La loi anti-Fake news qu’Emmanuel Macron tenait tant à faire passer vient d’être votée.
La France entre dans l’ère de la censure institutionnalisée.
Et quand on voit ce qui se passe dans les médias institutionnels, on tremble pour la liberté d’expression en France.
Regardez la purge qu’ils ont opérée dernièrement :
… Exit l’animateur Frédéric Taddeï, débarqué de France 2. Il était dans le collimateur depuis un moment pour oser inviter des intervenants de tous bords, y compris ceux jugés “sulfureux” ou “infréquentables”. Le voilà réfugié sur RT, une chaîne étrangère, dans une nouvelle émission, “Interdit d’interdire”. Tout un symbole !
… Exit le philosophe Michel Onfray, éjecté de France Culture. Sa parole est décidément trop anticonformiste. Ses cours à l’université de Caen ne seront donc plus retransmis.
… Exit le journaliste Eric Zemmour, censuré par France télévision. Cette fois, pour crime de lèse-prénom des enfants d’immigrés.
Qui sera le prochain sur la liste ?
Car la meute bien-pensante est toujours à l’affût.
Pour tous ceux qui voudraient s’écarter du discours politiquement correct, le message est extrêmement clair : c’est l’autocensure ou la purge.
L’objectif ? Contrôler l’info donnée aux Français, bien sûr.
Mais surtout, annihiler tout esprit critique, toute réflexion des citoyens sur les sujets essentiels. C’est grave !
Aujourd’hui, seul un média libre et indépendant, tel que le nôtre, peut résister à cette doxa médiatique qui contamine notre société.
Car, au-delà de la liberté d’expression et d’opinion, chaque jour un peu plus réduite, les Français sont privés d’accès à une information et à des analyses pertinentes sur les problèmes auxquels notre pays est confronté.
Regardez le beau consensus médiatique auquel on assiste sur des sujets qui, pourtant, devraient être l’occasion de joutes enflammées, aux options philosophiques radicalement opposées.
Gilets jaunes : que de commentaires de journalistes méprisants, les accusant de “beaufitude” ou de “racisme” ! C’est vraiment la France des avenues contre la France des ronds-points…
Insécurité : la réforme pénale annoncée par Emmanuel Macron annule, de facto, toutes les peines inférieures à six mois. Elles seront appliquées sans passer par la case prison !
Concert d’applaudissements dans les médias, saluant cette justice “plus humaine”. Pour les délinquants, sûrement.
Mais particulièrement inhumaine pour tous les honnêtes citoyens condamnés à vivre dans des quartiers où règnent insécurité, vandalisme et peur à tous les coins de rue.
Islamisation et communautarisme : “Aujourd’hui on vit côte à côte… Je crains que demain on vive face à face“. Voilà le terrible aveu que le ministre de l’Intérieur démissionnaire Gérard Collomb a fait.
Là, le consensus médiatique consiste à éviter scrupuleusement, et ce depuis des années, de parler du problème. Un fait dont on ne parle pas n’existe pas…
Destruction du modèle familial père-mère : après leur croisade pour le mariage homosexuel (déjà voté), puis pour la PMA des couples de lesbiennes (bientôt votée), les médias font maintenant carrément du prosélytisme pour la GPA, c’est-à-dire la gestation pour couple d’homosexuels à ce jour illégale en France.
On ne compte plus le nombre de recensions du livre de Marc-Olivier Fogiel contant son bonheur d’être père de deux filles nées de GPA.
Purge des journalistes ou intellectuels qui dérangent…
Autocensure de tous ceux qui veulent garder leur travail…
Pilonnage médiatique sur les sujets que des journalistes dégoulinants de bons sentiments et de bien-pensance, veulent promouvoir…
… Voilà comment les médias subventionnés, en France, empêchent tout débat de fond sur les sujets importants.
Et, bien plus grave, voilà comment les médias empêchent l’émergence de solutions politiques adaptées.
