FRENCH Jésus dépeint comme un Aryen par les premiers Chrétiens; l’auteur NS Bochaca dit que Jésus ne fut pas génétiquement juif; sa “Galilée” natale se traduit par “le district des Gentils”

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Comme Wikipedia le dit correctement, au début des temps chrétiens, Jésus ne fut pas souvent représenté physiquement dans l’art, par exemple, sur ls murs des catacombes à Rome, et à Sa place sur ces murs-là, on voit surtout les premiers symboles du Christianisme, tels la colombe, le poisson, ou un berger portant un agneau.

Dans une certaine mesure, une attitude juive (et par la suite aussi islamiste) selon laquelle les humains, les mortels, ne devraient pas être dépeints, pa4rce que ce serait de l’idolatrie, peut avoir exercé une influence précoce, mais au bout d’un certain temps, le christianisme est devenu une religion dont la grande majorité des adhérents furent d’origine païenne/Gentile/non-juive, où les règles et traditions juives n’avaient peu ou aucune validité. Les païens pour leur part (en particulier les Grecs et les Romains) représentaient constamment des humains dans leurs peintures et sculptures.

L’empereur Auguste fut le souverain de Rome à la naissance de Jésus. On le représenta ici, comme beaucoup d’aristocrates romains, aux cheveux blonds. (Caligula et Néron, des empereurs plus tard de sa dynastie, eurent également des cheveux blonds.) L’Europe et la région méditerranéenne (en particulier l’Italie, la Grèce et l’Égypte) furent beaucoup, beaucoup plus nordiques racialement il y a deux mille ans qu’aujourd’hui.

Néron

Des Égyptiens blonds:

À droite un homme blond et travailleur (pas un aristocrate) joue de la harpe. 

Trois des six travailleurs ici sont blonds.

… Beaucoup de sang aryen au Vieux Moyen-Orient et en Méditerranée

-Les fondateurs et les dirigeants de l’Egypte ancienne, de la Grèce et de Rome étaient des nordiques:

Le scribe Sakkara (les Egyptiens aryens mirent une poudre à la couleur ocre sur leur peau pour éviter les coups de soleil)

Le pharaon Ka régna autour de 3000 ans avant JC

 

Le journal britannique “Independent”, numéro du 30 mai- 017  :

“Les Égyptiens de l’Antiquité furent plus apparentés [par l’ADN] aux Européens actuels qu’aux Égyptiens actuels”

Vers l’an 500, les Égyptiens représentaient Marie et Jésus comme étant blonds, protégés par un ange aux cheveux roux (Michel) et un ange blond (Gabriel)

Gros plan sur les anges et Marie

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…..Mais quand on décida parfois de dépeindre Jésus Christ, en tout cas Il ne le fut jamais montré avec des cheveux noirs et le nez crochu du Juif “typique”.

À qui viendrait-il à l’esprit que de représenter un homme qui donne sa vie pour l’amour, le pardon, l’humilité et la justice – et qui dénoncé les mensonges, la vengeance, la domination, le matérialisme et la cupidité pourrait ressembler à un Juif? 😉

C’est ainsi que les premiers chrétiens se souviennent de Paul, qui était aussi à Rome, comme étant très sémitique.

C’est ainsi qu’ils ont vu Jésus et Marie:

Gros plan du garçon Jésus

Traversant le ciel dans un char, Jésus, le Seigneur, blond, a des rayons de soleil qui émergent de Sa tête

Gros plan sur “le Seigneur”

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Mais bien sûr, si Jésus s’incarnait en Palestine afin de réformer les Juifs, il ne voudrait pas apparaître comme un Suédois aux cheveux d’or, de six pieds de haut (182 cm), ressemblant ainsi à un étranger. Au lieu de cela, il ressemblerait aux juifs à la peau claire, aux cheveux et aux yeux clairs parmi ceux qui vivaient à cette époque.-là.

On peut supposer que Jésus n’avait pas l’air extraordinaire, sinon il y aurait des histoires qui racontaient, disons, combien il fut grand et beau (ou moche, d’ailleurs), ou quelles épaules larges il avait, etc. Il semble que c’était plutôt ce qu’Il dit et fit dans les trois années brèves de Sa mission publique qui fut extraordinaire.

Jésus dans un film hollywoodien récent – toujours avec des cheveux très clairs ou presque blonds. Nous ne pouvons guère nous imaginer autrement un homme divin ou un ange.

Jésus interprété par l’acteur anglais Robert Powell de Manchester dans l’excellente mini-série italo-britannique de Franco Zeffirelli “Jésus de Nazareth”

 

Jésus vu par les Mormons, résolu et viril

Maintenant, voici un vrai Juif – le diabolique et rusé David Axelrod, le gourou des élections qui, en 2008 et 2012, fit élire Barack Hussein Obama à la présidence US.

L’ineffable Michael Chertoff, ministre de la sécurité intérieure sous Bush II

…… Les Juifs d’aujourd’hui ne descendent pas des Juifs de Son époque

Selon le best-seller israélien Comment le peuple juif fut inventé [en anglaisThe Invention of the Jewish People”] par le professeur Shlomo Sand de Tel Aviv,

.https://www.amazon.fr/s/ref=nb_sb_noss_1/259-2518490-0470253

….la plupart des Juifs descendent non pas des juifs des temps bibliques, mais des Khazars (un mélange de Huns et de Turcs) s’ils sont des Ashkénazes (Juifs européens à la peau claire) ou bien, s’ils sont des Sépharades (des Juifs basanés du Moyen-Orient), ils ont des ancêtres parmi les divers peuples arabes ou autres sémites du nord de l’Afrique ou du Moyen-Orient, ceux que les rabbins avaient convertis au judaïsme pendant une très longue période où le judaïsme était une religion missionnaire tout comme le christianisme ou le bouddhisme.

Except d’une critique anglophone de ce livre (traduit en français):

. https://www.amazon.com/Invention-Jewish-People-Shlomo-Sand/dp/1844676234

Un tour de force historique, L’invention du peuple juif offre un récit révolutionnaire de l’histoire juive et israélienne. Explosant le mythe d’un exil juif forcé au premier siècle par les Romains, l’historien israélien Shlomo Sand affirme que la plupart des Juifs modernes descendent de convertis, dont les terres natales étaient dispersées à travers le Moyen-Orient et l’Europe de l’Est.

Dans ce travail iconoclaste, qui a passé dix-neuf semaines sur la liste des best-sellers israéliens et qui a remporté le très convoité Prix Aujourd’hui en France, Sand fournit les fondements intellectuels d’une nouvelle vision de l’avenir d’Israël.

Shlomo Sand a étudié l’histoire à l’Université de Tel Aviv et à l’ École des hautes études en sciences sociales à Paris.

Il enseigne actuellement l’histoire contemporaine à l’Université de Tel Aviv.

Ses livres incluent Comment le peuple juif fut inventéLa nation et le peuple juif , L’illusion du politique: Georges Sorel et le débat intellectuel 1900 [en francais]Georges Sorel en son temps [en francais]Le XXe siècle à l’écran et Les mots et la terre: les intellectuels en Israël [[en francais].

De manière choquante, Sand a prouvé que les descendants actuels des anciens Juifs palestiniens sont les Palestiniens d’aujourd’hui! 

Quand les Romains  écrasèrent les deux grandes révoltes juives en Palestine, la première en 66-73 sous Néron et la seconde en 132 quand Hadrien était l’empereur, les légions romaines ne chassaient point tous les Juifs de la Palestine, mais seulement de Jérusalem. 

La plupart des Juifs restaient en leur Palestine natale, bien que leur temple et leur capitale aient disparu, et plus tard ils devinrent des Chrétiens après que Constantin le Grand ait commencé à christianiser l’Empire romain, à partir de l’an 312.

 

Lorsque les musulmans arabes pénétrèrent en Palestine en 636, ces anciens juifs, devenus chrétiens au fil des siècles, commencèrent progressivement à devenir musulmans pendant une longue période de 600 ans, souvent juste pour éviter la persécution, le statut de «dhimmi» et les taxes spéciales. En outre, seuls les musulmans étaient autorisés à monter à cheval ou à porter des armes.

Comme Wikipédia nous informe également, “[les conquêtes du souverain égyptien Ibrahim Pacha [en Palestine en 1834] ont effectué un changement démographique important car la région de Palestine a eu un afflux d’immigrants tribaux musulmans.”

Aujourd’hui, ces gens sont “les Palestiniens”. Mais leurs ancêtres étaient les Juifs – au temps de Jésus.

Cette courageuse Palestinienne, Ahed Tamimi, a été condamnée en mars 2018 à huit mois de prison dans une prison israélienne pour avoir giflé un soldat d’occupation israélien. Son village entier de Nabi Salih est plein de gens aux yeux bleus, même 1382 ans après que les Arabes sémites aient commencé à affluer en Palestine.

Comme l’écrivait le libéral israélien Uri Avnery dans le journal Ha’aretz , Ahed vient d’un village plein de Palestiniens aux yeux bleus. Ci-dessous un incident de 2015, où il  semble être la même Ahed qui prendre les devants.

Situation du village de Nabi Saleh où Ahed Tamimi et sa famille vivent en Cisjordanie (qui s’appelait autrefois la Samarie)

Remarquez que les autres enfants ont aussi les cheveux clairs. Les soldats israéliens sont bien plus basanés qu’eux.

“Dans cette photo du vendredi 28 août 2015, des femmes et des jeunes palestiniens se disputent avec un soldat israélien qui tente d’arrêter un garçon de 12 ans lors d’une manifestation près du village de Nabi Salih en Cisjordanie. https://en.wikipedia.org/wiki/Nabi_Salih C’est un village musulman de 600 près de Ramallah. La famille Tamimi a particulièrement souffert sous les Israéliens et les déteste avec une passion justifiée.

 

…..Jésus tel qu’Il fut représenté dans les premières peintures chrétiennes de la Rome impériale

 

Une représentation sur le mur d’une catacombe chrétienne sous Rome, avec les lettres Alpha et Omega de chaque côté. L’apôtre Paul (un personnage suspect pour Adolphe Hitler et son mentor Dietrich Eckart) et le vrai apôtre Pierre, qui connut personnellement et accompagna Jésus pendant presque tout son ministère, vivaient à Rome pendant des années et y furent exécutés par Néron à l’instigation de Juifs calomniateurs. Par conséquent, l’apparence de Jésus était connue à Rome.

Jésus avec des cheveux châtain clair dans une catacombe appartenant au boulanger riche Bosio. Les catacombes étaient de la roche très molle – “tufa” – où environ six millions d’anciens Romains furent enterrés pendant les siècles de la République romaine et ensuite de l’Empire. Une fois qu’on creusa un espace, la roche tufa se sécha et se durcit.

