FRENCH Franco fit très peu pour l’Axe pendant la guerre et pour le réfugié Degrelle après

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Article paru dans le superbe magazine “Cercle des amis de Léon Degrelle”, numéro du mai 2019. (Adresse: BP 92733, F-21027 Dijon Cedex). C’est un magazine en couleur sur du papier glacé, rédigé par des camarades qui connurent personellement ce grand géneral de la Waffen-SS, qui avant la guerre avait éte le fondateur, dirigent et orateur charismatique du grand parti belge Rexiste à tendance patriotique, fasciste et avec le temps. de plus en plus national-socialiste.

Degrelle devint l’officier le plus décoré de tous les 450.000 volontaires non allemands de la Waffen-SS!

Il passa cinq ans sur le front infernal de l’Est!

Ma compagne Marguérite (d’ascendance partielle acadienne, au nom de Falgaux) et moi traduirent ses mémoirs au titre provocateur “Hitler pour mille ans” sous le titre “My Revolutionary Life” ( = “Ma vie révolutionnaire”)

Nous fîmes ce travail pour la maison d’édition de Washington DC aux États-Unis au nom de “Barnes Review” — fondée en 1994 par feu l’ami de Degrelle et grand éditeur nationaliste et révisionniste Willis Carto (modification de “Carteau”, dont l’ancêtre fut un géneral sous Napoléon).

Voici l’un des livres de Degrelle, Persiste et signe  (1985), que m’envoya la veuve de Willis Carto, Elizabeth:

Je fus éblouis d’y découvrir cette dédicace personnelle par Degrelle à Carto:

“À mon cher ami et camarade américain Willis Carto, en souvenir fidèle et affectueux de son compagnon de combat, Léon Degrelle. En exil, 15 Nov. 1985” 

 

En tout cas, dans cet article un ami proche de Degrelle dans sa vie en exil espagnol de 1945-94 raconte les grandes difficultés financières et sécuritaires que subissait Léon Degrelle dans un pay qui, d’une part, avait resté quasiment “fasciste” après la fin malheuruse de la II GM sous l’égide du “Caudillo” (leader), Généralissime Francisco Franco. Mais de l’autre, Franco n’était pas du tout racialiste ni antisémite dans sa pensée, et son idéologie fut malheureusement plutôt catholique-conservatrice-autoritaire.

L’article ci-dessous explique comment le dictateur espagnol Francisco Franco traita Léon Degrelle, qui était venu chercher sa protection après la guerre.

La vérité est, premièrement, que le prétendu héroïque Franco n’était même pas l’un des premiers généraux rebelles espagnols qui renversèrent la république de gauche pour établir une sorte de fascisme espagnol.

Il était hésitant jusqu’à ce que les autres généraux lui offrent la position en tête.

La guerre commenç après un Pronunciamiento (une déclaration d’opposition militaire) contre le gouvernement républicain par un groupe de généraux des forces républicaines espagnoles, initialement dirigés par José Sanjurjo, qui  décéda plus tard dans un accident d’avion.

Lorsque le Front populaire de gauche remporta les élections nationales espagnoles en 1936, Franco rejoignit d’autres généraux qui avaient lancé un coup d’Etat cette année même pour renverser la république. Le coup d’État ne réussit pourtant pas à contrôler la plus grande partie du pays et conduit à la pleine guerre civile espagnole. Après ce prononcement des généraux, Franco pris le contrôle de l’armée espagnole d’Afrique, qui fut envoyée par avion en Espagne. En raison de la mort des autres généraux dirigeants, Franco devint inévitablement le seul chef de sa faction et fut nommé à l’automne 1936  Generalissimo et chef de l’Etat.

Ensuite, les Allemands et les Italiens sauvèrent son coup avec un soutien militaire massif – par voie aérienne, terrestre et maritime, ainsi que par l’argent et une formation moderne et professionelle de ses troupes.

Au fait, il aida très peu à Hitler et l’Axe pendant la guerre, quoique ce soit l’Axe (Mussolini et Hitler) qui avait rendu possible par une aide militaire énorme sa victoire militaire sur la République gauchiste Espagnole qui’il renversa.

L’on dit même que Franco avait accepté un énorme pot de vin des Anglais, profféré par le  sociopathe Churchill, pour rester neutre dans la II GM et surtout pour ne pas clore le détroit de Gibraltar à la puissante Royal Navy — avec des conséquences terribles pour la Wehrmacht allemande.

L’Espagne contrôlait alors les deux côtés de la rue. Depuis 1912-1956, elle possédait une bande de terre du côté de l’Afrique du Nord appelée le Maroc espagnol.

Elle se batta alors en Afrique du nord (Égypte, Libye, Tunisie, Algérie). Hitler avait dû l’envoyer là-bas à la vite-vite à la rescousse des soldats ineptes de Mussolini, affaiblissant ainsi de façon fatale sa propre invasion national-socialiste de l’énorme Union soviétique du satanique Josephe Staline.

