Comment Hitler, à la dernière seconde, a courageusement contrecarré la vaste guerre d’agression parfaitement planifiée de Staline contre l’Europe, également prévue pour début juillet 1941. (Voir ci-dessous.)
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Je n’avais pas du tout « oublié ce qui est arrivé à Napoléon lorsqu’il a attaqué la Russie et que l’hiver russe l’a eu, ainsi que la farouche résistance russe ».
Je pensais constamment durant toute ma vie à Napoléon et à son triste sort !
À quoi le monde imagine-t-il que je pensais en juin 1940 devant cet énorme tombeau de Napoléon ? « Wow, je ne savais pas que Napoléon était si grand ! C’est un gros cercueil ?
Je savais aussi que c’était Rothschild (et non le duc de Wellington et le général prussien Blücher à Waterloo) qui avait fait tomber Napoléon, finançant la Grande-Bretagne et les autres pour mener une guerre constante contre la France napoléonienne.
C’est parce que Napoléon, qui avait été à l’origine naïf et amical envers les juifs, et qui était en fait désireux d’en faire de bons Français (MDR !), s’est réveillé à leur vraie nature !
Après cela, l’empereur Napoléon s’est vivement retourné contre les Juifs et leur a interdit de prêter de l’argent – leur principale source de richesse non gagnée et de pouvoir gigantesque !
On m’a envoyé un excellent livre sur la façon dont le grand Napoléon, d’abord judéophile, s’est « avisé » et s’est retourné contre les juifs !
J’ai adoré lire ce livre de l’italo-américain Mike King sur Napoléon contre les anciennes monarchies et la nouvelle puissance mondiale, les juifs riches de la finance. Michael S. King est un journaliste d’investigation privé et chercheur basé dans la région de New York, diplômé en 1987 de l’Université Rutgers (et patriote raciale).
“Napoléon contre et l’Ancien et le Nouvel Ordre Mondial”
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Il est assez révélateur de voir comment Napoléon s’est retourné contre les Juifs, et vice versa. C’est toujours, à partir de ce moment-là, lorsque Napoléon s’est éveillé sur le probléme juif, que les autres pays, qui étaient dans la poche de Rothschild, n’ont cessé d’attaquer la France. Ce sont EUX qui ont déclaré la guerre à la France ! Comme cela s’est produit en Allemagne en 1914 et 1939 !
C’est Rothschild qui a financé et encouragé chaque guerre contre Napoléon.
Qu’avait fait Napoléon pour offenser ces monarques ?
Il a épousé la fille de l’empereur d’Autriche !
Il a annulé la majeure partie de la Révolution française !
Il a aboli la République française ;
il rétablit la noblesse ( « la noblesse de l’Empire » ), créant de nouvelles familles nobles à partir de Français de très haut niveau, tout comme l’avaient fait les rois Bourbon et les autres monarques ; et il cherchait par tous les moyens à dire que
….la Terreur, la guillotine et le règne de la foule, des juifs et des francs-maçons étaient terminés !
Mais Rothschild avait soudoyé l’Angleterre, l’Autriche, l’Espagne et la Prusse pour déclencher de nouvelles guerres !
Voici quelques citations pertinentes de Napoléon, considéré comme le plus grand général ayant jamais vécu, avant même Alexandre le Grand et Jules César :
— La mort n’est rien, mais vivre vaincu et humilié, c’est mourir quotidiennement
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— Prenez le temps de délibérer, mais lorsque le moment de l’action est venu, arrêtez de réfléchir — et foncez !
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— Il ne faut pas craindre la mort, les gars ; défiez-le — et jetez-le dans les rangs de l’ennemi !
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— La mentalité purement défensive est vouée à la défaite.
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— La justice signifie force aussi bien que vertu.
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non plus Voici à quoi ressemblait réellement l’homme – grâce à un logiciel informatique moderne, utilisé par la police lorsqu’elle trouve un crâne et/ou possède des photos (ou des peintures). Et, mesurant 1,70 m, Napoléon Bonaparte n’était pas petit non plus mais de taille moyenne pour les hommes européens de cette époque – alors il ne fut POINT “une petite crevette” (comme on dit en anglais) avec un certain « complexe » à cause d’une petite taille, comme le prétendait la propagande noire anglaise mensongère.
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— C’est une maxime de guerre approuvée de ne jamais faire ce que l’ennemi veut que vous fassiez.
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L’homme travaillait 20 heures par jour, faisant plusieurs courtes siestes pendant la journée, ce que faisait également le génie inventif Thomas Edison (qui détenait 900 brevets, dont l’ampoule électrique).
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— Les soldats lâches causent la perte de la liberté de la nation ; mais des juges lâches détruisent la loi, le gouvernement et la société elle-même.
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— Une chose est plus difficile à supporter qu’un revers de fortune : la hideuse bassesse et l’ingratitude de l’homme.
(Comme c’est vrai ! C’est l’histoire de ma vie en tant que nationaliste blanc dans ce mouvement impie qui consisten dans le dénigrement des juifs, beurs et des nègres au lieu d’élever notre propre race et de nous allier à la volonté de DIEU.)