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Jésus avec des cheveux brun-rougeâtres dans l’église de Sancta Pudentiana (maintenant Santa Pudenziana) à Rome, érigée vers l’an 410 sur le site de la toute première église à Rome, qui avait été construite vers l’an 150. (Avant que les chrétiens commencent à construire des églises, ils se réunissaient dans les maisons privées de croyants aisés – qui furent souvent des femmes très attachées à une divinité de l’amour. Ils dînaient régulièrement ensemble – tout en ajoutant des chants, des prières, des baisers fraternels, un repas, du vin et plus tard, au fur et à mesure que le Christianisme grandissait, les croyants louaient des salles de réunion, pour construire finalement des véritables églises, des basiliques et, au Moyen Âge, des cathédrales.)

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Gros plan de la tête de Jésus

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Je répète que la congrégation romaine fut fondée par des hommes qui connaissaient personnellement et réellement l’homme qui fut Jésus de Galilée.

(Rappel) Sur le mur d’un monastère égyptien, vers 500 ap. J.-C., nous voyons un Jésus blond dans les bras d’une Marie blonde, et flanqué de deux archanges protecteurs, Michael, un roux, et le blond Gabriel.

Adolf Hitler peignit Marie et Jésus de cette manière en 1912 à Munich, et dit toujours que quiconque lit les paroles de Jésus peut sentir qu’il fut un Aryen.

Quand j’étais Témoin de Jéhovah, en 1970-75, Jésus était toujours représenté comme un bel italien avec des traits blancs et la structure osseuse du visage d’un blanc, des cheveux bruns et des yeux brun clair.

Satan offre à Jésus les royaumes du monde, qui sont les siens à donner – un reflet d’une sorte de réalité même (ou spécialement) de nos jours.

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Un pharisien (du même groupe qui écrit plus tard le Talmud qui prêche la haine des Gentils) qui se dit scandalisé accuse Jésus d’avoir guéri un homme né aveugle de sa cécité pendant un jour du sabbat.

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Jésus ressuscitant Lazare. Les prophètes Elijah de l’Ancien Testament ( 1 Rois 17: 17-23 ) et Elisée ( 2 Rois 4: 8-37 ) ressuscitèrent aussi des morts. Le Talmud – écrit par les petits-fils des pharisiens qui connaissaient réellement Jésus – avoue que Jésus fut une personne très réelle, qu’Il accomplit des miracles, et que même la prononciation de Son nom par d’autres guérisseurs — qui n’étaient même pas des Chrétiens — pouvait accomplir un miracle .

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Peter Schafer-Jesus dans la presse de l’université Talmud-Princeton (2007)

Peter Schäfer (Schaefer)

En fait, un rabbin guérit un autre rabbin mourant en prononçant le nom de Jésus. Pour cela tous les deux furent châtiés sévèrement par les autres rabbins bien plus âgés, car, selon le Talmud, Jésus était un blasphémateur qui se trouve maintenant en enfer, bouillant dans des excréments chauds.

https://johndenugent.com/images/Peter-Schafer-Jesus-in-the-Talmud-Princeton-University-Press-2007-1.pdf

Traduction:

Il [Onqelos — le supposé traducteur de la Bible de l’hébreu en langue araméenne] alla faire surgir Jésus le Nazaréen (Yeshu hanotzri) / les pécheurs d’Israël (posh <e Yisrael) 11 de leur (s) tombe (s) par la nécromancie et lui demanda: Qui est signifiant dans ce monde-là?

Il / ils [Jésus / les pécheurs d’Israël] ont répondu: Israël!

[Onqelos:] Qu’en est-il alors de les rejoindre?

[Jésus / les pécheurs d’Israël:] Cherchez leur bien-être, ne cherchez pas leur nuire. Celui qui les touche est comme s’il touche la pomme de
son œil [de Dieu] 12

[Onqelos:] Quelle est votre punition?

[Jésus / les pécheurs d’Israël:] Avec des excréments bouillants

 

…..La croix en tant que symbole chrétien est apparue bien plus tard

On la considérait alors vu comme ce qu’il fut, une chose vraiment horrible!

Il faut rappeler que les Romains crucifiaient régulièrement 1) les voleurs, 2) les pirates (Jules César fut une fois le captif de pirates, et les menaça de crucifixion dans l’avenir, une promesse qu’il accomplit plus tard), 3) des esclaves en révolte ouverte, 4 ) des bandits de grand chemin, et 5) des meurtriers – et ils continuaient à le faire pendant de nombreux siècles.

Cela pouvait prendre des jours et des jours pour mourir de cette façon, entre autres de l’épuisement. (Il fut impossible de respirer sans un effort énorme et douloureux. En plus il y avait la soif, les coups de soleil, la faim et l’exposition à l’air froid de la nuit. Dans les climats secs, le manque d’humidité signifie que l’air relache sa chaleur pendant la nuit. Les températures peuvent retomber de 35 à 10.

La crucifixion était en fin de compte le moyen principal d’exécution pour des crimes trop odieux. (On considéra la décapitation beaucoup plus miséricordieux et honorable.)

J’ai préparé ces derniers mois mon très important livre audio et mon livre en ligne en anglais sur ce que pensèrent Adolf Hitler et son mentor Dietrich Eckart au sujet de Jésus (ils éprouvèrent une forte révérence et admiration pour Lui ), et en même temps leur opinion sur l’Ancien Testament et la religion là-dedans, le Judaïsme.

Cette autre opinion que partageaient Hitler et Eckart fut, bien sûr, extrêmement négative. Ainsi on pouvait catégoriser les deux amis comme des «Marcionites extrêmes». Ils Le considéraient comme un réformateur radical qui prêcha un Dieu radicalement différent — un «Père céleste» et un “Dieu d’amour” — du Yahvé des Juifs, une divinité ouvertement “jalouse” et tribale.

La plus ancienne photo du jeune activiste Hitler, 1920, 31 ans (capture d’écran d’un premier film d’actualités), avec des drapeaux bavarois.

Son mentor Eckart était un journaliste, un poète, un penseur spirituel et un dramaturge et producteur de théâtre à succès. Une de ses pièces courut 600 fois à Berlin, le rendant riche.

Quoi qu’il en soit, Margi m’a suggéré la lecture et utilisation d’une excellente monographie en espagnol sur Jésus de la plume de notre ami mutuel, le NS et historien Joaquin Bochaca, habitant de Barcelone, en Catalogne/spagne, au titre El Mito del Judaismo de Cristo, “Le mythe de la judéité de Jésus”.

Bochaca

. https://johndenugent.com/images/Mito-del-judaismo-del-cristo-bochaca.pdf

 

Ayant pu  vérifier ailleurs les thèse de Bochaca, je livre au lecteur ci-joint ma traduction en français :

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“La vérité est ce qu’ils vous font croire”, déclara Voltaire. [JdN: Je n’en ai pas encore retrouvé la citation originaire.]

Aujourd’hui, l’une de ces “vérités” est la judaïté du Christ. “Jésus-Christ fut un Juif” est une phrase qui, si elle avait été prononcée il y a seulement quelques siècles, aurait pu coûter à son auteur les rigueurs de l’Inquisition.

Mais à notre époque cette même phrase, à force d’être répétée, en forme ou imprimée ou orale, par des millions de fois, est devenue un axiome, un lieu commun, quelque chose de si indubitable que si elle se répète souvent maintenant, c’est presque avec la seul but de servir de bouclier ou de lien moral donné à tel ou tel groupe de Juifs pour se prémunir contre la réaction des non-Juifs contre leurs méthodes commerciales, politiques ou sociales.

Quand quelqu’un dit, par exemple, que les inventeurs et la grande majorité des propagateurs du communisme sont juifs, ou que les Juifs sont l’écrasante majorité des membres de l’escroquerie financière internationale, et qu’ils sont aussi – et ils étaient – tels ou un tel marchand de pornographie, escroc, ou un criminel crapuleux tel que Ginzberq, Stavisky [JdN: on pourrait y ajouter Bernie Madoff aujourd’hui], au lieu de répondre avec des arguments logiques et cohérents – comme on peut évidemment le faire, avec plus ou moins de succès – tout un essaim de clercs pieux et de laïcs bienveillants vous dira, avec onctuosité, que “notre Seigneur Jésus-Christ était aussi un Juif”.

Et ce qui nous surprend le plus est que dans un voisinage insolite avec ces personnages pieux, et en formant un chœur avec eux, nous apercevons les anti-chrétiens par définition, les athées, les communistes et toute la faune variée de leurs compagnons de route.
En fait, pour un Chrétien et spécifiquement pour un Catholique, Jésus-Christ ne pouvait pas être juif. Tout Catholique qui marque le Christ en tant que juif commet une hérésie. Au moins, jusqu’à ce qu’un nouveau conseil de la super-ouverture au monde changera le Credo où, depuis des siècles, le Christ a été «conçu par l’œuvre et la grâce du Saint-Esprit», en, par exemple, ce nouveau dogma «conçu par l’œuvre et la grâce de Samuel Levy”….
Un Juif, selon et le Talmud et la législation de l’État actuel d’Israël, ainsi que pendant des années de tradition universellement reconnues, descend d’un Juif et d’une Juive. Pour le croyant chrétien, cependant, Jésus-Christ est un fils de Dieu, pas d’un homme terrestre.
Cela règle la question pour les Catholiques et pour la majorité des Protestants de bonne foi.
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En l’an 720 aC la Galilée fut dévastée par les Assyriens, et sa population — probablement dans sa totalité selon l’historien juif Heinrich Graetz, ou les 4/5 d’elle selon l’historien Robertson Smith — fut déportée, et remplacés par des Assyriens (un mélange de sémitique et d’aryen) et des Grecs,  des Aryens purs.
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Les deux historiens coïncident également en affirmant que, outre les Assyriens et les Grecs, il y eut également l’implantation en Galilée, le District des Païens, de nombreux clans de bergers scythes.
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*** JdN

Jésus fut élevé à Nazareth en Galilée, dans l’extrême nord de la Palestine.

En hébreu, le mot “Galilée” signifie

District des Gentils”

littéralement Galil [district] ha [de] Goyim.”

https://en.wikipedia.org/wiki/Galilee

La Galilée possède de belles montagnes et de l’air fraîche, un immense lac, «la mer de Galilée» (ou “de Gennesaret”) [photo] et de nombreuses rivières, un peu comme la Californie du Nord ou le Midi de la France.

La Galilée a attiré de nombreux colons pendant des millénaires, la plupart d’entre eux des non-Juifs, en fait, des Blancs aryens: des Grecs anciens, des Scythes (quasiment des proto-Slaves), des Macédoniens d’Alexandre le Grand — des Grecs septentrionaux — et des Romains.

