Traduction de l’article d’infostormer.

La Cour Suprême des États-Unis, encore plus biaisée après la mort du Juge conservateur Antonin Scalia, a montré lundi jusqu’où elle est prête à  aller sur les sujets liés aux tantouzes, jugeant que les États fédérés ne peuvent pas imposer de restrictions sur les droits d’adoptions des homosexuels.

L’affaire en elle-même était assez étrange, tournant autour d’une lesbienne, séparée de sa « partenaire », qui a rempli une demande de garde conjointe pour l’enfant adopté dans un État voisinant celui qui avait initialement permis l’adoption.D’après la Cour Suprême, aucun gouvernement local “ dans ce cas précis, l’État d’Alabama “ ne peut restreindre les privilèges parentaux des individus “ les tantouzes dans ce cas précis “ si ceux-ci sont déjà  reconnus ailleurs ; un jugement qui va probablement mener à  de futur demandes d’accès aux enfants par des dégénérés.

Notez qu’il y a quelques années encore, nous n’aurions pas eu cette discussion, puisqu’il était encore universellement compris qu’un enfant ne peut pas grandir sainement et sans risque d’agression dans un domicile dirigés par des dingues souffrant de maladie mentale, et que les droits des parents ne concernent que les unions entre un homme et une femme ; et non pas entre deux hommes, deux femmes, un homme et un dauphin, etc ¦

NBC News :

La Cour Suprême américaine a jugé lundi en faveur d’une femme d’Alabama qui demandait un droit de garde légal après s’être séparée de sa partenaire de même sexe.

L’affaire demandait à  la Cour d’interpréter la règle de la Constitution selon laquelle chaque État doit donner « pleine foi et crédit » aux décisions légales établies dans les autres États.

Les deux femmes, auxquels les documents de justice ne font référence que par leurs initiales, étaient dans une relation suivie en Alabama pendant presque 17 ans. L’une d’elle, E.L., a donné naissance à  trois enfants. L’autres, V.L., voulait les adopter, donc sur le conseil de son avocat elle a demandé et obtenu les pleins droits parentaux d’un tribunal en Géorgie [ndt : l’État des États-Unis, pas le pays d’Europe. C’est là  que se trouve Atlanta.] ; où les lois étaient considérées plus favorables à  sa situation.

Plusieurs années plus tard les femmes se sont séparées mais ne pouvant pas s’entendre sur la garde des enfants, V.L. a demandé à  un tribunal d’Alabama de lui accorder une garde partagée. Le tribunal estimait que l’ordre d’adoption de Géorgie devait être honorée.

Mais la Cour Suprême de l’Alabama a annulé cette décision, concluant que la loi de Géorgie interdisait à  V.L. l’adoption à  moins qu’E.L., la mère biologique, ait renoncé à  ses droits parentaux. La Cour Suprême de l’Alabama a jugé que le tribunal de Géorgie ayant garanti ces droits d’adoption avait en premier lieu mal interprétés la loi de Géorgie.

Lundi, dans une décision non signée, la Cour Suprême des États-Unis a jugé que le jugement du tribunal de Géorgie doit être honoré, annulant la décision de la Cour Suprême de l’Alabama.

Le concept d’union civile pour les homosexuels, et en particulier de « mariage », n’avait bien entendu aucune raison d’entraà®ner l’adoption. Seuls les « fachos » pensaient que cela irait inévitablement vers ceci.En fait, les « fachos » avaient même prédit il y a bien longtemps “ sur la base de l’expérience observable il y a presque un siècle déjà  dans l’Allemagne de Weimar par exemple “ que la domination juive finirait par susciter les pires formes de dépravation.

C’est fou comme la réalité n’a de cesse de donner raison aux « fachos ».

Pendant ce temps, la Chine, qui n’est pas folle, préfère interdire la promotion télévisée du viol, de l’inceste et des relations homosexuelles.