Bagnes et camps de l’Epuration : un chaudron infernal

par PIERRE-DENIS Boudriot, docteur en
histoire moderne et contemporaine, auteur de L’Epuration 1944/1949

Numéro 3493 du 10 novembre 2021

Il nous propose, aux éditions Auda Isarn, un livre dont la lecture est particulièrement gla-çante, sur les horreurs des Bagnes et Camps de l’Epuration française. A la fin de l’année 1945, la statistique pénitentiaire dénombre, détenus dans les centrales et les camps, 10 000 hommes et 4 000 femmes, condam-nés à de « longues peines » par les cours de justice, ces tribunaux d’exception chargés de punir les faits de collaboration.

Les mai-sons centrales, dont le régime est particuliè-rement rigoureux, à caractère disciplinaire et unanimement redouté, sont dévolues aux hommes et aux femmes, frappés d’une peine de travaux forcés prononcée à perpétuité ou pour plusieurs années. Les camps que décrit l’auteur, mais que nous n’évoquons pas dans cette recension sont, quant à eux, destinés aux moins compromis des justifiables des cours de justice et offrent des conditions de
vie quelque peu moins pénibles.

Ces camps et ces centrales verront, dès la Libération, la coexistence massive, dans une promiscuité ignominieuse, de la pègre et des “politiques”-

En janvier 1946, on recense près de 30 000 hommes et femmes, prévenus et détenus pour raisons politiques, pour une population pénale totale d’environ 66 000 détenus. En 1953, le nombre total des détenus, politiques et droits communs, ne sera plus que de 25 000.

LA CENTRALE, L’AVILISSEMENT TOTAL

Le journaliste Philippe Saint-Germain raconte : « La centrale, c’est ce que nous redoutions le plus. Les gens là-bas étaient soumis à une discipline de fer ».

L’ancien de la Division Charlemagne [de la Waffen-SS], Christian de la Mazière, condamné à cinq ans de prison en 1946 et frappé d’indignité nationale pendant dix ans, fut gracié par Vincent Auriol en 1948. Il sort de la maison centrale de Clairvaux, Il ajoute :

De la Mazière, devenu impresario, avec sa copine de 1963-66, la chanteuse Dalida

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« C’était l’avilissement total » : encellulement en surnombre, isolement, sous-alimentation, poignets menottés lors des transferts, attentes interminables, des cellules exiguës et bas de plafond, dont l’immonde vétusté et l’insoutenable puanteur révoltent les détenus. Et puis, il y a, à l’accueil en centrale, la « fouille absolument totale, indécente même, grossière, répugnante », avant que la tonte (on leur rase aussi la moustache et la barbe) et l’attribution d’un numéro-matricule, pour toute identité, ne parachèvent leur déchéance, nous raconte Pierre-Denis Boudriot.

Lors de la fouille, les gardiens procèdent plus particulièrement à l’examen du rectum, à la stupeur et à l’humiliation de ces épurés, journalistes, amiraux, généraux, notables.

Tout se passe dans le silence le plus absolu, à observer jour et nuit, en toutes circonstances, comme jadis, commente l’auteur, « les moines cisterciens en leurs abbayes ». Les prisonniers sont invités à revêtir les hardes maison, des défroques nauséabondes. Ils ont froid, terriblement froid. Et puis, la puanteur est extrême, violente, indéfinissable, tant elle concentre d’exhalaisons putrides diverses.

Henri Béraud (Prix Goncourt 1922) raconte :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_B%C3%A9raud

« Elle cogne. On la reçoit en pleine figure, comme une gifle ».

Alphonse Boudard surenchérit : « La prison, c’est d’abord une odeur. Un mélange : rat crevé, pisse de chat, moisissure, merdes diverses, pieds douteux, gaz d’éclairage en fuite, mégots froids et puis la soupe aux choux, surie quotidienne ».

Les baquets, tinettes, pots sont les attributs de la condition de forçat. Pour Henri Béraud, la centrale de Poissy, tout entière, n’est qu’une vaste latrine. Le détenu se clochardise et régresse.