Route romaine qui mène vers la Syrie

Un verger galiléen de citrons

L’Ancien Testament lui-même raconte comment les Juifs étaient constamment méchants, et qu’ainsi Dieu (Yahweh) permit au roi d’Assyrie de les conquérir, les expulsant tous comme des fauteurs de troubles permanents vers Babylone et au pays qui se nomme  maintenant l’Irak.

Le monarque assyrien installa alors en Galilée beaucoup d’autres personnes – que les juifs appellent «des Gentils» – dans ce beau pays.

*** En revenant au texte de Bochaca:

Le Hongrois Ferenc [Bochaca écrit “Zajhty” mais je crois qu’il veut dire “Szalasi”] affirme que “les Juifs étaient sûrs que Jésus n’était pas de leur race. “[Bochaca fait référence à un livre en hongrois qui se traduirait par “la Hongrie millénaire”.]

Zajhty affirme que, au septième siècle avant JC. le roi assyrien Shalmaneser [V] emporta toute la population de la Galilée, qui n’était alors encore que partiellement juive. Les bergers scythes et les nouveaux colons grecs, assyriens et macédoniens, qui occupèrent par la suite l’espace des populations déplacées, adoptèrent la croyance religieuse juive.

Mais, selon l’expression des Juifs eux-mêmes, «ils ne firent que de se soumettre aux lois juives». Zajhty affirme que “les Juifs n’ont jamais accepté les Galiléens comme étant des véritables descendants du saint patriarche Abraham. “

Au cours des siècles précédant la naissance du Christ, nous pouvons confirmer l’immigration de nombreuses colonies de Phéniciens et de Grecs en Galilée, selon Houston Stewart Chamberlain [dans ses Fondations du XIXe siècle , p285 dans la version espagnole qu’utilisa Bochaca ) et surtout d’après Albert Réville ( Jésus de Nazareth, tome I , p. 167) qui souligne que l’immigration par les sémites [= Phéniciens] fut deux fois plus nombreuse que celle des Aryens (des Grecs, Macédoniens, Scythes et Romains).

Alexandre le Grand [photo à droite] en 331 aC fit expulser de la Samarie cesdits colons phéniciens, les remplaçant par [certains de ses propres] Macédoniens, dont une partie importante [des ces Grecs septentrionaux] fut en provenance du “District des Gentils”, la Galilée. (Houston Stewart Chamberlain, ibid., P. 289)

Il est hors de doute que dans les terres de Galilée, fertiles et facilement accessibles – contrairement à la Judée, qui était pratiquement isolée – une multitude de races

cohabitaient, à la seule exception de ce qu’on appelle proprement la race juive.

Dans l’Ancien Testament, dans 2 Rois chapitre 17, on raconte comment les villageois galiléens interprétèrent la multiplication des bêtes sauvages (lions, ours, etc.) sur leur territoire comme un signe de la vengeance des dieux du pays. Ils ont délégué une ambassade au roi des Assyriens, leur demandant de leur envoyer un prêtre israélite de ceux qu’il avait pris comme captifs. Le prêtre est venu et a enseigné aux Galiléens comment adorer le Dieu de Jérusalem.

… 2 Rois chapitre 17  Le roi assyrien expulse les Juifs de Galilée; les païens les remplacent et, adorent Yahweh par prudence à côté de leurs propres dieux

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Osée, dernier roi d’Israël

 

17 La douzième année d’Achaz, roi de Juda, Osée, fils d’Ela, devint roi d’Israël à Samarie, et il régna neuf ans. 2 Il fit le mal aux yeux de Yahweh mais pas autant que les rois d’Israël qui le précédèrent.

3 Shalmaneser, roi d’Assyrie, est venu attaquer Osée, qui avait été le vassal de Shalmaneser et lui avait rendu hommage. 4 Mais le roi d’Assyrie découvrit qu’Osée était un traître, car il avait envoyé des ambassadeurs auprès de So [Osorkon?], roi d’Égypte, et il ne rendait plus hommage au roi d’Assyrie, comme il le faisait chaque année.

Par conséquent Shalmaneser le saisit et le mit en prison. 5 Le roi d’Assyrie envahit toute la contrée, marcha contre Samarie, et l’assiégea trois ans. 6 La neuvième année d’Osée, le roi d’Assyrie [maintenant apparemment Sargon II; photo à droite] captura la Samarie et déporta les Israélites en Assyrie. Il les installa à Halah, à Gozan, sur la rivière Habor et dans les villes des Mèdes.

Israël exilé à cause du péché

7 Tout ceci eut lieu parce que les Israélites avaient péché contre Yahweh leur Dieu, qui les avait fait sortir d’un Égypte sous la domination de Pharaon, roi d’Égypte. Ils avaient adoré d’autres dieux 8 et suivirent les pratiques des nations que Yahweh avait chassées devant eux, ainsi que les pratiques que les rois d’Israël avaient introduites. 9 Les Israélites agissaient secrètement contre Yahweh, leur Dieu, qui n’était pas juste. De la tour de guet à la ville fortifiée, ils se construirent des hauts lieux dans toutes leurs villes. 10 Ils dressent des pierres sacrées et des poteaux d’Astarté sur toute colline élevée et sous tout arbre qui s’étend. 11   On brûlait de l’encens sur tous les hauts lieux, comme les nations que Yahweh avait chassées devant eux. Ils firent des choses mauvaises qui excitaient la colère de Yahweh. 12 Ils adoraient des idoles, bien que Yahweh ait dit: Tu ne feras pas cela.

13 Yahweh avertit Israël et Juda par tous ses prophètes et voyants: “Retire-toi de tes mauvaises voies. Observe mes commandements et décrets, conformément à la Loi entière que j’ai commandé à vos ancêtres d’obéir et que je vous ai livrés par l’intermédiaire de mes serviteurs les prophètes. “

14 Mais ils n’écoutaient pas et avaient le cou raide comme leurs pères, qui n’avaient pas confiance en Yahweh, leur Dieu. 15 Ils rejetèrent Ses décrets et l’alliance qu’Il avait faite avec leurs pères et les lois qu’Il leur avait ordonné de garder. Ils suivaient des idoles sans valeur et devenaient eux-mêmes sans valeur. Ils imitèrent les nations qui les entouraient, bien que Yahvé leur eût ordonné de ne pas faire comme eux.

16 Ils abandonnèrent tous les commandements de Yahweh, leur Dieu, et se firent deux idoles en forme de veau, et un poteau d’Astarté. Ils se prosternèrent devant toutes les armées étoilées et ils adorèrent Baal. 17 Ils sacrifiaient leurs fils et leurs filles au feu. Ils pratiquaient la divination et cherchaient des présages et se vendaient pour faire le mal aux yeux de Yahweh, suscitant sa colère.

18 Alors Yahweh devint très irrité contre Israël et l’ôta de Sa présence. Seulement la tribu de Juda resta, 19 et même Juda n’observa pas les commandements de Yahweh leur Dieu. Ils suivaient les pratiques qu’Israël avait introduites. 20 C’est pourquoi Yahweh rejeta tout le peuple d’Israël; Il les affligea et les livra entre les mains des pillards, jusqu’à ce qu’Il les repousse de Sa présence.

21 Quand Il arracha Israël à la maison de David, ils firent de Jéroboam, fils de Nebath, leur roi. Jéroboam détourna Israël de suivre Yahweh et leur  fat commettre un grand péché. 22 Les Israélites persévérèrent dans tous les péchés de Jéroboam et ne se détournèrent pas d’eux 23 jusqu’à ce que Yahweh les ôtât de sa présence, comme il l’avait averti par l’intermédiaire de tous ses serviteurs les prophètes. Ainsi, le peuple d’Israël [= et le royaume du nord, et le royaume du sud; voir la note qui suit] furent emmenés de leur patrie en exil en Assyrie, et ils sont toujours là.

*** JdN Le mot “Samarie” fait référence à tout le “Royaume du Nord” qui fut gouverné depuis la ville royale de Samarie. Il comprit à la fois ce qu’on appelle aujourd’hui la Samarie (la section centrale d’Israël), et la Galilée dans le nord lointain, selon cette carte standard des frontières vers 800 avant JC:

Samarie réinstallée

24 Le roi d’Assyrie fit venir des gens de Babylone, de Kutha, d’Avva, de Hamath et de Sepharvaïm, et les établit dans les villes de Samarie pour remplacer les Israélites. Ils prirent la Samarie et commencèrent à vivre dans ses villes.

25 Quand ils habitaient là, ils n’adoraient pas Yahweh; alors Il envoya des lions parmi eux et ils tuèrent certains des gens. 26 Il fut rapporté au roi d’Assyrie: “Les gens que vous avez déportés et réinstallés dans les villes de Samarie ne savent pas ce que le dieu de ce pays exige. Il a envoyé des lions parmi eux, qui les tuent, parce que les gens ne savent pas ce dont il a besoin. “

27 Alors le roi d’Assyrie donna cet ordre: “Que l’un des prêtres que tu as pris en captivité à Samarie revienne habiter là-bas et enseigne au peuple ce que le dieu du pays demande”. 28 Ainsi, un des prêtres exilés Samarie est venue vivre à Bethel et leur a enseigné comment adorer Yahweh.

 

29 Néanmoins, chaque groupe national établit ses dieux dans les diverses villes où ils s’étaient établissés, et les installait dans les sanctuaires que le peuple de Samarie avait établis sur les hauts lieux. 30 Les gens de Babylone firent Sukkoth Benoth, ceux de Koutha formèrent [leur dieu] Nergal, et ceux de Hamath [leur] Achima; 31  Les Avvites firent Nibhaz et Tartak, et les Sepharvites brûlèrent leurs enfants dans le feu comme des sacrifices à Adrammelek et Anammelek, les dieux des Sepharvaïm. 32

Ils adorèrent Yahweh, mais ils désignèrent aussi toutes sortes d’hommes de leurs propres gens  comme des prêtres pour célébrer leurs dieux dans les sanctuaires sur les hauts lieux.

33 Ils se prosternèrent devant Yahweh, mais ils servaient aussi leurs propres dieux, selon les coutumes des nations d’où ils avaient été amenés. 34 À ce jour, ils persistent dans leurs pratiques antérieures. Ils ne se prosternent pas devant Yahweh, et n’observent pas les décrets et les ordonnances, les lois et les commandements que Yahweh a donnés aux descendants de Jacob, ceux qu’il a appelés [an nom d’]Israël.

35 Lorsque Yahweh fit alliance avec les Israélites, Il leur commanda: “N’adorez pas d’autres dieux, ne vous inclinez pas devant eux, ne les servez pas et ne leur sacrifiez pas. 36 Mais Yahweh, qui vous a fait monter d’Egypte avec une grande puissance et un bras étendu, est celui que vous devez adorer. A Lui vous vous prosternerez et lui offrirezs des sacrifices. 37 Vous devez toujours faire attention à garder les décrets et les règlements, les lois et les commandes qu’Il a écrits pour vous. Ne vénérez pas d’autres dieux. 38 N’oubliez pas l’alliance que J’ai faite avec vous, et n’adorez pas d’autres dieux. 39 Adorez plutôt Yahweh, votre Dieu; c’est lui qui vous délivrera de la main de tous vos ennemis.