Le langage du corps de Franco envers Hitler en 1940 est visible et dit tout. On dit que ce petit bonhomme (163 cm), au teint noir et rigide, originaire du sud de l’Espagne, de l’Andalousie – qui fut le dernier bastion des Maures et des Juifs en 1492 – fut lui-même d’ascendance partielle séfarade.

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Degrelle avait par contre une relation presque de fils et père avec Hitler.

Et ce Franco ne fit davantage que le minimum pour Degrelle non plus, qui avait atterri en Espagne en crash dans un avion allemand abandonné en Norvège en mai 1945.

Le général-en-chef des Alliés, Dwight Eisenhower,

….avait exigé de Franco l’extradition inique 1) du premier ministre de l'”État français” (le régime sous Pétain ayant son siège à Vichy), Pierre Laval, et 2) dudit Léon Degrelle vers les Américains (ou vers sa Belgique natale) pour une supposée “trahison de la patrie” et des “crimes de guerre” absolument fictives.

Le lèche-bottes Eisenhower sort d’une synagogue improvisée dans un camp d’après-guerre pour des Juifs.  (Non, il n’existe aucune preuve que ce vil traître aux yeux bleus et de sang américano-allemand aurait eu aussi du sang juif dans ses veines.)

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*** Eisenhower était-il partiellement juif?

Non, rien ne prouve que ce vil traître au sang germano-américain et aux yeux bleus ait eu du sang juif dans ses veines. En fait, plusieurs de ses frères étaient farouchement anti-Roosevelt et anti-guerre.

Sa petite-nièce Laura Eisenhower, qui dénonce régulièrement le NOM, a certainement hérité de son apparence et de ses yeux bleus.

“Ike” (son prénom familier, prononcé “Aïque”), quelques frères plus jeunes et ses parents, ressemblaient au mélange génétique germano-britannique qu’ils étaient. Mme Eisenhower, en passant, était l’une des premières Témoins de Jéhovah et une pacifiste.

Ike à gauche, le plus vieux et le plus grand des six garçons. Beaucoup d’Allemands leur ressemblent, pas trop «nordiques».

La partie sur «Ike» comme étant «le terrible Juif suédois» dans l’annuaire de West Point fit partie intégrante de l’humour habituel des cadets.

La légende complète montre que tout était dans une intention plaisante.

En fait, ni West Point (le Saint-Cyr américain) ni l’Académie navale américaine à Annapolis, capitale de la Maryland, n’admettaient alors des Juifs. (Hyman Rickover fut un des premiers cadets ouvertement juifs à se faire accepter à Annapolis – de 1918 à 1922, lui qui devint plus tard le «père de la marine nucléaire américaine» et un mentor d’un lieutenant de la Marine appelée “Jimmy Carter”. https://fr.wikipedia.org/wiki/Hyman_Rickover )

Comme le révélait récemment l’éditeur juif Ron Unz, un sentiment antisémite très puissant régnait dans les plus hauts rangs de l’Armée américaine pendant des décennies, notamment après la révolution bolchevique en Russie.

Ce sentiment culmina dans les déclarations de 1938 et aprés du général George Van Horn Moseley, chef d’état-major adjoint de l’armée américaine (1930-1933) sous le fameux général Douglas Macarthur et enfin commandant de la Troisième armée, celle que le général George Patton (devenu lui-même un antisémite ouvert en 1945) commandait en 1944-45.

Major général George Van Horn Moseley 1874-1960

Le 23 octobre 1940, Mosely écrivit une lettre à l’America First Committee, un comité de citoyens américains haut de gamme qui s’opposait à toute guerre contre l’Allemagne hitlérienne, dans laquelle il déclarait qu’il ne se joindrait à eux que s’ils prenaient la position ouverte contre la communauté juive.

Extraits:

Cher M. Stuart,
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Si je dois accuser réception de votre lettre datée du 11 octobre, je dois vous écrire très franchement, conformément aux principes qui me régissent depuis toujours. Au début, je dois dire que je suis heureux de savoir que votre organisation a choisi une mission aussi vitale. Mais je me demande si vous réalisez les difficultés d’une telle campagne et la véritable force de l’Ennemi – et êtes-vous prêt à vous battre avec lui et sa tribu? Un certain nombre d’organisations ont démarré courageusement avec une mission similaire à la vôtre, mais trop souvent, elles se sont fondues comme une boule de neige devant le feu de l’Ennemi.
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J’ai une expérience considérable à ce sujet, car j’ai essayé de retirer le peuple américain de son apathie, en soulignant les dangers auxquels nous sommes confrontés en tant que nation. Mais j’ai dit la vérité trop franchement et c’est ainsi que depuis plusieurs mois ma plume et ma voix se sont tues.
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Au début de mes efforts, j’ai reçu une invitation à prendre la parole devant l’Union League Club de Chicago, organisation dont je me souviens depuis mon enfance, qui a toujours défilé au rythme de la République. Aucune date n’avait été fixée, mais lorsque l’Ennemi s’est attaqué à moi dans la presse publique, l’héroïque Union League Club a perdu son sang-froid et ils n’ont pas renouvelé leur invitation.
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Qu’est-ce qui empêche les États-Unis d’être les premiers parmi les nations aujourd’hui? Laissez-moi être franc et indiquer l’ennemi qui veut lui-même être le premier en Amérique aujourd’hui, c’est la nation juive, une nation au sein d’une nation.

