Etats-Unis : cède enfant adopté, 10 ans, 3 500 $ hors taxe
Abandonnés par leurs parents adoptifs américains, des centaines d’enfants se retrouvent «en vente» sur Internet. Le «rehoming» est un business chapeauté par des agences privées, hors de tout contrôle.
Dylan sourit sur la photo. Il a 10 ans, le regard malicieux, et une passion pour le jardinage. «Il n’a pas été diagnostiqué hyperactif et ne prend pas de médicaments. Il est capable de bien se concentrer et il adore faire des puzzles», explique la page Facebook qui le présente à l’adoption. Même son «prix» est affiché : 3 500 dollars (2 600 euros) de frais d’agence, plus 200 dollars d’enregistrement et de 1 500 à 2 500 pour les avocats. Le tout déductible d’impôts, précise l’annonce publiée sur Second Chance Adoptions. Dylan a été adopté en Russie mais ses parents ne veulent plus de lui.
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[JdN: Ce rapport de “Libé” est véridique mais cache un bien plus terrible vérité — la pédophilie active pratiquée sur bien des enfants adoptés, ou même leur vente pour être assassinés devant la caméra dans des films sado-pornographiques appellés “snuff”.]
Il y a un réseau énorme de pédophiles pratiquant le satanisme dans l’État Profond américain qui non seulement est “à but lucratif” mais qui sert de chantage absolu, incontournable et éternelle sur la carrière de politiciens, généraux, amiraux, reporters, commissaires de police, etc.
J’ai eu mes propres expériences en tant que victime et survivant, dont je souffrais des cauchemars violents jusqu’à l’à¢ge de 49 ans — lorsque je contactais enfin des thérapeutes spécialistes. Ma deuxième femme, Brigitte, Franaise de Strasbourg, y avait insisté.
Le pire des pédophiles et leurs chef: le juif ex-allemand et sataniste Henry Kissinger
Avec David Rockefeller
Avec Obama
“S’il n’y avait pas eu cet accident de ma maissance [dans un foyer juif allemand] je serais devenu antisémite….. Tout peuple qui se fait persécuter pendant deux mille ans fait évidamment quelque chose de tordu.” — Henry Kissinger, cité à la page 561 dans le livre “Kissinger: A Biography”. Henry Kissinger fut Conseiller de la Sécurité nationale puis Ministre des Affaires Étrangères sous les présidents Nixon et Ford
“Kissinger: A Biography” du renommé biographe (juif lui aussi) Walter Isaacson
Des livres majeurs d’Isaacson sur Da Vince, Steve Jobs d’Apple, sur le Père fondateur des USA Benjamin Franklin et sur les grands chefs de l’informatique de la Silicon Valley en Californie
Mon père avec moi 1962
Mon père avec moi 1990 devant sa villa à Vero Beach au bord de l’Atlantique en Floride
Son country-club de golf et loisirs
Sa villa à Barrington, qui donne sur la baie Narragansett
Vue depuis sa maison de la baie à travers le fairway de golf du Rhode Island Country Club
Kissinger en 1974 à gauche en train de photographier la petite fille et seul enfant du maire de Providence, capitale de l’Etat de Rhode Island; au milieu, ce maire, Vincent Cianci; à droite, mon père, James Waddell Nugent. La petite Nicole deviendra une héroinomane et mourra avec 36 ans en 2010.
Le président Nixon avec Kissinger
Mon père avec le président Ford dans le Bureau ovale
Mon père avec le président Reagan
Télégramme de la Maison blanche invitant mon père à une discussion
Capitaine des US Marines
Votre serviteur, entrevué par Canal Plus en 2008 (jamais utilisée, car à mon avis trop endommageant pour le Système)
Livre en ligne en anglais sur le réseau satano-pédophiliaque géré par Henry Kissinger, écrit par la victime:
“Désenchaà®née: [ = Je me suis à³tée les fers”], une histoire d’une survivante au contrôle mentale” par Kathleen Sullivan, victime du programme MK-ULTRA de la CIA.