Ils ne voulaient pas écouter, mais persistaient dans leurs pratiques antérieures. 41 Pendant que ces gens adoraient Yahweh, ils servaient [aussi] leurs idoles. À ce jour, leurs enfants et petits-enfants continuent de faire tout comme leurs ancêtres.

*** JdN

La théorie des Galiléens, comme celle de tous les païens, était que chaque endroit de la terre – les plaines, les montagnes, les forêts et les rivières – a son propre dieu, et qu’avec la déportation de “son” peuple, le dieu de Galilée, Yahweh, était en colère qu’on ne L’adorait plus.

Ainsi, les Gentils de Galilées suivaient Sa loi – sans pour autant devenir de véritables Juifs (par des mesures drastiques comme la circoncision, ou visiter le Temple à Jérusalem, etc.). Ils appartenaient ainsi à une catégorie de Gentils que les Juifs appellent “les Craignants de Dieu”. 😉

La deuxième femme de l’empereur fou Néron, Poppée, était une “Craignante de Dieu” – une Gentile qui priait à Yahweh, ne mangeait probablement pas de la viande du porc, etc. – et elle était le monstre qui incitait l’empereur Néron [photo] à blâmer la Grande Incendie à Rome, qui avait provoqué une énorme indignation contre lui, sur les Chrétiens innocents, les menant à être brûlés vifs et jetés aux lions.

 

Cette peinture ci-dessous est celle d’un massacre ultérieur de chrétiens, brûlés vifs et crucifiés à l’instigation de Juifs calomniateurs, ou nourris aux lions.

(Le Colisée, l ‘”Amphithéâtre Flavien”, n’avait pas encore été construit à l’époque de Néron, mais il fonctionnait dix ans plus tard. Le mot “flavius”, en passant, signifie “blond” en latin, et c’est le nom de la dynastie impériale qui régnait sur Rome entre 69 et 96, ce qui signifie Vespasien et ses deux fils, Tite et Domitien.)

Les Juifs mentaient à la foule et aux autorités romaines que les Chrétiens tuaient et mangeaient des bébés, buvait du sang, ont eu des rapports sexuels avec leurs propres frères et sœurs, et détestaient tout le monde. Ils racontaient aux païens que chaque calamité qui leur arrivait remontait aux Chrétiens qui n’adoraient pas les dieux païens comme il fallait mais pratiquaient de la magie noire – tout comme le terrible Jésus, un criminel que Rome avait exécuté. Quand les chrétiens devaient être brûlés, les Juifs couraient et ramassaient du bois pour le carburant. Pas étonnant que le livre de l’Apocalypse se réfère aux Juifs comme “la synagogue de Satan”.

 

*** Retour au texte de Bochaca:

C’est ainsi que les habitants du nord de la Palestine (Samarie et Galilée) devinrent Juifs par la religion, quoique les Samaritains n’eûssent que très peu de sang juif dans leurs veines, et les Galiléens en avaient pratiquement aucun.

[Heinrich] Graetz [un historien juif très célèbre de la fin des années 1800] dit que, entre les invasions – suivies par les déportations – des Assyriens, un petit nombre de Juifs s’étaient infiltrés en Galilée, se consacrant par la suite aux activités commerciales et aux changements d’argent. [et NON PAS pour convertir les païens].

Selon le livre des Maccabées, dont la première partie, le chef hébreu Simon Tharsi rassembla tous les Juifs qui étaient retournés en Galilée et les força tous sans exception à retourner en Judée en l’an 164 av.

Il frappe aux yeux les Scythes de très lointain furent invités à s’installer également en Galilée et possédèrent même leur propre ville, “Scythopolis”. Les Scythes étaient des Indo-Européens habitant la région qui est aujourd’hui l’ Ukraine, et ils furent de féroces guerriers, en particulier comme archers à cheval.

 

Ils étaient peut-être les premiers Slaves – ou au début des Iraniens (aryens) qui plus tard furent absorbés par les Slaves. (Les langues slave et iranienne sont des langues aryennes orientales tout à fait apparentées.)

Carte montrant (encerclé en bas à droite) la ville de Scythopolis.

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L’originalité du caractère national galiléen est marquée par un autre signe infaillible: leur langage.

Au temps du Christ, en Judée, les gens parlaient en araméen. La langue hébraïque était déjà à l’époque une langue morte qui ne survivait que dans les écrits sacrés (tels que l’Ancien Testament et les débuts du Talmud).

Les Galiléens utilisaient un autre dialecte de l’araméen qui était si différent de celui employé par les Juifs que même un serviteur du grand prêtre, Caïphe, pendant le procès de Jésus, pouvait exclamer à Pierre:

“Votre accent vous trahit en homme de Galilée.”

Les Galiléens étaient même interdits de prier à voix haute, puisque leur prononciation fautive excitait l’hilarité, disait le grand écrivain français Ernest Renan.

Il était apparemment presque impossible pour les Galiléens de prononcer certains sons du judéo-araméen, qui étaient très gutturaux. Ce fait, selon Houston Stewart Chamberlain, dénote une différence physique dans la structure du larynx des Galiléens par rapport à celle des Juifs. On peut supposer une forte contribution du sang aryen aux Galiléens à cause de cette absence de sons rudes et gutturaux.

Les sons «kh-» et «gh» gutturaux qui sont communs à tous les peuples sémitiques n’existent pratiquement pas chez les Aryens (à l’exception des Hollandais et des Afrikaners), et il convient de noter que de très nombreux juifs séfarades quittèrent l’Espagne en 1492 quand la reine Isabelle les expulsa pour aller en Hollande!

Vidéo drôle: des jeunes gens imitent le son guttural de l’arabe et l’hébreu:

.https: //www.youtube.com/watch? v = KLqYQbOCGJc

 

Il est vrai que l’arabe et l’hébreu ont énormément de sons gutturaux. Mais le substrat linguistique des Galiléens n’était pas si guttural.

Et oui, les Grecs firent des colonisations partout autour de la Méditerranée, et pour longtemps, et bien avant l’ère d’Alexandre. Il est possible que les Grecs se trouvaient aussi dans l’air frais et magnifique de la Galilée, bien qu’ils aient généralement évité l’Asie comme cible de migration, avec ses gouvernements tyranniques, préférant la Méditerranée centrale et occidentale, mais nous savons aussi qu’ils s’établirent aussi en Libye et en Égypte.

Colonies grecques en bleu (et phénicien en rouge); 30 cités-états grecques différentes ont envoyé des colons

Les anciens Grecs et les Troïens étaient parfois très nordiques.

Ganymède, l’échanson des dieux.

Le chef des dieux grecs, Zeus, envoya un aigle pour enlever Ganymède et l’emmener pour vivre parmi les dieux en Olympe et devenir immortel. Son père Thos (en bas à droite) affligé de tristesse, fut compensé plus tard avec deux chevaux magnifiques du mont Olympe. Notez la peinture jaune sur les cheveux du fils et du père. (Notez également les muscles: les Grecs firent constamment de al musculation. Littéralement chaque citoyen masculin fut soldat en temps de guerre.)

 

La séparation entre juifs et galiléens était si prononcée que, selon le Père Franz Michel Willam, Autrichien, dans son ouvrage de l’an 1932 (en allemand) Das Leben Jesu im Lande und Volke Israel [= La vie de Jésus dans le pays et le peuple d’Israël], à la page 146, il y avait un dicton:

“Les Galiléens estiment l’honneur plus que l’argent;

les Juifs l’argent plus que l’honneur. 

Willam fut le prêtre d’un village dans le Vorarlberg, en Autriche occidentale (au bord du lac Léman) mais aussi un auteur exceptionnel. Sa “Vie de Jésus dans le pays et parmi le peuple d’Israël” fut édité dix fois en allemand et traduit en douze langues. Sa “Vie de Jésus” fut son chef-d’œuvre, un véritable best-seller dans son temps pour faire la renommée internationale de Willam. (Il était plus tard un mentor au prêtre et érudit Joseph Ratzinger, qui devint plus tard le pape Benoît XVI.)

Willam, à gauche et Ratzinger, à droite

L’original en allemand

 

L’historien français Raoul Patry (doctorat en théologie de la Sorbonne / Paris de l’an 1899) rappelle qu’à l’époque de Jésus, la Galilée et la Perée avaient leur propre tétrarque autonome, tandis que la Judée et l’Idumée étaient soumises à un procurateur romain.

«La séparation politique entre les Juifs de race», dit Patry, «et les Juifs de religion, l’un en Judée et l’autre en Galilée, fut complète.»

Patry fair remarquer que les contemporains de Jésus L’appelaient «le Galiléen» et «le Nazaréen», et non «le Bethléémite», et que Sa naissance à Bethléém en Judée ne le qualifia de Judéen. – Patry, Raoul: La réligion dans l’Allemagne d’aujourd’hui, Paris: Payot, 1926, p165.

 

Résumé par  © Pauli Huuhtanen et Nils Martola / Kirjapaja 1997:

Jésus grandit dans la ville de Nazareth en Galilée. Ce territoire septentrional de la Palestine était aussi son principal domaine d’activité.

En dehors des grandes villes de Sepphoris et de Tibériade, la Galilée fut une zone de campagne dont l’agriculture fut l’occupation principale. Le lac de Gennesaret était célèbre pour sa pêche. On dit que Jésus trouva ses premiers disciples parmi les pêcheurs (Marc 1: 16-29).

Au temps de Jésus Galilée était entouré d’un certain nombre de villes grecques. Il y avait aussi en Galilée un groupe de dix villes grecques: la Décapole. Le reste de la région était juif.

Samarie

Au sud de la Galilée vivaient les Samaritains, une population mixte résultant de transferts politiques de population, des gens que les Juifs ne considéraient pas comme de véritables Juifs.

Alors que le Temple juif était situé sur le Mont du Temple à Jérusalem, les Samaritains considéraient le mont Gerizim comme sacré. Ils ne reconnaissaient comme Saintes Écritures que les cinq livres de Moïse, et la forme textuelle qu’ils utilisaient était différente de celle utilisée par les Juifs.

Judée

Le nom “Judée” avait deux sens différents. Premièrement, cela signifiait la région entourant Jérusalem , deuxièmement cela signifiait toute la zone habitée par les Juifs, qui est finalement devenue une province romaine.

La région montagneuse entourant Jérusalem est sèche et dénudée. À l’est est la mer Morte.Dans la zone de l’oasis au nord de la mer Morte se trouve Jéricho, qui est considérée comme l’une des plus anciennes villes du monde.