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En tant qu’Hitler, je n’ai jamais, JAMAIS, oublié les leçons de la vie de Napoléon, y compris le désastre russe.
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J’étais constamment inquiet pendant des semaines avant le début de l’opération Barbarossa, le 22 juin 1941 ; L’insomnie m’a finalement forcé à prendre des somnifères à cause de mon anxiété quant à la façon dont cela allait se passer.
Et je n’ai jamais voulu une guerre sur deux fronts ! Cependant, comme vous le verrez ci-dessous, si je n’avais pas attaqué la Russie soviétique et pris l’avantage sur elle, Joseph Staline était prêt et désireux de nous attaquer par surprise et conquérir toute l’Europe !
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— Le monde n’est pas ruiné par les méchants, mais par les bons qui sont faibles.
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Cependant, permettez-moi également de préciser clairement que j’ai commis une énorme erreur morale et stratégique. Je cherchais à faire de la Russie une colonie alimentaire, un grenier à blé, pour les besoins du Reich allemand. C’était parce que la Grande-Bretagne nous avait affamé via un blocus de la Royal Navy entre 1914 et 1919.
De 1918 à 1919, pour nous forcer à signer le scandaleux Traité de Versailles, et avec le plein soutien du Français Georges Clemenceau, un germanophobe enragé, la Grande-Bretagne a fait mourir de faim NEUF CENT MILLE civils allemands !!!!!!!
Quand j’ai vu l’Ukraine sous domination russe et sa riche couche arable noire, la seule chose à laquelle je pouvais penser c’est : « Nous, les Allemands, devons avoir ce sol pour être à jamais autosuffisants en nourriture ! »
Nous avons perdu la guerre parce que je ne suis pas entré en Russie en tant que libérateur, mais seulement en tant que nouveau maître. Nous aurions pu obtenir toute la nourriture dont nous avions besoin en étant amis et partenaires de la fière Russie, et non de son nouveau maître.
Cette affaire avec le besoin allemand d’un grenier et les graves erreurs de l’opération Barbarossa est un sujet sur lequel j’ai souvent blogué :
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….. « Brise-glace »
Ce livre d’un russe et ancien officier du GRU (renseignement militaire), Vladimir Rezun, alias Victor Suvorov, est génial. En anglais, c’est ce titre, “Le coupable principal/Le grand dessein de Staline pour déclencher la Seconde Guerre mondiale” …ou bien ils utilisent le titre original, « Icebreaker » (alors “Brise-glace”), traduction littérale du russe “Ledokol”.
Les navires brise-glace dans l’Arctique (comme ce navire russe doté de moteurs nucléaires) sont utilisés pour briser quelque chose de grand et de solide… afin que vous puissiez avancer. Staline considérait Hitler comme « son » brise-glace pour déstabiliser l’Occident, incitant (contre sa volonté) les pays occidentaux à se battre les uns contre les autres tandis que Staline se préparait à envahir l’Europe avec 23 000 chars et des divisions entières de parachutistes, plus le NKVD pour écraser toute résistance dans les pays conquis, dans des territoires avec de nombreux communistes locaux.
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Adolf Hitler était, selon le point de vue déformé du bolchevique Staline, un espèce d'”outil utile” pour affaiblir l’Europe occidentale, qui était encore assez forte, antisoviétique, et surtout très aguerris (l’Allemagne en guerre avec les États-Unis, la Russie tsariste, le Royaume-Uni et la France) en les amener à mener une guerre majeure les uns contre les autres, « contre les autres grandes puissances capitalistes ».
La guerre d’Hitler n’avait en réalité pour but que de protéger les minorités allemandes harcelées qui avaient été placées hors des frontières du Reich, privées de leurs pouvoirs et isolées par le traité de Versailles de 1919, qui était manifestement injuste.
Ces mauvais traitements ont eu lieu malgré les affirmations hypocrites de Woodrow Wilson selon lesquelles si l’Allemagne de la Première Guerre mondiale avait déposé avec confiance ses armes, alors il y aurait une nouvelle ère de « l’autodétermination de tous les peuples » – ce qui, selon les Allemands, devrait s’appliquer tout autant à eux.
Le messie mensonger Woodrow Wilson avec des soldats américains
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Considérez également les éléments suivants :
Staline, avec ses armées d’assassins professionnels du NKVD (comme,par exemple, le secrétaire en 19400 de Léon Trotsky (né Braunstein), qui s’est glissé derrière lui et l’a envoyé en enfer avec un pic à glace à Mexico), aurait probablement pu laisser assassiner « le dévoreur des ouvriers” et “le militariste » Adolphe Hitler à un moment donné dans les années 1930-33, c’est-à-dire dans les années précédant l’arrivée au pouvoir d’Hitler.
Même après cela, Staline avait ses tireurs d’élite, tout comme ceux de la CIA qui assassinèrent le président John Kennedy dans une limousine découverte au Texas le 22 novembre 1963.
