FRENCH Les juifs libèrent leur prisonnier, le héros Ernst Zundel

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https://johndenugent.com/jdn/2010/03/01/english-jews-release-their-victim-heroic-ernst-zundel

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J’ai reçu aujourd’hui un e-mail PLEIN DE JOIE, d’Ingrid Rimland-Zundel (Pigeon Forge, Tennessee) !
Les autorités “allemandes” (les pires léche-bottes au monde des juifs) ont libéré leur prisonnier Ernst Zundel, ce martyr de la vérité sur l’Holocauste – après SEPT ANNÉES de mise en cage dans l’enfer juif !
VIVE ZUNDEL !

Le héros Ernst Zundel avec son courageux et infatigable avocat autrichien (Herbert Schaller, 87 ans) que j’avais rencontré en 2006 au procès d’Ernst à Mannheim.

Voici ce qu’en dit le révisionniste et anti-sioniste Michael Hoffmann (lien ci-dessous):
* * *

[tEXTE ORIGINAIRE EN ANGLAIS: http://revisionistreview.blogspot.com/2010/03/thought-criminal-ernst-zundel-is.html]

CONTENU :
1.Ernst Zundel sort de prison au bout de sept anqs !
2.L’asile politique aux USA pour des parents allemands persécutés qui enseignent leurs enfants a la maison.

Note de Michael Hoffmann : M. Zundel est baillonné et sa liberté de parole sévèrement restreinte, on ne peut donc dire raisonnablement qu’il est « libre ». Plutôt : il a été extrait de la forteresse allemande. C’est coincidence si aujourd’hui se trouve être le dernier jour de Purim, cette fête talmudique de la revanche, qui se termine ce soir au crépuscule.

De CBC News (du Canadian Broadcasting Corporation) et du quotidien Toronto Sun, 1er mars 2010

Ernst Zundel a été libéré aujourd’hui lundi 1er mars, après cinq ans de prison pour contestation de l’holocauste. Ernst Zundel a dit aux journalistes qu’il ne savait pas s’il allait tenter de retourner au Canada. « Me voici de retour après sept années et trois semaines, trois prisons et trois pays » a dit Zundel (70 ans).

Une vingtaine de supporters l’ont applaudi et ont crié “bravo” quand Zundel est sorti de la prison de Mannheim, peu après 8h du matin. On lui a offert des fleurs quand il a passé la grille d’acier de la prison.

Zundel avait été extradé du Canada pour affronter les poursuites de l’Allemagne, pour incitation à la haine des années durant, de par ses activité antisémites, ainsi que sa participation à un site web dédié à la contestation de l’holocauste – un crime en Allemagne. L’accessibilité en Allemagne de son site américain permit aux magistrats allemands de le poursuivre pour 14 chefs d’inculpation. En face, Zundel et ses supporters invoquaient son droit à la liberté d’expression.

Lundi il n’a pas donné de détails sur d’éventuels plans d’avenir, annonçant qu’il devait d’abord régler ses problèmes de santé et son retour dans sa région natale de Forêt Noire. “Après 7 ans passés dans des cages à poules, j’ai pris pas mal de kilos. Il me faut les perdre”. “Je dois être examiné en hôpital”, a-t-il ajouté, sans préciser s’il était malade.
On lui demanda s’il y avait vraiment eu l’holocauste ; alors là, répliqua-t-il, “c’est en quelque sorte une triste situation ; il y a là-dessus des tas de choses à dire. Je vais m’attacher à n’offenser personne, face à des lois draconiennes”.

Né en Forêt Noire (Allemagne) en 1939, Zundel devait émigrer au Canada en 1958 et vivre à Toronto et Montréal jusqu’en 2001. Les services canadiens lui refusèrent à deux reprises la nationalité canadienne, et il déménagea alors à Pigeon Forge au Tennessee (USA), dont il fut éloigné en 2003 pour de prétendues violations des règles d’immigration.

En février 2005, Pierre Blais, de la Cour Fédérale de Justice canadienne, jugea que les activités de Zundel étaient non seulement une menace pour la sécurité du pays, mais également “pour la communauté internationale des nations du monde”, ouvrant ainsi la voie à sa déportation pour l’Allemagne. Zundel passa les deux années suivantes au Canada dans une prison de Toronto à strict confinement, au titre de la législation anti-terroriste. En dépit de son long séjour au Canada, on ne lui permit pas de transformer son statut d’immigrant en citoyenneté canadienne.

