Nous les Américains — aveuglés et affaiblis par le juif éternel — avons perdu la guere de Corée (une impasse), du Vietnam (et de Cambodge et du Laos), celle d’Irak et maintenant de l’Afghanistan.
(Sans parler des «guerres» nationales proclamées par divers présidents, de la soi-disante «guerre contre la drogue» *à la «guerre contre le crime», tous des échecs coûteux et totaux.)
Pourtant, nous n’eumes perdu une seule guerre avant de reconnaître Israël en 1948.
Depuis lors, il y a eu une défaite après l’autre,
et l’effondrement de la famille, de la fréquentation de l’église et de l’économie industrielle à hauts salaires. Suicide, drogue, divorce, tensions raciales – tout le chemin!
Et avec Biden-Harris, nous avons maintenant le mal ouvertement triomphant!
L’évacuation annoncée de
l’Afghanistan pour septembre 2021
21 avril 2021, Numéro 3468
LE PRÉSIDENT Biden a surpris le 14 avril 2021 en annonçant brusquement une évacuation prochaine totale des forces armées américaines de l’Afghanistan, et, implicitement, mais cela ne fait aucun doute, des alliés de l’OTAN.
Ils sont actuellement quelques milliers d’hommes ; ils avaient
été 10 à 20 fois plus nombreux à certaines périodes ; Trump avait
donc effectué un retrait partiel.
*** JdN: Le dernier seigneur de guerre à avoir écrasé et subjugué les Afghans : le Grec macédonien et blond-aux-yeux-bleus Alexandre le Grand, il y a 2 300 ans!
Aprè sa mort subite dans une Babylon sémitique, un énorme royaume grec s’établit dans la région.
Une pièce de monnaie du roi Agathocles
Les Nouris, tribu afghan de haute montagne de race quasiment nordique, seraient selons certains leurs descendants qui se seraient rétréci au fil des siècles vers des bastions de neige éternelle aux crêtes. Jusque vers 1890 ils furent encore des païens, puis vint un sultan qui les convertit à l’islam par la violence si aimée des musulmans.
Soldat de l’Army US devant le village d’Aranas en Nouristan
Mais on dit que les statues en bois de leurs dieux furent plutôt indo-aryens, tels Indra, le dieux de la guerre et du tonnere des conquérants nordiques de l’Inde vers 1 500 avant J.C .
À mon avis, les derniers Grecs auraient trouvé réfuge chez ces Nouris de race appararantée et de religion également indo-européenne plutôt que de se soumettre à la foi aberrante du psychopathe et pédophile Mahomet. (“Soumission” est la traduction du mot arabe “islam”).
***de retour chez l’article de “Rivarol”
Ces quelques milliers d’hommes, soldats d’élite, appuyés par la première aviation du monde, constituent probablement le seul
rempart empêchant les Talibans de s’emparer de Kaboul et des principales villes afghanes.
Ce retrait serait total et achevé pour septembre 2021. Biden a indiqué avoir choisi le mois en référence aux vingt ans du 11 septembre 2001, justification américaine en son temps de l’invasion de l’Afghanistan.
Elle avait été approuvée alors par la quasi-unanimité des députés et sénateurs ; ce cas diffère donc de celui de l’Irak en 2003, où il y avait eu quelques opposants, bien que nettement minoritaires.
POURQUOI CE REVIREMENT DE BIDEN ?
La surprise vient du fait que le même Biden avait fait campagne en 2020 sur le thème de l’irresponsabilité internationale de Trump, qui avait promis, lui, d’effectuer ce retrait pour l’automne 2020, signant même — via un émissaire officiel — en février et en mars 2020 des actés considérables.
Elles correspondent fondamentalement, au-delà de sa personnalité, discutée, à celles de son pays, largement désertique, à l’exception d’une cords de transition avec les Talibans. Ces accords n’ont été respectés par aucune des deux parties.
Trump en a tiré prétexte pour différer de quelques semaines ce retrait ; il voulait absolument éviter l’image, lors de la dernière ligne droite avant l’élection présidentielle du 3 novembre 2020, de Talibans triomphants dans les rues de Kaboul.
Il pensait qu’elles auraient pu lui coûter sa réélection. Biden a effectué probablement un calcul semblable : à peine entré en fonction, il peut donc mettre le probable désastre médiatique à
venir sur le compte de ses prédécesseurs, soit Trump pour la dernière période, soit Bush Junior, qui avait lancé les Etats-Unis dans cette aventure en 2001, sans vrai plan de long terme, et en
oubliant Obama.
Biden a, surtout sans le citer, repris les arguments de Trump. Après deux décennies d’efforts, les Talibans sont toujours là, et représentent une forme de contre-Etat, et possèdent la force militaire et politique majeure réelle de l’Afghanistan.
