Robert FAURISSON 15 avril 2016
Ma présence à la journée de Rivarol, le 9 avril 2016
« Le Petit Journal » de Canal + m’a consacré une minute (à partir de 17.58 à http://tempsreel.nouvelobs.com/politique/20160412.OBS8396/negationnisme-antisemitisme-racisme-bienvenue-au-banquet-de-rivarol.html).
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Furent présents au Novotel de la Porte de l’Est (Bagnolet):
“500 à 600 personnes, la crème de la crème des négationnistes [sic], catholiques intégristes et autres pétainistes.”
Ainsi, selon “Le Monde”, étaient notamment présents Jean-Marie Le Pen, condamné à deux reprises il y a une semaine [JdN: par la youtrerie regnante sur la France], pour “provocation à la haine et à la discrimination ethniques”, après des propos sur les Roms, et pour “contestation de crime contre l’humanité”, après avoir répété ses propos sur les chambres à gaz, qualifiées de “détail” de l’histoire de la Seconde guerre mondiale ;
le célèbre [révision]iste Robert Faurisson ; les nationalistes-révolutionnaires Alexandre Gabriac et Yvan Benedetti ; le catholique intégriste Alain Escada, président de Civitas ; des membres du Renouveau franais, de Thibaut de Chassey ; Pierre Vial, figure de la tendance “néopaà¯enne” ; l’antisémite Hervé Ryssen ;
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Ryssen, diplômé de la Sorbonne
Voici en bas son livre superbe “La guerre eschatologique” sur le grand trait que l’Islam et le Judaà¯sme ont en commun: deux religions radicalement intolérantes qui prêchent la victoire finale et écrasante de leur communauté sur les infidels dans un bain de sang — oui, dans un triomphe sur cette terre, pas du tout dans les cieux. Et bien pourquoi? Parce que leurs guerriers et militants (juifs/musulmans) feront leur “devoir” sanglant à fin de mériter, et donc faire venir, leur Messie promis, un impitoyable roi conquérant.
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….des pétainistes, comme le fondateur de l’Oeuvre franaisePierre Sidos ; le patron de Radio courtoisie Henry de Lesquen, candidat à l’élection présidentielle de 2017 ; le président du Parti de la France Carl Lang ; Nicolas Miguet, le président du “Rassemblement des contribuables franais”, qui a aussi essayé à plusieurs reprises de se présenter à l’élection présidentielle ¦
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En une minute il m’a cité deux fois mais, à chaque fois, il a tronqué et dénaturé mes propos.
La première fois, on m’entend déclarer abruptement que les Allemands du Troisième Reich ne recherchaient pas « la solution finale de la question juive » (die Endlösung der Judenfrage) ». On attend la suite mais elle ne viendra pas. Je l’avais pourtant donnée. J’avais, en effet, ajouté que, selon l’exacte et complète formulation, les Allemands aspiraient à « une solution finale territoriale de la question juive » (eine territoriale Endlösung der Judenfrage). Voilà qui change la perspective !
La seconde fois, on m’entend dire bizarrement que je n’ai pas vu de chambre à gaz mais ¦ une fumée blanche ! La réalité est la suivante : au début des années 1960, je m’étais rendu au Centre de documentation juive contemporaine (CDJC) de Paris et j’avais demandé à y voir « une photo de « chambre à gaz [nazie] ». Au bout d’une heure de recherches désespérées dans les livres et documents, ouverts puis refermés, Madame Imbert, archiviste-bibliothécaire, n’avait pu me fournir que trois photos dont aucune ne montrait une telle chambre à gaz mais tout au plus des détenus à casquette, en plein air, près de cadavres gisant à terre, à proximité d’un feu dégageant de la fumée blanche. Au lieu d’une arme nécessairement sophistiquée, de la fumée de broussaille !
En ce 9 avril 2016, à mon arrivée sur le lieu où s’était donné le banquet de Rivarol, j’avais été chaleureusement accueilli par deux cents à trois cents personnes qui me réservaient une ovation debout au cri répété de « Faurisson a raison ! » : surprise ! A la fin de mon exposé, qui n’allait durer qu’un peu plus d’une heure parce qu’il me fallait prendre le train de retour en province, on me gratifiait d’une nouvelle ovation : surprise là encore !
De son côté, Jean-Marie Le Pen s’était préalablement esquivé pour n’avoir pas à me rencontrer.
Tout s’est donc bien passé sauf que je viens d’apprendre qu’avec une extraordinaire célérité, on a décidé de m’attraire en justice pour mon intervention.
Une fois de plus depuis 1978-1979.