Si vous voulez enquêter, comme je l’ai déjà fait – dans tout ce qui est crime, corruption, publications immondes et films peu recommandables, trafic d’alcool et de drogue, quartier rouge, trafic d’esclaves blancs et surtout la guerre – vous arriverez immédiatement face à un groupe de Juifs au pouvoir.
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Je ne vais pas prendre votre temps pour discuter dans cette lettre du problème séculaire du juif, mais si cela vous intéresse, vous pouvez obtenir toutes les preuves concernant ses projets de domination mondiale à partir des écrits des Juifs eux-mêmes. Vous ne devez pas compter sur la déclaration d’aucun Gentil. Il suffit de dire, cependant, qu’ils ont été chassés de tous les pays dans lesquels ils ont été domiciliés, et pour de bonnes raisons, et ils seront finalement chassés également des États-Unis.

Jadis, j’ai eu pitié du député (du Congrès US) qui n’a pas pu faire face franchement à ce problème en raison de l’influence juive dans son district, mais j’aperçois maintenant que l’influence des juifs s’étend à tous les domaines.

Le banquier, qui peut être en accord avec moi à cent pour cent, n’ose pas toucher à ce problème car certains de ses plus gros déposants sont des Juifs; beaucoup d’avocats ne s’y opposeront pas car certains de ses gros clients sont des Juifs; la presse ne peut y toucher, tant de grands annonceurs sont juifs et que c’est l’annonceur qui paye le journal. Si nous manquons de caractère pour faire face à ce problème et le résoudre, nous ferons l’expérience de la tragédie qui a submergé la France [défaite de mai 1940].
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Je serai heureux de rejoindre votre organisation, en l’assistant dans la mesure où je suis autorisé à le faire –
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1. Si vous éliminez de votre organisation tous les Juifs et toutes les influences juives (ils adhèrent à toutes les organisations et adhèrent aux deux partis politiques; ils se tiennent alors parfaitement informés pour les contrôler ou ruiner);
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2. Si vous voulez vous présenter devant la nation avec une déclaration définitive contre le Juif et tout ce qu’il défend, y compris la fermeture de nos portes à tous les réfugiés juifs, de toute nationalité;
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3. Si vous vous opposez fermement au contrôle exercé par les Juifs dans les affaires locales, régionales et nationales;
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4. Si vous préconisez la restauration de notre RÉPUBLIQUE, et ramener dans la langue écrite et parlée à travers les États-Unis ces mots-clés «République”, “Christ”, et “chrétien”.
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Si vous prenez la position que j’ai suggérée ci-dessus, des millions de Gentils se précipiteront vers votre bannière. Mais si vous ne parvenez pas à résoudre ce problème, votre organisation ne réalisera rien, si ce n’est peut-être pour soutenir un certain surcoût, y compris peut-être plusieurs secrétaires juifs, placés avec vous dans le but de vous espionner, vous, et votre travail. [….]

https://johndenugent.com/america-first-committee-cowards-rejected-general-moseley-in-1940-for-demanding-all-out-confrontation-with-the-jews/ )

Fait intéressant, le très respecté Moseley resta en contact avec Eisenhower, qui est devenu le sycophant des Juifs, et Patton, qui fit le contraire, tout au long de la guerre.

L’influence clé sur Eisenhower était encadrée par le riche financier juif Bernard Baruch, et «Ike» ne cacha jamais leurs relations étroites. Winston Churchill était un autre protégé de Baruch.

Le brillant film «Wall Street», réalisé par Oliver Stone, un demi-juif, d’ailleurs, montre le processus où un riche Juif séduisait graduellement un jeune homme ambitieux pour qu’il entre dans son réseau. Le financier Gordon Gekko , dont le nom de famille est celui d’un lézard, montre à Bud Fox (joué par Charlie Sheen) «la vie belle»: limousines, femmes sexy et clubs de luxe, et soutenu par de très gros chèques bancaires.

