FRENCH Les Neo-Néanderthaliens dévoilent toute leur haine des blancs, l'ennemi héréditaire neo-cro-magnon

ENGLISH ARTICLES ON RIGHT/ DEUTSCHE ARTIKEL RECHTS

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Un camarade m’a envoyé ceci:

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 Malheureusement, nos politiciens sont soit incompétents, soit corrompus.Quelquefois les deux en même temps, le même jour

Les quinze salopards qui ont battu a mort le jeune Grenoblois sont quasiment tous sous les verrous. Tous maghrébins, ce que la presse omet prudemment d’écrire dans ses différents articles. Vous vous baladez sans casque sur un scooter et c’est la prune.

Sarko parla de “racaille” et pour une fois il ne mentit pas….

La belle ville olympique de Grenoble, infestée pourtant par les potes neanderthaliens de Sarkozy (lisez en bas pourquoi je parle des Neanderthaliens); la neige y est au moins encore blanche…. mais la CRIF protestera….

Pour ces jeunes, la police a pour consigne de ne rien faire de peur que le quartier ne s’embrase. Voilà l’état de la situation actuelle résultant du laxisme de la force publique, celle qui refuse de reprendre possession de territoires confisqués par des nord-africains.

Et ces jeunes, au cours de la journée, avait volé une moto, bastonné une autre bande dans un square, sans jamais être inquiétés.L’impunité est la règle. Alors les culs bénis, les politiciens, et autres grands stratèges mettent ces phénomènes sur le compte de la crise, du chômage, et autres conneries du même genre.

Par malchance, une étude sociale vient de tomber indiquant que les endroits de France où règne la plus grande pauvreté ne sont ni la Seine Saint Denis, ni les quartiers nord de Marseille, mais la Creuse et le Cantal. [JdN: Des régions blanches!]

Un village du Cantal…

On y apprend également que les logements les plus délabrés sont situés pour 23% d’entre eux …. dans le Cantal.

Pourtant, aucune voiture n’y brûle !

Que voulez vous, quand un maghrébin de 6^ème dit à sa professeur qu’il gagne plus qu’elle avec son « petit commerce » et que du coup, il n’a pas besoin d’étudier, on débouche sur des situations de ce genre auxquelles il est plus que temps de mettre un terme.

Un autre exemple parmi des milliers d’autres : un jeune Grenoblois fête son anniversaire dans une salle qu’il a loué à cet effet. Une vingtaine de maghrébins s’invitent à la soirée et tabassent le jeune Grenoblois qui tentait de les faire partir. Bilan : fracture de la mâchoire et contusions diverses sur tout le corps.

Il se présente au poste de police accompagné de sa mère, certain d’obtenir réparation puisque l’un des maghrébins a donné ses noms, prénoms et n° de portable à une fille qu’il tentait de draguer.

Après deux heures d’attente, le jeune est reçu. La police lui demande de mener lui-même l’enquête car les recherches sur n° de portable coûtent cher et que les effectifs ne permettent pas de mener l’enquête eux-mêmes. Le policier dressera une simple main courante, indiquant au jeune et à sa mère, stupéfaits, de ne pas poursuivre plus avant sous peine de risquer des représailles. Tout ca pour une cigarette, ce qui a d’ailleurs conduit une gamine de 14 ans, non fumeuse, à réclamer à son père l’autorisation d’acheter un paquet de cigarettes pour éviter ce genre de situation !

Voilà donc une nouvelle indigence étatique qui va déplacer encore un peu plus de voix vers le camp du Front National, car Sarkozy et Hortefeux ont beau gesticuler dans tous les sens, on constate une nouvelle fois leur incapacité à enrayer un fléau qui s’étend désormais aux centre villes des cités !

Le juif éternel, menteur, sadique, genocidaire, raciste, haineux, suprémaciste et traître à la nation française qu’il ne porte point dans son coeur, car uniquement dévoué à Israel.

Mais il faut avant tout incriminer ces traitres blancs tels Hortefeux, ces “collabos” (dans le vrai sens de trahison) sans lesquels le Juif ne pourrait opérer.

==============PARTOUT PAREIL SI ON EST SANS ARMES

Voici une épisode en Allemagne, dont l’article ci-dessous, trouvé sur un site du camarade allemand Sven B. qui vit en exile aux Etats-Unis (puis la traduction,) qui démontre que la situation est similaire dans toute l’Union soviético-européenne:

La fameuse aggression qui choqua l’Allemagne du 20 decembre 2007 par deux salopards turcs dans le métro de Munich sur un retraité blanc de 76 ans, capturéee par des caméras assez floues de surveillance.