Jérusalem

Pour les Juifs, Jérusalem était le centre du monde, où Dieu habitait dans le Temple . Les Juifs y allaient en pèlerinage au moins une fois par an. C’était aussi le centre économique, administratif et culturel. L’administration romaine de la Palestine était dirigée de Césarée .

La dynastie hérodienne

Au moment de la naissance de Jésus, la Palestine était gouvernée par le roi vassal romain Hérode le Grand , qui était renommé pour ses grands projets de construction et pour ses actions arbitraires et impitoyables qui, vers la fin de son règne, devinrent de la pure paranoïa.

Après la mort d’Hérode, son domaine fut divisée en trois parties parmi ses fils, qui continuèrent en tant que vassaux romains.

Archélaüs reçut le contrôle de la Judée et de la région de Pérée, à l’est du Jourdain. Il était, cependant, un mauvais roi. En 6 après J.-C., les plaintes de ses sujets firent en sorte qu’il fut exilé par l’empereur [Auguste] en Gaule. En même temps, la Judée, la Samarie et l’Idumée étaient réunies pour former la province de Judée, dont l’administrateur était, sous le légat impérial de Syrie, un représentant de Rome, d’abord un préfet, puis un procurateur.

La Galilée était dirigée par le frère d’Archelaus, Antipas. Ses actes aussi provoquèrent la colère de ses sujets. Par exemple, le très admiré Jean-Baptiste critiquait Antipas, qui finit parle faire exécuter (voir Marc 6: 14-29). À la suite d’une intrigue politique Antipas aussi fut  exilé à la Gaule en 39 après JC

Le seul fils d’Hérode le Grand qui réussit fut Philippe  qui régna depuis la Galilée aussi sur les régions de Trachonites, Gaulanite, Batanée et Auranite au sud-est.

Pilate

Pendant la période 26-36, le représentant romain en Judée fut Pontius Pilate, qui ne comprit pas les sentiments religieux des Juifs. Cela  conduit à des conflits répétés et des protestations juives, et en les réprimant Pilate montra la cruauté et une tendance à utiliser des mesures fortes. La carrière de Pilate fut finalement interrompue à la suite des plaintes envoyées à l’empereur [Tibère] par ses sujets.

La guerre juive

Après le règne de Pilate, la situation en Palestine devint de plus en plus tendue et finit par atteindre la révolte de 66 après JC.

Au début, les rebelles réussissaient. La bataille contre la suprématie technique et matérielle de Rome fut, cependant, désespérée dès le commencement. Jérusalem fut conquise en l’an 70, et son Temple fut détruit. La dernière poche de résistance fut la forteresse montagnarde  de Masada. Il fut conquisse en 73 après JC

Culture hellénistique en Palestine

Par le term d'”hellénisme”, on entend l’interaction entre la culture grecque et les cultures du Proche-Orient à la suite des conquêtes d’ Alexandre le Grand.

 

La Palestine était l’une des régions peuplées par des personnes d’origine grecque. Les nouveaux venus s’installèrent dans les villes phéniciennes de la côte méditerranéenne et fondèrent de nouvelles villes grecques à l’intérieur des terres, dont l’administration, l’économie, le système juridique et le culte officiel étaient basés sur le modèle grec.

L’hellénisation de la Palestine fut renforcée par la domination des rois pro-grecs à partir du IIIe siècle av. J.-C. et plus tard par l’administration romaine. La dynastie d’Hérode, qui avait régné en tant que vassal romain, admirait la culture grecque et adoptait les mœurs grecques. L’élite juive au pouvoir était ouverte à l’hellénisme.

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Jésus-Christ, humainement parlant, était-il Juif de race?
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Celui qui affirme une telle chose proclame son ignorance s’il confond la race et la religion. C’est mépriser la vérité si, connaissant l’histoire de la Galilée, il affirme que les Galiléens étaient des Juifs.
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Pour observer combien grossière est l’erreur de confondre race et religion, regardons ces nombreux pratiquants du bouddhisme en Occident, particulièrement en Flandre et aux Pays-Bas [ou en Californie], qui sont des Blancs de race et certainement pas des Chinois ou des Thaïs.
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Ou il y a des paysans blancs qui sont des Serbes, Bosniaques et Albanais qui professent la religion musulmane, mais ils ne sont certainement pas ni des Turcs ni des Arabes!
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Le fait que les Juifs et les Galiléens se considèraient comme étant membres de deux communautés fondamentalement différentes peut être prouvé par une familiarité avec les textes de l’Evangile.
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Saint Jean, à chaque fois qu’il se réfère aux Juifs, semble les désigner comme étant des étrangers, et dans le même évangile, il rapporte  que «les Juifs disaient qu’aucun prophète n’est jamais sorti de Galilée» (Jean 7:52).
*** Citation de l’Évangile de Jean, qui fut un des proches de Jésus et témoigna de Sa crucifixion

50 Nicodème [membre du Sanhédrin, le Sénat qui régnait sur les Juifs], qui était allé plus tôt vers Jésus et qui était l’un des leurs, demanda: 

Jésus et Nicodème

51 “Notre loi condamne-t-elle un homme sans l’avoir entendu auparavant pour savoir ce qu’il a fait?” 52

Ils répondirent:

“Es-tu aussi Galiléen? Regardez-y, et vous verrez qu’aucun prophète ne sort de Galilée.”

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La personnalité d’un homme s’imprègne dans son travail. Ainsi, tout comme on reconnait que la Neuvième Symphonie [de Beethoven] ne pouvait être conçue que par un Européen ou le Confucianisme que par d’un Chinois, même si tout ce qui concernerait la personnalité de son auteur nous serait inconnu, il est évident que le Christianisme (ou le corpus doctrinal qui a passé à la postérité sous ce nom), dans sa noblesse et idéalisme, simplement ne pourrait pas avoir été l’oeuvre d’un juif.

Le grand historien du droit Jherinq dit:

“Le christianisme représente une victoire sur le judaïsme, et enferme de son premières origines un germe aryen. “(22)

La situation en Galilée entre la Phénicie et la Syrie autoriserait, en principe, la présomption en faveur d’une ascendance essentiellement assyrienne, mais jamais juive.

Certains auteurs, tels que Chamberlain, Harnack, Hugo et Winckler, parmi d’autres, ont tendance à croire, sans pouvoir l’affirmer avec résolution, que Jésus-Christ descendit des Grecs qui avaient émigré en Galilée au 4ème siècle avant JC.

Les descriptions de Son apparence physique n’existent que dans des documents très rares, mais une tradition orale relativement abondante en parle. Elle nous Le présente comme un Aryen, mais rien ne peut prouver quoi que ce soit, sauf le fait qu’Il n’était pas juif.

Ses disciples étaient tous Galiléens, tout comme Lui-même, à une exception près.

L’exception était Judas Iscariot, c’est-à-dire, Judas de Kérioth, une ville de la tribu de Juda.

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Kérioth, située à 16 km au sud de Hébron, n’est aujourd’hui qu’un lieu de ruines
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Jésus-Christ n’était pas un intrigant perfide et sournois. Il n’y a pas de juifs impliqués dans la naissance du Christianisme, que des Galiléens, à l’exception de Paul [JdN: un homme qu’Adolf Hitler et Dietrich Eckart condamnèrent sévèrement dans leur “Bolchevisme de Moïse à Lénine” comme un agent qui réjudaisait le message de Jésus].
Mais si vous voulez trouver des Juifs au début de la saga chrétienne, il est évident qu’il y a un seul nom, un seul vrai Juif, qui joua un rôle de première grandeur:

Judas Iscariot 

Judas est parfois représenté avec une auréole noire. L’art païen grec et romain avait longtemps utilisé des auréoles dorées pour dépeindre ceux bénis par le dieu du soleil.

On ne connait pas le motif de Judas pour trahir Jésus, à part, bien sûr, l’avarice. Certains croient que Judas, comme beaucoup de Juifs à cette époque (et jusqu’aujourd’hui), s’attendait à ce que le Messie des Juifs soit un vrai roi terrestre, un guerrier et conquérant, et qu’il chasse les Romains de la Palestine et érige par la suite un empire juif sur la planéte où les Juifs battraient “les Goyim avec une verge de fer.”

Psaume 2 est vu par les Juifs comme une prophétie sur leur Messie:

“Pourquoi ce tumulte parmi les nations, Ces vaines pensées parmi les peuples?

Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils Et les princes se liguent-ils avec eux contre Yahweh et contre son oint? –

Brisons leurs liens, délivrons-nous de leurs chaînes! –

Celui qui siège dans les cieux rit, Yahweh se moque d’eux.

Puis Il leur parle dans Sa colère, Il les épouvante dans Sa fureur:

C’est moi qui ai oint mon roi sur Sion, ma montagne sainte!

Je publierai le décret; Yahweh m’a dit: Tu es mon fils! Je t’ai engendré aujourd’hui.

Demande-moi et je te donnerai les nations pour héritage, Les extrémités de la terre pour possession;

Tu les briseras avec une verge de fer, Tu les briseras comme le vase d’un potier.

10 Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse! Juges de la terre, recevez instruction!

11 Servez Yahweh avec crainte, Et réjouissez-vous avec tremblement.

12 Baisez le fils, de peur qu’il ne s’irrite, Et que vous ne périssiez dans votre voie, Car Sa colère est prompte à s’enflammer. Heureux tous ceux qui se confient en Lui!”

Jésus, par contre, dit clairement à Ponce Pilate que son royaume n’est pas de ce monde.

Jésus est représenté souvent dans l’art chrétien comme un homme blond et Judas comme très sémitique par la race.

Après avoir trahi Jésus et reçu de la part des juifs son pot-de-vin de trente pièces d’argent, Judas réalisa l’énormité de son crime et se pendit dans un champ qu’il avait acheté avec l’argent. Selon les Évangiles, son ventre s’est ouvert et ses tripes se sont répandues. Ici, dans le panneau central de cette peinture triptyque, le diable est représenté en train de prendre son âme.

