FRENCH Entrevue avec Hervé Ryssen pour la revue Barnes — la race des seigneurs incestueux

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….FÊTE NATIONALE AUJOURD’HUI AUX ÉTATS-UNIS/HAPPY INDEPENDENCE DAY!

LE JOUR DE GLOIRE VIENDRA!

….ENTRETIEN POUR LA REVUE BARNES DE WASHINGTON MENÉ PAR MARGARET HUFFSTICKLER AVEC LE CÉLÈBRE ECRIVAIN FRANCAIS

1) Hervé Ryssen bonjour. Entre 2005 et 2010, vous avez publié six gros livres sur le judaïsme. Nous sommes dans l’âge de la Toile, des vidéos et des blogs. Mais vous persistez à écrire des livres. Pourquoi ? Est-ce que la jeunesse française lit encore?

HR : Bonjour chers amis américains. De 2005 à 2010, j’ai effectivement publié six gros livres sur le judaïsme, qui sont le fruit de mes recherches sur le sujet. C’est en 2004 que j’ai commencé à lire systématiquement des livres écrits par des intellectuels juifs : des philosophes, des sociologues, des romanciers, des historiens, etc. Je me suis aperçu que leur pensée était extraordinairement homogène. Qu’ils soient juifs religieux ou athées, libéraux, socialistes ou communistes, sionistes ou “parfaitement intégrés”, j’ai retrouvé à toutes les époques, et quelle que soit la nationalité et la langue d’origine, les mêmes idées, les mêmes paradoxes, la même espérance messianique.

Au fur et à mesure que j’avançais dans mes lectures, je classais en chapitres tout ce qui correspondait à un même sujet. Après avoir terminé le premier livre, en septembre 2005, j’ai simplement constaté qu’il restait beaucoup de choses à dire, et j’ai continué à me documenter… jusqu’à ce que je comprenne que j’avais fait un tour complet de la question.

Tous mes livres sont ainsi très documentés, et inattaquables. D’ailleurs, aucun n’a fait l’objet de poursuites judiciaires. Il était donc nécessaire de taper très fort, et de faire un vrai travail de recherche. En France, depuis de longues décennies, les seuls livres « judéo-sceptiques » disponibles reprenaient de vieilles citations des années trente et n’expliquaient de toute manière jamais le projet politique global du judaïsme, ni la nature pathologique de cette secte. Il y avait donc un gros travail d’analyse et de réactualisation à accomplir. Je crois que le message est passé, puisque j’estime qu’au moins une quinzaine de milliers de personnes (au bas mot) a au moins lu un de mes livres. Et je sais aussi que la lecture d’un seul de ces livres a tendance à rendre le lecteur fanatique ! En quelques années, ce n’est pas si mal. Je pense ici à Freud, qui n’avait vendu que 700 exemplaires de son premier livre après une dizaine d’années.

2) Depuis des lustres les écrivains et activistes “antisionistes” parlent et s’accordent sur la haine des Juifs pour les goys. Mais selon vous les Juifs n’ont pas uniquement des sentiments, ressentiments et attitudes négatives envers les goys. Mais également un plan politico-religieux. En quoi consiste ce plan?

Pour comprendre et expliquer le judaïsme, il faut toujours partir de cette idée que les juifs sont obsédés par la « paix » sur terre (« shalom »), dont parlent leurs prophètes. C’est parce qu’ils sont convaincus que lorsque la paix régnera sur toute l’humanité, leur messie arrivera enfin et instaurera le nouveau royaume de David, qui consacrera leur domination absolue. Pour parvenir à cette paix, il faut, selon eux, supprimer toutes les sources de conflits, c’est-à-dire toutes les différences qui peuvent être des sources de conflits entre les hommes. Les doctrinaires juifs qui ont donné naissance au communisme voulaient abolir les classes sociales, en plus des religions, des frontières et des nations. Le mondialisme actuel entend supprimer les races, métisser l’humanité et instaurer un gouvernement mondial. Et le féminisme, qui est lui aussi d’essence juive, entend abolir les différences entre les sexes. Nous voyons qu’il s’agit d’un seul et même projet de « pacification » de l’humanité. Chaque juif travaille quotidiennement à accomplir ce projet. Quand il ne restera plus rien sur terre, que des individus sans racines, sans races, sans religion, sans identité aucune, sinon celle d’un simple consommateur, les juifs, qui auront su garder leurs traditions, seront reconnus par tous comme le « peuple élu de Dieu ». Le judaïsme est donc d’abord et avant tout un projet politique d’unification mondiale. C’est aussi, comme on le voit, une machine de guerre contre le reste de l’humanité.