Si un jeune homme a un ego énorme et une éthique faible, cela marche à chaque fois. Ike n’était pas un «kike» (youtre) – il était un garçon de ferme, un blanc aux grands yeux bleus d’Abilene, au Kansas, qui voulait tout gagner — le pouvoir, la gloire, et finalement la présidence des Ètats-Unis, au prix de son âme. Il y a bien des goïim sans une goutte de sang juif qui sont prêts à tout, et, n’ayant ni le nez crochu ni la chevelure noire et laineuse, nous baissons devant eux la garde. Donc ils sont de loin nos pires ennemis.

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Peut-ête parce que Degrelle était bien plus sympathique que Laval — on ignore la raison (Degrelle écrit qu’il eut des dents terriblement jaunies par le tabac 😉 ) Franco ne livra que ce premier aux Alliés, à de Gaulle, et donc à la mort.

Mais comme l’explique cet article qui suit de la plume de son ami espagnol Blas Piñar, Franco et ses Franquistes faisaient très peu pour ce grand homme latin et francophone de la Wallonie belge, quoiqu’il soit menacé CONSTAMMENT PAR DES ASSASSINS JUIFS ET PAR LA PÉNURIE.

Otto Skorczeny (photo avec Degrelle en bas). Le voici à droite avec Degrelle à la une de ce magazine.
Skorczeny vécut également en exil espagnol, mais contrairement à Degrelle, il s’abstenait de tout commentaire politique controversé sur les national-socialistes, les raisons de leur antisémitisme, et Adolphe Hitler et les Juifs. On prétend également qu’il aurait aidé les Israéliens en tant que conseiller militaire sur les tactiques de combat des commandos. (L’un d’eux, d’ailleurs, était Benjamine Netanyahou.)

En traduisant beaucoups d’ecrits de Degrelle je me suis rendu compte qu’il se taisait toujours au sujet dudit Francisco Franco, et maintenant on sait pourquoi. Il marchait sur des oeufs avec lui parce que Franco n’était qu’un opportuniste — et un peu con en plus, quelqu’un qui ne comprenait pas que la défaite de l’Axe allait mener tôt ou tard également à sa chute ou à celle de son régime et de son idéologie franquistes sous son successeur — ce qui se produit quelques années après sa mort sous le roi Juan Carlos, devenu gauchiste.

Après sa disparition en novembre 1975, son système franquiste fut démantelé très progressivement et habilement sous son successeur, le roi Juan Carlos. Petit-fils du dernier roi d’Espagne, il avait grandi en partie en Italie et, bien qu’il ait fréquenté les académies militaires espagnoles, il devint gaucho-libéral. Lors d’une visite aux États-Unis en 1971, Juan Carlos déclara ouvertement que les Espagnols «souhaitaient davantage de libertés; le problème est de décider du bon moment.”

«Tout est lié et bien tenu» («Todo esta atado, y bien atado»), déclara une fois Franco, citant le cadre institutionnel qu’il avait mis en place pour assurer la survie du régime sans lui. Les forces armées allaient rester fidèles à Franco et à son régime, crut-il, constituant ainsi une menace très réelle pour les réformes judéo-démocratiques souhaitées par Juan Carlos.

Mais en utilisant un faux Franquiste, Adolfo [sic] Suarez, comme premier ministre, qui avait d’abord pacifié les Franquistes inquiets, le roi Juan Carlos légalisa au début de 1977 de multiples partis politiques, ce qui était absolument anathème pour le fascisme et le national-socialisme. D’autres décrets gouvernementaux du printemps 1977 fixèrent les règles des élections, légalisant même le parti communiste et les syndicats.

Les deux organisations syndicales les plus importantes qui furent légalisées étaient associées au Parti communiste et au Parti socialiste ouvrier. Au cours de la première année qui suivit la mort de Franco, 150 millions de jours de travail furent perdus à cause de grèves, contre 14,5 millions l’année précédente … et voilà que tout commença. En 1981, des Franquistes de la vieille garde tentèrent de s’emparer du pouvoir, mais le roi Juan Carlos les dénonça dans son uniforme de général à la télévision. Donc le coup d’Etat se solda par un échec.

Maintenant l’Espagne judaisée, pourrie par l’UE, est presque aussi déguellasse que la France ou l’Allemagne asservies.

Des musulmans terroristes, violeurs et criminels partout (ainsi que des nègres et homos)

Des lois sur les discours de “haine” (sur les vérités raciales et juives) sont rigoureusement appliquées et le charismatique nationaliste Pedro Varela (sujet d’un article du “Barnes Review” en 2006) a été emprisonné à plusieurs reprises et son grand siège social à Barcelone a été vandalisé – et saisi par la police sans aucun prétexte de légalité. (Margaret et moi parlions en espagnol à son siège et sa librairie, respectivement en 2006 et en 2012.)

