevenson’s Bon-Ton Ballroom Orchestra, USA.
1925 – The London Savannah Band, à Southport, Angleterre. Premier orchestre de Billy Cotton.
De même, le jazz funeral, processions funéraires musicales de la ville de la Nouvelle Orléans,
imputé encore et toujours arbitrairement au nègre alors que nous savons pertinemment que
l’origine du jazz funeral est italienne, depuis des lustres, avec les fanfares (cuivres, vents et
percussions) qui escortaient les morts ; la ville de la Nouvelle Orléans avait la plus forte
concentration de Siciliens de tous les Etats-Unis, cela explique le jazz funeral dans cette ville,
processions qui seront passablement calquées par les Noirs pour leur propre compte. Voir aussi
l’oeuvre d’Hertor Berlioz (1803-1869), “La Grande Symphonie Funèbre et Triomphale”, pour
une cérémonie funèbre qui eut lieu le 28 juillet 1840 en France, à Paris, avec une grande
fanfare militaire de 200 musiciens, cortège funèbre passant par la Concorde, la Madeleine et
les Grands Boulevards.
Tout comme on nous fait croire que le chanteur interprète Elvis Presley (1935-1977), que les
juifs de RCA ont pressé comme un citron et manipulé à souhait, a inventé le rock’n’roll et le
rockabilly (genres de musiques populaires rythmées dues à l’évolution naturelle de l’art
musical blanc dans le temps qui, pour la première se profile dans les années 1930 et pour la
suivante se dessine dans les années 1940) ; il y aura assurément et parallèlement à tous ces
rythmes créés par les Blancs, de médiocres dupliqués négroïdes. En outre, la presque totalité
des instruments de musique est d’origine européenne ce qui prouve indéniablement que les
Blancs n’ont pas attendu les nègres pour en user !
The Maddox Brothers and Rose, véritables précurseurs du rockabilly parmi les milliers de
groupes blancs de l’époque.
1933-11-04 – From the Oakland Tribune, Californie, USA.
1947 – Mean And Wicked Boogie
1947 – Milk Cow Blues
1949 – George’s Playhouse Boogie
1949 – Honky Tonkin
Au départ, afin d’imiter les Blancs, les Noirs montèrent des orchestres avec des instruments
hétéroclites faits de bric et de broc donnant des bruits de klaxons et de brouhahas d’animaux
se qui ressemblait plus à un tintamarre qu’à de la véritable musique. Beaucoup plus tard,
comme toute exception qui confirme la règle, il existera des chansons écrites par des Noirs
nord-américains puis reprises par des Blancs, telle “Saint Louis Blues” attribuée à tort au Noir
Louis Armstrong (1901-1971), mais composée (?) par le Noir Williams Christopher Handy
(1873-1958) (il reste à prouver que celui-ci ne se soit pas inspiré d’une vieille chanson blanche
oubliée, les Noirs étant coutumiés du fait !). Le groupe “The Original Dixieland Jazz Band”
en fit un grandiose standard de jazz en 1921 alors que Louis Armstrong plagiaire notoire
——– comme, dans un tout autre genre d’événements, le juif *Albert Einstein (1879-1955)
qui pilla les recherches et les découvertes (optique, calcul infinitésimal, théorie du chaos et
théorie de la relativité) de Henri Poincaré (1854-1912) mathématicien, physicien et
philosophe français mais aussi celles de Isaac Newton (1643-1727), Jakob Lorber (1800-
1864), Gottfried Mayerhofer (1807-1877), Olinto de Pretto (1850-1921), Hendrick
Antoon Lorentz (1853-1928) et d’autres encore ——– l’enregistra sur la conception du
célèbre groupe blanc qu’en 1929, et ne se priva pas de puiser abondamment dans le riche
répertoire de cet extraordinaire orchestre légendaire.