ryssen-psychanalyse-du-judaisme Il est très rare qu’un intellectuel juif exprime clairement cette idée, qui forme pourtant le fond de leur pensée. Mais avec la puissance que les juifs ont acquis ces dernières décennies, certains se sentent plus hardis et arrogants, et ils ont parfois des mots qui leur échappent, surtout dans les romans publiés chez des petits éditeurs et destinés aux seuls membres de la communauté. C’est là que l’on trouve les plus belles perles. Celle que nous avons découverte dans le numéro d’avril 2003 d’Israël Magazine est trop belle pour ne pas être mentionnée. Il s’agit pourtant d’un magazine mensuel en couleurs et vendu en kiosques. Le docteur Itzhak Attia, “directeur des séminaires francophones à l’École Internationale pour l’Étude de la Shoah de l’Institut Yad Vashem”, tient ici des propos très explicites, d’une clarté peu commune chez les intellectuels juifs :

« Même si notre raison nous crie de toutes ses forces l’absurdité de ce face à face entre un tout petit peuple aussi insignifiant que le peuple d’Israël et le reste de l’humanité, écrit-il,… aussi absurde, aussi incohérent, aussi monstrueux que cela puisse paraître, nous sommes bien engagés dans un combat intime entre Israël et les Nations qui ne peut être que génocidaire et total, parce qu’il en va de nos identités respectives. » Vous avez bien lu : entre le peuple juif et le reste de l’humanité, le combat ne peut être que « génocidaire et total ». Les juifs suscitent donc inévitablement une haine qui s’avère être aussi vieille que le judaïsme lui-même.

3) Quelles sont, selon vous, les principales caractéristiques de l’esprit juif ?

Si l’on se place du point de vue du téléspectateur, on note en premier lieu que l’histoire du judaïsme est une succession de drames. De la sortie d’Égypte à Auschwitz, en passant par la destruction du Temple et les ravages des Cosaques, les juifs n’ont de cesse de vouloir donner au monde entier l’image d’une communauté persécutée. Maintenant, si l’on regarde de près en disséquant les textes, je puis vous affirmer qu’il y a un immense orgueil d’appartenir au Bernard+Henry+Levy “peuple élu” et un mépris non moins grand pour les cultures traditionnelles des goys. Bernard- Henri Lévy, Emmanuel Levinas ou Alain Minc nous ont déjà déclaré leur dégoût pour nos cultures enracinées. Il faut associer à cela un profond désir de “vengeance” (c’est un thème lancinant) et une foi absolue en la victoire finale. Cet état d’esprit est parfois enrobé dans une phraséologie égalitaire prônant la “ tolérance”, les “droits de l’homme”, la “fraternité universelle”. D’autre fois, les choses sont exprimées avec beaucoup plus de franchise.

4) Votre deuxième livre s’intitule “Psychanalyse du judaïsme”. Pourriez-vous nous dire en quoi la singularité juive devrait-elle faire l’objet d’une « psychanalyse » ?