Et puis, il y a ces lourds sabots pénitentiaires. (Ces sabots sont censés empêcher les prisonniers de courir et donc de s’évader aisément.)

Ils sont fait pour meurtrirt terriblement les pieds et ils résonnent du matin au soir.

#“UN RAMASSIS HÉTÉROCLITE DE BRAVES TYPES ET DE CANAILLES”

La centrale est aussi un monde dans lequel s’épanouissent les délateurs par tempéra-ment. Délateurs sous l’occupation, mouchards en prison. Le journaliste Pierre Malo note que la délation est, avec l’homosexualité et la tuberculose, l’un des principaux fléaux des centrales, ajoutant : « La moitié de la population détenue à Poissy est composée de délateurs ».

[Lucien] Rebatet qui, bien sûr,  ne décolère guère, [grand écrivain antisémite et fasciste, rédacteur de “Je suis partout”]

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lucien_Rebatet

découvre à Clairvaux « un ramassis hétéroclite de braves types et de canailles, d’idéalistes et d’imbéciles, de gamelards et de héros ».

Les condamnés politiques côtoient ainsi, avec horreur mais aussi avec fascination, le rustre intégral, vivant à l’état quasi végétatif, se satisfaisant de sa seule pitance et d’une totale inaction.

Les détenus ont droit, après le déjeuner, à une demi-heure de “promenade” au pas cadencé, formant deux rondes tournant en sens inverse. L’ennui est omniprésent.

Rebatet raconte : « Je m’ennuie fabuleusement, incommensurablement, et désespérément ».

Charles Maurras [ chef et fondateur de “L’Action française”] bénéficie, quant à lui cependant, d’appréciables conditions de détention, multipliant lectures et travaux d’écriture. Le temps de l’enfermement “s’égoutte” dira Claude Jamet.

Certains sombrent dans un abrutissement chronique, perdent au fil des années la notion du temps, qui finit même par s’abolir. Misérables rebuts clochardisés réduits à leurs seule fonctions organiques, les plus atteints mènent une vie quasi végétative, commente Boudriot.

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UN ENFER ÉTROITEMENT RÉGLEMENTÉ

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En tout lieu de l’établissement règne, nuit et jour, une stricte discipline. La parole est proscrite. Murmurer, chuchoter, bouger même les lèvres est impitoyablement sanctionné. A la privation de parole s’ajoute la prohibition de l’écrit. La détention d’un bout de crayon ou de papier vaut une peine de mitard.

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L’enfer est étroitement réglementé. L’impétrant garde six mois les cheveux ras, ne boit pas de vin, peut fumer une cigarette par jour, puis a droit au bout de six mois à trois centimètres de cheveux, un quart de vin. Au bout d’un an, s’il a été “sage”, il disposera librement de ses cheveux, pourra fumer trois cigarettes quotidiennes et écrire cinq fois chez lui, par mois, au lieu de trois.

Plusieurs fois par jour, il est astreint à une immobilité complète dans la même posture : les bras croisés sur la poitrine. Pas question de tourner la tête, d’esquisser un geste, d’échanger un regard, sinon direction le « prétoire de justice disciplinaire » et le mitard, une prison dans la prison.

Et puis, surpassant en horreur le mitard, il y a la salle de discipline, lieu de tourments et de sévices infligés dans l’esprit des bagnes africains de l’armée française. Pierre-Denis raconte que, « chaussés de sabots trop petits afin de meurtrir un peu plus les pieds, les punis arpentent au pas cadencé la salle, en une ronde de loques hébétées de souffrance et d’épuisement », parcourant jusqu’à 40 kilomètres dans la journée. Certains, roués de coups, ne se relèvent plus.

D’autres, de douleur et d’épouvante, sombrent dans la démence. Les punis de Clairvaux étaient, de surcroît, lestés d’un sac rempli de briques…

Mais qu’en est-il de la nourriture en centrale ? Jusqu’en 1949, tout détenu non puni reçoit en règle générale, le matin, de l’eau chaude «noircie» façon viandox, avec du pain, puis à midi et le soir une soupe accompagnée d’une pitance, en langage administratif : « Eau de choux et choux à l’eau », raconte le journaliste Pierre Malo.