La limousine découverte du Führer
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Cependant, Staline n’a pas émis d’ordre d’assassinat pour éliminer Hitler en raison de son pronostic :
Un Hitler produirait tôt ou tard une longue guerre entre les pays occidentaux, offrant une grande opportunité pour l’Armée rouge de conquérir une Europe exsangue lors d’une gigantesque offensive surprise.
Vue sous cet angle, la conclusion du pacte de non-agression germano-soviétique à la fin du mois d’août 1939 et le développement simultané d’un commerce dynamique et volumineux entre Moscou et Berlin, avec des ressources importantes pour l’effort de guerre allemand, représentaient, du point de vue de Staline, une augmentation siginfiiante de la probabilité d’une guerre entre les pays occidentaux — exactement le résultat qu’il souhaitait obtenir.
C’est en effet grâce au pacte germano-soviétique qu’Hitler n’a plus craint risquer une guerre sur deux fronts en septembre 1939.
Il a pu, grâce à Staline, se concentrer sur la destruction militaire de la Pologne et, ensuite, déplacer les trois quarts des son armée vers l’Europe occidentale.
Hitler espérait en fait qu’avec la signature et la poignée de main entre Staline et le ministre allemand des Affaires étrangères Joachim von Ribbentrop, la Pologne accepterait la raison et éviterait la guerre… La Pologne devrait désormais craindre une guerre sur deux fronts avec l’Allemagne à l’ouest et la Russie soviétique à l’est. (Mais depuis quand les Polonais ont-ils jamais été modestes, sensés, et non mégalomanes et amoureux de la guerre ?)
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Mais Staline croyait à tort qu’après le déclenchement de la guerre en septembre 1939, Paris et Londres – comme lors de la Première Guerre mondiale – résisteraient bien à Berlin et épuiseraient à fond la Wehrmacht pendant des années.
Au lieu de cela, il y a eu une Blitzkrieg (“guerre-éclair”) en 1940 et par la suite aussi une victoire-éclair (“Blitzsieg”) de la Wehrmacht ulttra-puissante contre six pays occidentaux. Je me souviens, moi, d’avoir lu en 2003 dans un livre de Charles de Gaulle sur la DGM sa phrase qui révélait son étonnement en 1940: “En six semaines, la Wehrmacht balaya les armées de France.” Staline, mais pas lui uniquement, était donc mal informé du moral élevé de la Wehrmacht allemande, de la qualité de ses armes et du professionalisme de son entraînement, mal informé malgré tous ses espions.
Au printemps 1941, le Secrétaire général du parti communiste (son titre) rejeta toutes les rumeurs et les rapports en provenance du Japon du très précieux espion soviétique, le communiste allemand Richard Sorge, qui avait ses sources à Tokio) sur « l’Opération Barbarossa », l’invasion allemande imminente de l’URSS.
Staline n’était pas aussi intelligent qu’il ne le pensait. En fait, en 1937, pour maintenir son propre pouvoir, il avait fait liquider des dizaines de milliers d’officiers soviétiques de haut rang, parfois très compétents, de l’Armée rouge, sous une fausse accusation de trahison; d’avoir supposément commis du sabotage ou de l’espionnage pour l’Allemagne.
Le livre de Souvorov en allemand
Le livre de Suvorov en russe : (« Ledokol » signifie « brise-glace »)
en français
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À partir de 1930, Joseph Staline espérait secrètement que si cet Allemand Hitler, ennemi déclaré du marxisme, accéderait au pouvoir, en tant que chancelier du Reich et antisémite pur et dur agirait sûrement de telle manière pour les vrais intérêts des Allemands qu’il allait briser les entraves du Traité de Versailles. Mais ces limitations avaient été mis en place par les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, donc il y aurait selon les désirs de Staline une deuxième guerre entre Berlin d’une part et Paris, Londres et Washington, et peut-être aussi avec Rome (bénéficaire également de la défaite austro-allemande, Rome s’étant arraché le Tyrol du sud — “le Haut-Adige” en français — dans les Hauts Alpes, un très beau territoire qui fut à 75% germanophone).
(Les Italiens n’aimaient pas vraiment les Allemands et surtout pas les Autrichiens, c’est pourquoi ils ont mené plusieurs guerres contre eux deux. Léon Degrelle rapporte que même Mussolini respectait les Allemands mais les trouvait peu sympathiques.)
Pour répéter, le dirigeant soviétique souhaitait des hostilités à si long terme que Staline puisse enfin submerger l’Europe centrale et occidentale épuisée dans sa propre guerre- éclair. Et Adolf Hitler – à son insu – obtenait de Staline le rôle involontaire de « brise-glace de la révolution bolchevique » ! Staline pensait qu’Hitler, surtout en étant un ennemi déclaré des Juifs, déclencherait une « guerre entre les capitalistes ».