ryssen-mafia-juive Après la rédaction des Espérances planétariennes, je constatais, sans pouvoir l’expliquer, ce qui me semblait relever d’une “anormalité”. Je pense notamment à ces ahurissantes dénégations des intellectuels juifs au sujet du rôle de leurs coreligionnaires dans le régime bolchevique. La vérité, ainsi que l’a montré Soljénitsyne, est que de très nombreux doctrinaires, fonctionnaires et tortionnaires juifs ont joué un rôle absolument accablant dans cette tragédie qui reste, avec ses trente millions de morts, le crime le plus effroyable de l’histoire de l’humanité. Et pourtant, la quasi totalité des intellectuels juifs refusent toujours d’endosser leurs responsabilités et de faire leur mea culpa. Leurs invraisemblables contorsions pour nous prouver le contraire sont hallucinantes de culot. On peut retrouver ces dispositions à nier les évidences, à inverser les rôles et finalement à retourner l’accusation dans quelques autres cas : on pense par exemple au rôle de certains juifs influents autour de George Bush dans le déclenchement de la guerre contre l’Irak en 2003, ou encore à celui de gros négociants dans la traite des Noirs. Que dire encore de cette “mafia russe”, dont on nous a tant rebattu les oreilles, et qui n’a de russe que le nom ? A côté de ces sujets délicats, systématiquement occultés, les médiats grossissent démesurément le moindre incident qui parait relever de l’antisémitisme, provoquant à intervalles réguliers “l’émoi dans la communauté”. Il y a en effet dans cette communauté une fragilité émotionnelle, un besoin de dramatiser qui prend parfois l’aspect d’une paranoïa pure et simple. A côté de cela, on note aussi une grande nervosité dès lors que “la communauté” est critiquée. Le diagnostic médical insiste sur cette “grande intolérance à la frustration”. Le fait est que l’âme juive est pathologique. Nombre d’intellectuels juifs (comme Philipp Roth, entre autres), nous ont confié leurs angoisses. Les uns et les autres parlent de ce « mystère » du judaïsme sans comprendre la nature du mal qui les mine. Le judaïsme est pour eux une « énigme » qu’ils ne parviennent pas à résoudre. Bernard-Henri Lévy parle de « l’une des plus profondes énigmes qui se posent à la conscience contemporaine. » Il faut dire que leur situation est unique dans l’humanité. La vérité est qu’ils se sentent parfois tout de même bien seuls dans ce monde. Mettez-vous à leur place : depuis des siècles, ils ont été expulsés de la quasi totalité des pays où ils s’étaient installés, et à côté de cela ─ ils n’en démordent pas ─ ils sont persuadés d’être le « peuple élu » de Dieu et d’avoir une « mission » à accomplir sur cette terre. Elie Wiesel évoque encore « la dramatique solitude de ce peuple à vocation universelle. »

5) Et à quoi correspond, selon vous, ce « mystère » du judaïsme ? Et surtout : quel rapport avec la psychanalyse ?

Freud avait déjà réfléchi à la question en son temps, en étudiant son cas personnel, mais en projetant ses découvertes sur le plan “universel”. La “projection”, il faut le savoir, est en effet un concept freudien, pour ne pas dire typiquement judaïque. Nous avons déjà vu cette tendance de fond à systématiquement inverser les rôles et à retourner les situations. C’est ce qui explique pourquoi les intellectuels juifs, dans leur ensemble, accusent les antisémites d’être des « malades mentaux ». Voyez ce qu’a déclaré Abraham Foxman, le président de la ligue antiraciste américaine, au sujet de Mel Gibson, le réalisateur de La Passion du Christ, qui avait tenu des propos jugés « antisémites » sous l’emprise de l’alcool, avant de s’excuser auprès de la communauté juive sous l’effet d’on ne sait quelles pressions : « Qu’il soigne son alcoolisme est une bonne chose, déclara Foxman en substance, mais il faudrait aussi qu’il soigne son antisémitisme. » Vous l’avez compris, l’antisémitisme est pour eux une « maladie». Les propos à ce sujet sont innombrables. Et l’on comprend mieux à leur lecture pourquoi les opposants étaient enfermés dans des asiles psychiatriques en URSS et dans les pays staliniens. Freud a projeté sa propre pathologie sur le plan universel. Ce n’est pas pour rien qu’il a commencé sa carrière en travaillant sur le phénomène hystérique. On trouve dans cette pathologie tous les symptômes qui se calquent parfaitement avec ceux que j’ai pu déceler dans le comportement et le discours des intellectuels cosmopolites. Les similitudes sont vraiment étonnantes : La dépression, l’introspection, l’angoisse, la paranoïa, l’hyperémotivité, l’amnésie sélective, la fabulation, la sensibilité à l’opinion des autres, l’égocentrisme, la tendance à se donner en spectacle, l’incapacité à s’observer, l’intolérance à la frustration, le délire mégalomaniaque, etc. Tout y est, et jusque dans les origines de la pathologie, que Freud avait mis en évidence. Quand j’écrivais les Espérances planétariennes, je constatais sans pouvoir la comprendre, que la question de l’inceste revenait de manière lancinante et mystérieuse sous la plume de certains intellectuels juifs (Jacques Attali, Isaac Bashevis Singer, Stéphane Zagdanski…), comme s’il y avait des choses à cacher. J’ai poursuivi évidemment mes recherches de ce côté, et ce que j’ai pu découvrir sur ce point est très éclairant.

