FRENCH La gauche qui n’est plus de gauche

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La néo-gauche sioniste est contre la famille normale millénaire et la démonise de “Nazi”!

L’ancienne gauche ne chercha jamais, jamais à  détruire la famille hétérosexuelle ni le rôle du père de la famille, fondation de toute nation

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La néo-gauche veut détruire les Francais de souche et les remplacer.

Cette année toute critique de l’avortement sera criminalisé en France: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-gouvernement-veut-criminaliser-les-sites-anti-IVG-41697.html

“L’enfant jamais né”

Le gouvernement veut élargir le délit d’entrave à  l’interruption volontaire de grossesse (IVG) aux sites internet qui véhiculent des informations « biaisées » sur l’avortement.

 

Informer, oui. Tromper, non. […] Après avoir annoncé, le 17 septembre 2016 sur France Info, son intention de faire « reculer ces sites manipulateurs » qui à  ses yeux relèvent d’un « délit d’entrave numérique », la ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes Laurence Rossignol a donné des précisions mardi, veille de la journée mondiale pour le droit à  l’avortement ce mercredi 28 septembre 2016.

Le gouvernement va proposer un amendement au projet de loi Égalité et Citoyenneté, examiné au Sénat à  partir du 4 octobre, pour modifier le code de santé publique qui comporte depuis 1993 un délit d’entrave à  l’IVG. Ce délit, passible de deux ans de prison et 30 000 euros d’amende, a été élargi en 2014 à  l’accès à  l’information, mais ne concerne pour l’instant que les hôpitaux ou autres établissements.

[…]

« àŠtre hostile à  l’IVG est une opinion que chacun peut exprimer librement et par tout moyen dans notre pays, a souligné Mme Rossignol auprès de l’AFP. En revanche, attirer les femmes sur des sites présentés comme des sites d’information, qui affichent un vocabulaire, une posture jeunes, modernes, pour donner des informations fausses, biaisées, dans le but de dissuader des femmes de recourir à  l’IVG, de les culpabiliser, a n’est pas acceptable », a ajouté la ministre.

Lire l’intégralité de l’article sur sciencesetavenir.fr

….Pourquoi je ne suis plus de gauche sans avoir jamais rien fait pour a !

http://lesakerfrancophone.fr/pourquoi-je-ne-suis-plus-de-gauche-sans-avoir-jamais-rien-fait-pour-ca


Par Aladin − Décembre 2016

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Voilà  une bonne question qui est restée sans réponse pour moi pendant de nombreuses années avant d’être élucidée. Les paresseux d’esprit diront qu’après tout c’est bien normal : les jeunes gens sont toujours de gauche par esprit de contradiction et virent naturellement à  droite avec l’à¢ge. Mais ce n’est pas la bonne réponse si j’affirme que les convictions que je défendais il y a quarante ans comme étant « de gauche » sont grosso modo les mêmes que celles que je défends aujourd’hui en n’étant plus reconnu comme tel. Ma démonstration sera donc utile à  tous ceux qui se pensent encore douloureusement « de gauche » en s’appuyant sur des artifices du genre «  oui mais moi je suis pour la « vraie » gauche, pas celle du PS, pas celle qui s’affiche un peu partout à  notre époque ». La gauche qui n’existe pas, quoi.

Revenons en arrière, un peu avant 68 pour brosser le paysage politique. Plus précisément avant la guerre des six jours de 1967. Nous sommes en pleine guerre froide. L’URSS vit à  l’ère Brejnev. En France, il existe deux gros partis : le parti gaulliste (l’UNR-UDT de 1962 devenue UDR en 1966) et le parti communiste. Les partis de cette époque peuvent être pertinemment classés les uns par rapport aux autres sur un axe unique gauche-droite ; ce n’est plus le cas maintenant. Ainsi de gauche à  droite : les groupuscules trotskystes (sans doute plus ou moins financés par la CIA 1), le PCF (financé par l’URSS), le PSU de Rocard, le PS rachitique qui s’appelle encore SFIO (jusqu’en 1969), La Convention des Institutions Républicaines et les autres clubs d’où venait Mitterrand, les Rad-Socs (comme les radis, rouge dehors, blanc dedans), les centristes de tout poil (qui se disent ni de droite ni de gauche mais qui sont ¦ à  l’ouest), l’UDR, divers partis de droite (CNI, etc.) et enfin les groupuscules d’extrême droite (Occident, Parti des Forces Nouvelles, Jeune Nation ¦) issus des guerres coloniales, de la collaboration, de l’OAS et de l’Action Franaise, tous unis dans un anticommunisme viscéral.