A Clairvaux, c’est en 1948, soupe de carottes midi et soir, la pitance étant composée d’une écuelle de carottes avec parfois des pommes de terre. La viande ? Le bagnard se contentera, à intervalles espacés, d’un morceau de viande de cheval coriace bien que bouillie.

A Fontevrault, le menu prévoit un morceau de fromage tous les quinze jours, et le dimanche une portion d’abats cuite à l’eau.

C’est ce que l’administration qualifie de nourriture « saine et abondante ». Mais pour mériter sa pitance, il convient de travailler, pour ceux qui le peuvent. Les intellectuels, écrivains de renom ou prestigieux officiers, se retrouveront à l’atelier papeterie, à confectionner des étiquettes destinées à la SNCF, des sacs en papier et des enveloppes, ce qui paraît logique.

D’autres prisonniers tressent des “chaises-paille”, une activité redoutée, car durant des heures, on y tresse la paille à main nue dans des baquets d’eau froide. Et le reste à l’avenant…

Les détenus perçoivent un salaire misérable de soixante-quinze centimes, dont la moitié, voire les neuf dixièmes, sont retenus par l’administration pour la nourriture, l’entretien des prisonniers et les frais de justice.

DES CONDITIONS D’HYGIÈNE ÉPOUVANTABLES

Les conditions d’hygiène sont épouvantables. La literie disponible est d’une saleté repoussante. Le directeur de l’administration pénitentiaire en convient, d’où sa circulaire : « La literie doit être nettoyée plus souvent et les couvertures lavées au moins une fois par an » !

Entassement, sous-alimentation, travail épuisant, hygiène corporelle déplorable, tout concourt à une rapide dégradation de l’état de santé des prisonniers, à commencer par le froid que certains matons entretiennent par pur sadisme.

La douche est autorisée une fois par mois à Clairvaux, et toutes les trois semaines à Poissy. Les bagnards souffrent de multiples pathologies, dont la gale, la variole, des eczémas, des affections stomatiques, etc… Mais le fléau des fléaux est la tuberculose, due au froid glacial des dortoirs et du mitard, et à la faiblesse physique causée par la faim.

Certains prisonniers cherchent à sortir à tout prix de cet enfer et n’hésitent pas à acheter des crachats de tuberculeux dans l’espoir de tomber malades et d’être envoyés dans un sanatorium. D’autre se blessent volontairement à une jambe, l’infectant avec du tartre dentaire. D’autres se “fabriquent” d’énormes abcès, avec des seringues volées, qui leur valent un séjour à l’hôpital, qui leur paraît être un havre de paix et de douceur.

“L’ATMOSPHÈRE EST UNE PURÉE DE BÊTISE”

Certains épurés, issus du monde politique et littéraire, déplorent les effets délétères de la détention sur l’esprit.

Lucien Rebatet vitupère, dénonçant « l’affreux paquet d’imbéciles et de fripouilles » et assène : « L’atmosphère est une purée de bêtise ». Henri Béraud déclare subir une « usure lente et nauséeuse parmi les rebuts des hommes ».

La situation s’améliorera cependant au fil des années. La règle du silence n’est plus observée de façon absolue, le droit d’écrire une lettre par semaine octroyé, les bagnards de Clairvaux sont autorisés à faire du théâtre une fois par mois, les prisonniers auront droit à une promenade libre d’une heure quotidienne.

On joue parfois à la boule marseillaise, on pratique même la pelote basque, « sport pénitentiaire par excellence », iro-nise Pierre-Antoine Cousteau. « Car que faut-il pour y jouer ? Un mur. Et les murs, on en aurait plutôt à ne savoir qu’en faire ».

