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JdN: Arrogante de surcroit dans sa perversion sexuelle….

“Elle sait ce qu’elle veut.” Cela impressionne toujours les moutons, prêts à obéir au plus fort. Encore un argument contre la folie démocratique.

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[source: http://www.propagandes.info/blog/caroline-fourest-la-diablesse-du-judaisme-ou-la-bougresse-du-diable-sodomite-par-emmanuel-lecomte/]

En ce début de siècle, la difficulté majeure pour notre race est que nous ayons contre nous tout et n’importe qui ; cela va du rabbin d’arrière loge jusqu’au dernier des imbéciles qui tergiversent et renâclent sur les réseaux sociaux en passant par certains de nos semblables les plus orgueilleux qui ont décidé dans leur folie qui les frappa dès le dé-bridage de leurs plus grands vices par le juif de se retourner sur eux-mêmes le canon d’un fusil – en s’attaquant à nous !

C’est le cas tragique de Fourest, faussaire, féministe… Et athée.

Cette bougresse enjuivée que l’on aperçoit par les petites fenêtres sombres de nos postes de télévision à l’heure de grandes écoutes, si sure et si imbue de ses convictions trouvées en loges et dans les caves humides des synagogues, dodeline invariablement de la tête comme un parkinsonien au regard torve. Elle affiche avec l’appui d’une fière et suffisante condescendance à l’égard de ses ennemis un sourire narquois de féministe intégriste. Elle mène avec la conviction d’un apôtre, ou plus exactement celle d’un rabbin, une campagne d’extermination de sa propre race pour le compte de la juiverie assassine.

Aussi faut-il la voir y mettre le poids de toute sa mauvaise intelligence pour nous démolir sans la moindre retenue…

Dès le début de tous ses plaidoyers accusateurs et vengeurs, elle jette d’emblée par-dessus-bord les principes fondamentaux de la justice– c’est-à-dire celui du doute et celui de la circonstance atténuante – qui prévalent en général à l’accusé. Ces principes-là sont pourtant chers à celles et ceux qui se veulent et se disent être les défenseurs de la Justice ; toute personne normalement initiée dès son enfance aux saines bases de l’honnêteté, s’autoriserait à considérer lesdits principes, ne serait-ce que par souci d’équité et pour laisser une chance à la Vérité de percer à jour le mensonge…

Mais Fourest fulmine et donne le ton de sa mauvaise foi en faisant fi de tous les principes qui mènent vers la vérité. C’est une menteuse, agacée par les vertus, à la solde de juif qui lui donne tous ses mauvais talents pour mieux se permettre de pleurnicher sur sa psychose et de faire grand cas de son lesbianisme répugnant.

Dans sa frénésie juvénile déclenchée par le rabbinat, elle nie les races et les complots. Elle explique à son auditoire subjugué par ses paroles faussement émancipatrices, sans lui apporter bien sûr la moindre preuve, que les complots n’existent pas ; cette erreur grossière est plus que dangereuse puisqu’elle écarte définitivement des esprits candides cette possibilité, néanmoins réelle, d’une entente juive internationale luttant contre les peuples ; nous serions donc, si nous la suivions jusqu’au bout de son raisonnement erroné, tous plongés dans un monde quasi-idéal qui n’admettrait pas de complots, a fortiori de complots juifs ; ce raisonnement-là n’a d’utilité que pour mieux masquer l’organisation apatride juive et ses multiples intrigues diligentées à travers le monde…

A qui profite le crime de négation du complot ?!?

Aux juifs. Aux franc-maçons. Aux féministes. Aux lesbiennes. A Fourest.

Bref, à l’entendre, il faudrait nous résoudre à croire, par exemple, qu’il n’y aurait seulement chez les prêtres catholiques des actes de pédophilie, que l’intolérance avec un grand « I »serait le principe fondateur de l’Église Catholique et que le nationalisme-identitaire serait une maladie psychiatrique. Ce dont elle rêve inconsciemment par l’entremise de son credo destructeur et juif : c’est de l’écroulement de l’Europe blanche dans le fracas du multiculturalisme, anéantissant notre race civilisatrice pour l’éternité, faisant alors basculer le reste du monde dans les ténèbres de l’esclavagisme et de la fin des temps.