Zundel vient d’annoncer qu’il allait retourner d’abord dans sa maison natale de la Forêt Noire, mais ne savait pas s’il allait ensuite revenir au Canada. Zundel, né allemand, a vécu au Canada quarante années, faisant de fréquents passages en justice pour y défendre sa liberté d’exposer ses vues dans des livres ou des brochures ainsi que sur son site web. On le déporta en Allemagne en 2005, après qu’un tribunal fédéral ait statué qu’il était un danger pour la sécurité nationale. Il fut alors immédiatement arrêté à l’arrivée dans son pays natal et emprisonné sans possibilité de caution, les autorités allemandes estimant qu’il y avait risque d’évasion. En 2007 un tribunal allemand , sous 14 chefs d’inculpation pour incitation à la haine raciale, le condamna à 5 ans de prison , le maximum en Allemagne pour négation de l’Holocauste. En plusieurs pays d’Europe: Allemagne, Autriche, Belgique, Pologne, Espagne et France, la négation de l’holocauste peut être poursuivie comme haine raciale.

* * *
Voyez ci-dessous dans Wikipédia (anglaise) le compte-rendu suant de haine en ce qui concerne sa vie: http://en.wikipedia.org/wiki/Ernst_Z%C3%BCndel. (La version en Wikipédia francophone contient moins de malice: http://fr.wikipedia.org/wiki/Ernst_Zundel et rien sur le sujet dont je discuterai en bas.)

Cette même infâme Wikipédia avait il y a peu à l’instigation de son éditeur Horowitz effacé en entier l’article sur moi John de Nugent, qu’on peut retrouver pourtant, sauvegardé ici sur https://johndenugent.com/jdn/wikipedia_biography_john_de_nugent

(Le prétexte en était que j’étais quelqu’un d’insignifiant – c’est sans doute pour ça que le canal international “Discovery Channel” (qui est de grande envergure dans l’anglosphère) a envoyé chez moi une équipe de six personnes, dont le modérateur principal Oliver Steeds de la série, qui a pris l’avion de Londres à destination de Pittsburgh pour m’interviewer pendant quatre heures, et que cedit Discovery Channel m’a annoncé dans chaque bande-annonce publicitaire pour leur show deux fois par heure pendant les cinq jours précédent l’émission ! C’est ainsi avec les gens insignifiants….. 😉 Mais avec des gens comme Ernst Zundel et bien d’autres héros en prison ou libéré sous des conditions menaçantes comme Rudolf, il faut bien que quelqu’un prenne la relève.

Voici les blogs de mon commentaire sur cette épisode a la grande télé, bien connue pour mes deux pistolets brandis grace au Deuxième Amendement a la Constitution états-unienne mais a l’effarement du demi-juif Steeds:

https://johndenugent.com/jdn/?s=steeds

…..ainsi qu’une seule vidéo parmi plusieurs sur ce personnage trop insignifiant pour mériter un article dans Wikipédia:

A la fin de l’article de Wikipédia anglophone, pour blesser Ernst dans sa position de la communauté nationaliste blanche, on annonce que Zundel pourrait avoir du sang juif. Quant à moi, je trouve qu’il est possible pour Ernest, comme pour des millions d’Allemands, Britanniques, Russes et Américains, d’avoir une goutte de sang juif.

On peut trouver un peu ça dans son nez, dans le fait qu’il ne soit pas lui-même très grand, qu’il n’ait pas le cou allongé… mais ce qui est important chez cet homme (que j’aime et admire, l’ayant rencontré en 1988 à Toronto lors de son procès de 1988 a Toronto, et à nouveau à son procès de 2006 a Mannheim), ce sont ses TRAITS POSITIFS d’agilité intellectuelle, son sens des relations publiques et de l’auto-promotion – tout ce qui est obligatoire quand vous n’avez pas de ressources et que les medias vous ignorent – l’hostilité juive, voilà…

Il y a quelque chose de non-allemand chez Ernst, mais avec un ASPECT POSITIF ; Hans Schmidt, de la Waffen-SS (de la division LAH) qui fut autrefois mon mentor, serait bien d’accord avec moi là-dessus. Hans sentait fort bien que les Allemands étaient désespérément naïfs en politique et trop droits pour réussir dans le monde tortueux, judéo-anglo-saxon qui est le nôtre.

Ce qui rend Ernst si spécial, comme un trésor de notre race, c’est son aptitude décisive à penser politiquement et à savoir comment EXPLOITER les médias en mains juives pourtant hostiles. Les nord-européens peuvent être naïfs jusqu’au grotesque…

Ernst a une âme aryenne, dans son amour de notre race et de sa germanité propre – et bien sûr aussi des ethnies blanches américaines et canadiennes ; il a aussi la capacité de savoir publier des manchettes et de la publicité, ce qui manque tellement à tant d’activistes Aryens.

(En fait Ernst Zundel a écrit, dans plusieurs lettres de prison à des supporters, que son martyre et ses souffrances auraient pu être bien plus habilement utilisés pour notre cause que cela ne l’a été, comme il l’a écrit tout récemment à un de mes supporters, en y joignant un belle aquarelle !)