 

On constate que Hitler avait raison dans son “Mein Kampf” – à moins que nous ne devenions pas véritablement des «fanatiques», un mot que Hitler utilisa constamment dans un sens positif, nous ne pourrons tout simplement jamais, jamais gagner. Aucun modéré ne peut battre l’énorme  pouvoir des Juifs. Ce sont, en fin de compte, les Juifs eux-mêmes qui sont les plus sévères des fanatiques. On voit qui gagne jusque maintenant, le fanatique — et qui perd, le modére.

Vive donc notre Léon Degrelle — PRÉSENT!

Voici l’article scanné, avec une transcription du texte après.)

Début à droite en bas

LÉON DEGRELLE, MON AMI

par BLAS PIÑAR


Drapeau espagnol depuis la victoire de Franco au slogan — une Espagne “unie, grande et libre”. Pourtant, elle est devenu une esclave de l’UE, de l’OTAN et des Juifs.

 

Piñar dans les années cinquante

 

 

LÉON DEGRELLE; MON AMI
par Blas Piñar

[traduction depuis l’espagnol de http://www.alertadigital.com/2013/02/17/blas-pinar-mis-recuerdos-y-contactos-con-leon-degrelle-xx/]

Avec Léon Degrelle j’ai eu une amitié étroite. C’était un homme qui m’a laissé une impression trés profonde.  Sa biographie est impressionnante et sa cohérence exemplaire. Si aujourd’hui vous choisissez „Miss World“, la „boule d’or“ est accordée, ou „l’homme de l’année“ est choisi, Léon Degrelle devrait être proclamé „le modèle politique“.

Je n’ai jamais vu Léon Degrelle triste. Il était submergé par sa joie chrétienne intérieure.

Je suis très conscient de l’une de ses phrases: „Je ne suis qu’un perdant provisoire“ et ceci avec un gentil sourire.

La vie de Léon Degrelle, écrivait Francisco Torres Garcia, que rappelle José Luis Jerez dans „Degrelle en el exilio 1945-94“, peut-être était-il plus proche du scénario d’un bon film d’aventure que celui d’un simple mortel de notre temps“ („La Nación“, du 13 au 19 avril 1994)

C’était au Mexique, où Léon Degrelle alla soutenir les “Cristeros” par sa présence, car, écrivait-il en 1929, „la tragédie mexicaine avait depuis longtemps dévoré son coeur comme une scie d’acier.“ Il a éte tellement impressionné par le cri „Viva Cristos Rey!“ avec lequel ils sont morts en combattant pour leur foi en martyr, que son mouvement fut aussi appelé “Rex“ (“Rey,” esp., “Roi,” franc.)

Et c’est Pie X qui, dans son encyclique „Quas primas“ du 11 décembre 1925, établit la fête du Christ-Roi.

Avec la Légion Wallonie qu’il fonda il alla combattre le communisme sur le Front de L’Est, et il est curieux de savoir qu’un bataillon d’Espagnols vint s’y intégrer.

Avec Heinrich Himmler. Degrelle et ses partisans combattaient au sein de l’Armée allemande à l’est de 1941-1943, puis sont passés à la Waffen SS sous Himmler en 1943-1945.

 

Son arrivée en Espagne, le 8 mai 1945, quand les Allemands avaient été vaincus, secoua le pays. C’était sur un avion allemand, abandonné, parti d’Oslo (Norvège) et avec peu de carburant. Après beaucoup de difficultés, dont le survol d’une France sous contrôle de l’ennemi Charles de Gaulle, il atterrit à San Sebastian.

Dans un ètat terrible, Degrelle fut transféré à l’hôpital. C’est Antonio Vallejo Zaldo qui, plusieurs années plus tard, présidera la „Confédération nationale des anciens combattants“, qui l’aida d’une manière importante. Il déclara que „seul un homme fort de corps et d’âme pourrait survive à la tragédie, et aux fractures et blessures subies dans cet atterrissage forcé et dangereux“.

Des fillettes espagnoles

Mes contacts avec Léon Degrelle sont devenus plus intenses à partir d’un article que je publiai dans „Fuerza Nueva“ [“Force nouvelle”], le 21 février 1970 (numéro 162). Il porta le titre „Ceux qui ne pardonnent pas“.

Je protestai dans cet article contre l’ordre de perquisition et de saisie qui, à la demande du gouvernement belge, avait été dicté par le ministre des affaires étrangères, Gregorio López Bravo. Si Degrelle était capturé, il serait transféré dans sons pays natal pour y appliquer la peine de mort à celui qui avait été reconnu coupable d’un crime dont le délai de prescription avait été prolongé!

De cet article je reprends ceci:

“Le Gouvernement belge voulait faire exécuter la double condamnation à mort de Léon Degrelle. Il voulait deux fois l’emmener au mur, l’abattre ou le pendre, ou l’accrocher à nouveau après l’avoir abbattu et l’avoir pendu une fois….. tout cela pour être sûr de ne pas avoir manqué le coup, ou que la corde a rempli sa mission de presser la trachée. J’espère en Dieu que l’habilité et la ruse permetteront à Léon Degrelle de quitter le territoire espagnol où il a été interdit de séjour.”