Le cinéma fera son entrée en décembre 1951 à Clairvaux, Pierre-Antoine Cousteau redécouvre en février 1953, ébloui, la radio dont il a été privé depuis 1945. Amnistie collective, individuelle, médicale ou grâce, les centrales vont se vider peu à peu. Claude Jeantet, élargi en 1956, sera un des tout derniers journalistes libérés.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude_Jeantet

Jeantet en visite au front de l’Est in 1943 en Russie

RENDUS À LA LIBERTÉ. MAIS QUELLE LIBERTÉ ?

Mais ce sont parfois des hommes prématurément usés et vieillis qui sont rendus à la liberté. Pierre-Denis Boudriot évoque « ces détenus indigents », épaves esseulées, oubliés de tous, qui quittent avec appréhension la prison, nantis de leur pécule dérisoire, et d’un billet de chemin de fer, alloué par l’administration, avec une paire de lunettes et quelques effets. Incapables de s’adapter à leur nouvelle existence, nombre de ces miséreux finiront, seuls et oubliés, dans quelque asile ou hospice.

D’autres vivent une « douce ivresse », un « moment d’éblouissement ». Ce sont des chanceux, car, écrit l’auteur, « des années de détention ont souvent altéré la vie de la famille du prisonnier, et au premier chef, l’existence, nuit et jour, de sa femme ».

Le détenu aura attendu toutes ces années le courrier conjugal, des colis, la visite de son épouse, toujours plus rare pour certains détenus. Les instances en divorce se multiplient. Pierre Malo raconte que, dès la fin 1945, « une avalanche de papier bleu s’abat sur la Centrale ». A sa libération, l’ancien détenu doit réapprendre à vivre, reprendre place au sein d’un foyer profondément modifié, renouer avec sa propre famille, avec ses enfants qu’il n’a pas connus.

L’épouse (quand elle est restée) retrouve un homme profondément changé, diminué et souvent dépressif.

Souvent, à l’enfer de la prison, succède un nouvel enfer…

Robert SPIELER. _____

Bagnes et camps de l’Epuration française, de Pierre-Denis Boudriot, 240 pages, 20 euros, Auda Isarn BP 90825 31008 Toulouse cedex 6 ou reflechiretagir.com. Port gratuit pour les lecteurs de RIVAROL.

[fin]

Articles principaux de John de Nugent en français

 

Contact/Soutien

 

Un aspect du pouvoir immense du swastika aryen est sa motilité.

En voici un qui tourne litérallement — une roue qui avance!
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…..Tableau d’honneur

En ce moment, je tiens à remercier de nouveau quelques âmes nobles qui m’ont financé depuis 2009 avec une générosité extraordinaire et de sérieux sacrifices financiers, par ordre chronologique depuis 2005:

 –Le regretté grand éditeur, feu Willis Carto (de “Carteau” et d’ascendance française)

–Un immigrant grec de la région de Washington DC
–Un tôlier allemand, F, de Kingston, Ontario, Canada
–Un cultivateur de légumes sourd de Kennewick (oui, comme dans «Kennewick Man» mais plus récent), G, de l’État de Washington
–Une infirmière psychiatrique de sexe masculin de la région de Detroit, T
–Un webmestre égyptien qui a fait des centaines d’heures de travail gratuitement
–Une Canadienne d’origine allemande, T, d’Edmonton, Alberta
 –Une lycéenne de Rhode Island, K, qui a commencé par m’envoyer de l’argent gagné par son baby-sitting et maintenant de son travail avec une pharmacie

–A Texan aux tendances bouddhistes, B
–Un ingénieur finlandais, T
–Un suisse-allemand, M
–Un Allemand qui a passé 30 ans comme pâtissier aux États-Unis, F
–Un Croate qui vit en Écosse, M
–Un Allemand à Berlin, S
–Un architecte allemand du Schleswig-Holstein, C, qui a payé cette grande colorisation

–Un Français, M
–Un activiste en Floride qui se focalise sur le cas du juif violeur et étrangleur, Leo Frank, et sa victime, Mary Phagan, M