Le 27 juin 1979, dame Baluze-Frachet, présidente, à Lyon, d’un tribunal de simple police, m’avait déjà notifié l’attendu suivant : « Attendu que les chambres à gaz ont existé, et que le simple fait de vouloir insérer dans un quotidien un article dont l’auteur se pose la question de leur existence porte atteinte aux bonnes mÅ“urs » ! Quatre mois plus tôt était parue dans Le Monde du 21 février une étrange déclaration signée de 34 historiens (dont Fernand Braudel). Il s’agissait d’une réponse à ma demande d’une explication technique portant sur la nature et le fonctionnement de l’arme spécifique du crime spécifique de « l’Holocauste » : la magique chambre à gaz. On me rétorquait alors : « Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu ».
Nous sommes en 2016 et je n’ai toujours pas reu de réponse à ma demande. En France, comme à l’étranger, aucune instance judiciaire ne s’est même risquée à ordonner une expertise médico-légale du crime le plus horrible, nous dit-on, de tous les temps : les gazages de masse. Cette expertise nous aurait permis de voir « la scène de crime » et de comprendre le fonctionnement de « l’arme du crime ». Il y avait eu une exception : l’expertise confiée, pour le camp du Struthof, près de Strasbourg, au professeur René Fabre, doyen de la Faculté de pharmacie de Paris et toxicologue. C’est le 27 mars 1980 que j’en ai personnellement découvert le résultat, obtenu le 1er décembre 1945. Ledit résultat avait été négatif. Même un Jean-Claude Pressac en conviendra dans l’ouvrage qu’il publiera en 1985 sous le patronage de la Beate Klarsfeld Foundation sous le titre de The Struthof Album ; il écrira : « toxicological testing was negative » (p. 12), « toxicological analyses, which seem to have yielded negative results ¦ » (p. 41) et « the toxicological examination for cyanide did not yield any positive results » (ibid.) ; (« l’évaluation toxicologique avait été négative », « les analyses toxicologiques qui semblent avoir livré des résultats négatifs ¦ », et « l’examen toxicologique pour la recherche de cyanure n’a livré aucuns résultats positifs »).
Sur ce point et sur d’autres concernant la prétendue « chambre à gaz » du Struthof, devenue un monument historique, on consultera le texte que j’ai intitulé « Il est temps d’en finir avec la “chambre à gaz” du Struthof et ses 86 “gazés” » (30 mai 2013) ; on en lira, tout particulièrement, la section portant sur « Le cas personnel de R. Steegmann » http://robertfaurisson.blogspot.fr/2013/05/il-est-temps-den-finir-avec-la-chambre.html.
En 1945-1946, le véritable organisateur de l’infà¢me procès de Nuremberg avait été le très cynique procureur américain Robert Jackson pour qui ce procès était et devait être, selon ses propres mots, une « continuation de l’effort de guerre des Nations Unies » contre l’Allemagne vaincue. Pour ma part, à la fin de mon intervention, j’ai déploré qu’au terme d’une nouvelle guerre de trente ans (1914-1945) les vainqueurs aient cru devoir ajouter jusqu’à ce jour plus de soixante-dix ans d’une sorte de guerre perpétuelle où, comme on le sait, la première victime est inévitablement la vérité. Qui dit guerre dit mensonge et propagande.
Pour commencer par la France, observons le cas de nos jeunes générations, abreuvées d’une propagande holocaustique qui les assomme.
Peut-être serait-il temps de leur épargner, à la fin des fins, le constant rappel des « temps où les Franais ne s’aimaient pas, s’entre-déchiraient et, même, s’entretuaient » (Georges Pompidou, déjà en 1972).
NB : L’enregistrement complet de mon intervention se trouve à https://www.youtube.com/watch?v=mnBKpS10rxE&feature=youtu.be.
……Chauffeur d’autocar affronte le Juif et raté Hollande
[source: https://francais.rt.com/france/19122-sympathisant-fn-france2-francois-hollande]
.https://www.youtube.com/watch?v=8XEAewuBHjI
Alors que le président est intervenu sur France 2 pour répondre aux questions des Franais, un invité s’est démarqué par ses positions. Trentenaire, chauffeur de bus et déu de la politique du gouvernement, il pense aujourd’hui voter FN, par colère.
Sur le plateau de «Dialogues Citoyens», le président de la République s’est entretenu avec quatre personnes invitées à lui poser leurs questions. Selon un porte-parole de France Télévision, cité par La voix du Nord, ce panel «a été sélectionné pour son implication, sa capacité à représenter la société civile et les préoccupations des citoyens». Un intervenant a attiré l’attention des téléspectateurs par son discours.
«Je ne suis pas raciste, je suis un citoyen en colère»
Ce dernier, Antoine Demeyer, trentenaire et originaire d’Anor, dans le département du Nord. Fin 2015, il avait déjà répondu aux questions de La Voix du Nord à laquelle il expliquait qu’il fallait selon lui, «protéger la France, qui est malade et qu’on essaye de détruire». «On a essayé tous les traitements, a ne marche pas. Il faut en essayer un nouveau», a-t-il déclaré sur le plateau en confirmant qu’il voterait désormais Front national.