En 1950, Dominic James “Nick La Rocca ou Nick LaRocca (1889-1961), écœuré et
scandalisé par les racontars de certains médias aux Ordres, déclara publiquement haut et fort
qu’il était l’inventeur du jazz et que ceux qui prétendaient que la musique avait des origines
nègres faisaient partie d’un complot communiste. Cet immense créateur, compositeur et
musicien, était déjà très près de la Vérité, car le complot est précisément judéo-sioniste – qui
utilise l’inversion accusatoire comme une arme de propagande massive au service du sionisme
et d’Israël. Nick La Rocca forma son premier orchestre en 1908. De 1910 à 1916, Nick La
Rocca jouera dans diverses formations comme le Papa Jack Laine’s Reliance Band. Il
composera d’autres grands standards de jazz comme At The jazz Band Ball, Fidgety Feet,
Original Dixieland One Step, Clarinet Marmalade, Sensation Rag, etc…
*Einstein, Marx et Freud, les pieds nickelés de l’histoire juive.
1891 – Girolamo La Rocca avec ses enfants Antonia, Nick sur les genoux de son père, Maria et Rosario, Nouvelle
Orléans, USA.
1910′s – Nick La Rocca, USA.
1915 – Nick La Rocca, USA.
Nick La Rocca « avant et après », USA.
1960 – Nick La Rocca quelques temps avant sa mort, USA.
Les médias judéo-sionistes de l’Empire du Mal occultent totalement et systématiquement les
centaines de milliers d’artistes blancs de boogie woogie, de blues et de jazz entre 1859, année
du tout premier enregistrement de voix au monde par le Français Edouard-Léon Scott de
Martinville (1817-1879) et 1959, année de l’arrêt de mort programmé par la juiverie sioniste
internationale de toutes les créations musicales nobles et passionnantes conçues durant des
siècles par les Blancs au profit de sons à caractères sémites et négroïdes. En 1877 Charles
Cros (1842-1888), savant et poète français, imagine un système capable d’enregistrer le son
sur un disque ou un cylindre.
Conclusion : Ce sont bien les Blancs qui ont tout inventé, créé, et non les Noirs, qui se sont
pastichés des valeurs musicales des premiers et qui n’ont rien imaginé ; les Blancs, d’une
intelligence prodigieusement supérieure, sont aptes à singer un nègre à l’identique tandis que
l’inverse est difficile à concevoir, voir même assurément et foncièrement impossible. Les noirs
sont incapables d’assurer leur survie quotidienne sans l’aide intensive des Blancs ; citons le
témoignage sans appel du célèbre prix Nobel de la paix, le Docteur Albert Schweitzer (1875-
1965), extraits de From My African Notebook (1961) : “J’ai donné ma vie à offrir aux Africains
les avantages de notre civilisation, mais j’ai finalement bien compris que les statuts ne
changeront pas : Blancs, supérieurs, Noirs, inférieurs ; à chaque fois qu’un Blanc souhaite
vivre avec eux comme un égal, ils vont soit le détruire, soit s’engouffrer dans son être et ils
détruiront tout son travail. (…) Ils n’ont pas les facultés intellectuelles, ni mentales, ni
émotionnelles, pour égaler les Blancs ou pour partager avec eux d’une manière égale
n’importe quelle fonction de notre civilisation. (…) N’oubliez jamais que vous êtes le maître et
que ce sont des enfants. (…) Ne fraternisez jamais avec eux comme un égal, ne les acceptez
jamais comme vos égaux sociaux ; ou ils vous dévoreront ; ils vous détruiront”.
Epilogue : Quelqu’un peut-il expliquer, lorsque les Noirs africains, en voie d’extinction, étaient
entièrement autonomes dans leur existence parmi les magnifiques forêts du continent africain,
pourquoi n’ont-ils pas inventé les genres musicaux gospel, negro-spiritual, blues, jazz, boogie,
etc, avant les Blancs ? ; voici la seule réponse : tout simplement infaisable puisque inaptes et
ineptes. D’autre part, si les Blancs n’avaient pas secouru les Noirs, et cela continue encore et
toujours aujourd’hui, dans leur subsistance vitale, ces derniers auraient disparu de la surface
de la Terre ! ! ! !
