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…..Avant Dominique Venner, un peu d’humour
Dard dard
Le pou, car il est toujours en tête
“STOP !!! J’ai un point de côté !!!”
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….. “En souvenir de Dominique Venner” trouvé sur “Boulevard Voltaire”
[Toutes les photos ont étés ajoutée par moi, JdN, à ces articles écrit par Robert Menard et Jérôme Poignon]
Un camarade, ayant lu ce qui suit, m’a écrit que Venner fut un athée et haineux envers le catholicisme. Je lui répondis:
Cher camarade,Bizarrement, il n’y a aucun article sur Venner sur fr.metapedia, et l’article sur lui chez Wikipedia ne dit mot sur son athéisme…. Il était chez GRECE….mais a -t-il jamais dit “je ne crois pas en Dieu”?
Moi, je ne soutiens personne qui prêche ouvertement l’athéisme ou qui part en guerre contre le Christ. Je suis tout á fait d’accord avec Hitler que l’athéisme et les attaques contre Jésus sont des armes de destruction massive des Juifs et de leurs alliés franc-macons. JdN
La dernière lettre de Dominique Venner.
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Je suis sain de corps et d’esprit, et suis comblé d’amour par ma femme et mes enfants. J’aime la vie et n’attend rien au-delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit. Pourtant, au soir de cette vie, devant des périls immenses pour ma patrie française et européenne, je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation. Je choisis un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre-Dame de Paris que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.
Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m’insurge contre la fatalité. Je m’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire. Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge aussi contre le crime visant au remplacement de nos populations.
Le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences. À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes.
Je demande pardon par avance à tous ceux que ma mort fera souffrir, et d’abord à ma femme, à mes enfants et petits-enfants, ainsi qu’à mes amis et fidèles. Mais, une fois estompé le choc de la douleur, je ne doute pas que les uns et les autres comprendront le sens de mon geste et transcenderont leur peine en fierté. Je souhaite que ceux-là se concertent pour durer. Ils trouveront dans mes écrits récents la préfiguration et l’explication de mon geste.
Jusqu’à ce jour du 21 mai 2013, il m’était inconnu. Son geste dans la cathédrale avait été sommairement qualifié de « suicide d’un intellectuel de droite, sans lien avec le terrorisme », ce qui permettait aux médias bien-pensants de passer sereinement à la météo et aux résultats sportifs.
Pourtant, j’étais intrigué par l’exposition délibérée d’un geste essentiellement privé. En lisant sa lettre, puis son dernier livre, je comprenais que son acte final était un sacrifice destiné à réveiller tous ceux atteints par son information.
J’étais de ceux-ci et certainement aussi endormi que d’autres par le césarisme d’une époque finissante qui a perdu beaucoup des vertus qui marquent les grandes œuvres de notre passé, notamment l’enthousiasme, le sentiment de la transcendance, et le courage. « Toute collectivité sans cohésion sacrificielle, si efficace qu’en soit l’organisation, n’est qu’un agrégat sans volonté commune, anonyme et sans responsabilité » (Pierre Emmanuel).
Venner porte un jugement lucide sur le siècle et ne partage pas le pessimisme de Spengler : si le déclin de l’Occident n’est pas irréversible, c’est parce que l’esprit à l’origine de ses grandes réalisations intellectuelles germera certainement à nouveau, si toutefois la flamme est entretenue.
En attendant la reconquête d’un sens du destin, il nous faudra « éduquer et transmettre » des vertus simples comme celles qu’il décrit dans son livre. Dans le « tunnel » que nous traversons, notre rôle sera donc analogue à celui des monastères qui conservaient et copiaient, au Moyen-ge, les livres grecs et romains qui devaient nourrir la Renaissance.
Ce « cri » qui a résonné sous les voûtes de Notre-Dame de Paris me remplit de crainte : si les dérives qu’il dénonce sont aussi vastes que le sacrifice fut grand, combien faudra-t-il de discours, de livres, de pamphlets, de suffrages ou d’abstentions protestataires pour provoquer le nécessaire changement des mentalités et des comportements privés et publics ? Saurons-nous éviter les méfaits d’un anarchisme subversif et les démesures de la révolution ?
Il ne suffira pas, en effet, de dénoncer les turpitudes et les excès par l’investigation et/ou la dérision : « L’effort intense de refondation doit être authentifié par des actes ayant une valeur sacrificielle et fondatrice. » La dernière phrase de son dernier livre a été illustrée dramatiquement puisqu’« il faut être soi-même jusqu’au dernier instant, surtout au dernier instant ».
Comment ne pas penser à la terrible sentence que Yourcenar place dans son « Mishima » : « Il s’agit toujours de superposer à la sagesse prudente et courante dont nous vivons ou sur laquelle nous végétons tous, la sagesse dangereuse, mais revivifiante, d’une ferveur plus libre et d’un absolu mortellement pur. »
Sur le site qui publia son ultime lettre il y a un an, je veux célébrer Dominique Venner.
Jusqu’à ce jour du 21 mai 2013, il m’était inconnu. Son geste dans la cathédrale avait été sommairement qualifié de « suicide d’un intellectuel de droite, sans lien avec le terrorisme », ce qui permettait aux médias bien-pensants de passer sereinement à la météo et aux résultats sportifs.
Pourtant, j’étais intrigué par l’exposition délibérée d’un geste essentiellement privé. En lisant sa lettre, puis son dernier livre, je comprenais que son acte final était un sacrifice destiné à réveiller tous ceux atteints par son information.