Staline était lui-même antisémite et a mené quatre épuritions majeures au cours desquelles des milliers de juifs de haut rang, comme Trotsky, ont été exécutés – 1) l’expulsion de Troski du parti communiste et de toutes ses fonctions dans les Années vingt, 2) les procès-spectacles de Moscou avec “la Grande Terreur” du milieu des années 1930, 3) les Procès des “Cosmopolitains” après la fin de la DGM, et 4) les procès menés à cause d’une supposée “conspiration des médecins” au début des années 1950.
Mais son antisémitisme était très bien caché et il a continué à utiliser de nombreux Juifs comme sbires zélés pour ses meurtres de masse.
Les Juifs, s’ils en ont le pouvoir, adorent tuer des Slaves, des Allemands, même des Noirs et des Chinois – tous les Goīm. C’est pourquoi les Juifs sont devenus communistes en masse – afin de pouvoir assassiner des goīm sans conséquences légales: un “permis pour tuer”.)
Donc, en juillet ou août 1941 Staline voulait attaquer et dévorer avec son immense armée une Europe épuisée par la guerre. Seul le Führer prit le dessus le 22 juin 1941.
Le Panzer III allemand traverse la rivière Bug, qui faisait partie de la ligne de démarcation entre les zones de la Wehrmacht allemande et de l’Armée rouge soviétique en Pologne.
Plus tard voici l’arrivée de la boue — il y avait peu de routes goudronnées DANS LES CAMPAGNES après 25 ans de « paradis ouvrier » marxiste — CAR TOUT L’ARGENT AVAIT ÉTÉ DÉPENSÉ POUR DES ARMES OFFENSIVES POUR L’INVASION SOVIÉTIQUE DE L’EUROPE. Et puis est advenu vers novembre 1941 un hiver d’un froid véritablement historique. Vingt-deux soldats de la Wehrmacht, bien entraînés, se battent avec cette stupide boue… C’est surtout, mais pas uniquement à cause de la boue, que le plus souvent possible les Allemands utilisaient deux millions de chevaux pour envahir la Russie.
À partir de novembre 1940, pendant et après la visite du ministre des Affaires étrangères Molotov à Berlin, les Soviétiques ont formulé envers Hitler et son ministre des affaires étrangères, Joachim von Ribbentrop, des exigences impossibles et dangereuses, et très ouvertement hostiles à l’Allemagne, comme,par exemple, l’obtention d’une base navale du Danemark ! Cela aurait permis à Staline de contrôler l’accès des Baltes et de l’Allemagne au minerai de fer suédois pour l’acier.
Hitler, sentant la malveillance fondamentale et inchangée de l’archi-communiste Staline, décida de l’attaquer en premier. Si seulement il l’avait fait – comme l’expliquait le général de la Waffen-SS Léon Degrelle – six semaines plus tôt !
Mais Mussolini avait lancé une guerre d’agression totalement inutile contre une Grèce auparavant amicale – et les Italiens furent vaincus par les Grecs avec l’aide des Britanniques (qui agisssaient, bien sûr, dans leur propre intérêt de guerre).
Il fallait maintenant absolument que les Anglais soient chassés de la Grèce par les Allemands avant qu’ils ne puissent faire venir depuis les aérodromes grecs leurs propres bombardiers à long rayon d’action comme le Lancaster et voler vers le nord pour bombarder la gigantesque raffinerie de pétrole allemande de Ploiesti/Roumanie (photo), essentielle pour l’Allemagne. effort de guerre.
Sans cette raffinerie romanienne pour carburants, l’Allemagne aurait déjà perdu la guerre en 1941 ! Comment le meilleur avion de combat allemand ou le meilleur char “Roi-Tigre” aurait-il pu se bouger sans carburant ?
Ploiesti
Hitler etsa Wehrmacht durent donc d’abord passer des semaines à chasser les Britanniques de la Grèce très lointaine avec ses meilleures divisions de chars, au cours desquelles de nombreux chars tombèrent en panne (soit leurs moteurs, soit leurs chenilles, ou les deux) ou furent simplement usés mécaniquement à cause de la guerre. Pourtant, très peu de temps après – à 1 600 km au nord – Hitler dut avec les même tanks (s’ils avaient survécu au conflict en Grèce) attaquer en plus un petit et mignon pays qui s’appellait la Russie soviétique…
Tout cela s’apprend dans le brillant livre de Degrelle au titre provocant « Hitler pendant mille ans », que moi et ma défunte épouse Margaret avons traduit du français vers l’anglais.
Degrelle connaissait personnellement Mussolini ainsi que Hitler. Il combattit sur le front de l’Est pendant quatre ans dans la Légion wallonne de l’armée allemande (la “Heer”), puis passa dans la Waffen-SS, oune toute autre branche de la Wehrmacht, sur la suggestion de Heinrich Himmler et devint le non-Allemand le plus décoré de toute la Waffen-SS !