Voilà pourquoi Ernest est une conjonction spéciale et unique d’idéalisme et de pragmatisme souriant. C’est pourquoi il fait peur aux autorités pseudo-allemandes au point de lui interdire toute activité révisionniste sous peine de retour en prison. Ils craignent toujours cet homme hors du commun.

Quand on porte aux nues Benjamin Freedman, qu’on apprécie Finkelstein et Shahak, si les histoires que Zundel est un peu juif quelque part sont peut-être vraies, alors oui, je voudrais qu’on ait tous un pinée de juif en nous, pour pouvoir comme Zundel BROYER ces monstres !

Je faisais alors des collectes pour le Liberty Lobby – trois semaines par mois – de Willis Carto en 1988 (en aidant les supporters âgés de Liberty Lobby à tester en sa faveur ou à aider la cause), ce qui allait pour une grande partie désorganiser mon mariage. Je vais parler de moi ici, à la manière de Zundel. J’eus à souffrir terriblement quand mon mariage s’effondra (ce qui allait me coûter une maison, la séparation d’avec mes deux filles magnifiques et l’affection de ma femme), à cause en partie des voyages prolongés et incessants pour la cause de notre race et ses libertés. Ma première femme s’est remariée avec notre voisin de palier (un chic type, vraiment). Mais bon, j’ai assez parlé de ça !

Un peu bizarrement je n’avais pas loué une voiture pour ces voyages d’affaires mais au contraire j’avais trouvé une belle Cadillac d’occasion (qu’on appelait dans ma jeunesse, dans ce coin de Rhode Island de George Lincoln Rockwell, un “jew canoe” — ce qui rime en anglais “djou canou” — donc un rafiot juif) et il me fallait faire naviguer cette péniche dans les rues du bas Toronto (Carlton Street) où Zundel avait son état-major.

Et voilà que Zundel était à sa porte quand j’arrivai, très impressionné apparemment, les deux sourcils haut relevés, du fait que je parvenais à placer ma Cadillac de 6 mètres de long – en scrutant devant et derrière – dans un espace entre deux voitures où il ne restait pas plus de dix centimètres de pare-chocs à pare-chocs.

Je lui parlai en allemand courant et il me présenta à plusieurs de ses vaillants castors assistants volontaires (Juergen l’un d’entre eux, était l’homme-clé pour les vidéos mais ne parlait guère l’allemand) dans sa maison de ville chargée d’histoire (qui allait brûler sept ans plus tard, incendiée par des salauds de khazars, tout à fait comme l’IHR de Carto avait été incendié par des juifs psychopathes en 1984).

L’endroit bouillonnait d’ENERGIE et d’enthousiasme. Je fus fortement impressionné. Je n’étais pas quelqu’un d’important, c’est pourquoi Ernest ne me consacra que quelques minutes, mais je sentis là un homme voué à une mission, un vrai Allemand dans sa concentration sur la tâche à mener, et aussi un vrai nord-américain dans son aptitude à vous envoûter et à s’efforcer de comprendre VOTRE psychologie, pas simplement de touiller en vous pour vous convaincre que “la liberté va vous libérer.”
(Les gens ont besoin de DÉSIRER être libres, ils acceptent le travail pour se libérer, et pensent libres et agissent libres, avant d’assumer des positions dangereuses pour leurs intérêts à court terme.

Même un imbécile peut déduire que l’issue logique à propos de l’holocauste va finir par le plonger dans l’eau bouillante, et pas vraiment à cause des chambres à gaz. Mais bien à cause des Juifs – ceux-ci n’étant qu’une race méprisable de menteurs – puisque des millions d’entre eux (les soi-disants “rescapés”) appuient activement les racontars sur les camps de concentration, qui leur remplissent les poches et qu’ils SAVENT mieux que quiconque être mensongers.)

Un banc que préféra Ernst Zundel pour regarder dans la vallé de Pigeon Forge dans les montagnes appalachiennes du Tennessee oriental.

Margi et moi, en 2006, avons été les hôtes d’Ingrid Rimland, chez elle, dans ses bâtiments campagnards magnifiques à Pigeon Forge (Tennessee) dans les montagnes des Appalaches. (Zundel avait eu l’opportunité d’avoir reçu d’importantes sommes d’argent en héritage de plusieurs patriotes canadiens supporters de son combat pour la vérité). J’ai vu sa table de petit-déjeuner laissée exactement en l’état (Zundel était friand de vitamines et d’aliments de régime), telle qu’elle était ce jour de cauchemar quand les policiers fédéraux vinrent l’arrêter et le menotter. Ces bouteilles de vitamines m’impressionnaient du fait qu’il avait été arraché à la vie normale d’un homme soucieux de sa santé, pour être jeté maintenant dans l’enfer juif. Plus tard dans ce même coin de montagnes, nous allions rencontrer une femme admiratrice à la lecture d’un livre d’Ingrid Rimland, datant d’avant sa rencontre avec Ernst ! (Ingrid est un écrivain et ancienne psychothérapiste de profession). J’ai publié une longue interview d’Ingrid dans le périodique The Barnes Review et l’ai placée avec succès comme interlocuteur principal à la conférence de 2007 de l’American Free Press/ Barnes Review, à Washington.