–Un chauffeur de camion de Caroline du Nord, feu Jaimie Anderson

–Un Floridien, T
–Un australien, T
–Un sergent d’artillerie à la retraite du Corps des Marines à Pittsburgh, W
–A Hollandais, F
–Un connaisseur australien des Ovni, P
–Une femme allemande
–Un Australien, D
–Un dentiste du Massachusetts, J
–Un ancien combattan de rue du parti NS de Rockwell, J
–Un personnage-clé du magazine révisionniste Barnes Review
–Un juif de naissance, maintenant chrétien orthodoxe, et national-socialiste de New York
–Un opérateur de centre d’appel et un lecteur vorace,  T

 –Je tiens également à remercier, habitant probablement le Valhalla ;-), le Dr William Luther Pierce, fondateur de l’Alliance nationale,

….et le regretté Hans Schmidt de la division Waffen-SS «Leibstandarte Adolf Hitler», un vétéran de la bataille des Ardennes de ’44, plus tard un homme d’affaires immigré prospère en Californie et éditeur de bulletins d’information.

Dans les années 80, j’étais proche de ces deux hommes, j’ai travaillé pour eux, et ils m’ont généreusement soutenu, moi et ma famille d’alors.

– Félicitations également à feu George Martin de Détroit, Michigan, un catholique dévot qui m’a envoyé 1 000 $ lorsque je me présentais au Congrès américain au Tennessee en 1990, tout comme feu Sherri Yount de Palm Beach, Floride, et feu Walter Raes de la division flamande Waffen-SS, qui connaissait Leon Degrelle lorsqu’il était garçon et jeune garçon “Rexiste”. Il m’a envoyé une documentation précieuse et originale du Rexise et du Troisième Reich pour les Belges.

—Je souhaite également remercier un avocat de Baltimore, G. J’adresse mes remerciements au célèbre avocat S d’Atlanta, en Géorgie, qui m’a aidé en 1990 lorsqu’un flic de moto raciste et vicieux de race noire m’a harcelé, ce qui mit en colère contre lui son collègue flic blanc, arrivé dans une voiture de police. Ce nègre à la haine des Blancs a ensuite été emprisonné pour avoir extorqué du sexe orale à des femmes blanches auxquelles il avait menacé l’arrestation.
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MERCI d’avoir creusé profondément! Vous l’avez compris – NOUS SOMMES EN GUERRE!

Il n’y a que la propaganda crasseuse qui soit gratuite!

“Adam recherche Eve” émission de télévision gratuite et toxique

 

Un Allemand sur VK a posté ceci le 10 août 2019: «Monsieur John de Nugent, je vous décerne par la présente la Croix de chevalier pour votre combat contre Satan. 🙂 »

Chaque jour, des personnes connues paient des attaques par déni de service (DOS) sur ce site Web pour vous empêcher de lire ce qui y est publié. Cette opération implique l’installation de virus dans les réseaux de robots dans le monde entier, de sorte que les utilisateurs non avertis reçoivent des signaux ordonnant à leurs ordinateurs d’envoyer des dizaines, des centaines ou des milliers de courriels à ce site. L’objectif est de submerger le serveur et de faire couler la publication. Plusieurs de ces vagues d’attaque se produisent chaque jour. Lorsque les personnes connues font l’objet d’une nouvel article de ma part, les assaillants lancent encore plus de leurs torpilles que d’habitude.
La défense contre ces attaques et la protection de l’actualité du site Web et de ses archives sont coûteuses. Vous êtes invités à faire un don afin de préserver ce qui ne vous a rien coûté jusqu’à présent. 🙂

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…. Dans un avenir prochain, le national-socialisme renaîtra

…sous une nouvelle forme pour nos temps multiraciaux et totalitaires.

Alors que nous luttons pour un nouvel espoir, il est important de réaliser que nous, les national-socialistes ne proposons point une théorie du gâteau dans le ciel, mais une réalité réussie.