Avec le titre changé par moi en « Ma vie révolutionnaire »
….Qui est ce « Souvorov » ?
suvorov-icebreaker-anglais
……« Nous voulions mener nous-mêmes une guerre offensive »
Major général R G. Grigorenko ( Mémoires — « Au sous-sol, on ne rencontre que des rats », p. 138)
“Nous [de l’Armée rouge] étions complètement préparés à une guerre d’agression – et ce n’était pas de notre faute si l’agression ne venait pas de nous. »
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Le 17 juin 19 45 , un groupe d’enquêteurs militaires soviétiques a procédé à un interrogatoire des prisonniers qui comptaient parmi les plus hauts dirigeants militaires de l’Allemagne nazie. Le maréchal W. Keitel a déclaré :
« J’insiste sur le fait que toutes les mesures préparatoires prises par nous [Allemands] jusqu’au printemps 1941 étaient purement défensives, donc pour le cas d’une attaque sur nous par l’Armée rouge.
À cet égard, toute la guerre que nous avons menée à l’Est peut être qualifiée , pour ainsi dire, de guerre préventive . Nous avons décidé de prévenir une attaque de la Russie soviétique et de détruire d’abord ses forces par notre propre attaque-surprise.
Vers le printemps 1941, je suis arrivé à la ferme conclusion que la forte concentration de troupes russes [à notre frontière] et une attaque [soviétique] ultérieure contre l’Allemagne pourraient nous placer dans une situation stratégique et économique extrêmement critique.
Surtout au cours des premières semaines, une attaque-surpise russe aurait placé l’Allemagne dans une situation extrêmement défavorable. Notre attaque était le résultat direct de cette menace imminente.
Le général A. Jodl, (photo àgauche), concepteur en chef des plans de guerre allemands, a affirmé la même chose.
»Pour moi, une chose est indiscutable : Staline non seulement n’a pas exclu la possibilité d’une guerre avec l’Allemagne hitlérienne, mais il a même considéré qu’une telle guerre était inévitable.
Staline a préparé cette guerre ; sa préparation était complète et variée. Il l’a basé sur les délais qu’il s’était lui-même fixés.
Mais Hitler a ruiné ses calculs.» ( The Eve [“L’aube”] , p. 321)
L’amiral nous dit ouvertement et clairement que Staline considérait une guerre germano-soviétique comme inévitable et qu’il s’y préparait délibérément. Cependant, Staline ne voulait pas entrer dans cette guerre en réponse à une attaque allemande, mais plutôt de leur faire la guerre au moment et au lieu de son propre choix.
L’amiral Kuznetsov est certainement un témoin prestigieux et de haut niveau. En 1941, il occupait une position encore plus élevée que celle de George Joukov dans la hiérarchie militaire et politique soviétique. Kouznetsov était “commissaire du peuple”, tandis que Joukov n’était qu’adjoint d’un commissaire du peuple ; Kouznetsov était membre du Comité central, tandis que Joukov n’était qu’un candidat au Comité central.
Aucun de nos autres témoins n’occupait une position aussi élevée que Kouznetsov en 1941, et aucun ne connaissait autant Staline que lui. C’est pourquoi je considère Kuznetsov comme mon témoin le plus important, après Staline lui-même bien sûr.
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Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
Kouznetsov joue un rôle unique et crucial durant les premières heures de la guerre. À ce moment-clef, sa résolution et sa capacité à ignorer les ordres sauvent la flotte soviétique de la destruction.
[JdN: Les deux paragraphes qui suivent en italique déforment la vérité.]
Le , Kouznetzov est déjà convaincu du caractère inéluctable de la guerre contre l’Allemagne nazie. Ce même jour, Timochenko et Joukov publient une directive interdisant aux commandants soviétiques de répondre aux « provocations allemandes ». Cependant, la Marine dépend d’un ministère différent (Narkomat), ce qui place Kouznetsov en dehors de cette chaîne de commandement, point qu’il utilise de façon très audacieuse.
Peu après minuit, le matin du , Kouznetsov met l’ensemble des flottes de la Marine soviétique en alerte maximale. À 4 h 45 le matin-même, la Wehrmacht lance l’opération Barbarossa. La Marine soviétique est ainsi la seule arme prête au combat au début de l’assaut allemand.
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Au cours des deux années qui suivent, la protection du Caucase contre une conquête nazie constitue le principal sujet d’attention de l’amiral. Durant toute la guerre, la mer Noire reste le principal théâtre d’opérations pour la Marine soviétique.
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Durant les années de guerre, Kouznetsov met au point les méthodes d’assaut amphibie de la Marine soviétique. En , il est élevé au rang d’Amiral de la flotte — rang récemment créé équivalent à général de corps d’armée. Il reçoit la même année le titre de Héros de l’Union soviétique. Son rang est aligné sur celui de Maréchal de l’Union soviétique, avec le même insigne, le .
De plus, ce que Kouznetsov a dit après la guerre est tout à fait cohérent avec ce qu’il a dit avant la guerre, par exemple en 1939 lors du XVIIIe Congrès du Parti communiste de l’URSS.
« Ce qui a été créé en URSS peut aussi être créé dans d’autres pays ! » Lors de cette conférence du parti des « vainqueurs » qui ont décidé de devenir des « libérateurs », le discours de Kouznetsov est peut-être le plus agressif.