Tous ces partis sont peu ou prou atlantistes exceptés le PCF et la moitié souverainiste de l’UDR, effet de la vassalisation américaine progressive de la France. S’il est clair que les anciens partis étaient aussi malhonnêtes et aussi hypocrites que ceux d’aujourd’hui, ils présentaient en revanche une riche diversité idéologique qui a été perdue depuis.

En 1967, la gauche est encore largement pondérée par la masse militante du PCF fermement adossée à  l’URSS (et au PCUS). Outre son appareil dirigeant et son noyau d’encartés, le parti influence une foule d’intellectuels au sein des institutions publiques et des médias. Il s’agit d’une gauche clairement antilibérale “ le mot était peu employé à  l’époque “, gauche anti-américaine, pro-soviétique donc russophile, anticapitaliste, anti-impérialiste (l’impérialisme ne pouvant qu’être américain), collectiviste (dictature du prolétariat), internationaliste au sens marxiste (très différent du cosmopolitisme actuel). Sur le plan des mÅ“urs, le milieu était plutôt homophobe (a allait de soi), féministe sans tomber dans les excès actuels, xénophobe (l’immigration planifiée par le patronat du CNPF était dénoncée comme nuisible aux intérêts des ouvriers franais), plutôt athée mais sans anticléricalisme viscéral afin de pouvoir accueillir les chrétiens au sein du parti. En bref, cette gauche là  était populiste, bien que les communistes actuels s’en défendent avec horreur ! Il suffit deréentendre les discours des dirigeants de l’époque pour s’en convaincre. En 1967 j’avais 19 ans et j’étais plus ou moins aligné sur ces positions politiques. Depuis, j’ai conservé ces convictions en les relativisant, en les approfondissant et en les appliquant au monde actuel. Mais voilà  le côté amusant : le décor politique ayant changé, les idées de la gauche communiste de 1967 sont aujourd’hui dénoncées comme « fascistes » par les médias (et par les amis).

Plusieurs événement ont conduit à  la séparation de la gauche républicaine et libérale (les bleus) de la gauche socialiste collectiviste (les rouges) et à  l’éviscération de cette dernière. Tout d’abord, mai 68. Il est clair qu’il y a eu deux mai 68 distincts : le mai 68 étudiant et le mai 68 ouvrier. Le mai 68 étudiant était libéral, anti-autoritaire (anarchisant), anticommuniste, globaliste et anti-système en apparence. L’apparition de groupuscules gauchistes éphémères a servi cet agenda. Il est probable que le projet sortait des cartons des officines anglo-saxonnes (du genre Commission Trilatérale, CFR, Bilderberg), officines inconnues du public à  l’époque. Nous nous sommes faits couillonner ! Le but de l’affaire à  court-terme était de déstabiliser de Gaulle le souverainiste indocile (Cf. W. Engdahl). Le but à  long terme visait à  fixer les jalons de la société mondialiste que nous connaissons. Ce 68 là  a notamment forgé une partie des néo-cons du monde politique contemporain. En face, le mai 68 ouvrier s’est traduit par une grève générale extraordinaire, unique même, générant des avancées sociales qui ont mis des années à  être détricotées. Ensuite, le discours de Mendès-France du 27 mai 1968 au stade Charlety illustre la dissolution de l’alliance passée entre la Gauche et le socialisme ouvrier lors de l’affaire Dreyfus.

La période 1973-1974 marque une autre coupure : choc pétrolier (en fait, manipulation bancaire planétaire ; Cf. W. Engdahl), mises en place progressives de politiques ouvertement libérales un peu partout (Tatcherisme, Reaganisme ¦). L’oligarchie savait depuis peu que les années de l’URSS était comptées et préparait pour elle le fatal piège afghan (Cf. Z. BrzeziÅ„ski). Dès lors, il n’y avait plus lieu de prendre des gants pour ménager la classe ouvrière occidentale. La casse des anciens acquis sociaux pouvait commencer. Fin des « trente glorieuses ». Désormais il faudra s’endetter lourdement pour consommer. Point final.