Tout son arsenal de militante lesbienne et féministe lui est fourni par notre antique et irréductible ennemi : le juif !

Et de lui… De ce démon… Que savons-nous déjà ?

Qu’il est l’infatigable promoteur de tous les vices et de toutes les débauches !

Or, l’homosexualité, le féminisme et le métissage, sont ses meilleurs atouts qu’il joue invariablement contre nous ; c’est sa signature infalsifiable utilisée depuis des siècles…

Nous le voyons tant et si bien au travers de cette lesbienne inculte – que c’est ce jeu-là, précisément, qui se révèle sur le tapis des mensonges médiatiques.

Aussi fait-il en sorte d’ériger contre nous cette bonniche du judaïsme en défenderesse acharnée de l’inexistence du complot (juif) et du mariage des sodomites et des lesbiennes.

Le juif est le ferment actif du féminisme et donc, de tous nos malheurs.

Cette sotte n’a donc pas conscience que les nationalistes, les identitaires et les antisémites ralentissent de toutes leurs forces dans cette course folle du « multiculturalisme » qui nous est imposé par le sémite le train infernal de notre destruction.

Quelle gourde !

Qui voudra sauver Fourest ?

Mais plutôt que de revenir à la raison, dans ses reportages qui transpirent la partialité, cette grande prêtresse du mensonge préfère dévorer nos écrans et glapir sur nous sa haine inextinguible du mâle Aryen qui lutte vaillamment pour la vie dans l’âpreté de cette terrible adversité qui l’accable en ces temps maudits du talmud conquérant.

Nous comprenons bien – sans grandes et réelles difficultés -qu’elle détient entre ses griffes jaunes et déjà abimées toutes les autorisations légales des chaînes publiques pour vomir sur nos crânes de souche et de martyrs autant d’inepties et de syllogismes éhontés que le déluge de la Bible ne répandit d’eaux fracassantes et déchaînées sur les terres du vaste et ancien monde.

Toute sa harangue audiovisuelle et « littéraire » repose sur la mauvaise foi la plus forcenée.

Elle a encore, d’une manière générale et totale, obtenu « carte blanche » de la part de nos lugubres institutions pour tuer sans scrupules notre saine et naturelle réaction, légitimement engendrée par tous les maux et les effets contre-natures déclenchés puis jetés sur nous par la judéocratie – dont elle sait se faire, avec moult talents, dans la suprême iniquité du blasphème et de l’outrage, la promotrice la meilleure, la plus acerbe et, il faut le dire aussi, la plus déloyale.

Du coup, avec une telle propension à répandre le mensonge et la calomnie, avec ses caractéristiques diaboliques qui la composent et qui la constituent jusque dans la moindre de ses fibres, ce monstre féministe enragé ne plaide-t-il pas en faveur de ses semblables invertis…

Voudraient-ils seulement la sauver, cette Fourest-là ?

Ainsi, les mensonges sous toutes leurs formes les plus sournoises, la trahison la plus vindicative et la dégénérescence la plus morbide, sont bel et bien ses principes favoris et ses vérités premières et indicibles qu’elle souhaite travestir pour mieux inoculer sa variole aux esprits candides Aryens, ensorcelés par le juif immonde et calculateur.

Fourestest donc bel et bien aux fourneaux des juifs, avec eux, pour distiller – ensembles – tous les poisons sociaux !

Comme si le mal qu’elle nous faisait ne suffisait pas, cette infirmière de Frankenstein qui milite passionnément pour l’euthanasie des indo-européens et pour leur métissage forcé, transporte-elle dans ses bagages de contrebande les flacons mortifères de l’homosexualité, du féminisme, de l’athéisme, de l’anti-traditionalisme… Du « multiculturisme »…Tous savamment concoctés avec le plus grand soin par le rabbinat maçonnique, dans le seul but inavoué d’affaiblir tous les corps et les esprits Aryens et, du coup, de rendre prophétiques les écrits talmudiques.