Tout ce que Kouznetsov dit ouvertement a été dit par Staline bien des années avant lui dans ses discours secrets. Tout ce que dit Kouznetsov est également confirmé par les actions mêmes de l’Armée rouge et de la Marine.
« L’Allemagne n’a préparé aucune attaque contre l’Union soviétique ; c’est l’Union soviétique qui s’est préparée à nous attaquer. L’Allemagne ne faisait que se défendre contre une agression inévitable lorsqu’elle a lancé sa frappe préventive.»
.Le chef d’état-major Keitel, le chef de l’armée de l’air Göring, le chef de la marine Dönitz, le chef de la Waffen-SS Himmler, et le directeur de la Chancellerie du Parti NSDAP Bormann
.Le porte-avions russe « Amiral Kuznetsov »
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Je ne comprends tout simplement pas pourquoi Keitel a fini pendu et pas Kouznetsov. Je ne comprends pas pourquoi les gens considèrent Hitler comme un agresseur alors que Staline est considéré comme sa pauvre victime.
Mais je ne comprends pas du tout pourquoi les mêmes « juges » ne sont pas venus à Nuremberg immédiatement après les aveux de l’amiral Kouznetsov et n’ont pas au moins abandonné la partie sur le déclenchement de la guerre dans les actes d’accusation contre Keitel, Jodl, la Wehrmacht allemande et contre l’Allemagne dans son ensemble.
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…..Les maréchaux et généraux soviétiques n’ont pas caché leurs intentions en 1939-41
« Si l’Union soviétique s’était préparée uniquement à une guerre défensive ou tout au plus à une contre-attaque, alors, bien sûr, les Allemands n’auraient pas eu l’avantage initial dont ils disposaient. »
Cependant, si l’Union soviétique elle-même se préparait à attaquer, elle pourrait être devancée par une avancée que l’adversaire aurait réalisée quelques semaines ou quelques jours plus tôt.
En 1941, dit Ivanov, l’avancée allemande est arrivée deux semaines plus tôt que la leur. Il existe de nombreuses admissions de ce type. Voici un autre exemple. Il est tiré du « Journal d’histoire militaire » de 1984. Le magazine était l’organe officiel du ministère de la Défense de l’URSS à Moscou.
Les Soviétiques ont pris le pouvoir lors d’un poutsch en 1917 avec au maximum 40.000 Bolchéviques dans une population de 125 millions, dont 2,5 millions de juifs. (
Le premier déménagement du gouvernement soviétique a eu lieu en 1918 – de Saint-Pétersbourg, situé très près de l’Ouest capitaliste et hostile, au sudest, vers Moscou (l’ancienne capitale); en 1941, une deuxième relocalisation du siège du gouvernement soviétique, encore plus situé à l’est, fut décidée. Cela aurait été de Moscou aux montagnes de l’Oural, sur une distance de 1 800 km/1 100 miles.
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Le message « divulgué » aux services de renseignement allemands sur l’intention du gouvernement soviétique de s’installer à Sverdlovsk est un « secret » du même tonneau pourri que le discours de Staline aux diplômés de l’académie militaire , ou les bavardages des ambassadeurs soviétiques et un communiqué de TASS. . [JdN : nous écrivons encore ici l’année 1988, en pleine guerre froide, lorsque la Russie était encore sous un régime soviétique. L’agence de nouvelles TASS, aujourd’hui sous Poutine, dit généralement la vérité.]
Leur présence est le signe que l’état-major de l’armée, les généraux et les colonels, vont bientôt se présenter ici. C’est un signe fiable, et les hauts officers apparaissent effectivement. Le jour même où le Kremlin diffusait la communication TASS, les chefs des troupes de renseignement des fronts arrivaient dans les coins reculés des forêts intactes et bien protégées. Dès que les liaisons de communication ont été vérifiées, l’état-major du front a camouflé et dispersé ses colonnes pour le déploiement.
Mais le moment est maintenant venu pour l’arrivée d’un chef des services de renseignement encore plus important – à seulement 150 km de la frontière allemande (prussienne orientale).
Pouvons-nous deviner pour quelle personne ce Peresypkin vérifie le réseau d’information ? Le commissaire du peuple Peresypkine n’a qu’un seul supérieur direct, il faut le savoir, et cette personne est le président du Conseil des commissaires du peuple, le camarade Joseph Staline.
Le voyage du commissaire du peuple au renseignement vers la frontière de la Prusse orientale se déroule de telle manière que personne ne peut en être informé. Le commissaire du peuple utilise un train de voyageurs civil ordinaire et régulier, mais à l’arrière est attelé un wagon spécial supplémentaire dans lequel Peresypkine voyage avec ses adjoints.
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» Littéralement à la veille de la guerre, J.V. Staline m’a dit d’aller dans les républiques baltes. Pour une raison quelconque, j’ai associé cette tâche responsable aux événements imminents de guerre..