Les deux neanderthaliens remarquent le vieillard cro-magnon.…

Vengeance raciste sur l’Allemagne blanche pour sa supériorité sur leur minable Turquie neanderthalienne, qui les énerve au plus haut point…

Un jeune chevalier turc finira toujours par des coups de pied dans le visage d’un vieil homme à bas le sol …..qui osait marcher dans son propre pays. L’homme en est presque mort.

http://www.nonkonformist.net/3661/munchen-noch-ein-deutscher-wegen-zivilcourage-verurteilt/

EN ALLEMAND:

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München: Noch ein Deutscher wegen Zivilcourage verurteilt

Nachdem in München ein Rentner in der U-Bahn fast zu Tode getreten und der Geschäftsmann Dominik Brunner von zwei Schlägern ermordet wurde, nachdem er zwei Jugendlichen zu Hilfe kam, riefen Medien wie Politik nach Zivilcourage.

Daß dies wie üblich nur leere Worte waren, konnte man an zahlreichen folgenden Fällen erkennen, als Deutsche für ihre Zivilcourage verurteilt wurden, weil sie nach Ansicht der Justiz die fast ausschließlich ausländischen Täter entweder zu hart anpackten oder überhaupt eingriffen. So manifestierte die bundesdeutsche Justiz immer weiter, daß Deutsche generell Täter und Ausländer generell Opfer sind. Diese Erfahrung durfte mittlerweile auch Uwe W. machen, der in der Münchener U-Bahn zwei Frauen zu Hilfe kam, die von einem Griechen angegriffen wurden:

Es ist die Nacht zum 10. November. Uwe W. sitzt im U-Bahnhof Implerstraße auf einer Bank, er hört Musik. Der Polsterer war beim Billardspielen und will nach Hause. Dann sieht er zwei Frauen, die an ihm vorbeigehen. Ihnen folgt ein junger Mann, er hat eine Bierflasche in der Hand. Aus den Augenwinkeln sieht Uwe W., wie der Mann seinen Arm hebt. Mit Wucht schlägt er einer der beiden Frauen die Bierflasche gegen die Schläfe. Die 48-jährige Grafikerin sinkt zu Boden.

Es ist der Moment, in dem Uwe W. aufsteht – und den Frauen hilft. Der Schläger steht noch bei den Frauen. Er schreit sie an, beleidigt sie. In einer erhobenen Hand hält er die Bierflasche. Um das Geschehen herum stehen drei, vier junge Leute. „Sie waren unschlüssig, haben nur beobachtet.“ Uwe W. erreicht die niedergeschlagene Frau. Blut fließt ihr aus einer Platzwunde, ihre Hände hält sie schützend vor den Kopf. Neben ihr steht ihre Bekannte. Sie hat einen Schock – und Angst. „Ich dachte, der geht jetzt auch auf mich los. Ich war froh, dass Herr W. plötzlich da stand“, sagt Gabi D. (61).

Uwe W. ist der einzige, der den Notarzt und die Polizei holen will. In diesem Augenblick schleicht sich der Schläger, ein Grieche, davon. Keiner der jungen Leute hält ihn auf. Uwe W. handelt. Er schiebt Savas K. zurück, will ihm die Bierflasche aus der Hand nehmen. Da schubst der 26-Jährige den Münchner zurück. Videokameras zeichnen die Situation auf.

Es kommt zu einem Gerangel, Savas K. drückt Uwe W. weg, schlägt ihm mit einer Faust gegen die Brust, in der anderen Hand hält er immer noch die Bierflasche. Da gibt der Polsterer gibt dem Schläger einen kräftigen Schubs – es ist der Moment für den der gelernte Polsterer später bestraft werden soll.

Der Grieche verliert das Gleichgewicht – er hat zwei Promille im Blut. Er taumelt drei Schritte rückwärts, fällt ins Gleis. Dabei bricht er sich die Hand. Sofort zieht ihn einer der herumstehenden Männer zurück auf den Bahnsteig. Gut eineinhalb Minuten später fährt die U-Bahn ein. Als der Zug weg ist, sind die jungen Leute nicht mehr da – und der Schläger zunächst auch. Er wird Minuten später festgenommen. Uwe W. kümmert sich um die verletzte Frau, wartet auf die Polizei.