6) Vous vous rendez compte que vos travaux peuvent être insultants pour les membres de la communauté juive ?

ryssen-guerre-eschatologique Les intellectuels juifs jusqu’à présent, ne se sont jamais gênés pour écrire des « psychanalyse de l’antisémite » et traiter leurs adversaires de « paranoïaques », d’ «antisémites pathologiques » ou de « fous », dont les idées seraient « nauséabondes ». Cette propension aux insultes et à la calomnie est un des traits de caractère de l’intellectuel cosmopolite. Voyez encore ce que déclarait Elie Wiesel à la télévision au sujet du président iranien Ahmadinejad : « Le chef religieux de l’Iran est un fou, je veux dire pathologiquement malade ; il est fou de haine. » (6 mai 2006). Ce à quoi il ajoutait en toute bonne logique : « Sa bombe ne menace pas Israël, mais le monde entier. » (projection !) Vous l’avez compris : tous ceux qui s’opposent aux projets des juifs sont des « fous », que le monde occidental a le devoir de combattre. Et il faudrait aujourd’hui partir en guerre en Syrie ou en Iran ?

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Mon propos à moi n’est pas d’insulter les juifs. Je crois simplement que la « perfidie » des juifs, telle qu’elle a été dénoncée par l’Église et tous les grands penseurs occidentaux à travers les âges, ne correspond pas au fond véritable de la personnalité juive. Bien qu’aucune statistique ne soit disponible, je peux vous dire qu’il existe un très fort taux de suicide dans cette communauté, et il me paraît nécessaire de les soigner de leur « dybbuk », comme ils disent !

7) Comment pensez-vous résoudre le différend entre les juifs et le reste de l’humanité ?

Il faut le répéter encore une fois : le judaïsme est d’abord et avant tout un projet politique d’unification mondiale. Il s’agit d’araser toutes les différences entre les individus, afin de parvenir à une paix absolue et définitive, propice à l’avènement du messie. Il faut concasser les nations, les races, les religions, les civilisations, tout araser, ne laisser que de la poudre humaine que l’on pourra alors coaguler dans un vaste ensemble planétaire. Ainsi, l’essence même du judaïsme est de détruire tout ce qui n’est pas juif. Ils sont les « ennemis de l’humanité », comme le relevaient déjà les penseurs grecs et romains de l’Antiquité. Si maintenant, vous trouvez un juif qui défend la race blanche, une nation ethniquement homogène et indépendante, la famille patriarcale, etc., c’est qu’il n’est tout simplement plus un juif : il a quitté le judaïsme, ou bien vit dans ses marges. Nous avons suffisamment écrit sur ce sujet dans nos livres.

Tous les grands penseurs, tout au long de l’histoire, ont mis en garde les hommes contre la detestanda secta  la secte abhorrée. Dans ces conditions, combattre le nihilisme juif est un devoir pour tout être humain ; car – soyons-en bien certains – ils ne s’arrêteront pas d’eux-mêmes : ils sont comme ces machines de fer qui ne s’arrêtent que lorsqu’on les brise ! Face au projet juif d’anéantissement des cultures et des nations, il est donc parfaitement légitime, en retour, d’envisager l’anéantissement du judaïsme, au moins dans l’esprit, et ce, afin de libérer l’humanité. Ce n’est sans doute pas très “chrétien”. L’Église, effectivement, a toujours protégé les juifs comme le “peuple témoin” de la victoire du christianisme, qui doit se convertir à la fin des temps. L’Église n’a jamais varié sur la question. Tout au long de l’histoire, elle a toujours voulu que les juifs soient respectés dans leurs personnes et leur culte, mais toujours aussi, elle a voulu qu’ils soient tenus dans un état de soumission et d’isolement qui leur retire les moyens de nuire aux autres (Cf. notre Histoire de l’antisémitisme, 2010). Jusqu’à la révolution française de 1789, la puissance juive fut ainsi contenue tant bien que mal pendant des siècles. Elle fut ensuite libérée de ses chaînes.

Le fait est que notre histoire est très mouvementée, et que la puissance judaïque a nécessité un effort constant pour être contenue, ce qui n’a d’ailleurs pas empêché les financiers juifs de se rendre coupables de bien des guerres et de bien des malheurs.