Quand je lis “L’Ordre de recherche et de capture” de Léon Degrelle, en tant qu’Espagnol je ressentis une forte honte.

Mon indignation fut plus profonde encore, quand j’appris que Léon Degrelle eut obtenu la nationalité espagnole en 1954!

Une satisfaction, cependant, a produit cet incident désagréable.

C’était la visite, la gratitude et l’amitié de Juan Servando Balaguer, gendre du Chef Rexiste.

La vie de Léon Degrelle n’était pas facile en Espagne. Je rejoignis le groupe qui l’aidait non seulement pour le sauver des difficultés économiques qui l’assaillaient, mais aussi pour sa propre sécurité.

Ses ennemis, à l’affût, voulaient le tuer, et son statut d’exilé politique ne suffisait pas pour jouir de la protection généreuse du gouvernement espagnol. Des difficultés économiques, il pouvait les surmonter. Mais il ne pouvait pas échapper à la persécution. Des gens venaient de l’étranger, périodiquement, dans le but de lui prendre la vie. Une fois, pour l’éviter, on lui chercha un refuge dans un monastère; une autre, il fut admis à l’hôpital et une autre il fut caché dans une ville de la province de Ciudad Real.

Pour le protéger, il se fit adopter par Matilde Martínez Reina, changea son nom et fut rebaptisé “León Ramirez Reina”. Ce fut moi, en tant que notaire, que redigeai cette acte d’adoption.

Léon Degrelle décéda à l’âge de 87 ans à Málaga, le jeudi 31 mars (jeudi saint) de 1994.

Il y eut un enterrement dans l’église de San Fermin de los Navarros le 23 avril 1994 et le 28 avril de ce même mois, un hommage posthume fut célébré au siège national de „Fuerza Nueva“, présidé par sa veuve Jeanne Brevet.

José Luis Jerez Riesco y décrit un „Léon Degrelle — homme, chrétien, et politique“. Je  cloturai l’événement, remerciant de l’hommage Anne, une fille du défunt.

À la mémoire de la personne honorée, José Luis Jerez organisa un dîner chaque année. J’y allais à plusieurs reprises et j’avais l’occasion de dire quelques mots.

Je ne peux ni marginaliser ni offrir pleinement ma relation très personnelle avec Léon Degrelle, qui était en même temps politique et affective. Je me souviens qu’un soir, ma femme et moi dînâmes chez lui. Ce fut un plaisir de voir son musée et d’écouter ses commentaires. Je me souviens aussi que j’étais témoin, avec Ramón Serrano Suner, du mariage d’une de ses filles.

Nous avions une correspondance trés importante. Je reproduis quelques-unes de ces lettres en indiquant leurs dates:

19 avril 1971

Trés cher Don Blas:

Je suis votre ami Léon. Ma situation est toujours difficile. Avec une rage diabolique ils continuent à me persécuter, malgré mon silence absolu.

Nous savons, d’une source indiscutable, que c’est seulement au cours de la semaine dernière que l’ambassade de Belgique à Madrid m’a envoyé trois télex cryptés, preuve qu’ils préparent quelques chose de nouveau.

À bientôt, cher Don Blas, avec un salut fraternel.

25 avril 1971:

Cher Blas,

Je suis désolé de vous déranger. Vous avez beaucoup á faire. Mais je serais désolé de quitter Madrid sans vous voir pendant un petit moment. À tout moment, pour moi, c’est la même chose…. Avec mon salut d’ami et de camarade.

23 décembre 1977

Très cher Blas,

Pour votre famille comme pour vous, trés joyeuses Pâques.

L’année 1978 approche avec un très mauvais visage. Vous devrez vous battre pour sauver l’Espagne! Que Dieu vous bénisse, Blas, vous donnant l’illumination de l’âme, le courage, et la force physique. Vous me garderez toujours fraternellement à vos côtés.

Courage! Vous allez gagner!

Trés affectueusement vôtre….

Je réproduis également les dédicaces de deux de ses livres:

„À un ami admirable, Blas Piñar, champion de l’idéal, avec la sympathie la plus affectueuse de Lèon Degrelle.“

“À Don Blas Piñar, homme exceptionnel que l’Espagne a la chance d’avoir. Avec ma considération,

Léon Degrelle“

Pour sa part, la veuve de Léon Degrelle m’a consacré une dédicace dans un autre livre de son époux:

„À Blas Piñar, avec la mémoire fidèle de mon mari qui a tant recu de cette terre tout au long de son exil en Espagne.“

Lèon Degrelle a écrit:

„Aujourd’hui pleinement avec Franco“ dans l’introduction de sa brochure „Franco, chef de l’état“ publié par le „Cercle Franco-Hispanique“ comme supplément au numéro 67 de „Lettres des Amitiés franco-éspagnoles“ correspondant au printemps 2006.