Einige Wochen später darauf erhielt Uwe W. einen Strafbefehl über 600 Euro wegen gefährlicher Körperverletzung, wogegen W. Einspruch einlegte. Die Hauptverhandlung lief allerdings dergestalt ab, daß W. entweder den Strafbefehl akzeptieren konnte oder hätte ins Gefängnis gehen müssen, was von der Amtsgerichtsprecherin Ingrid Kaps hämisch als “strafmildernd” betitelt wird. Die Staatsanwaltschaft argumentierte, daß W. dem Griechen körperlich bereinigt gewesen sei und die Situation bereinigt gewesen wäre. Eine Argumentation, der nur ein Gericht zustimmen kann, das seine Urteile politisch opportun spricht, aber nicht nach gesundem Menschenverstand.

Laut § 127 StPO (Strafprozeßordnung) ist nämlich jedermann befugt einen Täter ohne richterliche Anordnung vorläufig festzunehmen, wenn der Täter “der Flucht verdächtig ist oder seine Identität nicht sofort festgestellt werden kann”. Geht der Täter daraufhin erneut zum Angriff über, wie hier durch den Faustschlag geschehen, ist eine Notwehrhandlung durchaus berechtigt. Nirgendwo steht geschrieben, daß ein Helfer dem Täter körperlich unterlegen sein muß um einzugreifen, sodaß diese Argumentation der Staatsanwaltschaft nurmehr eine Persiflage ist.

Eines der potentiellen Opfer des Griechen, Gabi D., wollte vor Gerichte zugunsten von Uwe W. aussagen. Dies wurde ihr als unmittelbare Zeugin allerdings verwehrt.

Dieses Urteil zeigt erneut, daß es im Falle einer politischen Erneuerung nicht ausreicht nur die verantwortlichen Politiker auszutauschen und zur Verantwortung zu ziehen, wenn der ganze Apparat dieses System mitträgt.

Ansonsten gilt bei Fällen von Zivilcourage: Lassen Sie sich nicht erwischen, wenn der Täter ein Ausländer ist.

TRADUCTION RAPIDE:

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Munich: Un autre Allemand reconnu coupable de courage moral
[1968687136 à 0,9]

Uwe W.

Aprés qu’ un retraité à Munich dans le métro ait presque été battu à mort et l’homme d’affaires Dominik Brunner ait été assassiné par deux inconnus après son intervention au secours de deux adolescents, les médias se disant “allemands” ont appelé avec hypocrisie au courage civique. On pourrait constater qu’il ne s’est agi là que de vaines paroles, comme c’est la norme, dans de nombreux cas où des Allemands ont été condamnés en justice pour leur courage civique, puisque de l’avis de la magistrature leur comportement fut un crime — ou bien une intervention qu’elle jugeait “démésurée”.

Ainsi, la justice ouest-allemande expose de plus en plus qu’en général les Allemands sont un peuple de criminels violents et racistes — et les étrangers sont leurs pauvres victimes.

Cette expérience pourrait maintenant concerner encore Uwe W., qui dans le U-Bahn (Métro) de Munich s’est porté au secours de deux femmes agressées par un Grec bourré:

C’est la nuit du 10 Novembre. Uwe W. est assis dans la station de métro Implerstrasse sur un banc, et écoute de la musique. Tapissier de profession, il était aller jouer à des jeux de billard et voulait rentrer chez lui. Et là il voit deux femmes marcher devant lui. Elles sont suivies par un jeune homme; celui-ci tient une bouteille de bière à la main. Uwe W. voit du coin de l’œil cet homme lever le bras. De toute sa force, le psychopathe frappe une des deux femmes avec la bouteille de bière à la tempe. La graphiste de 48-ans s’écroule à terre.

C’est le moment où Uwe W. se lève pour aller au secours de ces femmes. Le “frappeur” est toujours devant les femmes!

De plus beau, le salopard hurle encore , il les insulte. Dans sa main toujours levée, il tient toujours la bouteille de bière.

Comme témoins il y a trois ou quatre jeunes blancs.

“Ils sont indécis, il n’ont fait qu’observer.”