Livre entier en anglais, en ligne, dans mon site:
https://johndenugent.com/english/updated-dylann-storm-roof-mk-ultra-unshackled-a-survivors-story-of-mind-control-by-kathleen-sullivan/
Elle y dévoile que Kissinger et autres juifs allemands se déguisà¡ient en “Nazis” (en uniformes SS et avec des accents allemands, bien sà»r, en tant que Juifs allemands) pendant qu’ils violaient, torturaient et tuaient des enfants blancs et surtout blonds.
Les tourmentes servaient pour produire une amnésie voulue — dite “répression” dnas le vocabulaire psychiatrique — dans le cerveau de certains enfants, dont bien des filles, pour cacher leur entrainement comme assassin(e)s et prostitué(e)s au service de l’àˆtat profond US.
D’autres encore, dans le programme très spécial “Candidat mandschourien” comme moi-même, aux talents de leaders potentiels et surout en provenance de familles d’officiers militaires, furent torturés jusqu’à l’amnésie pour devenir de futurs sénateurs, présidents, géneraux, leaders dans le monde du business et des médias …. des gens qui ne savent point qu’ils sont des marionettes mentales et ne peuvent pas de cette faon s’expliquer leurs cauchemars recurrents.
Des candidats mandchouriens dont, peut-êtres, ceux-cis:
Justin Trudeau
Le jeune Obama souriant devant les terribles tableaux murales et sculptures démoniaques de l’aéroport international à Denver/Colorado aux thèmes hautement franc-maonniques de dépopulation
Centrale de la BBC à Londres
Zoom sur la sculpture crée par un pédophile prouvé, Eric Gill
La sculpture “Prospero and Ariel”
Eric Gill au travail
Des étoiles de David en-dessus de la porte principale
L’architecte de la BBC House fut George Val Myer
[Fin de mon information supplémentaire]
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Comme des dizaines d’autres enfants aux Etats-Unis, il est sur le «marché» de «seconde main» : le «rehoming» disent les Américains, même si le terme est controversé. Le mot est plus souvent employé pour les animaux, et réprouvé par l’agence qui propose Dylan. Comme sur un vrai marché d’occasion, les prix sont aussi cassés : tandis qu’une adoption internationale coà»te facilement 10 000 à 30 000 dollars aux Etats-Unis, ces enfants changent de parents pour moitié moins, parfois même gratuitement.
«Les parents ne sont pas toujours bien préparés à des enfants qui peuvent être difficiles», explique Sandra Moats, qui en élève dix-neuf, dont dix «réadoptés» abandonnés par leurs premières familles américaines. «Parfois, le lien ne se fait tout simplement pas. C’est un phénomène commun, estime cette pasteure dans l’Idaho. On en voit entre quinze et vingt par mois auxquels il faut trouver de nouveaux parents. Mais ces drames ont parfois des issues heureuses. Beaucoup de familles finissent par trouver leur bonheur et celui de ces enfants.» Aucun décompte officiel de ces adoptions de seconde main n’est fait aux Etats-Unis, mais on y estime que 1 à 10% des adoptions d’enfants à «besoins spéciaux» (handicaps ou troubles du comportement) sont dissoutes, rappelle un récent rapport du Congrès. Au regard des plus de 100 000 cas finalisés chaque année dans le pays, ceux-ci restent donc exceptionnels. Ils se comptent tout de même par centaines, voire par milliers.