Avec cette anti-vérité de la judéité du Christ, il y a longtemps eu un autre axiome moderne, celui d’une identité supposée entre l’antisémitisme et le national-socialisme [du type antichrétien qu’on trouva, par exemple, chez Martin Bormann ou Heinrich Himmler], ou tout autre mouvement ou doctrine de ce genre. 
En l’absence totale de honte, une [fausse image] est en train d’être créée dans laquelle l’Église catholique – et les autres dénominations chrétiennes – sont présentées comme les [nobles] porte-étendards du peuple (auto-) élu, [toujours] protéger les [pauvres Juifs] contre les abus et les persécutions des méchants.
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Par exemple, le cardinal Jozef-Ernest van Roey en Belgique ( https://en.wikipedia.org/wiki/Jozef-Ernest_van_Roey ) et le cardinal George Mundelein aux États-Unis, ( https://en.wikipedia.org/wiki/ Paper_hanger_ (Mundelein% 27s_speech ), et d’autres, ont monté dans la colère biblique en 1938 sur Adolf Hitler interdisant aux Juifs en Allemagne d’occuper des fonctions publiques.
La comédie dans tout cela est qu’une telle mesure avait un précédent, fourni par Sa Sainteté le Pape Honorius III, qui, dans sa bulle papale du 29 avril 1221, “Ad nostram noveritis audentiam” (en latin: “Pour que les gens sachent notre audace “) a interdit aux juifs vivant alors dans les États pontificaux de l’exercice de toute charge publique – même que Hitler 727 ans plus tard.
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Le taureau a également forcé les Juifs à porter sur leurs vêtements un insigne spécial, visible à vingt pas, les identifiant comme des Juifs. Et Honorius III établit, allant plus loin dans cette direction, un numerus clausus (quotas pour les juifs).
*** pour plus
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L’objection classique de «C’était il y a longtemps» peut être valable dans n’importe quel autre cas ou appliquée à n’importe quelle autre entité, mais ce n’est pas le cas quand elle s’applique à l’Église catholique. Il est par définition universel, au-dessus de l’espace et du temps, et pour l’Église quelques siècles ne comptent pas beaucoup.
Dans la brochure ” LE PROBLEME JUIF COMME TRAITE PAR LES PAPES”
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… publié par la Croisade chrétienne nationale de Saint-Louis, Missouri, pas moins de vingt-neuf Souverains Pontifes sont énumérés qui ont dicté cinquante-sept taureaux et édits concernant les Juifs.
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Les taureaux étaient des édits formels et importants émis par les papes, bulla étant le mot latin pour le sceau de métal, fait de plomb ou même d’or, qui était apposé sur des documents importants et des proclamations.
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Le front montre les apôtres Pete et Paul, l’arrière le nom du pape
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Chacun de ces cinquante-sept écrits seraient aujourd’hui considérés comme antisémites, néo-nazis, etc.
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En eux, les Papes ont mis une série de restrictions sur les activités des Juifs:
Il leur était interdit d’employer des serviteurs chrétiens en 1233 par Sufficere debuerat perfidiae Judaeorum de Grégoire IX [“Cela aurait dû suffire aux Juifs perfides …”]; interdit d’embaucher des serviteurs chrétiens, des cuisiniers et des gouvernantes, et sont obligés de porter un insigne spécial visible en 1244 par Impia Judaeorum perfidia d’ Innocent IV («De la perfidie des juifs impies») ; occuper la fonction publique en 1221 par Ad Nostram noveritis audentiam d’ Honorius III , qui recommande également d’être très prudent autour des conversos; l’incendie de Talmuds est également commandé là.
Les chrétiens sont interdits de vivre avec des conversos en 1317 par Exeste vestra de Jean XXII; cette interdiction est renouvelée à plusieurs reprises, d’abord en 1442 par Dudum ad nostram audientiamd’Eugène IV et en 1456 par Si ad reprimendos de Callixte III.
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Les Juifs ont également été interdits de pratiquer l’industrie par la même vestra ex parte de Jean XXII ; ils sont obligés de prier en expiation par Cum nimis absurdum de Paul IV , ce qui signifie «quand cela suffit», et commence ainsi:
“Comme il est complètement absurde et impropre dans la plus grande mesure que les Juifs, qui par leur propre faute ont été condamnés par Dieu à la servitude éternelle […].
(Ce taureau a été publié le 14 juillet 1555, exactement 399 ans avant ma naissance.)
Ils ont été interdits de vendre de nouveaux objets par Antiqua judaeorum improbitas de Gregory XIII de 1581;
Dans un répertoire aussi varié, les déportations et les châtiments collectifs ne manquent pas: Pie V, en 1569, avec son Hebraeorum gens [ la course des Hébreux], les expulsa des États pontificaux, sauf des villes de Rome et d’Ancora, bien que renforcer la surveillance de leurs ghettos là-bas.

“Le peuple juif est tombé des hauteurs à cause de leur infidélité et a condamné leur Rédempteur à une mort honteuse. Leur impiété a pris des formes telles que, pour le salut de notre propre peuple, il devient nécessaire d’empêcher leur maladie. En dehors de l’usure, à travers laquelle les Juifs partout ont asséché les biens des chrétiens appauvris,

… ils sont complices de voleurs et de voleurs; et l’aspect le plus préjudiciable de la question est qu’ils séduisent les innocents par des incantations magiques, la superstition et la sorcellerie à la synagogue de Satan et se vantent de pouvoir prédire l’avenir.

Nous avons soigneusement étudié comment cette secte révoltante abuse du nom du Christ et comment ils sont nuisibles à ceux dont la vie est menacée par leur tromperie.

A cause de cela et d’autres choses sérieuses, et à cause de la gravité de leurs crimes qui augmentent chaque jour de plus en plus, Nous ordonnons que, dans les 90 jours, tous les Juifs dans notre royaume terrestre de justice – dans toutes les villes, districts, et les lieux – doivent quitter ces régions. ~ Pape St. Pius V (De sa bulle, “La course juive”, le 26 février 1569

Clément VIII en 1593 leur interdit dans sa Cum saepe accidere d’ abord de vendre de nouveaux objets, puis leur interdit de vendre des biens usagés, et finalement il les restreint en France à leur siège à Avignon, en France; plus tard le même pontife en 1593 dans son Caeca et obdurata [“aveugle et têtu”] les a limités dans les États pontificaux à Rome et à Ancône.
Les Souverains Pontifes qui aujourd’hui seraient qualifiés d’antisémites étaient: Honorius III, Grégoire IX, Innocent IV, Clément IV, Grégoire X, Nicolas III, Paul III, Jules III, Paul IV, Pie IV, Grégoire III, Sixte V, Clément VIII, Paul V, Urbain VIII, Alexandre VII, Alexandre VIII, Innocent XIII, Benoît XIII et Bénédictin XIV, qui
a battu le record avec six édits et des taureaux concernant les Juifs.

Ce nombre respectable de vingt-neuf papes et de cinquante-sept taureaux antisémites pourrait même être augmenté en citant le taureau Beatus Andreas publié par Benedictine XIV le 22 février 1755, qui se réfère au martyre d’un enfant chrétien, le petit Andy Oxner, le 12 juillet 1462, à l’âge de 3 ans, par des Juifs haïssant le Christ, dans une affaire de meurtre rituel très célèbre. La gravité du ton du pape n’aurait pu être améliorée par le docteur Joseph Goebbels.

[JdN: J’ai lu le taureau entier en traduction allemande. En attendant une tirade contre les juifs pour avoir tué cet enfant, j’ai trouvé plutôt l’attitude légale et formelle qu’Ariel Toaff a attribuée aux différents cas de meurtres rituels. Les papes en effet “se penchaient en arrière” pour ne pas condamner injustement les juifs, en ayant en tête l’affirmation de “Saint” Paul que les Juifs étaient “encore” en quelque sorte le Peuple de l’Alliance de Dieu – mais étaient-ils jamais? Le taureau implique que parce que le petit enfant ne pouvait pas et n’a pas consciemment choisi le martyre, au moins quatre miracles qui ont été vus par d’autres sont nécessaires pour la béatification officielle ou la sanctification de l’enfant juif assassiné, c’est-à-dire être “béni” ou “saints”.)

L’église de Rinn près d’Innsbruck, en Autriche

Une plaque moderne politiquement correcte est tout ce qui reste maintenant dans l’église de Judenstein (la pierre des Juifs) qui rappelle le petit Andreas Oxner, Anderl [Andy] von [de] Rinn “, qui fut béatifié en 1755.

La statue en bois peint de Andy, trois ans

 Les os du pauvre garçon ont été retirés de l’église en 1985 par un évêque traître, juif, Reinhold Stecher. (Et qui sait avec l’Église catholique d’aujourd’hui, peut-être même qu’il était homosexuel et pédophile?) Ce prêtre a été arrêté par la Gestapo comme un ennemi du Reich, et presque envoyé dans un camp de concentration, mais a été mis dans le Armée et forcé de se battre pour l’Allemagne en Finlande et en Norvège.)

L’ancienne fresque du plafond représentant ce que les Juifs lui ont fait, comme dans le cas de Simon de Trente, les Juifs l’ont fait par haine directe et moquerie de Jésus et des chrétiens. Sous la pression des juifs, l’Eglise Vatican II révoqua sa propre béatification en 1755 du petit Andy, disant que l’affaire était “mal utilisée” pour inciter à l’antisémitisme, il n’y avait aucune preuve que les Juifs le firent ou, si tel était le cas, aucun juif hors de la haine religieuse – tous les mensonges chauves. Seuls les Juifs drainent (en utilisant jusqu’à 100 coupures) tout le sang des enfants blancs quand ils les assassinent, et c’est pour le sang séché pour le pain azyme mangé à la Pâque.

Un vil gentil, le parrain en effet, a pris son propre filleul aux Juifs et l’a vendu pour de l’argent. Cette fresque, à partir de 2015, est encore à voir dans l’église.

Les juifs sont ici représentés fidèlement comme tuant et drainant le sang des enfants blancs chrétiens, en particulier les garçons, pour faire une poudre de sang séchée à cuire dans le pain azyme que les Juifs mangentà la Pâque: PASSOVER DE SANG Ariel Toaff 2007

La plupart des taureaux et des édits se réfèrent à des sujets généraux, tels que la doctrine, les procédures, la situation des Juifs dans les États pontificaux et celle des juifs dans les autres États catholiques, et les choses à régler par décrets et ordonnances papales.

Dans les années qui ont précédé le triomphe de la révolution italienne (et l’unification nationale de l’Italie) de 1859, et avec lui la disparition des États pontificaux, les règlements concernant les Juifs de Rome étaient très stricts, avec des assouplissements occasionnels de leur sévérité. Le caractère commun de toutes les mesures prises était de protéger les communautés chrétiennes contre la pénétration de la race juive et ses idées talmudiques. Ces mesures peuvent être regroupées en quatre catégories:

1) Mesures directes pour protéger la foi catholique:
1.1) Destruction du Talmud.
1.2) Interdiction sévère de l’enseignement du Talmud et même de la Bible [par les Juifs] sans autorisation et supervision préalable.

2) Les mesures visant à assurer la séparation sociale des Juifs et des Chrétiens:
2.1) Le confinement des Juifs dans leur ghetto.

Ghetto de Venise (Ghetto avait un mur littéral autour d’eux, ou dans le cas de Venise, un canal d’eau traversé par une passerelle, des soldats ou des policiers gentils montaient la garde et interrogeaient peut-être des inconnus qui allaient et venaient. dans leur ghetto par le couvre-feu.)