Uwe W. s’approche de la femme abattue. Son sang coule d’une plaie, elle tient ses mains autour de sa tête. A côté d’elle est son amie. Elle a un choc — et la peur. «Je pensais que [le Grec] allait s’en prendre à moi. J’étais heureux de voir cet autre monsieur [blanc allemand] soudain devant moi », affirme Gabi D. (61).

Uwe W. est le seul qui veut appeler une ambulance et la police. En ce moment, le Grec veut s’éclipser. Aucun des jeunes gens ne l’arrête. Uwe W. agit: Il pousse Savas K. et veut prendre la bouteille de bière de sa main. Le Grec de 26 ans pousse l’Allemand de retour et veut prendre la fuite. Les caméras vidéo enregistrent tout.

Il y aura une ruée, Savas K. [JdN: le Grec, qui ne resemble sûrement pas au Brad Pitt nordico-hellénique qui joue Achille dans le film Troie]

….repousse [l’Allemand venu au secours] Uwe W., le frappe du poing contre sa poitrine, mais rappelons que dans son autre main l’autre tient toujours sa bouteille de bière. Le tapissier le pousse fort – c’est le moment pour lequel il sera puni plus tard.

Le Grec perd l’équilibre – il a deux mille alcoolémie dans le sang. Il chancelle de trois pas en arrière, et tombe sur un rail et se casse la main. Mais deux hommes sur le quai le tirent et remettent sur pied. Bien plus tard, le métro arrive. Lorsque le train est parti, les jeunes [couards qui regardaient seulement] ne sont plus là — ni eux ni le Grec, qui pourtant sera arrêté par la police quelques minutes plus tard. Uwe W. prend soin de la femme blessée, en attendant la police.

Quelques semaines plus tard ledit Uwe W. reçoit par la poste allemande une pénalité de 600 € pour lésions corporelles graves, et en fait appel. Le procès du m onstre Uwe, cependant, aboutit à ce choix: accepter ou aller en prison…. une position que le porte-parole féminin du tribunal de district, une certaine Ingrid Kaps, décrit ironiquement comme ‘”atténuation”.

L’accusation avait fait valoir que le Grec ne posait plus de menace et que la situation avait déjà été régléé, alors l’acte de Uwe était “démésuré”.

================VIDEO D’UN BRITANNIQUE DÉMESURÉ LUI AUSSI

Le Pakistanais conspue un candidat du parti British National Party  Londres, mais cet Anglais, ancien des Royal Marines, réagit comme il faut en homme blanc, debout sur son propre sol….

http://www.youtube.com/watch?v=dELv_bYZTL4&feature=player_embedded

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C’est un argument politiquement opportun, mais dépourvu de sens commun.

Selon § 127 du Code de procédure pénale allemande chacun peut arrêter un délinquant sans mandat d’arrêt s’il voit un malfaiteur qui commet un crime et surtout si son identité ne peut être immédiatement établi. Si le délinquant vous attaque, comme cela s’est produit ici d’un coup sur la poitrine, c’est un acte de légitime défense que de le repousser. (E t nulle part il n’est écrit que le citoyen qui intervient doit être physiquement inférieur au malfaiteur.)

L’une des victimes potentielles des Grecs, Gabi D., a voulu témoigner devant le tribunal en faveur du héroique Uwe W., mais on lui a refusé le droit à témoigner.

Ce verdict montre une fois de plus qu’il ne suffira jamais dans le cas d’un renouvellement politique de changer tout simplement de dirigeants politiques; tout l’appareil étatique fait partie du système raciste et génocidaire anti-blanc.

Jusqu’à ce renouvellement total : Ne vous faites pas à aider une femme blanche, si le délinquant est un étranger.

===============ROCKWELL

L’ancien commandant de la US Navy George Lincoln Rockwell, qui fonda fin des années Cinquante le parti national-socialiste américain, prononça une fois cette phrase mémorable:

“In the race war that is coming, your skin will be your uniform.”

“Dans la guerre raciale qui viendra, ta peau sera ton uniforme.”

Rockwell en 1965 (avec le “camarade” grec Patler qui s l’assassinera le 25 aout 1967 après son expulsion du parti par Rockwell pour défauts de caractère).

==============aux armes, citoyens

Il devient une évidence que les citoyens doivent s’armer contre les attaques racistes des leucophobes qui deviennent de plus en plus sérieuses dans la rue et dans les tribunaux. Et coûte que coûte.