Dans mon dernier livre, La Guerre eschatologique (2013), je montre que dans la doctrine de l’Église, les juifs perdureront « jusqu’à la fin des temps » ; et leur conversion finale à la « vraie religion » ne doit manifestement rien au travail des chrétiens.

Mais à l’heure où la civilisation européenne et les nations du monde entier sont menacées de mort par le venin cosmopolite, la doctrine de l’Église de la “ségrégation charitable” a montré ses insuffisances. On ne garde pas chez soi un panier rempli de serpents !

Dans le catholicisme, on ne voit que le théologien écossais Duns Scot qui oppose au judaïsme une force idéologique et religieuse capable de l’affronter victorieusement. Duns Scot (1266-1308), professeur à Oxford, fut l’un des esprits les plus remarquables du Moyen ge, et la fierté de l’ordre franciscain. Il alla plus loin que saint Thomas, en proposant une solution au problème juif sur la base de la destruction de la secte. Contrairement aux canonistes et aux théologiens du XIII^e siècle, Thomas d’Aquin en tête, qui pensent qu’il ne faut pas baptiser les enfants juifs contre la volonté de leurs parents, Duns Scot est d’avis qu’il est du devoir du roi de ravir les enfants juifs à leurs parents pour pouvoir les baptiser. Et les lecteurs de nos ouvrages savent que cette mesure salutaire permettrait de briser la chaîne des générations incestueuses. Face à l’argument de la nécessaire préservation du peuple juif, dans l’attente de sa conversion à la fin des temps, le franciscain estime qu’« il suffit d’en garder un petit nombre, mis à l’écart dans une île ».

Il ne faut jamais perdre de vue que le judaïsme est d’abord un esprit, une idéologie ; et c’est donc d’abord par l’esprit que cet esprit mauvais doit être anéanti. Quand un juif se convertit sincèrement au catholicisme traditionnel, par exemple, le judaïsme a été anéanti en lui. Le judaïsme peut donc être mis « hors d’état de nuire » de manière pacifique. Voici par exemple quelques mesures de bon sens d’un futur programme antijuif :

On commencera par dissoudre les principales organisations judéo-sionistes présentes sur le territoire. Il sera établi que tout propos, tout œuvre écrite, dessinée, télévisuelle ou cinématographique faisant l’apologie de l’immigration, du métissage, de l’adultère ou de l’homosexualité, sera puni d’une peine de prison ferme. Tout propos appelant à l’instauration d’un gouvernement mondial sera puni d’une peine de prison ferme et d’une déchéance de la nationalité. Tout propos excitant les Occidentaux à une guerre au Proche Orient contre le monde musulman sera puni d’une peine de prison ferme. À partir de là, le judaïsme militant est mis sur la touche.

D’autres mesures seront nécessaires pour en finir une bonne fois pour toutes. Il faudra évidemment interdire tout enseignement rabbinique, faire fermer les écoles juives et les synagogues, qui enseignent la haine. Il faudra séparer les enfants des parents assez tôt pour empêcher les relations incestueuses trop fréquentes parmi les membres de la secte, et qui génèrent cette pathologie hystérique si caractéristique. Les enfants issus de familles juives recevront une éducation de qualité, avec toutes les valeurs gréco-latines fondamentales. On encouragera les jeunes juifs en voie de guérison dans des chantiers de solidarité, où ils travailleront avec d’autres petits Américains, en contact avec la nature. Les éléments les plus fragilisés de la secte pourront bénéficier des meilleurs soins dans les hôpitaux psychiatriques spécialisés. Après trois ou quatre générations, le judaïsme aura complètement disparu. On aura organisé entre temps un procès international pour juger les crimes du judaïsme et rejeter définitivement les restes de cette funeste idéologie hors de l’humanité.

Lorsque j’ai interviewé Catalan Joaquin auteur révisionniste Bochaca, il avait une vision un peu pessimiste de l’avenir. En fait, il a comparé le travail des diseurs de vérité à celle de quelqu’un sur un navire en perdition, qui écrit une note et la met dans une bouteille pour la postérité à trouver. Quelle est votre opinion? Pensez-vous qu’il n’est pas trop tard pour l’emporter contre les forces qui cherchent à asservir l’humanité?