Dans cette introduction, nous réalisons le rapport de Léon Degrelle avec l’Espagne. Déjà, en 1934, José Antonio [Primo de Rivera] [ = fondateur de la Phalange quasi-fasciste https://fr.wikipedia.org/wiki/Phalange_espagnole]
lui avait envoyé la première carte de la Phalange Extérieure.

La chanson des Phalangistes „Cara al sol“ („Visage au soleil“) composé par ledit Primo de Rivera http://ficheros.rumbos.net/en_a_01.mp3

Degrelle est venu en Espagne au mois de février 1939. Il a été recu avec la plus grande affection. Il a eu un entretien avec Franco à Lleida.Dans le hjournal de Pameline „Arriba [Debout] Espana“ a été publié le 12 février 1939 son article intitulé „Rex Franco“.

Plus tard, en 1942, il a recu la „Medaille de la Vieille Garde“ espagnole („Medalla de la vieja guardia”).

Je juge également nécessaiure d’évoquer ce que Léon Degrelle a dit de Franco [après sa mort] en 1976:

„Demain, l’Europe, libérée de ses complexes, remerciera Franco pour sa magnifique contribution physique, morale, économique et stratégique, dans tout ce qui est essentiel pour survivre.“

Anne, fille du Chef de Rex à la fin de la commémoration à laquelle je faisais allusion plus avant, a remercié ainsi

„l’Espagne qui grâce au Caudillo a donné refuge à mon père. Par conséquent, nous ne serons jamais assez reconnaissants envers vos proches.“

Fidèle à sa doctrine, et en se référant à son triomphe électoral d’avant le déclenchement de la Seconde guerre mondiale, il déclare dans „Up“, le 7 février 1970:

„je pouvais devenir un ministre; un seul mot aurait suffit pour entrer dans le jeu. Mais je voulais libérer mon pays de la règle dictatoriale des forces de l’argent qui corrompt le pouvoir, déforme et manipule les consciences et les institutions.“

Méditons cette phrase que Léon Degrelle a écrit dans „Almas ardiendo“ (titre originaire en francais: “Les âmes qui brûlent”):



“Il n’y a pas de choix, révolution spirituelle ou échec.“

 

Je termine avec les éloges de José Utrera Molina de León Degrelle:

“J’ai rencontré très peu d’hommes dotés de l’énergie intellectuelle et morale de Leon Degrelle … l’une des personnalités les plus importantes et les plus suggestives de l’Europe de cette époque … (Avant-propos de “Persiste et signe” de León Degrelle. Edit. Dyrsa, Madrid, 1968)

A ce compliment, j’ajoute celui de Bernardo Gil Mugurza:

“Tous les gens de bien qui connaissaient le dirigeant populaire belge étaient captivés par la lucidité de sa pensée, la fidélité à son drapeau, son caractère généreux et la bonté de son coeur” (“Requiem pour un grand Européen.”, 1994.

Blas Piñar

…..L’enfer des deux premières années en Exil espagnol

(de “Hitler pour mille ans”, chapitre XI, “Les Exilés”)

Degrelle à Málaga dans le sud de l’Espagne à la fin des années 1980

En mais 1945, quand je me retrouvai sur un petit lit de fer à l’hôpital de Saint-Sébastien, plâtré depuis le cou jusqu’au pied gauche, j’étais encore une vedette. Le gros gouverneur militaire s’était amené, tapissé de grands cordons, s’épandant en abrazos bruyants ! Il n’avait pas encore bien saisi que j’étais tombé du mauvais côté et que je n’étais plus à fréquenter. Il le comprendrait vite ! Tous le comprendraient vite !

Au bout de quinze mois, quand mes os auraient été ressoudés, je me retrouverais, une nuit, bien loin de là, dans une rue noire, guidé vers un gîte secret. La seule solution pour moi, la seule survie, alors qu’on réclamait de toutes parts mon extradition, – douze balles dans la peau ! – était le trou de l’oubli. Je passerais deux années dans un premier trou de l’oubli. J’en connaîtrais bien d’autres ! On m’avait installé dans une chambrette sombre, colée à un ascenseur de service. Je ne pouvais voir personne. Je ne pouvais jamais m’approcher d’une fenêtre. Les volets restaient toujours baissés.

Les deux vieillards qui m’hébergeaient constituaient mon seul univers. Lui, pesait dans les cent cinquante kilos. La première chose que j’apercevais le matin était, [189] dans le couloir, son seau d’urine. Il en produisait quatre litres en une nuit. Travail intensif. Son unique travail. Dès avant le repas de midi, il se remettait en pyjama, un pyjama gigantesque, ouvert, béant, sur un grand triangle de chair pâle.