Pour nous aux Etats-Unis, c’est une évidence. Sans armes = pas  de liberté.

Thomas Jefferson:

“L’État doit avoir peur du peuple, et non le peuple de l’État.”

Voici un blog d’un jeune écrivain patriotique du New Hampshire, Marko Kloos, que je ne connnais pas que j’admire:

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The Gun is Civilization

by Marko Kloos

Human beings only have two ways to deal with one another: reason and force. If you want me to do something for you, you have a choice of either convincing me via argument, or force me to do your bidding under threat of force. Every human interaction falls into one of those two categories, without exception. Reason or force, that’s it.

In a truly moral and civilized society, people exclusively interact through persuasion. Force has no place as a valid method of social interaction, and the only thing that removes force from the menu is the personal firearm, as paradoxical as it may sound to some.

When I carry a gun, you cannot deal with me by force. You have to use reason and try to persuade me, because I have a way to negate your threat or employment of force.

The gun is the only personal weapon that puts a 100-pound woman on equal footing with a 220-pound mugger, a 75-year old retiree on equal footing with a 19-year old gang banger, and a single guy on equal footing with a carload of drunk guys with baseball bats. The gun removes the disparity in physical strength, size, or numbers between a potential attacker and a defender.

There are plenty of people who consider the gun as the source of bad force equations. These are the people who think that we’d be more civilized if all guns were removed from society, because a firearm makes it easier for a [armed] mugger to do his job. That, of course, is only true if the mugger’s potential victims are mostly disarmed either by choice or by legislative fiat–it has no validity when most of a mugger’s potential marks are armed.

People who argue for the banning of arms ask for automatic rule by the young, the strong, and the many, and that’s the exact opposite of a civilized society. A mugger, even an armed one, can only make a successful living in a society where the state has granted him a force monopoly.

Then there’s the argument that the gun makes confrontations lethal that otherwise would only result in injury. This argument is fallacious in several ways. Without guns involved, confrontations are won by the physically superior party inflicting overwhelming injury on the loser.

People who think that fists, bats, sticks, or stones don’t constitute lethal force watch too much TV, where people take beatings and come out of it with a bloody lip at worst. The fact that the gun makes lethal force easier works solely in favor of the weaker defender, not the stronger attacker. If both are armed, the field is level.

The gun is the only weapon that’s as lethal in the hands of an octogenarian as it is in the hands of a weight lifter. It simply wouldn’t work as well as a force equalizer if it wasn’t both lethal and easily employable.

When I carry a gun, I don’t do so because I am looking for a fight, but because I’m looking to be left alone. The gun at my side means that I cannot be forced, only persuaded. I don’t carry it because I’m afraid, but because it enables me to be unafraid. It doesn’t limit the actions of those who would interact with me through reason, only the actions of those who would do so by force. It removes force from the equation… and that’s why carrying a gun is a civilized act.

So the greatest civilization is one where all citizens are equally armed and can only be persuaded, never forced.

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Le pistolet est la civilisation

Marko Kloos

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Nouvelle-Hampshire

Les êtres humains n’ont que deux façons de traiter l’un avec l’autre: par la raison ou par la force. Si vous voulez que je fasse quelque chose pour vous, vous avez le choix de me convaincre par l’argument, ou me forcer à vous céder sous la menace de la force. Chaque interaction de l’homme relève de l’une de ces deux catégories, sans exception. Ou la raison ou la force, c’est tout ce qui convainc.

Dans une société véritablement morale et civilisée, les gens interagissent uniquement par la persuasion. La force n’y a pas sa place comme méthode valable de l’interaction sociale, et la seule chose qui enlève la force du jeu est l’arme personnelle, aussi paradoxal que cela puisse paraître à certains.

Quand je porte une arme, vous ne pouvez pas traiter avec moi par la force. Vous devez utiliser la raison et essayer de me convaincre, parce que j’ai une façon d’annuler votre menace ou votre emploi de la force.

Placque d’immatriculation du New Hampshire de l’écrivain Kloos: “Vivre libre ou mourir”

La flingue est la seule arme personnelle qui met une femme de 40 kilos sur un pied d’égalité avec un voleur de 100 kilos, un retraité de 75 ans sur un pied d’égalité avec un bande de pétards de 19 ans, et un gars simple sur un pied d’égalité avec une voiturée de mecs ivres portant des bâtons de baseball. Les armes à feu suppriment la disparité des forces physiques, de la taille ou du nombre dans un afrontement entre un attaquant potentiel et un défenseur potentiel.