Nous avons pris une véritable nation – un pays brisé, l’Allemagne de Weimar de 1932 – qui était en faillite dans la “Grande Dépression” — déclenchée par les Juifs — de toutes les manières imaginables – financièrement, moralement, militairement, culturellement, psychologiquement et politiquement – avec des millions littéralement en face à la mort de faim et en train de contempler le suicide.

Notre dernier espoir – Hitler”

Et tandis que l’Amérique restait déchirée par la Grande Dépression sous Franklin Rosenfeld, partiellement juive et par son père et par sa mère (elle fut la fille de Warren Delano, descendant de juifs sépharades et trafiquant d’opium), par contre, sous l’égide d’Adolf Hitler, l’Allemagne commença à éliminer les juifs. ces intermédiaires non voulus, et se retourna Presque instantanément pour redevenir une grande puissance libre et prospère en seulement cinq ans!

C’est Franklin Delano Rosenfeld qui, en 1935, fit redessiner le grand sceau des États-Unis par ordre exécutif, de sorte qu’une étoile de David est apparue au-dessus de l’aigle américain. Difficile de devenir plus flagrant que cela Et comme l’a dit Jésus: “Que ceux qui ont des yeux dans leur tête VOIENT!”

 

Le «vieux» grand sceau avant Rosenfeld posséda un motif très aléatoire de treize étoiles, symbolisant les treize colonies rebelles qui se sont battues pour leur liberté.

la première esquisse dans les années 1782, approuvée par le Congrès

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Pièce commémorative de 1882

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Verso de l’ancien billet d’un dollar sous les présidents républicains Harding, Coolidge et Hoover

Sur l’ordre exécutif de Rosenfeld, le grand sceau a été ouvertement judaïsé et la sinistre pyramide franc-maçonnique à l’œil nu, vue ici, avec la devise latine «Notre plan a réussi» et «Nouvel ordre mondial» a été déplacée par FDR vers la gauche.

..

Parlons encore de notre national-socialism et à ses prouesses:

Quand Delano Rosenfeld imposa une seconde guerre mondiale à l’Allemagne, le Reich brisa en 1939-1941 tous les ennemis qui avaient défait l’ancienne Allemagne du Kaiser pendant la Première Guerre mondiale!

Il a finalement fallu trois années d’efforts extrêmes – par l’Empire britannique, les États-Unis et l’URSS – aux gigantesques armées de trois superpuissances pour vaincre UN seul pays, l’Allemagne nationale-socialiste!

Et aujourd’hui, voici la vérité, la Chine monte en flèche. Pourquoi?

Sans l’avouer à l’Occident, la Chine, abandonnant toute la théorie économique marxiste, utilise presque TOUS les enseignements clés d’Adolf Hitler sur:

— la préservation et l’amélioration de la race,

— le principe du leader (plus de querelles partisans!),

— la communauté du peuple tout entier

— économie planifiée calquée sur un marché quasiment libre

pour devenir une superpuissance elle-même!

. .

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Zéro métissage d’avec des races inférieures!

fierté sur un grand et ancien patrimoine – le travail acharné, l’éducation pratique et famille forte! (tout comer Pétain: travail, famille, patrie)

Les Chinois s’attaquent également à l’Islam étranger, sémitique et qui crée des problems!

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Que pouvez- vous faire – maintenant?

Lisez tout ce que vous pouvez sur le socialisme national pour pouvoir le défendre dès son retour!

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Vous décrivez les blancs sous le NS comme étant tous étouffés et opprimés – mais c’est MAINTENANT que les Blancs sont étouffés, opprimés, humiliés et attaqués!

 

Cliquez à  droite sur ce lien audio pour jouer de la musique dans un nouvel onglet (Durée 03:51).

https://johndenugent.com/images/happy-warm-greetings.mp3

 

John de Nugent
306 South Steel Street
Ontonagon MI 49953-1550

 

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La concurrence excellente et libertophile des Russes face au très sémitique Fessebeurk 😉

Son propriétaire juif, Mark Zuckerberg, a déjà  effacé deux fois mon compte pour mes opinions à  l’encontre du suprématisme sioniste

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