Hommage au Professeur Faurisson, bienfaiteur de l’humanité
par Georges Theil
Nous venons de perdre un homme d’une immense stature, à vrai dire un bienfaiteur de l’humanité.
De petits esprits, des gobeurs professionnels, des ignorants si nombreux, la cohorte des pervers haineux aussi, vont me dire : “Holà ! Comme vous y allez ! Votre professeur Faurisson n’était rien d’autre qu’un faussaire comme disait Badinter ! N’a-t-il pas été condamné pour ce chef ?” En effet, comme Galilée, Servetus et autres Giordano Bruno…
Faurisson a eu très tôt l’intuition qu’il y avait une arnaque au cœur du récit officiel de la seconde guerre mondiale, à vilifier injustement le vaincu de ce conflit ; une présentation calquée sur le verdict du procès de Nuremberg de 1946, monument d’iniquité où le vainqueur veut légaliser la mise à mort de ses ennemis vaincus ; dès après la guerre des gens tels que l’ancien résistant et déporté Rassinier commençaient à mettre en doute l’existence de machines à tuer industriellement des détenus des camps de concentration allemands ; celui-ci fait prisonnier et interné pour faits de résistance, trimballé de camp en camp entre 1942 et 1945 avait observé la vie dans ces structures d’enfermement, leur gouvernance interne, leurs installations en matière d’hygiène… Il n’avait jamais remarqué d’installations de mise à mort collective, et avant son décès il avait demandé à Robert Faurisson, déjà intéressé par le sujet, jeune professeur, de poursuivre ces mêmes recherches.
Notre jeune agrégé avait senti très tôt l’importance capitale de la lutte contre les imposteurs propagandistes d’un imaginaire génocide (démenti d’emblée par la documentation concernant les camps eux-mêmes, le Service international de recherches d’Arolsen – sous contrôle allié… et le nombre des prétendus rescapés allocataires de pensions diverses).
Quant à moi, j’avais été comme bouleversé par les pages que le quotidien Le Monde avait consacrées en 1979 au “problème des chambres à gaz” où Faurisson argumentait brillamment, en véritable juge d’instruction, sur une gravissime accusation contre le Reich allemand, celle d’avoir mis au point des machines de mort par asphyxie de millions d’êtres humains présentés comme ennemis existentiels.
Pierre Guillaume, admirateur et actif soutien du professeur à l’époque, vers la fin des années 80, m’incita à contacter le professeur à son domicile de Vichy ; je devais l’y rencontrer quelques jours plus tard : après de longs moments d’écoute de son discours précis et documenté, avec présentation des arguments pro et contra, j’en sortis émerveillé et comme transformé.
Il me confia le soin de rechercher dans un premier temps à la Bibliothèque nationale et aux Archives nationales principalement, une série de documents de toute nature. Il était ainsi fortement demandeur d’éditions de souvenirs de déportés rédigés juste à leur retour des camps ; il avait remarqué que certains de ceux-ci avaient ensuite réécrit ces mêmes souvenirs en y ajoutant à présent… des chambres à gaz, dont ils n’avaient pas fait mention dans la première édition…
Phénomène ahurissant montrant à l’évidence comment le bobard avait subjugué nos concitoyens, au point que ceux-ci en étaient et en sont encore “en attente de chambres à gaz”.
Une première manifestation de cette aberration psychologique m’apparut peu après lors d’un congrès à Paris de l’Union des Athées auquel le professeur Faurisson avait été invité pour une brève intervention.
J’avais pu me faufiler dans l’assistance comme simple auditeur. Faurisson arriva, sourire légèrement ironique aux lèvres… et d’emblée lança à l’auditoire :
« Mesdames et messieurs, je suis flatté et heureux de vous parler. Je vais commencer par vous poser une question essentielle. Vous ne croyez ni à Dieu ni à Diable, n’est-ce pas ? Fort bien… Mais alors, pourquoi croyez-vous donc aux chambres à gaz ? »
Une première manifestation de cette aberration psychologique m’apparut peu après lors d’un congrès à Paris de l’Union des Athées auquel le professeur Faurisson avait été invité pour une brève intervention. J’avais pu me faufiler dans l’assistance comme simple auditeur. Faurisson arriva, sourire légèrement ironique aux lèvres… et d’emblée lança à l’auditoire :
« Mesdames et messieurs, je suis flatté et heureux de vous parler. Je vais commencer par vous poser une question essentielle. Vous ne croyez ni à Dieu ni à Diable, n’est-ce pas ? Fort bien… Mais alors, pourquoi croyez-vous donc aux chambres à gaz ? »
Des cris, un brouhaha, des “honte à vous !” s’élevèrent, Faurisson quitta l’estrade pour venir au plus près du public ; un voisin de moi, l’air furieux se précipita alors sur le Professeur en brandissant comme une canne épée qu’il dirigea violemment en direction du visage de Faurisson ; j’avais eu le temps de bondir tout juste après qu’un proche du professeur m’eut efficacement précédé, sur l’énergumène.
Nous venions d’empêcher que le Professeur ne soit proprement estropié : il m’en remercia d’un large sourire. Je n’en demandais pas plus.
Robert Faurisson nous a ouvert les yeux ; et surtout il a été d’un courage indomptable tout au long de son existence.
Le révisionnisme de la seconde guerre mondiale est aussi par le fait même une formidable mise en accusation de la caste qui a pris le pouvoir dès après la seconde guerre mondiale, pour mettre en place une exploitation financière et une terreur psychologique ; on comprend certes que les vainqueurs de Dresde, Katyn, Hiroshima, crimes contre l’humanité bien réels et documentés, aient un besoin absolu d’imputer des crimes encore plus grands à leur ennemi vaincu : celui d’avoir mis à mort 6 millions d’innocents, que dis-je, 6 millions d’élus autoproclamés !
Alors Faurisson, l’indomptable, mort au champ d’honneur, nous a délivré un message libérateur et c’est pour cela qu’il prend rang avec les bienfaiteurs de l’humanité. Pas moins.
Sans remonter très loin, j’ai une particulière admiration pour deux personnages que je tiens pour bienfaiteurs de l’humanité : Louis Pasteur et Alfred Nobel. Observez ce miracle : il y a du Pasteur et du Nobel dans Faurisson.
Comme Pasteur nous a laissé le vaccin contre la rage, Faurisson nous a légué aussi un médicament souverain contre la rage, non pas la rage transmise par des loups ou chiens enragés, mais “la rage de croire” comme il aimait le dire, “cette rage de croire qui s’attrape comme la gale”. Et avec la différence que cette rage de croire nous a été inoculée par nos exploiteurs, avec interdiction de tout diagnostic.
Comme Alfred Nobel, Faurisson a mis au point une nouvelle et formidable dynamite, qui peut tout aussi bien être dévastatrice par sa puissance déchaînée, que précieuse pour les travaux publics. Le révisionnisme est bien une dynamite, qui dévaste les “chercheurs holocaustiques”, les “historiens” et écrivains de cour, les histrions de “chambres gaz”.
Avec ces moyens nous allons pouvoir apaiser le monde et remettre d’abord sur ses pieds notre Europe, car figurez-vous qu’il n’y a pas d’Europe possible sans victoire du révisionnisme ; comme le Professeur me le confia un jour :
“Vous ne vous imaginez même pas encore le nombre de problèmes géopolitiques et psychologiques que résoudra facilement la victoire du révisionnisme”.
Gloire au Pr Robert Faurisson, bienfaiteur de l’humanité.
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