Ryssen dans les Alpes suisses

ryssen-swiss-alps Dans le livre sur la Guerre eschatologique, au chapitre de la guerre psychologique, j’ai pris cet exemple d’un lecteur qui, en 2007, après de mauvais résultats électoraux du Front national, avait fait part de sa déception à un journal nationaliste en ces termes : « Je suis désespéré, mes amis aussi… Le Front national a perdu les 3/4 de son électorat en France… J’ai déchiré ma carte d’électeur. L’espoir est mort, je ne crois plus en rien. On est comme sonné, désarmé. » Et j’ajoute, dans le livre : « À la lecture de ce genre de prose, on se pose trois questions. Premièrement : ce type est-il un sympathisant ou un ennemi infiltré dans nos rangs ? Deuxièmement : le directeur du journal a-t-il été payé pour publier cela ? Et troisièmement : faut-il le fusiller maintenant, ou plus tard ? »

Le trait est sans doute un peu exagéré, mais tout le monde a compris de quoi il s’agit. La guerre que nous mène nos ennemis est d’abord et avant tout une guerre psychologique. Pendant des siècles, quand les Européens se battaient entre eux, chacun rassemblait ses hommes et les alignait en face des adversaires sur un champ de batailles. Le prince qui était vainqueur arrachait quelques territoires au vaincu, et tout se terminait là. Les juifs, eux, ne se battent pas de cette manière. Ils agissent par la ruse et la duperie, à travers mes médiats qu’ils dirigent ; et tout leur travail consiste à démoraliser, à culpabiliser l’homme blanc, de manière à ce que celui-ci se mette à genoux et finisse par leur demander pardon. A travers leurs films, leurs journaux et leurs chaînes de télévision, ils n’ont de cesse de dépeindre notre histoire comme une succession de crimes : la torture sous l’empire romain, l’Inquisition, les pogroms de la première croisade, la colonisation, le pillage du tiers-monde, etc. Ce qui fait qu’aujourd’hui, les adolescents qui sortent du système éducatif ressentent inconsciemment l’envie de voir disparaître leur propre race dans un grand métissage universel.

Être démoralisé devant la laideur du monde contemporain, c’est se soumettre à l’ennemi. Il y a évidemment de nombreuses raisons d’être pessimistes, si l’on regarde notre environnement, si l’on allume son téléviseur, si l’on observe les statistiques du chômage, de la délinquance, de l’immigration, de la criminalité, etc. C’est très exactement ce que souhaitent nos ennemis : nous saper le moral, nous retirer l’idée même de nous défendre, nous inciter à nous replier dans nos campagnes et à leur abandonner le terrain.

En conséquence de quoi, il faut considérer que tout ce qui tend à démoraliser l’ennemi est bon pour nous, et tout ce qui contribue à nous démoraliser, tout propos démobilisateur, doit être combattu avec la dernière énergie, impitoyablement censuré et rejeté le plus loin possible de nous.

Pour paraphraser Carl von Clausewitz, on peut dire que « la guerre par les armes est le prolongement de la guerre psychologique¹. »

1 Carl von Clausewitz : « La guerre n’est qu’un prolongement de la politique par d’autres moyens. »

judaisme-delit-ryssen

….Mon courriel à Hervé Ryssen

Cher camarade Hervé,

Merci de tes nouvelles.

Les camarades américains auxquels j’ai expliqué qu’on peut recevoir de la prison ferme en Europe (comme dans ton cas) pour possession (même pas usage) du gaz lachrymogène ou pour critique de la homosexualité en sont absolument stupéfiés. Car nos armes, protégés par la Constitution à valeur sacrosainte et qui perdure depuis 1789, nous empêchent de descendre dans le même enfer liberticide.

Bonnes nouvelles:

–Selon un grand sondage les Américains regardent (33%) Obama comme le pire président de l’aprés -guerre, suivi de Georges Dabiliou Bouche (29%). C’est comme chez vous Sarko, suivi de Hollande….(http://fr.ria.ru/world/20140702/201700751.html) On approche le nadir de la civilisation.

–J’ai créé une alliance de raison (et d’amitié depuis deux ans) avec un Noir antijuif à la Faurisson et Dieudonné….

James Rawls est un ancient président du Rotary Club dans sa ville natale de la production d’acier, athléte, administrateur universitaire, etc.

