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Ma compagne Marguérite Huffstickler (dont les ancêtres furent des Acadiens expulsés par les Anglais vers la Louisiane française) et qui parle et lit en français recherche actuellement sur l’affaire Dreyfus.
On avance bien dans la recherche de la vérité, et surtout grâce au livre français Dreyfus-Esterhazy: Refutation de la vulgate par Monique Delcroix, (Éditions Akribeia). http://www.librairiefrancaise.fr/fr/home/101-dreyfus-esterhazy-monique-delcroix.html?search_query=dreyfus&results=16
Nous deux aux bords du lac Supérieur dans le nord du Michigan, explorés d’abord par des Français
L’Occident vit en une vingtaine d’années entre 1994-1913 trois grands crimes atroces impliquant des individus juifs où la presse criait haut et fort au scandale de l’antisémitisme:
–Dreyfus 1894,
–Beilis 1911 en Ukraine (meurtre rituel: http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Beilis) et
–Mary Phagan 1913 en Atlanta, Georgia (viol et étranglement d’une travailleuse de 13 ans dans une usine de crayons, dont l’accusé fut son chef, le Juif puissant de la loge B’nai B’rith, Leo Max Frank).
Mary Phagan, une petite Celte de la classe ouvrière, très pauvre, d’ascendance irlandaise — une fille de 13 ans bien aimée qui fit preuve pourtant d’un caractère exemplaire
Mon essai en anglais sur l’affaire Mary Phagan:
https://johndenugent.com/glory-to-mary-phagan-and-the-white-men-who-avenged-her-2/
Traduction rapide par Google: https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&js=y&prev=_t&hl=en&ie=UTF-8&u=http%3A%2F%2Fwww.democratic-republicans.us%2Fglory-to-mary-phagan-and-the-white-men-who-avenged-her-2%2F&edit-text=
Dans cette affaire, la presse judaisée n’a cesse depuis 105 ans de proclamer l’innocence de la pauvre victime Leo Frank,
…président de B’nai B’rith d’Atlanta (la ville capitale de ce grand état américain)…
….et de me dénoncer, moi, pour révisionnisme à son sujet!
“Leo Frank fut lynché pour un meurtre qu’il ne commit point. Viennent des neo-nazis [surtout moi] pour essayer de réécrire l’histoire” [Quelle mensonge — il fut jugé coupable, et rejugé, et rejugé, et rejugé et rejugé coupable — cinq fois –– inclusivement par la décision finale de la Cour suprême des Ètats-Unis à Washington — malgré des pressions, diffamations, et des soudoiements énormes…]
Mon site web sur l’affaire Frank: https://www.leofrank.org/
La Juiverie hollywoodienne a même tourné cinq films depuis pour punir et vilipender les sudistes “bigottes”..
“La mort dans le Sud profond”
Pourquoi? Pour les accuser d’antisémitisme (un phénomène pourtant jusqu’alors inconnu dans cette partie méridionale des E.-U., car les Juifs du sud s’étaient — en grands propriétaires d’esclaves noirs — fort solidarisés avec des autres Sudistes (des goïs chrétiens) dans la défense militaire de l’esclavagisme lors de la Guerre Civile de 1861-65 avec les états du Nord).
et 3) pour inculper à tort deux employés noirs qui furent parfaitement innocents de ce crime atroce.
L’année 2015 fut le 100e anniversaire du dénouement de cette affaire de Leo Frank …
1) la Cour suprême des États-Unis à Washington rejeta à deux reprises les appels de Leo Frank de sa condamnation à mort datant de 1913, l’année du crime;
Photo de l’autopsie (viol anal et vaginal) de la petite rousse, qui se défendait furieusement jusqu’à sa mort
2) le gouverneur de la Georgie, ayant accepté apparément un pot de vin énorme, et faisant partie dans sa vie professionnelle du cabinet d’avocats qui représenta Leo Frank (un autre outrage pour les citoyens), commuta la peine de mort de Frank par pendaison à la perpétuité — mais de manière à faciliter pour ce Juif l’ouverture d’un tout nouveau procès avec d’autres témoins qui seraient plus soudoyables par un détectif privé venu de New-York.
3) Le peuple de Georgie, les noirs comme les blancs, fut complètement exaspéré de cette commutation par le gouverneur.
Donc la «crème de la crème” de la société Georgienne (on utilise la phrase francaise «crème de la crème” en anglais pour dire « les meilleurs citoyens », dont l’ancient gouverneur et le président de la Chambre des députés de Georgie) se leva, se dirigea par la nuit dans une caravane de voitures vers la prison d’État à Milledgeville, leurs pistolets tirés, et ils lynchèrent ce Juif en face de la ferme où la petite Mary Phagan avait grandie.
Tout cela se produit il y a cent années en 1915.
À savoir:
Frank avait été inculpé à l’unanimité par un “Grand jury” à Atlanta se composant de 23 personnes — dont trois Juifs!
Puis il fut reconnu coupable de meurtre par un “petit jury” de douze hommes.
Le juge fut écoeuré par ce crime, par les mensonges éhontés de Frank, et surtout par ses tentatives aussi inutiles qu’ignobles pour envoyer deux de ses propres employés noirs à la potence à sa place. Frank, quoique Juif et donc droits-de-l’hommiste et antiraciste, fit un appel primitif au racisme des jurés blancs sudistes qui échoua misérablement. Le juge condamna Frank à la pendaison, et, nota bene, que le juge choisit pour le jour de son exécutionau son propre anniversaire de naissance — ce qui fut interprété comme une ultime expression de sa révulsion pour ce tueur et menteur pervers.
Puis la Cour d’appel de FGéorgie ainsi que la Cour suprême de Georgie confirmèrent le verdict et la peine de mort
Enfin l’équipe très cher d’avocats de Leo Frank firent appel à la Cour d’appel des États-Unis et par deux fois à la Cour suprême des États-Unis.
Mais au niveau fédéral, tout comme au niveaux local et provincial, les juges rejettèrent les demandes de révision de Frank et de son équipe d’avocats qui valaient comme les meilleurs et les mieux dotés de ce vaste pays.
Ce ne fut pas de la «justice populaire» qui s’en prit à la personne de Frank pour le pendre, mais les citoyens exécutèrent dans une simple obéissance à la loi, en pleine bonne conscience, la peine de mort tout à fait justifiè par le viol et le meurtre immondes de la petite Mary — un jugement décrété par cinq niveaux du système de justice pénale des États-Unis.
Pour une seule et très belle fois, les hommes blancs des États-Unis se levaient contre le pouvoir médiatique, financier, politique et légal de Sion!
Par la suite, les Juifs fondèrent pour améliorer leur efficacité et professionalisme leur propre « LICRA », la “Ligue Anti-diffamatoire” (dit ADL, « Anti-Defamation League »).
son successur Jonathan Greenblatt
Les grands Juifs de New-York avaient reconnu en constituant l’ADL non seulement 1) qu’ils avaient échoués malgré des dépenses énormes à exculper un des leurs dans un crime qui avait fait la une de la presse pendant des années,
..mais aussi 2) que leur propre facon d’agir (accusations d’innocents, diffamation de tout le peuple du sud, et soudoyements) avaient conduit à une explosion jamais vue d’antisémitisme dans une région qui auparavant avait éte plutôt très philosémite!
Et là on voit comme l’égoïsme insupportable des Juifs les force à toujours aller trop loin.
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Des Israéliennes fêtent l’anniversaire du onze septembre et donc la mort de 3.000 Américains
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