Une décision personelle pour cet ancien élécteur du PS qui s’est dit avoir été déu par les lignes politiques successives du parti à la rose. «Si je vote Front national aujourd’hui, c’est par colère. je ne suis pas raciste, comme les trois quarts des électeurs du FN aujourd’hui qui sont accusés d’être des “fachos”, des “racistes”, alors que ce sont seulement des citoyens en colère qui pensent à leurs familles», a ajouté Antoine Demeyer.
«Le gouvernement privilégie les migrants au détriment des Franais qui sont eux aussi dans la misère»
Le trentenaire a rappelé au président que dans sa région, le Nord-Pas-De-Calais, le taux de chômage était particulièrement élevé. «Il y a des travailleurs aujourd’hui qui vivent dans leur voiture, sans rien, alors que les réfugiés eux, ont droit à des logements temporaires dans des mobile-homes, ils ont accès aux soins et reoivent une aide alimentaire de 11 euros par jour».
Evoquant des tensions intercommunautaires entre certains groupes de réfugiés et les habitants de Calais, l’homme a demandé à Franois Hollande «ce qu’il comptait faire face à des forces de l’ordre débordées qui ne savent plus où donner de la tête et qui ne sont plus en mesure d’assurer la sécurité des citoyens qui vivent sous tension».
«La France aujourd’hui, c’est la politique de Berlin et Washington»
Obama parle à Merkel, Hollande les regarde
Evoquant des sujets tels que le chômage et les directives européennes, l’intervenant a fait savoir au président sa déception face à l’absence d’une «politique franaise». «J’ai l’impression monsieur le président, que vous voulez que la France devienne l’Allemagne», a-t-il déclaré.
«Vous faà®tes tout pour plaire à l’Allemagne, tout pour plaire aux Etats-Unis. On dirait qu’aujourd’hui, la France c’est Berlin et Washington», a-t-il ajouté.
A L’issue du débat, alors qu’il était interrogé par les journalistes de France 2, Antoine Demeyer a déclaré avoir été honoré d’avoir pu poser ses questions au président, tout en regrettant que ce dernier n’y ait pas répondu clairement.
«Je voulais une réponse claire sur les mesures qu’il compte prendre contre le danger que représentent les terroristes qui pourraient infiltrer le flux de réfugiés pour commettre des attentats en France. Mais je n’ai pas eu cette réponse», a-t-il conclu. [….]
JdN: Un regard qui dit long…
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…..Contact et soutien
Ce qu’il nous faut — après cet “embarras de richesse” d’infos à vomir et tout à fait ahurrisantes — c’est une religion aryenne nouvelle qui, dans sa FORCE, SON UNION et SA SOIF DE VICTOIRE FINALE égalera le Judaà¯sme et l’Islam, tout comme Hervé Ryssen analysa ces deux religions et “saintes fois” dans son livre “La guerre eschatologique” que je décrivis en haut.
Le riche juif de Chicago Leo Frank, “philanthrope” des organismes juifs
“Vous êtes des cons de Charlie, pas nous”
Après cet incident à Graz en Autriche du 20 juin 2015 le “faut pas faire d’amalgame” (Faut pas mélanger; n’oublions pas que nous avons colonisé son pays; c’est juste un malade; n’aidons pas l’extrême droite en en parlant; il ne se sentait pas accepté; il était victime du racisme blanc…)
Et c’est cela mon devoir de fonder cette religion.
Le grand psychologue de ma ville ancestrale Nogent-le-Rotrou en Normandie fut l’auteur favori, en traduction allemande, dans les tranchées misérables de la Première guerre mondiale du caporal Adolphe Hitler
–“Ce n’est pas avec la raison, et c’est le plus souvent contre elle, que s’édifient les croyances capables d’ébranler le monde.”
–“La compétence sans autorité [eh bien, NOUS] est aussi impuissante que l’autorité sans compétence [Hollande!].”
–“Les volontés précaires se traduisent par des discours, les volontés fortes par des actes.”
Maintenant, après des années de persécution étatique, de cyber-attaques quotidiennes, et des calomnies racontées par certains des nombreux infiltrateurs dans nos rangs (qui pullulent dans tous les pays blancs — ceux qui s’adonnent à “[nous] diviser pour mieux régner”) — ces agents et “tournés” qui me diffament avec tous les sales mensonges possibles….
….et alors, j’ai enfin, enfin les moyens financiers, et huit mille adresses électroniques — de camarades francophones, deux webmestres sur deux continents, et quatre sites.
Dieu merci, car nous reconnaissons tous que l’heure n’est plus à encore davantage de renseignements dégoà»tants sur les Juifs et les migrants. Ils sont de par leur nature ce qu’ils sont. Mais qui, dans nos valeurs, devenons-nous? Avant toute autre chose, Hitler restaura les vertus de la race blanche.
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