Evaluant le nègre, voici une confirmation du célèbre diplomate et écrivain français Comte
Joseph Arthur de Gobineau (1816-1882) : “(…) l’absence des aptitudes intellectuelles le
rend complètement impropre à la culture de l’art, même l’appréciation de ce que cette noble
application de l’intelligence des humains peut produire d’élevé. Pour mettre ses facultés en
valeurs, il faut qu’il s’allie avec une race différemment douée…” Comte de Gobineau, “Essai
sur l’inégalité des races humaines”, livre II, chap. VII, 1ère édition 1853-1855).
Dans la même veine, nous avons de nombreuses autres intoxications adipeuses telles les
véritables responsables de la guerre de Sécession, de la première guerre mondiale, de la
deuxième guerre mondiale, la désinformation sur la réalité des chambres à gaz homicides
allemandes, les tenants et les aboutissants de l’attaque japonaise sur Pearl Harbor le 7
décembre 1941, les véritables aspects des attentats du 11 septembre 2001, etc, etc… ! Le juif
sioniste est derrière toutes les saloperies perpétrées dans le monde ; le juif est un
opportuniste qui profite de l’intensité naturelle de notre race pour en saisir la substance à son
profit.
Depuis la fin des années 1950, l’Empire du Mal nous dissimule insolemment ou sème la
suspicion sur les anciennes musiques blanches nord-américaines dans la seule intention de
nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Les assassins de la Mémoire nous
ressassent strictement et à outrance la diffusion de gospel, blues, jazz ou autres styles,
exclusivement de types négroïdes et sémites dans le but de nous faire gober à l’incompétence
des Blancs en la matière ; ce genre d’annonce, que dis-je, effet d’annonce, n’atteint que les
faibles, les esprits chagrins, les gens de peu de foi en leurs capacités morales et intrinsèques.
Le rap est un ramdam insupportable sinon carrément vomitif ouvertement provocateur et
pernicieusement subversif que l’Empire du Mal nous impose sur toutes les chaînes médiatiques
judéo-sionistes, 24 sur 24 ! Les argousins de la pensée, les adeptes du mensonge, de la
désinformation et de la médiocrité, les collabos, les faux-derches et les abrutis de service sont,
là, cloués au pilori…! Nous assistons à une immobilisation mortifère de la créativité musicale et
l’inhibition des talents de race blanche ; l’Empire du Mal, au paroxysme de sa perversion,
s’acharne à détruire les supports musicaux du début du 20e siècle concernant de précieuses
archives sonores d’artistes blancs que je qualifie d’œuvres d’art incomparables. L’affaire
Megaupload (qui n’est que l’amorce funeste d’une vaste offensive d’éradication de sites web
qui ne sont pas encore sous contrôle hébraïque) est une autre illustration de la volonté
criminelle de l’Empire du Mal de mettre un terme à la libre recherche d’information non-
conformiste.
«La libre pensée est exigeante, car elle suppose un effort pour penser par soi-même, alors que
nous sommes gavé de prêt-à-penser.»
«L’axe américano-sioniste a phosphorisé les enfants allemands, atomisé les enfants japonais,
traité les enfants vietnamiens à l’agent orange et les enfants irakiens à l’uranium appauvri. Il
est temps que les vaincus, les humiliés, les offensés répliquent par ce que j’appelle depuis
longtemps “l’arme atomique du pauvre”, c’est-à-dire par le révisionnisme historique ; cette
arme-là ne tue ni ne mutile personne ; elle ne tue que le mensonge, la calomnie, la
diffamation, le mythe de la “Shoah” ainsi que l’abject Shoah-Business, cher à Bernard Madoff,
à Elie Wiesel, à la cohorte des “miraculés” et aux assassins des enfants de Gaza» Professeur
Robert Faurisson.
Amitiés indéfectibles à Vince, Denis, Cécile et Adena pour leurs enthousiasmes et leur passion
à faire connaître quelques vérités.
Cattos
Parmi des centaines de milliers d’artistes blancs populaires :
Jimmie Rodgers (1897-1933), l’un des plus talentueux chanteurs-compositeurs-musiciens de
blues. C’est le premier véritable soliste de cette musique. Sa figure légendaire a suscité un
véritable culte, dont il créera beaucoup de vocations aussi bien auprès des Blancs que des
Noirs.