«C’est notre croix à porter»
Sous la fiche Facebook de Dylan, ces jours-ci, il y a aussi celles d’Annie, Caleb, Janell, Tyler, Tina, Kylie, Tanner, Breanne ou Vance, adoptés une première fois à l’étranger ou aux Etats-Unis. Tous sont plus mignons les uns que les autres et leurs histoires, esquissées en quelques lignes, aussi dramatiques. Vance a été accueilli en Europe de l’Est à 3 ans puis dans une famille américaine et doit, à 12 ans, changer à nouveau de parents. Il est «athlétique», «intelligent», récolte de bonnes notes à l’école et n’est «généralement pas agressif». Mais quatre autres plus petits ont été adoptés et Vance «irait sans doute mieux dans un foyer moins nombreux où il serait le plus jeune, voire le seul», explique sa fiche.
«Nous faisons là une contribution humanitaire», assure Cyndi Peck, responsable du programme «Second Chance» de Wasatch International Adoptions, une agence privée enregistrée dans l’Utah qui gère cette page Facebook. «Ce n’est pas un programme qui nous rapporte de l’argent», ajoute la responsable, détaillant, pour preuve, ses tarifs : la famille qui cède son enfant ne paye «que» 950 dollars à l’agence, contre 3 500 pour les réadoptants. Ces frais couvrent à peine le travail de sélection, explique Cyndi Peck, racontant passer de longues heures en conférence téléphonique avec les parents, actuels et futurs, pour s’assurer qu’ils ne cachent rien. Placer un enfant lui prend entre quelques semaines et plusieurs mois – les plus jeunes et les moins troublés partent plus vite.
Ces placements de seconde main sont «la face noire de l’adoption»,reconnaà®t Cyndi Peck elle-même. Mais ils répondent à un vrai «besoin» : «Tout cela est très douloureux, pour les enfants et les familles qui doivent se séparer d’eux. J’ai souvent les parents en pleurs au téléphone. Ils pensaient que tout serait merveilleux pour eux comme pour le petit.» Sur les forums américains spécialisés, on trouve aussi de nombreux témoignages, souvent très détaillés : «Je n’arrive pas à m’attacher à eux», racontait ainsi en janvier et février sur le site adoption.com, la maman de deux enfants de 5 et 6 ans, adoptés à leur naissance et dont elle envisageait de se séparer. «Je me sens horrible», écrivait-elle, avouant avoir mis au monde deux enfants et éprouver pour eux des sentiments qu’elle n’a jamais eus pour les deux aà®nés : «J’aimerais vraiment pouvoir les aimer comme mes enfants biologiques mais je ne crois pas que je le pourrai.» Son mari ne la comprend pas, «il me dit que c’est notre croix à porter», expliquait-elle encore dans cet appel au secours, ajoutant que son couple risquait aussi de sombrer.
«Il y a un vrai besoin, confirme un spécialiste américain de l’adoption qui préfère rester anonyme sur ce dossier trop sensible. Ce dont il est question ici, ce n’est pas de simples caprices de parents qui n’en peuvent plus parce que le petit Johnny ne fait pas ses devoirs. Il s’agit souvent d’enfants vraiment très troublés, qui vont faire du mal à leurs frères et sÅ“urs ou brà»ler la maison.»
Une simple procuration
Pour le professeur Richard Barth, père adoptif lui-même et spécialiste des services de l’enfance à l’université du Maryland, le problème est aussi que ces parents manquent souvent de soutiens et de structures auxquelles s’adresser. «Une famille qui n’arrive plus à faire face à son enfant peut théoriquement le placer dans un établissement de soins, mais c’est très cher. S’il a été adopté aux Etats-Unis, certains Etats paieront ses soins mais ce n’est pas le cas s’il a été adopté à l’étranger, observe le professeur Barth. Les parents peuvent aussi demander à la justice de le placer sous la protection de l’Etat. Mais il leur faut alors s’accuser de nuire gravement à l’enfant, et trouver un tribunal compréhensif.»