Les Noirs sont de loin le groupe démographique le plus antisémite des États-Unis à 29%. Jim Rawls m’aidera par sa présence et ses conseils à me protéger de la diffamation de “haine raciale”.

–Je publierai bientôt ma candidature pour maire de notre petite ville d’Apollo (d’aprés le dieu grec), à 97% blanc et archi-conservatrice.

J’a choisi Apollo pour plusieurs raisons:

1) petite ville de 1600 âmes où une candidature ne coûtera pas des millions

Photo aérienne:

2) ma cible principale, comme la tienne, est évidement les Juifs. Et ces Juifs n’ont crucifé aucuen villette des Ètats-Unis autant qu’Apollo.

Leur projet fut la bombe atomique pour Israel. Mais ils violèrent toutes les règles de santé pour les ouvriere et les voisins de leurs deux usines. Résultat: épidémie de cancers rares (des testicules, du cerveau, de la moelle, etc.).

[source: http://pascasher.blogspot.com/2010/05/le-prochain-11-septembre-sera-t-il.html]

Dans un récent article du site Antiwar.com, intitulé à très juste titre “Les bombes atomiques de l’Amérique égarées en Israël”, Grant F. Smith [Juif “antisioniste” qui claqua violement le téléphone dans son siège lors de mon appel chez lui, car je suis, moi, non antisioniste mais “vrai nazi” ], directeur de The Institute for Research: Middle Eastern Policy (IRMEP) et auteur de l’ouvrage Spy Trade: How Israel’s Lobby Undermines America’s Economy [Le commerce de l’espionnage : Comment le lobby sioniste sape l’économie des Etats-Unis], démontre la manière dont « les Etats-Unis sont une passoire pour l’espionnage nucléaire israélien ».

Le vaste réseau de contrebande massive d’armements mis sur pied par David Ben Gourion aux Etats-Unis dans les années 1940 avait réussi à se doter d’une branche nucléaire en moins d’une décennie, indique Smith. L’achat de l’aciérie de la société Apollo Steel Company, en Pennsylvanie, fut financé par David Lowenthal [mon barbier Seevers lui coupait les cheveux dans les Années Soixante], un ami intime du premier Premier ministre israélien, et ancien membre de la Haganah, précurseur de l’armée israélienne. L’année suivante, le Dr. Zalman Shapiro, président du conseil d’administration d’une organisation sioniste américaine locale, “Zionist Organization of America, filiale de Pittsburgh”, incorporait la Numec (Nuclear Materials and Equipment Corporation) à la société Apollo. Très vite, la Numec recevait d’importantes quantités d’uranium hautement enrichi et de plutonium de la société Westinghouse et de la Marine américaine, à des fins de recyclage nucléaire.

Dans les années 1960, la Commission de l’Energie Atomique [Atomic Energy Commission – AEC] commença à soupçonner des failles en matière de sécurité à la Numec, allant jusqu’à envisager de suspendre ses « élaborations d’armes classées ». En 1965, un audit de l’AEC constata que 220 livres d’uranium hautement enrichi n’étaient pas répertoriées. L’année suivante, le FBI diligenta sa propre enquête, sous le nom de code Project Divert, afin de surveiller le management de la Numec et les nombreux visiteurs israéliens qui y venaient. Néanmoins, le détournement de matières fissiles vers Israël continua de plus belle. Après la visite de quatre Israéliens, dont l’agent du Mossad Rafi Eitan, le 10 septembre 1968, 587 livres supplémentaires d’uranium hautement enrichi avaient disparu.

***

J’affrronte les ingenieurs de l’Army US sur le progrès glacial de leur nettoyage des déchets nucléaires (10% en cinq ans), qui coûtera aux contribuables américains $500 millions! Lors de la découverture de traces radioactives d’armes nucléaires la société privée de nettoyage sous contrat à l’Army fuit d’un jour a l’autre. Depuis rien ne se fait plus, personne n’y travaille plus.