Il y a beaucoup de gens qui considèrent l’arme à feu comme une mauvaise source d’égailité des forces. Ce sont les gens qui pensent que nous serions plus civilisés, si toutes les armes  étaient retirées de la société, car une arme à feu facilite à l’agresseur armé son travail criminel. Ceci ne vaut, bien sûr, que si les victimes potentielles de l’agresseur sont pour la plupart désarmées, soit par choix ou par voie législative – il n’a pas de validité si les autres sont armés aussi.

Le fameux revolver de calibre 38 de Smith and Wesson, nommé “Detective Special”

Les gens qui militent pour l’interdiction des armes prônent automatiquement la tyrannie des jeunes, des forts, et des bandes, et cela est exactement le contraire d’une société civilisée. Un agresseur ne peut réussir sa vie que si l’Etat lui a accordé un monopole de force.

Et puis il y a l’argument que l’arme facilite les affrontements mortels qui, autrement, ne feraient que causer des blessures. Cet argument est fallacieux de plusieurs façons. Sans armes à feu, les affrontements sont remportées par le parti physiquement supérieur, qui infligera des blessures écrasantes sur le perdant.

Les gens qui imaginent que les poings, les battes de baseball, et les pierres ne constituent pas de force meurtrière regardent trop la télé, où les gens prennent des coups et s’en sortent avec au pire une lèvre sanglante . Le fait que l’arme produit une force mortelle fonctionne davantage en faveur du défenseur faible, pas du plus fort qui attaque. Si les deux sont armés, le champ est d’égal à égal.

L’arme à feu est la seule arme qui est aussi mortelle dans les mains d’un octogénaire qu’elle l’est entre les mains d’un haltérophile. Il n’y aurait tout simplement pas d’effet égalisateur si le pistolet n’était pas à la fois 1) mortel et 2) facile à utiliser.

Jeu de mots en anglais: Le photographe professionel aux Etats-Unis rassure ainsi les clients: “Smile, and wait for the flash” (Souriez, ne bougez pas et attendez le flash… ;-))

Lorsque je porte un fusil, je ne le fais pas parce que je suis à la recherche d’un combat, mais parce que je suis à la recherche d’être laissé tranquille. Le fusil à côté de moi veut dire que je ne peux pas être forcé, seulement persuadé, à faire quoi que ce soit.

Je ne la porte pas parce que j’ai peur, mais parce qu’elle me permet d’être sans peur. Il ne limite pas les actions de ceux qui interagissent avec moi par l’emploi de la raison, seulement les actions de ceux qui voudraient me diriger par la force. Il enlève la force de l’équation … et c’est pourquoi le port d’une arme est un acte civilisé.

Ainsi, la plus grande civilisation se compose de citoyens armés à égalité qui n’acceptent que la persuasion. On ne peut jamais les forcer.

=================COMMENTAIRE

Je sais que les Européens n’ont pas d’armes. Il faut changer cela.

Lors de l’Age de Pierre, il y a 20 000 ans, nos ancètres les Solutréens avaient beaucop plus de liberté. Chaque homme était armé, car chasseur. On vivait dans des clans de 15 à 25 personnes. Le chef du clan était nommé sur la base de connaissances personnelles d’un homme qu’on avait connu depuis ses tout petits pas. On n’avait point peur de lui, mais lui avait peur de froisser les hommes tous armés de son clan. A la chasse, la vie et la mort de chacun et du clan dépendait de la collaboration consensuelle et étroite. On était bien plus libre en Solutréen, avant les urnes, avant les Sarkozy et les Royals, et les CRIFs.

Il faut rétablir cette situation. Cela aussi fait partie du solutréïsme.

Graphique du Rocher de Solutré en Bourgogne, avec l’addition du drapeau bleu-blanc-noir du service de sécurité solutréen

========Dans mon blog prochain en français

La nouvelle révolutionnaire pour l’antisémitisme scientifique…..

Le terroriste juif américain Irv Rubin qui menaçait les activistes blancs pendant des décennies en Californie…

Que nous révèle cette caverne en Croatie? On l’a soupçonné depuis longtemps, mais l’Institut Max Planck le constate formellement ces dernières semaines et le publie dans le plus important des magazines de la recherche, Science….