Une aquarelle envoyée par Ernst à un de mes volontaires à Noël 2009…


Plus tard, au procès Zundel (en Allemagne), bien qu’il fût interdit de communiquer avec Ernest dans le prétoire, je brandis un morceau de papier avec les lettres T-B-R (du magazine The Barnes Review) en lui faisant un large sourire ; il me le rendit de belle façon, tout étonné et ravi. C’était exceptionnel qu’un américain fasse comprendre à ce grand monsieur que nous autres Nord-américains n’avions pas oublié son œuvre héroïque ni ses années épouvantables en prison (surtout celles du Canada !)

(Les judéo-canadiens l’avaient confiné durant deux années infernales dans une cellule d’isolation glacée où on ne lui permettait pas même une chaise ni un stylo, et où il ne lui restait qu’à s’asseoir sur ses papiers légalement autorisés et à écrire avec des bouts de crayon puisqu’un stylo pourrait être utilisé comme une ARME, n’est-ce pas !)

Ce que j’ai vu dans les yeux d’Ernst Zundel en 1988, c’était ce que vous pouvez voir ici sur ce portrait en bas d’Adolf Hitler – une grande âme, en ancien sanskrit un Mahatma (un Seigneur), et en plus une vision pénétrante, une Durchblick, qui voit dans les âmes, au tréfonds des personnes – et de notre race aussi, et dans la race juive tout autant, dans les rouages de la totalité du monde.
HONNEUR AU NOBLE ERNST ZUNDEL ET A SA LOYALE ET FIDELE ÉPOUSE INGRID !

==========MARCHE DES ANCIENS WAFFEN-SSs INTERDITE EN LETTONIE

Un camarade français m’a envoyé ce lien vers un article sur l’interdiction par un maire letton (plutôt, en fait, de l’ethnie minoritaire russe) de la marche annuelle des anciens vétérans de la Waffen-SS:

http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=19235&artyd=5

Son courriel (j’aime bien ce mot québécois pour “e-mail”) contient aussi un lien sur la condamnation de mon ami Pedro Varela d’Espagne à plus de trois ans de prison pour “incitation au génocide” (vraiment…n’importe quoi!)

Voici mon analyse que je lui ai envoyée:

* * *
Quant à ce maire russo-letton, ce qui est terrible dans le juif psychopathe, c’est son don de faire adhérer à ses propres crimes les peuples qu’il a assujettis.

Les Russes ont violé les femmes allemandes à l’appel d’Ehrenburg, et devinrent de cette manière les complices des Juifs, ils devinrent leurs comparses criminels, et pas mal  d’entre eux — c’est une constante en psychologie — se sont mis à haïr leurs victimes.

Et c’est pareil avec les Américains, selon l’analyse de votre grand compatriote Maurice Bardèche:

Une fois que les GIs eurent mis le pied en 1945 sur le sol d’une Allemagne martyrisée par les bombes de l’Army Air Force, il durent ou se révolter contre leurs officiers supérieurs — ou bien croire encore davantage dans l’Holocauste — pour justifier leurs propres crimes, suivant ainsi ce raisonnement : “Mais regardez ce qu’ont fait les Nazis ! Alors, ils l’ont bien mérité !” excusant de cette façon leur obéissance aux ordres criminels d’Eisenhower, surtout dans les camps de la mort des prairies du bord du Rhin en Rhénanie.

(J’ai connu un Juif tenaillé par la mauvaise conscience d’y avoir participé, un certain David Edovitz de Winthrop dans le Massachusetts….)

Et pour ce qui en est de la condamnation du noble Pedro Varela (cela me ronge le coeur, car c’est un homme vaillant et charismatique qui prouve que les Latins peuvent être parmi les meilleurs de notre race, tout comme Degrelle) : ce déni de justice démontre suffisamment qu’il nous faut une organisation et une stratégie tout à fait nouvelles.

Beaucoup moins abstaite dans son contenu de message. Qui fasse surgir l’instinct de survie, celui qui ranime l’âme morte.

Pedro Varela Geis, entraîneur de la jeunesse et camarade loyal des persécutés.

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