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*** Les Talibans lapident des femmes pour adultère
Les pierres ne doivent pas être trop grandes, sinon elles rendraient la mort plus vite.
Mais avec un beau mari musulman comme cela, qui songeraient commettre à l’infidélité?
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Les gouvernements légaux mis en place à partir de 2001 n’ont jamais réussi à s’imposer, ou tout simplement à présenter même une façade crédible. Ils ont été en outre minés en permanence par les haines interethniques, les scandales de corruption, et ceux liés
à la production et au trafic de drogue.
Ce dernier représente toujours de très loin la première ressource réelle du pays.
Dans un climat sécuritaire toujours tendu, la reconstruction économique de l’Afghanistan a été un échec complet aussi. L’activité minière, potentiellement importante, n’a pas été relancée massivement, en dépit de quelques investissements chinois ponctuels.
Quand elles ne sont pas détruites par les combats réguliers, les infrastructures restent absolument minimales, avec une grande route principale qui fait le tour du pays par l’Ouest, un réseau de pistes très précaires, et toujours une absence totale d’autoroutes et de voies ferrées.
Ce contexte pénalise particulièrement un pays déjà très isolé par la géographie physique, coupé de toute mer ou fleuve navigable
important (contrairement à d’autres Etats enclavés comme la Centrafrique ou le Paraguay par exemple).
UNE VICTOIRE TOTALE DES TALIBANS IMMINENTE ?
Biden ne l’a pas avoué, mais le retour des Talibans correspond probablement au souhait majoritaire de la population afghane.
Ne s’y opposeraient vraiment que les minorités ethniques chiites, en particulier les Hazaras, mais qui ne pèsent qu’entre 10 et 20 % de la population totale.
Elles ont tout à craindre de ces sunnites radicaux, absolument pas assagis, au contraire, par vingt ans de lutte, et, désormais, de lutte victorieuse. Une nouvelle crise des réfugiés en direction de l’Iran, et peut-être à terme de l’Europe, est à craindre.
Il n’est pas certain que les minorités tadjike et ouzbèke, sunnites, pesant au total 40 % de la population, s’opposeraient énergiquement aux Talibans.
Certes, les Talibans restent à recrutement ethniquement pachtoun (40 % de la population, ethnie dominante historique) majoritairement, mais il n’est pas exclusif. Leur programme d’un Etat rigoriste sunnite ne serait pas une perspective inacceptable pour les sunnites afghans, dépassant les clivages ethniques.
Les media occidentaux imaginent le plus souvent une répétition des années 1990, soit une guerre interethnique de tous contre tous, puis des minorités du Nord — Alliance du Nord contre les Talibans du Sud. En fait, ce chaos n’est pas certain, car, précisément, la crainte de cette anarchie forme le principal argument en faveur des Talibans pour la population, hier comme aujourd’hui :
eux seuls sont capables de contrôler tout le pays et d’y imposer enfin la paix.
L’avenir de l’Afghanistan s’annonce donc peu enthousiasmant, avec soit une reprise du contrôle total du pays par les Talibans — qui occupaient 90 % du pays en septembre 2001, y compris l’essentiel
du Nord —, soit la poursuite d’une guerre civile permanente depuis 1978, mais sans désormais l’intervention directe des forces
armées de l’OTAN.
Certains analystes suggèrent que la CIA pourrait continuer à
soutenir massivement les oppositions aux Talibans, suivant les fractures ethniques, ce qui pourrait assurer le scénario de la
guerre civile permanente, souvent jugéé préférable à Washington à celui d’une victoire totale des Talibans.
Dans cette hypothèse comme dans l’autre, Al-Qaïda se réinstallerait solidement dans le pays, et continuerait plus que jamais à y planifier des attentats contre l’Occident ; elle le ferait peut-être avec d’autant plus de zèle qu’elle a été lourdement concurrencée par le Califat dans les années 2010.
En cas de victoire totale des Talibans, pourraient basculer dans la guerre civile, voire dans l’islamisme radical triomphant, ses voisins septentrionaux postsoviétiques, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan,
pays enclavés aussi au cœur de l’Asie Centrale, sunnites, et aux économies guère florissantes.
Pire, un Afghanistan aux mains des Talibans pourrait contribuer à
déstabiliser encore davantage le Pakistan voisin, qui connaît actuellement un mouvement de manifestations islamistes
dans ses villes particulièrement massif et violent ; le prétexte en est la “persécution” des musulmans en France — alors qu’ils sont dispensés du couvre-feu durant le Ramadan —.
Le Pakistan est peut-être au bord de la Révolution islamiste, ce
qui serait potentiellement très inquiétant, pour un pays très peuplé de 220 millions d’habitants, doté de la bombe atomique, et
en situation de guerre larvée permanente depuis 1947 au Cachemire contre l’Inde, autre puissance nucléaire.