Ghetto juif, Cracovie, Pologne

Ghet Cracovie 2

2.2) Interdiction générale – imposée aux juifs et aux chrétiens – de cohabitation, dans la plus large application de l’expression.
2.3) Utilisation de robes et de badges spéciaux.
2.4) Expulsion absolue de certaines zones

.
3) Les mesures assurant la protection de certaines professions, en les préservant de l’influence juive:
3.1) Les charges publiques.
3.2) Les professions libérales, en particulier la médecine.
3.3) Enseignement.
3.4) Banque.
3.5) Certains types de commerce.
3.6) Propriété de la terre.

4) Mesures concernant la race:
4.1) Interdiction de l’emploi par les Juifs, les nounous, les servantes, les cuisinières et, en général, toutes sortes de travailleuses non juives.

Le meurtre rituel en Hongrie de la jeune ferme de 14 ans, Esther Solymosi, le 1er avril 1882, peint par Michael Munkácsy sous la commande du tsar Alexandre III de Russie

4.2) Interdiction des mariages mixtes (un principe universel déjà dans le christianisme)

La lettre encyclique de Sa Sainteté Benoît XIV (photo 1740-58) envoyée au Primat, archevêques et évêques du pays de Pologne concernant les interdictions contre les Juifs résidant dans les mêmes villes et districts que les chrétiens polonais est un document qui, en notre âge eût coûté à l’auteur, bien qu’il fût un vicaire du Christ, l’honneur de la potence dans tout nécropole ecclésiastique.

Sa Sainteté commence par rappeler les traditions catholiques de la nation polonaise et souligner les résolutions du Conseil Petrikac (Petrikov), présidé par le nonce Lipomanus, évêque de Vérone … Dans ledit concile et pour la plus grande gloire de Dieu le principe de la liberté de conscience était proscrit et définitivement exclu des principes gouvernant la vie publique du royaume.

Souvenez-vous donc que le Vicaire du Christ a écrit les résolutions du synode de la province de Gnesen, dans lesquelles les évêques polonais ont pris de sages mesures pour préserver leur roi de la perfidie juive.

Sa Sainteté exprime ensuite ses regrets pour les nouvelles catastrophiques qui sont venues à sa connaissance. Voici la nouvelle catastrophique: “Le nombre de Juifs a considérablement augmenté; les Juifs ont constitué des monopoles, en particulier dans le
commerce d’alcool; ils sont devenus propriétaires d’immenses propriétés; et ils ont pris leur audace au point de devenir des collecteurs d’impôts. 

Il attire ensuite l’attention sur le fait que certains chrétiens sont entrés dans le service domestique des Juifs, ce qu’il appelle une anomalie monstrueuse.

Après avoir demandé qu’aucune réaction ne comprenne des exactions et des exactions contre les Juifs, Sa Sainteté exige un retour à l’ordre sain des choses et la séparation complète (apartheid, dirions-nous aujourd’hui) entre les deux communautés, juive et chrétienne, avec la prédominance des dernier dans la vie civile.

Même sans considérer un instant son aspect divin, une organisation comme l’Église catholique romaine, vieille de près de deux mille ans, ne prend pas de décisions majeures à la légère et sans réfléchir soigneusement au pour et au contre. Il insulterait gravement l’intellect et la sensibilité de vingt-neuf Pontifes, et de centaines d’archevêques, de cardinaux, d’évêques – beaucoup d’entre eux aux autels [= pas enfermé dans les monastères, mais dans le monde réel avec les masses laborieuses, la fidèles, les gens] – qui ont dicté des mesures antisémites. Il semble logique de supposer que s’ils prenaient de telles mesures, ils avaient de puissants motifs.

Au cours des deux cents dernières années, le judaïsme a créé deux monstres, le capitalisme et le communisme, a perpétré la révolution russe [= un putsch par 40 000 bolcheviks majoritairement juifs], le pillage de la Palestine, et a puissamment contribué au déclenchement de deux guerres mondiales. beaucoup d’autres “réalisations” avec lesquelles ils peuvent être accusés.

Nous sommes convaincus de l’existence de nombreux juifs décents, innocents des crimes que le judaïsme a commis et continue de commettre, bien que nous affirmions que nous n’avons pas trouvé de juif – pas un seul! – qui s’est dissocié de ses parents dans le Kremlin [de l’ère soviétique], à Wall Street … ou en Palestine.

Nous ne voyons donc aucune raison particulière de croire que les mesures antisémites de l’Église, qui ont dû être une bonne chose pendant dix-huit siècles, sont soudainement devenues une mauvaise chose malgré l’émergence de [nouvelles menaces juives]:

-communisme,

-capitalisme, et

-l’état pirate de Tel Aviv.

.

…..Réaction d’un lecteur

J’ai toujours ressenti la même chose à propos de Jésus. Mais étant donné votre perspective de Jésus-le-Gentil, comment expliquez-vous les généalogies de Jésus que lancent deux des Évangiles, selon lesquelles Son ascendance remonterait au légendaire roi israélite David?

 

J’ai répondu:

Celle de Matthieu, chapitre 1, va d’Abraham jusqu’à Joseph, qui est génétiquement hors de propos parce que Joseph ne fut que le beau-père de Jésus.

Le Nouveau Testament déclare comme son dogme principal clairement que c’est Dieu, Lui-même, le Créateur de l’Univers, qui fut le père (disons) biologique et donc réel de l’homme divin qui fut Jésus.

*** Matthieu 1: 1-24

1 Généalogie de Jésus-Christ, fils de David, fils d’Abraham. 
2 Abraham engendra Isaac; Isaac engendra Jacob; Jacob engendra Juda et ses frères; 3 Juda engendra de Thamar Pharès et Zara; Pharès engendra Esrom; Esrom engendra Aram; 4 Aram engendra Aminadab; Aminadab engendra Naasson; Naasson engendra Salmon; 5 Salmon engendra Boaz de Rahab; Boaz engendra Obed de Ruth; Obed engendra Isaï; 6 Isaï engendra David. Le roi David engendra Salomon de la femme d’Urie;
7 Salomon engendra Roboam; Roboam engendra Abia; Abia engendra Asa; 8 Asa engendra Josaphat; Josaphat engendra Joram; Joram engendra Ozias; 9 Ozias engendra Joatham; Joatham engendra Achaz; Achaz engendra Ezéchias; 10 Ezéchias engendra Manassé; Manassé engendra Amon; Amon engendra Josias; 11 Josias engendra Jéchonias et ses frères, au temps de la déportation à Babylone.
12 Après la déportation à Babylone, Jéchonias engendra Salathiel; Salathiel engendra Zorobabel; 13 Zorobabel engendra Abiud; Abiud engendra Eliakim; Eliakim engendra Azor; 14 Azor engendra Sadok; Sadok engendra Achim; Achim engendra Eliud; 15 Eliud engendra Eléazar; Eléazar engendra Matthan; Matthan engendra Jacob; 16 Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle est né Jésus, qui est appelé Christ.
17 Il y a donc en tout quatorze générations depuis Abraham jusqu’à David, quatorze générations depuis David jusqu’à la déportation à Babylone, et quatorze générations depuis la déportation à Babylone jusqu’au Christ. [JdN: 
18 Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte, par la vertu du Saint-Esprit, avant qu’ils eussent habité ensemble. 19 Joseph, son époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de rompre secrètement avec elle. 
20 Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit :
Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l’enfant qu’elle a conçu vient du Saint-Esprit; 21 elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus; c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés.
[JdN: Le nom “Jésus” est une version grecque de Son nom qui signifie en hébreu “Yehoshu”, c’est-à-dire, “Yahweh sauve.” Les Juifs talmudiques Le nomment “Yeshu”.]
Yeshu est moqué dans la forme d’un singe pleurnicheur, et est raillé et crucifié par une fille juive dans un bikini, dans une comédie télévisée de 2006 en Israël: .https://johndenugent.com/images/Israeli-comedy-mocks-crucifies-Jesus-monkey.mp4
22 Tout cela arriva afin que s’accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète : 
23 “Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d’Emmanuel, ce qui signifie ‘Dieu avec nous.’ “
24 Joseph s’étant réveillé fit ce que l’ange du Seigneur lui avait ordonné, et il prit sa femme avec lui. 25 Mais il ne la connut point jusqu’à ce qu’elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus.  

“La vierge concevra et enfantera un fils, et ils l’appelleront Emmanuel” [g] (qui signifie “Dieu avec nous”).

 

***

La généalogie dans l’Evangile de Luc 3: 21-29 traite aussi de Joseph (qui, soulignons-le encore une fois, n’est pas le père biologique de Jésus), mais elle semble en fait se référer aux ancêtres de Marie!

(Voir ci-dessous le texte de Luc.) La lignée généalogique de David à Joseph dans Luc est en réalité très différente de celle de Matthieu!

C’est une histoire vraiment trouble et douteuse, et l’une des nombreuses légendes pieuses de la Bible.

(Cela me rappelle le non-sens “Greatest Generation” [en anglais: “la génération la plus glorieuse”] qui glorifie aujourd’hui la génération de moutons crédules qui, incroyablement, élirent quatre fois un criminel psychopathe, un menteur et un raté, Franklin Delano Roosevelt, à la présidence américaine et comment les saints soldats de FDR “sauvèrent le monde et la liberté des nazis. ” C’est vraiment un voyage de l’ego national sur la façon dont grand-papa était – et par extension ses petits-enfants … très “fier d’être américain, parce qu’au moins je sais que je suis libre ” (selon une célèbre chanson de la musique “country” américaine). Bien sûr qu’on est libre de regarder des différentes chaînes de télévision, de choisir entre la crème glacée au chocolat et celle à la vanille….. ou bien de choisir parmi les honteuses marionnettes politiques de la juiverie de la fausse gauche et de la fausse droite.)

Comme Wikipedia précise (https://en.wikipedia.org/wiki/Genealogy_of_Jesus):

Le Nouveau Testament fournit deux récits de la généalogie de Jésus, l’un dans l’Évangile de Matthieu et un autre dans l’Évangile de Luc. Matthieu commence avec Abraham, tandis que Luc commence avec Adam. Les listes sont identiques entre Abraham et David, mais diffèrent radicalement dès ce point.

Les savants chrétiens traditionnels (à commencer par l’historien Eusèbe [1]) ont mis en avant diverses théories qui cherchent à expliquer pourquoi les lignées sont si différentes, [2] telles que le récit de Matthieu qui suit la lignée de Joseph, tandis que celui de Luc suit la lignée de Marie. Certains érudits critiques de notre ère comme Marcus Borg et John Dominic Crossan décrivent les deux généalogies comme des inventions, pour mettre les revendications messianiques en conformité avec les critères juifs. [3]

[…] Les érudits modernes ont tendance à voir les généalogies de Jésus comme des constructions théologiques [= des mensonges pieux] plutôt que comme une histoire factuelle:

les généalogies familiales n’étaient généralement pas disponibles pour les familles non sacerdotales, [JdN: = seuls les prêtres connaissaient leur véritable ascendance, pas les gens ordinaires qui croyaient descendre du roi légendaire David]

et les contradictions entre les deux listes sont considérées comme des preuves évidentes qu’elles ne s’appuient pas sur des documents généalogiques.

