La toute dernière photo de nous deux, prise le 5 sept. par webcam par mon moniteur anti-piratage ….. Marguie toujours courageuse, moi laissant sentir ma mauvaise conscience d’avoir mis si longtemps, par la force des choses autant que par l’amour, une seule femme blanche, Marguie, depuis janvier 2019 devant mon devoir capital envers nos 600 millions de blancs.
Un camarade français m’a écrit:
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Cher John,
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Je vous présente mes sincères condoléances et vous souhaite toute la force et le courage nécessaires dans cette douloureuse épreuve.
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Je souhaite que ces quelques mots puissent vous apporter un peu de réconfort pour cette difficile épreuve. [fin]
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Ma réponse:
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Trés cher camarade,
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Je vous remercie de vos paroles réconfortantes.
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Oui, c’est parfois l’enfer. Quand je regarde encore autour de moi, que des choses délicates et féminines de cette merveilleuse camarade, amante et épouse, jardinière, écrivaine, traductrice et orateure qui me rappellent ma petite Marguie.
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Elles me hantent, franchement, toutes ces choses marguiennes, mais elles m’appellent maintenant tout autant à mon devoir primarie envers notre race, une fois libérée de mon devoir de mari envers celle qui souffrait tant pendant quatre ans du ce maudit cancer.
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Je suis allé au lit hier soir vers 21h, épuisé (debout depuis la crise de 03h qui finit par sa mort à 5h40 en hôpital dans ma présence), mais ce matin à exactement 3h28 je me suis réveillé, ou bien on m’a réveillé. Ce fut la minute exacte 12 heures avant de mon appel téléphonique au SAMU.
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Je l’interprè ainsi:
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Marguie depuis l’au-delà:
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“John, je t’ai laissé non seulement pour mettre fin á mes souffrances, mais pour te libérer pour ton bien plus lourd devoir envers le tout.
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Debout et au boulot, alors, mon cher mari! Et bonne chance!”
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Merci encore pour tout, cher camarade.
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John de Nugent
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Maintenant, ma vie vous appartient entièrement.
Je suis devenu veuf et, comme Hitler, je suis redevenu un célibataire. Ayant prouvé mon amour en tant que mari, je cherche mon bonheur futur dans notre glorieuse et impitoyable victoire contre le Mal absolu.
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