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……Poujadiste, beauf, extrémiste ou chemise brune, le Gilet jaune méprisé par la France d’en haut ?
Soutenus par 80% des Français selon un dernier sondage, les Gilets jaunes ne sont pourtant pas épargnés par certains commentateurs médiatiques et le gouvernement. De quoi alimenter la fracture entre la France d’en haut et la France d’en bas ?
Si Jean-Claude Michéa a salué la création d’un mouvement venant de la France «d’en bas», plusieurs soutiens du gouvernement et éditorialistes libéraux, eux, n’ont pas eu la même tendresse envers les Gilets jaunes. Contestant la baisse de leur pouvoir d’achat et du niveau de vie en général, les Gilets jaunes ont réussi depuis leurs premières mobilisations du 17 novembre à s’attirer la sympathie de près de 80% des Français. Nés d’une initiative citoyenne, les Gilets jaunes ont été rapidement attaqués par le pouvoir. Lors d’un entretien télévisé le 14 novembre, le président Emmanuel Macron avait qualifié le mouvement des Gilets jaunes de «poujadisme contemporain».
Une expression surprenante dans la mesure où le poujadisme – créé après l’émergence de l’homme politique Pierre Poujade dans les années 1950 – qualifiait de façon péjorative un mouvement de défense des intérêts d’une classe moyenne plutôt supérieure (commerçants et artisans notamment) face aux élites, au discours taxé de démagogique, violent et antiparlementaire.
Or, force est de constater que les Gilets jaunes ont des revendications – certes nombreuses – mais ne contestent pas les institutions et sont plutôt issus de classes sociales vivant dans la difficulté. Malgré tout, le «poujadisme» va vite devenir un élément de communication pour les soutiens ou proches du pouvoir. Il est ainsi repris par le centriste écologiste, ex-député européen, Daniel Cohn-Bendit dans une interview pour Le Point le 18 novembre : «[Le] mouvement poujadiste mélange des tas de revendications et refuse de mener le débat de fond».
Parmi les reproches les plus forts, Daniel Cohn-Bendit – électeur assumé d’Emmanuel Macron lors de l’élection présidentielle de 2017 – dénonce la contestation de la hausse du prix des carburants qui, selon lui, est une taxe carbone «juste» et «nécessaire» à l’aune du défi écologique. Un argument peu valable puisqu’il a été démontré par des parlementaires de l’opposition, dont Vincent Eblé, président socialiste de la commission des finances du Sénat, que la hausse des taxes sur le carburant servirait finalement à alimenter le budget de l’Etat et non la transition écologique.
Autre soutien assumé d’Emmanuel Macron, l’écrivain Bernard Henri-Lévy a lui aussi repris cette notion de «poujadisme» pour définir les Gilets jaunes, dans un tweet le 17 novembre.
Le sous-préfet du Finistère Ivan Bouchier a quant à lui osé, directement sur le terrain, traiter les Gilets jaunes de «poujadistes» à plusieurs reprises, lors d’un blocage d’un dépôt pétrolier le 22 novembre à Brest.
Quelques éditorialistes se sont également joints à ce courant de pensée. Le chroniqueur de LCI, Renaud Pila estimait le 15 novembre que les Gilets jaunes étaient une «jonction entre un vieil électorat de droite poujadiste anti-impôts et des sympathisants insoumis anti-libéraux».
Autre éditorialiste, le pro-Union européenne Jean Quatremer, lui, n’a pas hésité à qualifier les Gilets jaunes comme un mouvement de «beaufs», «poujadiste» (encore) et «d’extrême droite» […] qui lui «sort par les oreilles».
Les Gilets jaunes, des nazis ?
Certains dépassent même le concept du «poujadisme» pour étendre leur critique à des formes bien plus imagées. Le secrétaire général du syndicat CFDT, Laurent Berger, voit dans les Gilets jaunes une «forme de totalitarisme» par certaines de leurs actions de filtrage sur les routes.