J’étais de ceux-ci et certainement aussi endormi que d’autres par le césarisme d’une époque finissante qui a perdu beaucoup des vertus qui marquent les grandes œuvres de notre passé, notamment l’enthousiasme, le sentiment de la transcendance, et le courage. « Toute collectivité sans cohésion sacrificielle, si efficace qu’en soit l’organisation, n’est qu’un agrégat sans volonté commune, anonyme et sans responsabilité » (Pierre Emmanuel).
Venner porte un jugement lucide sur le siècle et ne partage pas le pessimisme de Spengler : si le déclin de l’Occident n’est pas irréversible, c’est parce que l’esprit à l’origine de ses grandes réalisations intellectuelles germera certainement à nouveau, si toutefois la flamme est entretenue.
En attendant la reconquête d’un sens du destin, il nous faudra « éduquer et transmettre » des vertus simples comme celles qu’il décrit dans son livre. Dans le « tunnel » que nous traversons, notre rôle sera donc analogue à celui des monastères qui conservaient et copiaient, au Moyen-ge, les livres grecs et romains qui devaient nourrir la Renaissance.
Le général wallon de la Waffen-SS Léon Degrelle
Ce « cri » qui a résonné sous les voûtes de Notre-Dame de Paris me remplit de crainte : si les dérives qu’il dénonce sont aussi vastes que le sacrifice fut grand, combien faudra-t-il de discours, de livres, de pamphlets, de suffrages ou d’abstentions protestataires pour provoquer le nécessaire changement des mentalités et des comportements privés et publics ? Saurons-nous éviter les méfaits d’un anarchisme subversif et les démesures de la révolution ?
Il ne suffira pas, en effet, de dénoncer les turpitudes et les excès par l’investigation et/ou la dérision : « L’effort intense de refondation doit être authentifié par des actes ayant une valeur sacrificielle et fondatrice. » La dernière phrase de son dernier livre a été illustrée dramatiquement puisqu’« il faut être soi-même jusqu’au dernier instant, surtout au dernier instant ».
Comment ne pas penser à la terrible sentence que Yourcenar place dans son « Mishima » : « Il s’agit toujours de superposer à la sagesse prudente et courante dont nous vivons ou sur laquelle nous végétons tous, la sagesse dangereuse, mais revivifiante, d’une ferveur plus libre et d’un absolu mortellement pur. »
JdN: Fabius et Hollande, deux Juifs de la pire sorte
…..Merci à tous mes donateurs généreux!
— 4 août 2021 500 Euros de L au Québec, Canada
— 28 juillet 2021 200 $ :
Ce Texan, qui m’avait déjà envoyé un étui de pistolet superbe,
… a fait don, comme il l’avait promis, de deux cents dollars (100 $ en espèces et 100 $ par mandat postal USPS) – et il m’a écrit une belle lettre.
— 28 juillet 2021 400 euros via PayPal de M en France
— 25 juillet 2021 500 $ en espèces de S à Edmonton, Alberta, Canada
— 22 juillet 2021 40 euros, photos et note de M en France
— 21 juillet 2021 30 euros via PayPal de M en France
— 20 juillet 2021 400 euros via PP de C en Allemagne
— 16 juillet 2021 400 euros, photos et carte de M en France
–15 juillet 2021 400 euros via Moneygram depuis C en Allemagne
–15 juillet 2021 25 $ via une carte-cadeau Amazon de S dans un lieu inconnu
— 14 juillet 2021 400 $ via une carte-cadeau Amazon de J au Nevada
–13 juillet 2021 deux superbes livres historiques de J au Nouveau-Mexique, Stalin’s War of Extermination de Joachim Hoffmann, et Chief Culprit, du juif soviétique et historien militaire Suvorov, prouvant que Staline était sur le point d’attaquer massivement l’Allemagne par surprise, en août 1941 (malgré le pacte de non-agression Berlin-Moscou de 1939) lorsque l’Allemagne hitlérienne à la place, avec une justification complète, l’a attaqué par surprise.
–13 juillet 2021 livre de Stan Hess in Idaho Defensive Racism par le regretté avocat de WN Edgar Steele, qui a ensuite été tragiquement accusé de tentative de meurtre sur la parole d’honneur d’un criminel condamné qui lui avait volé des milliers de pièces d’argent DE LUI! Ensuite, le FBI a créé un faux audio profond – en utilisant la technologie du Media Lab du MIT – de Steele soi-disant en train de discuter AU TÉLÉPHONE de la suppression de sa propre femme, ce que sa femme Cindy n’a jamais cru une seconde. Steele a ensuite été emmené en prison, recevant une « thérapie au diesel » (il se déplaçait constamment de prison en prison (dans un bus à moteur diesel, d’où une « thérapie au diesel ») avec son courrier jamais transféré, il n’avait donc presque aucune communication avec ses amis. , supporters et famille pendant des mois). Il est ensuite décédé en prison en raison de la suspension de ses médicaments par les autorités fédérales et probablement aussi du désespoir. Ce livre est superbe. Vous pouvez voir pourquoi les juifs le haïssaient et le craignaient.
— 12 juillet 2021 100 dollars australiens [ = US$75], lettre, infos sûrs des OVNI/Annunaki de J en pays des koalas
— 10 juillet 2021 200 Euros de M en France
— 9 juillet 2021 50 Euros et cartes de S en Allemagne
— 28 juin 2021 $23 en liquide et lettre amicale de W au Tennessee
–24 juin 2021 190 $ en espèces et en litres de N en Géorgie
–21 juin 2021 200 euros, photos du musée du Louvre, et un gentil mot de M en France
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