Cette femme, lesbienne et ancienne sous-officier de la Navy, Patricia Ameno, m’opposa farouchement en novembre 2012 en horrible antisémite et nazi,

….et cria à haute voix dans un meeting publique entre les voisins de NUMEC et l’Army que je serais un “malade mental” (une diffamation que répandent tous les agents des Juifs) et mentit qu’Israel n’aurait rien affaire avec NUMEC et que moi, le US Marine Corps m’aurait expulsé pour homosexualité! [sic]

Moi, un peu furieux, je l’avoue….me réfèrant ebvers Ameno à l’article (en anglais, et d’une honnêteté surprenante) de Wikipedia: http://en.wikipedia.org/wiki/The_Apollo_Affair (traduc rapide par Google: https://translate.google.com/translate?sl=en&tl=fr&js=y&prev=_t&hl=de&ie=UTF-8&u=http%3A%2F%2Fen.wikipedia.org%2Fwiki%2FThe_Apollo_Affair&edit-text=)

Le comté d’Armstrong, quoique presque dépourvu malheureusement d’industries depuis la montée de la concurrence chinoise et mexicaine aux frais et prix bas, relève de loin du plus haut taux de cancer de la region, 20% de plus que le comté d’Allegheny (siège de la ville de Pittsburgh, anciennement le Fort Duquesne francais et bourré pendant 200 ans d’usines d’acier et depuis 1900 d’aluminium!)

Le comté rural mais bourré de cancereux d’Armstrong — photo de notre maisonnette louée jusqu’il y a deux mois.

Photo de l’arrière de cette maisonnette avec des cerfs

Voici ton texte, envoyé à Margui, du septembre dernier, transformé par ton humble serviteur également en blogue: https://johndenugent.com/francais/french-entrevue-avec-herve-ryssen-pour-la-revue-barnes-la-race-des-seigneurs-incestueux

Bien sûr que tu peux utiliser ce lien vers la traduc par Margaret dudit entretien: https://johndenugent.com/english/english-herve-ryssen-explains-judaism-is-not-a-faith-but-the-geopolitical-project-of-a-hysterical-incestuous-master-race-cult

La France est un pays unique. Elle te condamne deux fois à de la prison ferme mais ne t’arrête pas pour te mettre en prison. Dans les pays germaniques, anglo et scandinaves, ce serait autrement. Vive la France!

On me chicane énormément depuis l’annonce de l’alliance noire-blanche. Expulsion de notre maissonette louée pendant 20 mois sans raison aucune, abrogation de notre service de dons par carte de credit, VOL de la poste contenant des dons, énorme vague de diffamations trilingue disant que je serais un escroc riche et parasitaire qui se refuserait tout boulot “honorable”…. et cependant je n’ai rien dans la poche avec 59 ans (60 le 14 juillet!) et nous vivons auprès d’amis noirs. Les blonds-aux-yeux-bleus ne font strictement rien.

Et pourtant, je persiste, pour endiabler les Juifs. *;) wink

John

…..Merci à tous mes donateurs généreux!

John de Nugent

POB 43

Apollo PA 15613

(724) 596-4268

john_denugent@yahoo.com

sur Facebook: John D. Nugent

sur Skype: John de Nugent (Pittsburgh)

REGISTRE DE DONS RECUS: https://johndenugent.com/donations-log

Marguérite Huffstickler, partiellement d’ascendance acadienne de la Louisiane, chanteuse d’opéra, traductrice et oratrice, et nationale-socialiste. une dure des durs, et puis votre fidèle serviteur devant notre maison ….

C’est comme cela que vous pouvez m’aider:

(1) aux Ètats-Unis par un “USPS” postal money order” ou bien autre mandat laissé vide ou bien rempli sur “John de Nugent”

(2) par des pièces de monnaie en or ou des bijoux

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(3) par des espèces mis en enveloppe, même avec une adresse de retour fausse

(4) par PayPal (signalez-moi svp votre intention à john_denugent@yahoo.com pour des détails, car PP m’a banni depuis l’automne de 2011, presque seul parmi des nationalistes blanc des Ètats-Unis, tant les Juifs m’aiment…)

(5) des chèques remplis à “John de Nugent”

J’ai besoin de vos dons, petits autant que moyens et grands, pour pouvoir me retirer un peu pour compléter mon livre saint destinée à la fondation d’une nouvelle religion pour la race blanche, pour réveiller l’âme de celiui et celle qui savent trop bien qui sont nos ennemis — mais qui sont visiblement devenus, vu leur inactivité, des défaitistes ou lâches! Ou se livrent par une canalisation folle de leur rage aux disputes fratricides avec nos camarades au lieu de se rappeler du devoir d’amour envers nos frères et soeurs militants!

Des dons récent:

400 francs suisses et 70 dollars australiens