Elle, trottait sous un paquet de cheveux rares, jaunes et hirsutes, naviguant dans le noir de sa maison – la lumière brûle ! – sur deux vieilles loques – les souliers usent !

Le soir, ils écoutaient tous deux, installés dans des fauteuils d’osier, une pièce de théâtre à la radio. Au bout de cinq minutes, ils dormaient, lui, expectorant des grognements profonds vers l’avant, elle, la tête rejetée en arrière, émettant des sifflements stridents. A une heure du matin, le silence de la fin de l’émission les réveillait. Elle prenait alors la cage à oiseaux ; lui, une grande statue peinturlurée de saint Joseph brandissant une palme verte. Ils se mettaient en route à petit pas vers leur chambre à coucher. Les ronflements recommençaient. Le matin, je retrouvais devant la porte les quatre litres d’urine.

Telle serait ma vie durant deux ans : la solitude, le silence, l’ombre, deux vieillards qui remplissaient un seau à pleins bords, portaient saint Joseph et deux perruches. Je ne verras pas un sourire une seule fois. Ni deux jambes gracieuses sur un trottoir. Ni même un arbre découpant quelques feuilles jaunies sur le ciel.

Après, j’ai bien dû sortir. Ma blessure à l’estomac – cadeau du Caucase – s’était crevée d’un bout à l’autre. En six mois, j’avais perdu trente-deux kilos. Dans une clinique discrète, on m’avait ouvert le ventre, de l’œsophage jusqu’au nombril, sur dix-sept centimètres.

[190] J’avais été reconnue au bout de trois jours par un infirmier. Il avait fallu m’emporte en pleine nuit sur une civière. On m’avait hissé par un escalier étroit jusqu’à un quatrième étage. Je ruisselais de sueur et de sang, car, sous les contorsions du brancard, tous les points de suture avaient sauté ! Quelle vie ! Ne pas se montrer – pour ne pas être reconnu – ne sert à rien. On vous reconnaît tout de même, on vous voit tout de même, même si vous êtes à dix mille kilomètres de là.

…..Degrelle fut-il un général de la Waffen-SS? 

Oui, mais non!

“Correctement”, Degrelle ne se qualifiait jamais de “général” après la guerre. Au cours de son très long exil espagnol (1945-1994) et jusqu’au jour de sa mort, alors qu’il écrivait 40 livres, Degrelle n’était connu que comme colonel.

Mais c’est uniquement parce que Heinrich Himmler, Reichsführer-SS, qui l’avait en fait promu brigadier général (Brigadeführer), ne savait pas à ce moment-là qu’il avait déjà été congédié par Hitler (pour avoir négocié avec les Alliés sans autorisation).

En passant, Degrelle fut promu SS-Standartenführer (colonel) le 20 avril 1945, jour de l’anniversaire de Hitler. Le 1 er mai 1945, Degrelle fut de nouveau promu par le Reichsfuhrer-SS Heinrich Himmler au rang de Brigadeführer (brigadier général).

Cette promotion, cependant, était extralégale du fait que Himmler avait été démis de ses fonctions sur ordre de Hitler le 28 avril. Mais, pour être juste, Himmler pensait qu’il était toujours en poste en tant que Reichsführer SS quand il avait fait de Degrelle un général.

L’amiral Karl Dönitz déclara à Himmler, le même jour, le 1er mai 1945, qu’il avait été relevé de ses fonctions par Hitler, décédé entre-temps. Himmler, choqué, voulait néanmoins continuer à servir sous le nouveau président du Reich, Dönitz, mais ce loyaliste hitlérien dit à Himmler qu’il était “dehors” pour lui aussi.

Léon Degrelle était également un loyaliste hitlérien (au maximum) et n’aimait pas particulièrement Himmler, pas plus que la plupart des gens. Il s’offusquait de ce qu’il considérait comme un ton condescendant de la part de Himmler envers lui, par exemple en disant “Mein lieber Degrelle” (“Mon cher Degrelle”).

Pour ces deux raisons, Léon refusa toujours de se référer comme ayant eu le rng de général (en fait de brigadier général) – par respect pour Adolf Hitler, et parce qu’il aimait pas trop Himmler non plus, bien qu’il ait respecté l’homme.

Donc, techniquement et légalement, Degrelle ne fut qu’un  Standartenführer, un colonel, qui est un très haut rang, natürlich, et il obtint cette promotion dans un jour spécial, le dernier anniversaire de naissance de son héros Hitler, le 20 avril 1945.

En fait, Léon Degrelle, l’officier étranger le plus décoré des Waffen-SS et un guerrier qui servit pendant cinq ans sur le front infernal de l’Est, mérita probablement d’être promu au grade de brigadier-général par Heinrich Himmler.

Dommage que Himmler vint de se ruiner et se faire virer! De droit, l’admirable Degrelle fut effectivement un général des légendaires Waffen-SS.

 

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