1980 : Mitterrand piège les communistes dans « l’Union de la Gauche » pour gagner la présidentielle. Il mène pendant deux ans (1981-1983) une politique populaire ambiguà« (Mauroy), qu’il abandonne rapidement pour une politique ouvertement libérale (Fabius). Cocufiée, la gauche communiste ressort groggy de cette cohabitation ˜gauche-gauche‘. L’effondrement de l’Empire soviétique (1989) lui donnera le coup de grà¢ce.

Après cette date, les ouvriers et salariés modestes n’auront plus de représentants dignes de ce nom en France (si tant est que les communistes en étaient). Ils seront considérés comme la partie ringarde et inutile du pays : ils peuvent donc crever car l’histoire joue contre eux ! La gauche gagnante est la gauche républicaine, libérale, jeune, décomplexée, bobo quoi ! Ses composantes seront atlantiste, capitaliste tendance finance et mondialiste tendance Soros 2. Ses combats se feront sous les couleurs des « minorités » (LGBT, immigrés sans papiers, femmes, etc.), sous celles de l’Union européenne et d’un intégrisme laà¯card étroit ¦ Pour cela, elle reprendra les cibles du mai 68 étudiant : contre la famille patriarcale, le couple hétéro, la patrie, les religions, les frontières ¦ Aucun de ces axes n’appartient véritablement à  l’ancienne gauche antilibérale. Me reconnaà®tre dans ces combats que je n’ai jamais vraiment ni approuvés ni menés est donc parfaitement sans objet.

Dernier point : antisionisme et antisémitisme. Après la guerre les juifs ont bénéficié d’une compassion quasi-générale de la part des Franais. Israà«l a été opportunément créé par l’ONU sur un territoire peuplé d’Arabes (avec la bénédiction de Staline qui a manqué de discernement ce jour-là ). Cet État a conservé au moins jusqu’en 1967 une image très positive (kibboutz « socialistes », mise en culture du désert, etc.). Il a bénéficié très tôt de la complicité absolue des socialistes franais (affaire de Suez, aide à  la création de son arsenal nucléaire). La guerre dite des Six jours a été présentée sur le coup comme l’agression des pays arabes, l’exact contraire de la réalité : en fait, Israà«l a prémédité l’attaque inopinée de ses voisins pour agrandir son territoire. Depuis cette guerre, le développement de l’antisionisme a strictement suivi la politique expansive d’Israà«l sur la Palestine. Inversement, la lutte idéologique d’Israà«l contre la dégradation de son image s’est appuyée sur le développement intense de ses officines de propagande en France (CRIF, LICRA, UEJF, etc.) comme aux USA (AIPAC, ADL, etc.) Lire à  ce sujet l’excellent ouvrage de Mearsheimer et Walt, ). Le battage intense et permanent de la « religion de la Shoah » dans les médias officiels et l’outillage législatif répressif très lourd mis en place par les gouvernements successifs ont pris une importance inimaginable dans la vie politique franaise. La propagande israélienne est désormais portée par la majeure partie de la gauche qui a réussi a rendre opératoire l’équivalence« antisionisme = antisémitisme » pour terroriser ses adversaires. Les liens étroits entre l’oligarchie juive mondiale et le capitalisme financier étant avérés, la lutte anticapitaliste de l’ancienne gauche antilibérale prend dès lors une couleur antisémite (donc criminelle). La boucle est bouclée : je ne peux plus être de gauche si je suis anticapitaliste car la bête immonde est tapie derrière l’anticapitalisme.

Cette analyse rapide n’aurait pas été possible sans la connaissance du travail libérateur de Jean-Claude Michéa et de son ouvrage fondamental L’Empire du moindre mal (2006). Sa lecture méticuleuse ainsi que celles de ses diverses sources citées (C. Lash, G. Orwell, P. Leroux, A. Caillé, F. Bastiat, Z. Bauman, K. Polanyi, etc.) mais aussi celles des références de l’« ennemi » (F. Hayek, M. Friedman, L. von Mises, A. Rand, etc. ) m’ont permis de comprendre que les idéaux de la gauche libérale moderne nous poussent vers une forme sociale totalitaire globale potentiellement mortelle pour l’humanité. Cette dictature est radicalement nouvelle et pour cette raison vous ne la verrez pas venir. Développer ce thème très complexe est un autre travail. Si les analyses pullulent, les bonnes synthèses sont rares.

Amis de gauche je vous aime bien, mais sachez que vous êtes vraiment bien stupides de continuer à  supporter ce fumier libéral. Il faut couper le cordon !

Aladin

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