De plus, l’utilisation de titres tels que «Fils de Dieu» et «Fils de David» sont considérés comme une preuve qu’ils ne proviennent pas des premières traditions évangéliques. [27]

Raymond E. Brown dit que les généalogies “ne nous disent rien de certain au sujet de ses grands-parents ou de ses arrière-grands-parents”. [28]

Gundry suggère la série de noms inconnus dans Matthieu reliant le grand-père de Joseph à Zorobabel comme une fabrication pure et simple, produite en recueillant puis en modifiant divers noms de 1 Chroniques. [29]

Sivertsen considère que Luke aurait reconstitué sa liste artificiellement à partir de traditions orales.

La série pré-exilique Levi, Siméon, Juda, Joseph se compose de noms de patriarches tribaux qui sont beaucoup plus fréquents après l’Exil [à Babylone] qu’auparavant, tandis que le nom Mattathias et ses variantes commencent au moins trois segments étrangement similaires [30]. Kuhn suggère également que les deux séries Jésus-Mattathias (77-63) et Jésus-Mattatha (49-37) sont des doublons. [31]

Les contradictions entre les listes ont été utilisées pour remettre en question l’exactitude des récits de l’Évangile depuis l’Antiquité [32], et plusieurs auteurs chrétiens ont répondu à cette question.

Augustin, par exemple, a tenté à plusieurs reprises de réfuter toutes les critiques, non seulement parce que les Manichéens de son temps utilisaient les différences pour attaquer le christianisme [33], mais aussi parce qu’il les voyait lui-même [Augustine!] dans sa jeunesse comme provoquant la doute quant à la véracité des Évangiles. [34]

[…] Trois rois consécutifs de Juda sont omis [danbs la liste de Matthieu]:

Achazia, Joas et Amatsia. Ces trois rois sont considérés comme particulièrement méchants, depuis la lignée maudite d’Achab jusqu’à sa fille Athalie jusqu’à la troisième et la quatrième génération. [7] L’auteur pourrait [aussi] les avoir omis pour créer une deuxième série de quatorze. [8]

.

*** Luc 3: 21-29

21 Quand tout le peuple fut baptisé, Jésus fut baptisé aussi. Et pendant qu’il priait, le ciel s’est ouvert 22 et le Saint-Esprit est descendu sur lui sous forme corporelle comme une colombe. Et une voix vint du ciel: “Tu es mon Fils que j’aime; avec toi je suis bien content.

23 Or Jésus lui-même avait environ trente ans lorsqu’il commença son ministère. Il était le fils, pensait-on, de Joseph,

le fils d’Héli, 24 le fils de Matthat, le fils de Lévi, le fils de Melki, le fils de Jannai, le fils de Joseph,

25 le fils de Mattathias, le fils d’Amos, le fils de Nahum, le fils d’Esli, le fils de Naggai,

26 le fils de Maath, le fils de Mattathias, le fils de Semein, le fils de Josek, le fils de Joda,

27 le fils de Joanan, le fils de Rhesa, le fils de Zorobabel, le fils de Shealtiel, le fils de Neri,

28 le fils de Melki, le fils d’Addi, le fils de Cosam, le fils d’Elmadam, le fils d’Er,

29 fils de Josué, fils d’Eliézer, le fils de Jorim, le fils de Matthat, le fils de Lévi,

30 le fils de Siméon, le fils de Juda, le fils de Joseph, le fils de Jonam, le fils d’Eliakim,

31 le fils de Melea, le fils de Menna, le fils de Mattatha, le fils de Nathan, le fils de David,

32 le fils de Jessé, le fils d’Obed, le fils de Boaz, le fils de Salmon, [d] le fils de Nahshon,

33 le fils d’Amminadab, le fils de Ram, [e] le fils de Hezron, le fils de Perez, le fils de Juda,

34 le fils de Jacob, le fils d’Isaac, le fils d’Abraham, le fils de Terah, le fils de Nahor,

35 le fils de Serug, le fils de Reu, le fils de Peleg, le fils d’Eber, le fils de Shelah,

36 le fils de Cainan, le fils d’Arphaxad, le fils de Shem, le fils de Noé, le fils de Lamech,

37 le fils de Mathusalem, le fils d’Énoch, le fils de Jared, le fils de Mahalalel, le fils de Kenan,

38 le fils d’Enosh, le fils de Seth, le fils d’Adam, le fils de Dieu.

***

On peut se demander à quel point l’Ancien Testament est historiquement véridique, ou les histoires autour du roi David. Même de nombreux historiens israéliens admettent que la plupart de ces histoires saintes sont des mythes. Beaucoup d’historiens pensent que Jérusalem sous David – s’il a jamais existé – fut un village de mille habitants. Cette photo montre les fondations de son supposé “palais royal”. (Source: http://www.newsweek.com/bible-david-solomon-timna-copper-mines-archaeology-717192)

Comparez ces murs de roche primitifs avec la magnifique architecture de l’Egypte ou de Babylone en même temps!

La Grande Bibliothèque de Babylone. (Quand les Juifs furent exilés dans cette grande capitale pleine de Gentils en 740 avant Jésus-Chris, très peu d’entre eux sont rentrés dans leur Palestine primitive, une fois que le roi perse Cyrus le Grand avait conquis la Babylonie en 539 avant Jésus-Christ et les avait libérés .)

Alors, qui sait vraiment si le roi David exista et qui furent ses descendants?

RationalWiki dit (https://rationalwiki.org/wiki/King_David):

Le roi David était le deuxième roi d’Israël et de Juda, célèbre avant tout pour avoir tué [l’énorme guerrier philistin] Goliath, bien qu’il ne soit pas roi quand il le fit.

David était un peu un abruti, payant pour une de ses femmes dans les prépuces philistins, [1] envoyant un de ses mecs [the soldat Uriah] à sa mort en bataille afin qu’il puisse b—er sa femme [Bethséba], et le plus odieux des crimes: it organisa un recensement à la demande de Satan. [2] Ou peut-être pas. [3]

Jésus est supposé être un descendant dudit David, bien qu’il y ait le problème d’être par contre “le Fils de Dieu”. C’est Joseph qui fut le descendant de David, et s’il fut engendré impeccablement, alors il n’était point le fils de Joseph et donc il NE FUT POINT un descendant de David.

Est-ce que [David] était réel?

L’unique source de tout ce que nous “savons” sur David est la Bible. Il existe quelques sources extra-bibliques possibles, telles que la Stèle Tel Dan. Cette stèle araméenne de victoire contient l’expression ביתדוד qui se traduit ou par “Maison de l’aimé”, ou bien “Maison de l’oncle” ou finalement “Maison de David”. [4]

Comme la stèle décrit une victoire sur Israël et un royaume allié non spécifié, il n’est pas déraisonnable de supposer qu’elle se réfère à Juda et à son roi David. Cependant, la section “ville de David” de Jérusalem manque de preuves convaincantes pour être une véritable ville autour de 1000 avant notre ère, bien que les ruines soient difficiles à dater avec précision. [5]

La plupart des érudits soutiennent que les Histoires (Nevi’im) décrivent des personnes réelles, dans un récit fictionnalisé. Par conséquent, il est probable que le roi David exista, et il fut pour Juda leur roi le plus puissant ou le plus important. Mais puisque personne [d’autre hors de la Bible] ne le mentionne, il ne fut probablement pas un acteur majeur dans la grande région du Moyen-Orient de l’époque. [6]

 

Les références

1) Onb lui avait exigé seulement d’apporter 100 prépuces, mais il en rassembla 200, parce que vous ne pouvez jamais avoir assez de prépuces. Le tout fit partie d’un complot par le roi Saul pour tuer so rivale David, cependant, alors on doit pardonner David.
2) 1 Chroniques 21: 1
3) 2 Samuel 24: 1
4) Mykytiuk, Lawrence J. (2004). “Identification des personnes bibliques dans les inscriptions sémitiques du nord-ouest de 1200-539 B.C.E.” Atlanta, Ga .: Société de littérature biblique. Voir pp. 110-132 et 265-277
5) “Jérusalem de Salomon: Le texte et les faits sur le terrain”, dans: AG Vaughn et AE Killebrew (éd.), Jérusalem dans la Bible et l’archéologie: La période du Premier Temple, (Société de littérature biblique, Série de symposiums, No 18), Atlanta, 2003, p. 103-115. Voir aussi Cahill, J., “Le Jérusalem de David: Fiction ou Réalité? La preuve archéologique », et Steiner, M.,« Le Jérusalem de David, la fiction ou la réalité? Il n’y a rien là: l’archéologie prouve une chose négative », les deux articles se trouvant dans la revue “Biblical Archaeology” numéro 24 ( de juillet / août 1998).
6) Archeology Magazine
.

*** JdN — commentaire final

Avec tout souverain vraiment majeur, 1) les autres rois les mentionnent dans leurs correspondances ou la statuaire de guerre (s’ils défiren  le roi en question ou prirent en captivité certains de ses soldats), et 2) nous trouvons également des pièces de monnaie, des inscriptions ou des statues avec leur ressemblance.

Avec le roi David ou son fils, le roi Salomon – il n’y a rien de ce genre…..

Ces deux rois juifs sont peut-être aussi réels que l’Holocauste des Juifs, ou les glorifications dans les médias des grands génies juifs Sigmund Freud et Albert Einstein – 95% de ces données sont fausses.

Et c’est la même chose avec Jésus. En tant que Galiléen, il se peut qu’Il soit à 5% juif, ou peut-être pas du tout juif par son ADN.

(Beaucoup d’entre nous ont un peu de sang juif en nos vènes parce que pendant des milliers d’années, des jeunes Juifs, dégoûtés des mensonges, de la cupidité et de la haine au coeur du Judaïsme, ont quitté leur “foi”, épousant par la suite des Gentils et devenant joyeusement des païens. Si la juiverie cessait d’être le chemin de la richesse et du pouvoir, bien davantage de Juifs tourneraient leur dos de cette secte horrible.)

Ce qui compte, comme avec Adolf Hitler, qui eut une apparence qui sautait aux yeux mais ne fut ni laid ni beau, ce n’est pas son apparence, mais ce qu’il prêcha et fit.

Les deux luttèrent contre le judaïsme et les juifs, et proclamèrent qu’un monde meilleur est nécessaire qui est libéré de l’ego, de la haine, du mensonge et de la cupidité, car sinon l’humanité se détruira elle-même..

“Les Galiléens estiment l’honneur plus que l’argent;

les Juifs l’argent plus que l’honneur. 

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