1928 – Never No Mo’ Blues
1930 – Waiting For A Train – Daddy And Home – Blue Yodel
Adrian Rollini (1903-1956)
1927 Magnolia
1934 – Tiger Tag
Art Gunn
1948 – Boogie Woogie Blues
Bill Boyd (1914-1977)
1937 – Guess Who’s In Town
Bill Haley (1925-1981)
1951 – Green Tree Boogie
1952 – Sundown Boogie
Bix Beiderbecke (1903-1931)
1920′s – Clarinet Marlade
Bob Skyles
1938 – That’s All There Is
1930′s – Music Of The South
Bob Wills (1905-1975)
1932 – Osage Stomp
Carolina Cotton (1925-1997)
1944 – I love To Yodel
Cindy Walker (1918-2006)
1944 – TI-Yi Yippee-Aye
Cliff Bruner (1915-2000)
1930′s – Kangaroo Blue
1930′s – That’s What I Like About The South
Curley Hickson
Hart’s Bread Boogie
Delmore Brothers (Alton (1908-1964) & Rabon (1916-1952)
1940′s – Freight Train Boogie
1949 – Pan American Boogie
Ella Mae Morse (1924-1999)
1942 – Cow Cow Boogie
1945′s – House Of Blue Lights
Gai Moran & Danny Hocktor
1941 – Zig Me Baby With A Gentle Zag
Gene Krupa (1909-1973) & Barbara Stanwyck (1907-1990)
1941 – Drum Boogie
Halfway House Orchestra
1920′s – Maple Leaf Rag
Hank Williams (1923-1953)
1947 – Move It On Over
1947 – Rootie Tootie
1948 – I Saw The Light
1951 – Hey Good Lookin
Jerry Lee Lewis (1935)
1957 – Whole Lotta Shakin’ Going On
Joe Maphis (1921-1986)
1958 – Town Hall Boogie
Louise Massey (1902-1983)
1930′s – Sweet Mama Tree Top Hall
1940′s – Billy Boy
Lynn Pratt (1927)
1959 – Tom Cat Boogie
Malcolm Yelvington (1918-2001)
1955 – Drinkin’ Wine Spodee-O-Dee
1955 – Yakety Yak
Merrill Moore (1923-1957)
1955 – Down The Road Piece
1955 – Cow Cow Boogie
Milton Brown (1903-1936)
1936 – Yes Sir !
New Orleans Owls
1927 – West End Romp
Miff Mole (1898-1961)
1920′s – The Darktown Strutters Ball
Ocie Stockard (1909-1988)
1930′s – Bass Man Jive
Original Indiana Five
1923- Beside A Babbling Brook
Original Memphis Five
1920′s – Fireworks
Roy Newman (1899-1981)
1935 – Dinah
1930′s – Everybody’s Trying To Be My Baby
1937 – Graveyard Blues
Sonny Burgess (1931)
1956 – We Wanna Boogie
1956 – Red Headed Woman
Spade Cooley (1910-1969)
Miss Molly
The Bobcats
1951 – Muskrat Ramble
1951 – The Savoy Blues
The Modern Mountaineers
1937 – Everybody’s Truckin’
The Tennessee Tooters
1925 – Hot Hot Hottentot
Thelma White (1910-2005)
1940′s – Hollywood Boogie
Wayne McGinnis (1932)
1956 – Rock, Roll And Rhythm
1956 – Lonesome Rhythm Blues
Werly Fairburn (1924-1985)
1956 – My Heart’s On Fire
Will Bradley (1912-1989)
1942 – Basin Street Boogie
SOUNDIES (collection haute définition)
Nota bene : Cliquer sur les hyperliens soulignés et en italique dont quelques uns de couleur
rose (exemple) indiqués
ci-dessus
ou
sur
les
pages
supérieures. Ces quelques
documents audiovisuels ont été sélectionnés à titre aléatoire parmi un nombre incalculable de
références. Certains hyperliens peuvent devenir inactifs. Internet, le dernier bastion pour la
libre expression de la Vérité, s’amenuise comme une peau de chagrin sous les coups de boutoir
de l’Empire du Mal.
Fin.
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