Plutôt que de s’accuser de mauvais traitements, les parents américains qui veulent abandonner leurs enfants peuvent le faire beaucoup plus simplement, soit en passant par une agence, soit en trouvant eux-mêmes un couple de rechange par Internet ou dans leurs communautés religieuses. Une simple procuration enregistrée chez le notaire suffit pour confier l’enfant à une nouvelle famille, qui pourra l’inscrire à l’école ou toucher des allocations, sans qu’aucun contrôle ne soit effectué. Pour une réadoption complète, un passage au tribunal est nécessaire et un minimum de contrôles effectués pour s’assurer que les nouveaux parents sont bien aptes à accueillir.
Sur un forum Yahoo intitulé «Adopting from Disruption», un nouvel enfant était proposé chaque semaine en moyenne ces cinq dernières années, a compté l’agence Reuters, qui a publié une enquête choc sur ce «marché clandestin des enfants adoptés», en septembre 2013. Plusieurs ont même été ballotés de famille en famille, et quelques-uns se sont retrouvés chez des pédophiles notoires, a révélé Reuters. A la suite de cette enquête, Yahoo a fermé le groupe et plusieurs des 50 Etats américains ont commencé à renforcer leur législation pour assurer un peu plus de contrôles. Une loi votée en avril au Wisconsin interdit à toute personne qui n’est pas spécialement licenciée par l’Etat de faire la publicité d’enfants de plus de 1 an et de les présenter à l’adoption. Elle oblige les familles à passer par un tribunal s’ils veulent transférer la garde à une personne autre qu’un parent. Mais beaucoup d’autres Etats américains continuent de fermer les yeux sur ces annonces en ligne et les transferts.
«Une industrie»
«L’adoption est suffisamment contrôlée comme cela, estime Sandra Moats, la maman de l’Idaho aux 19 enfants. Ce qu’il faudrait, c’est plutôt que les parents adoptifs soient mieux intégrés dans leurs communautés, qu’ils aient des gens à qui parler en cas de difficultés.» A 69 ans, Sandra est encore en train de finaliser l’accueil d’une fille de 15 ans, rejetée par sa première famille d’adoption où elle a passé six années. Sandra assure ne pas les collectionner mais répond présente quand «Dieu», généralement par le biais d’une agence, lui demande si elle pourrait accueillir encore un abandonné. «Le voyage est souvent rude avec eux, reconnaà®t-elle aussi. J’ai même parfois dà» appeler la police chez moi pour une de mes filles qui voulait se mutiler ou se suicider.» Mais avec beaucoup de présence (Sandra se définit comme «maman vingt-quatre heures sur vingt-quatre» et les instruit elle-même à la maison), elle constate que ses chérubins s’en sortent plutôt bien. Les plus à¢gés entament maintenant leur vie professionnelle, comme assistante médicale ou manager de restaurant.
«Le fait même qu’il y ait tous ces cas de “rehoming” prouve plutôt que l’adoption n’est pas correctement encadrée aux Etats-Unis, estime au contraire Niels Hoogeveen, adopté lui-même et confondateur du site Pound Pup Legacy, qui collecte les récits noirs d’enfants placés en familles ou institutions. L’adoption est une industrie aux Etats-Unis. Les agences privées sont si nombreuses que personne ne peut vraiment les contrôler. Elles peuvent même avoir intérêt à placer les enfants dans des familles qui ne leur conviennent pas, pour les replacer ensuite. Les dossiers sont aussi finalisés beaucoup trop vite, parfois immédiatement après l’arrivée de l’enfant aux Etats-Unis. Il faudrait prendre deux ou trois ans, pour contrôler ce qui se passe dans la famille durant ces premiers mois.» Le «rehoming» risque aussi de devenir plus fréquent aux Etats-Unis ces prochaines années, redoute Adam Pertman, directeur du Donaldson Adoption Institute : «Avec tous les pays qui se ferment ou réduisent l’adoption internationale, les enfants adoptés à l’étranger sont de plus en plus à¢gés, ou ont des besoins particuliers. Et souvent les parents n’y sont pas assez préparés. Il est temps de faire quelque chose, avant que le problème ne s’aggrave.»
Dessin Sylvie serprix
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