Voilà donc l’un des programmes « émancipateur » de cette hyène enragée du féminisme hystérique, de ce grand corps malade et infecté par tous les virus de la misère intellectuelle, de ce clone déshumanisé mis au service de la juiverie destructrice des peuples de l’Europe !

Vu l’énormité de l’imposture de cette intégriste homosexuelle en mal de mort, l’on pourrait se demander, si avant de lui extirper de sa moelle sa mauvaise foi si grande et si tenace, s’il ne faudrait pas d’abord lui ôter sa tête mal-faite à l’aide d’un tire-bouchon, saisi avec toute la force d’un bûcheron des hautes montagnes – tant le fond de son horrible personne est puissamment maintenu par l’occultisme maçonnique dans les abysses insondables de la négation de la race, de l’identité et de la virilité.

Quel outrage n’est-il pas ainsi fait à la Vie quand nous la voyons aussi résignée dans le mensonge et l’erreur de l’antiracisme, promu par ses maîtres apatrides !

Et tout ça pour faire valoir son orientation sexuelle honteuse dont elle fait insidieusement un objet saugrenu qui ne regarde personne…

Quelle stupidité dans son orgueil !

Quel esprit égocentrique !

Qui voudra encore sauver Fourest ?

Non, mesdames et messieurs, vous ne rêvez pas… Cette maline et sinistrejeune femme est le produit malingre de ceux qui travestissent les vices en vertus ; toujours les mêmes…

Et dans la fournaise infernale de cette république maçonnique, vous remarquerez hélas que toute la force persuasive de cette éternelle étudiante abâtardie par les mauvais principes, émane de fonds de commerce juifs.

Fourestest donc un être borné et intolérant, l’exact contraire de ce qu’elle prétend être et qui souhaite ardemment, dans sa haine profonde du Beau, du viril, c’est-à-dire du principe guerrier, masculin et patriarcal, que son malheur de femme invertie nous saisisse à la gorge pour mieux nous étreindre jusque dans la mort.

Elle projette encore ainsi sur les âmes innocentes des peuples son homosexualité débridée comme s’il s’agissait d’une pratique commune à tous !

C’est alors que dans ce funeste instant qui lui est favorable, le juif, menteur et gouverneur de nos esprits décérébrés, s’accapare-t-il de ce monstre féministe pour orienter vers nos yeux endormis qui parfois s’entrouvrent, tous ses jets de venin. Il profite lors de cette occasion qui lui est offerte et rêvée pour donner à sa créature surexcitée, sous le couvert fallacieux de la tolérance et du féminisme émancipateur, une tribune et des plateaux de télévision, puis d’en faire à la hâte une militante blindée par la manigance sémite.

C’est dans ces conditions iniques de malhonnêteté permanente que Fourest, bougresse du diable sodomite, se trimbale dans tout Paris revêtue d’un manteau à capuche en compagnie des FEMEN, femmes mystérieuses et hystériques découvertes à la solde de la juiverie apatride, notamment « Ukrainienne », pour flétrir le catholicisme et enfoncer des coins dans ses dogmes ; le feraient-elles pour le judaïsme ?

Mais au lieu de se repentir ou d’exprimer un sentiment de respect, dû à la Foi catholique, l’outrageuse Fourest se gargarise plutôt des blasphèmes prononcés et des sacrilèges commis par ces diablesses ukrainiennes, qu’elle n’hésite pas un seul instant à couvrir et à soutenir dans ses propres interviews et émissions – en minimisant la portée de leurs actes odieux.

Cette pro-active du lesbianisme, qui se croit à l’avant-garde des idées libertaires, se vautre au contraire comme un cochon domestique dans l’ignorance crasse, croyant encore dans ces mêmes latrines infectieuses y trouver une fontaine de jouvence pour sa tare sexuelle. Une fois de plus, dans sa grande bêtise que lui fournit son orgueil démesuré, elle n’a toujours pas conscience que ces idées-là, terribles pour tous les hommes depuis l’aube des temps, sont en réalité issues des vieux chaudrons et de l’héritage maléfique du juif qui se veut éternel.

Elle est donc possédée par tous les maléfices du judaïsme.

Qui voudra prendre désormais la peine de délivrer Fourest ?

-Emmanuel LECOMTE –