UN RETRAIT FERMEMENT DÉCIDÉ ?
Aussi, certains généraux américains, dont le compétent — dans l’art de la guerre —, David Petraeus, ancien commandant militaire en Irak (2007-2008) et en Afghanistan (2010), ancien directeur de
la CIA en 2011-2012, ont donc multiplié les tribunes dénonçant ce retrait avancé.
Le plus probable n’est pas que Biden les écoute, même si ce n’est pas totalement impossible.
Aucun de ces scénarios n’est enthousiasmant. Toutefois, la guerre occidentale permanente en Afghanistan n’est manifestement pas la solution non plus. Elle accroît en outre la haine d’une certaine partie
du monde musulman contre l’Occident, conséquence évidente mais généralement tue.
Enfin, il faut espérer que dans la logique de ce retrait annoncé d’Afghanistan, suivent ceux des forces américaines encore ou à nouveau présentes en Irak et en Syrie.
Elles ne sont au service d’aucune politique claire, visible, encore moins qu’en Afghanistan — empêcher les Talibans de revenir
au pouvoir —, sinon celle de nuire à l’Iran et à la Russie.
Aussi ces retraits n’ont-ils pas encore été évoqués par Biden, mais
ils seraient pertinents et logiques. Donc il est à craindre, avec un gouvernement de gauche, que les choses ne soient beaucoup plus longues et compliquées.
— Scipion de SALM.
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La seule solution est une nouvelle religion qui remplace les religions sémitiques extrêmement défectueuses du judaïsme, du paulianisme et de l’islam.
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— 26 avril 2021 le nouveau numéro du Cercle des Amis de Léon Degrelle de G en France
— 24 avril 2021 $5 en liquide avec lettre sur le Covid et le Talmoud de R en Floride
— 23 avril 2021 100 euros, carte, mème sur les évolutions personnelles, et des photos de Montmartre/Paris
— 23 April 2021 chècque de 50 dollars et lettre from K in California
– 13 avril 2021 100 euros, photos de Paris, un mème et une carte de M en France
— 6 avril 2021 100 Euros ( = 100 US dollars), photo du Métro de Paris Metro et carte avec une question sur le seul acte de violence de Jésus — Son expulsion du Temple des changeurs de monnaie
–6 April 2021 $100 via carte-cedeau d’Amazon de J à Cicero/Illinois
— 5 avril 2021 100 dollars et carte der P en Floride
– 2 avril 2021 350 Euros via PayPal depuis M en Allemagne
– 28 mars 2021 100 euros, carte postale de Boston, carte, meme de M en France
Sur la carte:
Bonjour John, et bonjour Margi,
J’espère que vous allez bien, et Margi récupère pas à pas.
Pour le plaisir, je vous joins une carte postale de Boston. J’ai passé quelques jours à l’été 2008 à visiter cette ville. J’ai beaucoup aimé l’atmosphère de l’ancienne section. Il y a définitivement une âme dans ces bâtiments anciens, pas comme les modernes.
Bobby Fischer:
«Ils détestent la nature et l’ordre naturel, parce que c’est pur et beau, et aussi parce qu’il est plus grand et plus fort qu’ils ne le sont – et ils sentent qu’ils ne peuvent pas le contrôler complètement.
Niagara
La beauté et l’harmonie de la nature contrastent fortement avec leur misère et leur laideur.
Sincèrement, M
– 20 mars 2021 100 euros, des photos de Paris et un flyer sur la liste Biderman des techniques coercitives de conformité et des mesures de verrouillage Covid, envoyé par M en France
– 19 mars 2021 200 euros et cartes de M en France, éclairées comme le soleil par une super-lampe de poche Prepper «Fighter Flare» envoyée précédemment par M, plus sa carte postale d’un voyage à Freemantle, Australie occidentale! Un grand merci, monsieur!
–18 mars 2021 50 dollars australiens et ltr de T en Australie
– 17 mars 20201 Carte-cadeau Amazon de 50 $ de T en Floride
– 15 mars 2021 Prêt de 250 $ annulé par P en Floride (j’empruntais littéralement de l’argent pour faire fonctionner le site) et un don de 20 $
Afghanistan, what a mystical land. 😉
When the wind blows dust at you, close your eyes and mouth as the dust is 30% powdered excrement… both human and animal.
To solve the problem of Afghanistan, you need to totally ethnically cleanse the whole population, or leave Afghanistan to the Afghans.
Don’t interfere in African or muslim lands. Let them follow their own destiny.
And have very strong borders and immigration control. How many trillions have been spent on conflicts in the area ? For who’s benefit?
For the Halliburton group and Israel.