Le soir du 21 juin 1941 [un jour avant l’attaque allemande], je me suis rendu à Vilnius accompagné d’un groupe d’employés responsables du Commissaire du peuple au renseignement .Nous y étions lorsque la guerre a commencé. » — (Extrait de « Les troupes de renseignement pendant les années de la Grande Guerre patriotique ». Moscou 1972, p. 17)
Le matin du 22 juin, l’Allemagne ayant envahi, ce Peresypkine reçut un télégramme de Moscou alors qu’il se trouvait à la gare d’Orcha :
Peresypkine parcourt des lignes ferroviaires qui sont non seulement entièrement occupées par les militaires, mais qui ont également reçu l’ordre il y a quelques jours de se convertir en opérations de guerre et d’être ainsi prêts à agir dans des conditions de combat.
Peresypkine se rend dans une région où d’énormes masses de troupes soviétiques sont secrètement massées aux frontières, avec l’ordre de n’emporter avec elles « que ce qui est nécessaire à la vie et au combat ». (Anfilov, L’acte immortel, p. 184)
Peresypkine se rend sur le territoire d’une région militaire dans laquelle existe déjà un front, dont l’état-major a déjà envoyé des documents top-secrets à des milliers de destinataires d’ordres, ordres dont il est interdit d’envoyer à toute personne inférieure avant le début de la guerre. .
Peresypkine se rend dans une zone où un centre de commandement gouvernemental est secrètement installé. Peressypkine voyage sur ordre personnel de Staline et sait que ce « voyage est lié aux événements imminents de guerre ».
Pourtant, c’est Hitler qui attaque – et Peressypkine quitte son waggon secret, s’empare du premier camion qu’il peut trouver et retourne à toute vitesse à Moscou.
Mais maintenant, étant donné que c’est Hitler qui a attaqué, le voyage de Peresypkine vers une guerre d’agression doit être immédiatement interrompu.
Bien que Staline ait envoyé Peresypkine dans sa guerre d’agression espérée, l’attaque qui arrive provient d’Hitler, ce qui était complètement inattendu tant pour Staline que pour Peresypkine.
L’attaque préventive d’Hitler représente un « changement de situation » aussi grave pour l’Armée rouge qu’elle devient une raison pour rapidement passer outre bon nombre des mesures les plus importantes du gouvernement soviétique et pour improviser, conduisant même au retour à Moscou du grand commissaire du peuple. Effectivement, ce Peresypkine se rend à Moscou par le premier camion qu’il trouve dans la rue.
LES MEMBRES DU GOUVERNEMENT SOVIÉTIQUE s’étaient déjà déplacés vers l’ouest pour la guerre d’aggrégation de Staline – une guerre dans laquelle une invasion préventive allemande n’était pas du tout prévue.
Dans la nuit du 21 juin 1941, le chemin de fer entre Moscou et Minsk devait transporter vers les régions occidentales du pays tous ces gens :
Les hauts fonctionnaires suivants ont préparé ce voyage secret vers les frontières occidentales :
On ne peut exclure que Staline lui-même ait préparé un tel voyage secret dans l’ouest e l’URSS. Pour chacun de ces responsables de l’État, un groupe de soutien mixte a été constitué, composé des plus hauts représentants des commissariats du peuple les plus touchés et les plus importants pour l’effort de guerre.
Le matin du 21 juin 1941, un jour avant le « Barbarossa » allemand, la formation de ces groupes opérationnels était achevée.
Tous les membres de ces groupes opérationnels savaient dès le matin du 21 juin qu’une guerre allait éclater.
Tous les membres de ces groupes de travail savent que l’Union soviétique est déjà en guerre avec l’Allemagne, même si la guerre n’a pas encore été officiellement déclarée et que les opérations de combat n’ont pas encore commencé .
C’est exactement pourquoi les groupes sont secrètement transférés vers l’Ouest afin que ces opérations de combat contre le Reich puissent commencer !
Mais une chose est surprenante : personne, y compris les dirigeants de ces groupes actuellement au Kremlin, ne soupçonne une invasion allemande imminente .
Oui, et d’ailleurs, lorsque les informations allant dans ce sens commencent à affluer le soir comme une crue éclair, les plus hauts dirigeants soviétiques refusent d’y croire.
Du Kremlin, du Commissariat du Peuple à la Défense, de l’État-Major, des directives appropriées affluent vers les installations frontalières et des appels téléphoniques menaçants sont lancés pour « ne se livrer en aucun cas à des provocations » .
Cela nous amène à une question impérieuse : si les dirigeants soviétiques ne croyaient pas à la possibilité d’une invasion allemande, alors quel genre de guerre envisageaient- ils de mener ?
Les groupes de fonctionnaires qui les accompagnaient passèrent des heures angoissantes à attendre et finalement, à 6 heures du matin le 22 juin, ils furent informés que le voyage vers la frontière occidentale avait été annulé parce qu’Hitler (et non Staline) avait déclenché la guerre.
Ils étaient prêts à s’aligner à la frontière pour jouer un rôle de premier plan dans une guerre d’agression, mais pas dans une guerre organisée par les Allemands et non par les Soviétiques. Hitler les avait privés de ce plaisir distinct.
