Mon courriel à Vincent Reynouard:
Cher Vincent,
C’est juste pour dire que le nouveau numéro sur la Famille est bien arrivé et semble magnifique.
Quant à moi, je viens de publier une nouvelle vidéo sur l’usine désuète NUMEC (Nuclear Materials and Equipment Corporation), qui servit aux Israéliens dans mon village d’Apollo en Pennsylvanie occidentale comme fabrique clandestine pour produire illégalement la bombe atomique contre la volonté de John Kennedy. Aprés des protestations du président américain, c’est lui qui fut assassiné. Le travail a donc pu continuer pour faire cette arme horible, et des milliers d’Américains blancs sont morts du cancer, parce que les Juifs ont opéré cette usine de facon exécrable et en plus ont déversé les déchets de la fabrication d’uranium absolument n’importe où!
Quant au discours de Himmler à Posen, je dirai ce qui suit:
1) Je connais bien ce discours depuis 17 ans. David Irving l’a décrit pleinement dans un discours auquel j’ai assisté dans la Nouvelle-Hampshire.
2) Je suis ancien sous-officier des Marines, comme mon père avant moi (qui combatta dans la fameuse bataille d’Iwo Jima de fevrier 1945 contre les Japonais).
2) Dans une autre guerre, mon père a dû faire massacrer tout un village de partisans de la Corée du Nord, parce que les villageois aidèrent activement les communistes et tirèrent eux-même sur les Marines pendants des nuits avec des morsiers.
3) À mon avis, la vie dans les camps de concentration ne fut pas trop dure, car le monde et la Croix Rouge, les visiteurs, les lettres — on voyait tout. En plus, les gens durent travailler productivement et donc rester en santé.
4) Sur le front de l’Est, loin de tout cela, il y a bel et bien eu, par-ci et par-là, des gros massacres de Juifs au cours de la Partisanenbekämpfung, la lutte aux partisans. On put interpréter cette lutte assez généreusement, car les Juifs villageois furent tous des “ennemis du Reich”. Les Américains dans la guerre de Vietnam commencèrent peu à peu à détester presque tous les Sudvietnamiens, comme, de nos jour,s les soldats et Marines actuels, dont je connais beaucoup, détestent les Afghans. On combat les partisans de sa manière…. Comme la France en Algérie…. pas d’extermination, mais “lutte anti-partisane”….
5) Chaque soldat allemand, de retour au front de l’Est après un congé dans sa ville natale de Hambourg ou de Berlin, où il avait vu le massacre de civils par les bombardiers judéo-américains ou -anglais, n’eut pas trop envie d’épargner la vie aux Juifs puants et sinistres de Russie, bolchévicophiles en plus, dont les cousins à Londres et Washington avaient ordonné la mort de ses bien-aimés et la destruction des belles villes de sa patrie.
Après un bombardement, une mère à Mannheim, là où les Juifs emprisonnent aujourd’hui les révisionnistes. Qu’en pensera un Waffen-SS sur le sujet des gentils Juifs? Que fera-t-il une fois de nouveau sur le front de l’Est en combat avec des partisans et villageois juifs?
6) Hitler prononca à deux reprises ses menaces contre les Juifs, en janvier 1939 et en 12 decembre 1941, dans la chancellerie du Reich, devant les leaders du Parti. Goebbels l’a noté. C’est sur le front de l’Est qu’il les accomplit, non dans les camps, mais non en programme exterminatoire, mais en lutte “anti-partisane”…
7) Je parle parfaitement l’allemand. Cette langue fut mon étude principal à l’université d’elite Georgetown. J’etais marié pendant 13 ans avec une Autrichienne. Ausrottung = extermination. Lorsqu’un Autrichien (ou Hitler ou mes beaux-parents) se fâche extrèmement sur un groupe, il dit “Die gehören alle ausgerottet!” cela ne veut dire qu’une seule chose: Il faut les tous exterminer!
Dommage que Hitler n’a pu compléter tout son oeuvre. Je suis pour une fois d’accord avec le témoignage de Mark Weber au procès de Zündel: Quelques centaines de milliers de Juifs ont été fusillés au front de l’Est. C’est tout ce que Hitler put faire sans plus grand scandale. Voilá donc mon explication du discours de Himmler à Posen.
Je finirai avec Voltaire:
On ne voit au contraire, dans toutes les annales du peuple hébreu, aucune action généreuse. Ils ne connaissent ni l’hospitalité, ni la libéralité, ni la clémence. Leur souverain bonheur est d’exercer l’usure avec les étrangers ; et cet esprit d’usure, principe de toute lâcheté, est tellement enracinée dans leurs coeurs, que c’est l’objet continuel des figures qu’ils emploient dans l’espèce d’éloquence qui leur est propre. Leur gloire est de mettre à feu et à sang les petits villages dont ils peuvent s’emparer. Ils égorgent les vieillards et les enfants ; ils ne réservent que les filles nubiles ; ils assassinent leurs maîtres quand ils sont esclaves; ils ne savent jamais pardonner quand ils sont vainqueurs : ils sont ennemis du genre humain… cette nation atroce.” (Tome 2, page 83)
Amitiés,
John de Nugent
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