Les adversaires – assumés ou non – des Gilets jaunes tombent d’ailleurs vite sous le coup de la fameuse loi de Godwin. Pour tenter de discréditer le mouvement, ils n’hésitent pas à faire des parallèles douteux avec le nazisme.
Le député de La République en marche (LREM) d’Ille-et-Vilaine Florian Bachelier a jugé dans Le Figarodu 22 novembre que «sous beaucoup de “gilets jaunes”, les chemises brunes [étaient] de plus en plus visibles», dénonçant certains faits de racisme et d’homophobie qui auraient été l’œuvre de quelques manifestants en France.
«Je dénonce une récupération par des milices factieuses d’extrême droite», a ajouté Florian Bachelier dans la même interview.
En outre, l’ancien patron de La Chaîne parlementaire, Gérard Leclerc, actuellement chroniqueur politique sur Cnews – ouvertement libéral et dont les positions sont proches de celles d’Emmanuel Macron – a pour sa part insisté le 23 novembre pour déclarer que les Gilets jaunes «se trompaient» car ils «n’entendraient pas» l’urgence climatique. «De même que dans les années 1930, les Français n’ont pas compris – en tout cas pas suffisamment – l’arrivée d’un danger évident, le nazisme», s’est-il ensuite hasardé. Sur le plateau, présent en face de Gérard Leclerc, le journaliste du Figaro Ivan Rioufol contestait ce «rapprochement douteux».
Bastien Gouly
…..Les “Gilets jaunes” — l’aube d’une France renouvellée?
Ah non, quoique ce soient de braves gens!
Car ils n’ont ni leader charismatique ni idéologie renovelatrice, ni financement et planification non plus.
J’ai appris énormément de choses sur les révolutions réussies depuis Cromwell (et surtout sur la “Révolution de 1789” en France, le fruit exécrable d’un complot juif avec des outils franc-maçonniques) …..en lisant et enregistrant un livre audio sur “The Nameless War” du capitaine écossais Ramsay.
Stanislas Marie Maillard, leader au nez crochu de la meute devant la Bastille qui, en plus, ne se lava jamais, tout comme les juifs du ghetto
D’abord j’ai appris que les régimes qui sont puissants et compétents dans leur gestion de l’èconomie ne sont pas faciles á renverser.
Ils ont tous une police sécrète qui lutte 24/7 contre la subversion, et donc qui surveille, infiltre et divisent tous les groupes dissidents, surtout arrêtant et tuant, ou bien corrompant, les leaders potentiels.
Par contre, les Juifs ont l’expérience dans ce domaine de l’art et la science révolutionnaire, ainsi que le pognon par millions et millions pour faire réussir les révolutions qu’ils soutiennent dans leur propre intérêt.
Et surtout ils paralysent, ils rendent inactifs, les régimes ciblés au moment-clé de la révolte armée.
“La guerre san nom” des Juifs contre les états goïs
Le capitaine Ramsay, noble écossais, grand blessé (en France) de la Première Guerre Mondiale dans le régiment d’elite Coldstream Guards, qui garde le palais Windsor de la Reine
Onze ans dans le Parlement britannique — puis il fut jeté en prison pour quatre ans 1940-44 par le psychopathe judéophile Churchill pour punir son opposition contre sa guerre idiote avec Hitler
Mais si peu de gens comprennent aussi combien les soi-disants “chemtrails” (traduit d’anglais en français: “sentiers chimiques”) sont puissants pour rendre les gens anxieux, paresseux et peureux!
“Soyons honnêtes pour un moment./Cela ressemble-t-il seulement à une “théorie compolitiste?”
https://www.chemtrails-france.com/
Il va falloir une réunion de tous les éléments nécessaires pour une révolution, et surtout une fanatisation des meilleurs éléments du peuple français de souche, et surtout, surtout dans une ambiance neurochimique de chemtrails qui rendent lâches les gens!
Mais tous ces éléments, ils viennent.
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……(en anglais)
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