Mon témoin, D. Ortenberg, occupait le 21 juin 1941 le poste de chef du département d’organisation et d’instructeurs au Commissariat du peuple au contrôle de l’État. Il décrit lui-même sa fonction comme « en termes militaires, une sorte de chef d’état-major ».
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Général de division D. Ortenberg, vous avez la parole :« Les gens me demandent parfois : Quand la guerre a-t-elle commencé pour vous ? “Le vingt et un juin.” « [? ! ]».« Oui, c’est comme ça.Dans la matinée, j’ai été convoqué au Commissariat du Peuple à la Défense, où on m’a dit qu’un groupe d’employés du Commissariat du Peuple dirigé par le maréchal SK Timochenko se rendait à Minsk..
On m’a dit que j’en ferais partie. On m’a suggéré de rentrer chez moi, de mettre mon uniforme et de me présenter au Commissariat du Peuple..La salle d’enregistrement du Commissariat du Peuple à la Défense était remplie de personnes en uniforme. Ils avaient avec eux des dossiers et des cartes et étaient visiblement excités..
Les conversations se déroulent à voix basse. Timochenko s’est rendue au Kremlin….
Le 22 juin, à cinq heures du matin, le commissaire du peuple revenait du Kremlin. Il m’a appelé vers lui :.« C’est les Allemands qui ont commencé la guerre ! Notre voyage à Minsk n’aura pas lieu.”.— D. Ortenberg, « Juin-Décembre ’41 ». Moscou 1984, p. 5-6)
On ne sait pas d’où vient la légende selon laquelle Hitler a déclenché la guerre à l’Est le 22 juin 1941 et a utilisé la force pour entraîner l’Union soviétique dans la guerre .
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Hitler n’a pas permis aux dirigeants soviétiques de mener leur guerre comme ils l’entendaient, les obligeant soudainement à improviser et à faire des choses pour lesquelles ils n’étaient absolument pas préparés.
C’est leur propre territoire qu’ils durent soudain défendre. Ce n’est pas moi [Viktor Souvorov] qui ai tout inventé. C’est ce que disent les plus hauts généraux soviétiques.
« Parce que Staline ne s’est pas présenté au monde pour élaborer ses vues et ses plans, on a cru qu’il n’en avait point. C’est une erreur typique des intellectuels bavards.» — Robert Conquest ( Au début, le camarade Kirov est mort , p. 98)
Merci pour votre article, Monsieur de Nugent. Je viens de découvrir votre site hier (et vous par la même occasion) et vous faites un formidable travail. Votre écrit rejoint ce que ce que le révisionniste Reynouard (que vous connaissez sûrement) expliquait à travers ses écrits et vidéos. J’apprécie grandement que vous traduisez vos articles en français en pensant à votre communauté francophone (mon niveau d’anglais étant malheureusement très mauvais). Je continuerai à vous lire avec assiduité.
De la part d’un jeune nationaliste français.
Cher camarade français, je suis ravi de vous accueillir parmi mes lecteurs. D’ailleurs, mon plus grand partisan est un Français. Je suis d’origine française lointaine et ma seconde épouse était originaire de Strasbourg ; nous vivions à Aix-en-Provence. (Mais quelle ironie que je sois né – en 1954 – le 14 juillet ! Je ne célèbre point ce jour d’horreurs ni les bains de sang qu’il a déclenchés !)
La nation française, à part ses francs-maçons – traîtres au service des juifs – est parmi les plus magnifiques de toutes les nations blanches, et la plus agréable, ce mélange celtique, germanique et méditerranéen qui a tant de charme, d’humour et qui est aussi travailleur. “Travail, famille, patrie!”
En plus, les Français savent “être” autent que “faire” — de se délecter de la vie, et de ses beaux moments, un trait que le grand maître spirituel Eckhart Tolle (un Allemand) décrit comme étant notre plus haute cible. Être dans le moment présent — cela échappe souvent aux peuples germaniques/anglo-saxons, qui savent trés bien “faire”, accomplir des tâches sans nombre, tout en se stressant! Toute une vie — des décennies entières — peut ainsi être gâchée, et dans le réincarnationnisme (un mot qui est mon néologisme) nous réalisons que la plupart des vies est gâchée, et qu’il en faut donc plus d’une centaine pour faire suffisamment de progrès spirituels pour mériter d’être diplômé de cette planète qui est pleine de misère entièrement auto-induite.
J’interpréterai votre commentaire comme un signe venu d’En Haut pour augmenter ma production de contenus dans la langue de Molière. Connaissant les Français, un peuple capable d’une grande gentillesse et générosité – un trait celtique que le Juif exploite surnoisement – chaque atrocité commise par les juifs et les musulmans, notamment contre les femmes, les filles et les personnes âgées françaises – me dérange énormément. C’est vraiment un peuple qui ne l’a pas mérité et qui doit survivre et retrouver son ancienne gloire!
Cordialement,
Jean de Nugent