Une Niçoise de 43 ans meurt lardée de coups de couteaux par son crouille
Elle était plutôt jolie, le tunisien était un chat de gouttière malfaisant, même pas riche ou puissant.
Cette sinistre affaire vient de redonner un coup de réalité aux lemmings qui croient encore à la coexistence pacifique entre races ennemies.
L’autopsie de Julie, 43 ans, qui avait été retrouvée sans vie dans son appartement de la rue Lépante à Nice, révèle 53 coups de couteau.
Voisins et policiers, tous sont encore sous le choc du drame qui s’est noué le soir du vendredi 17 mars, dans un appartement de la rue de Lépante, dans le centre-ville de Nice. Julie Puzenat, discrète et jolie quadragénaire, mère d’un petit garçon, a été massacrée, d’après les résultats de l’autopsie. Elle a reçu 53 coups de couteau dont sept mortels, a confirmé le procureur de la République, Jean-Michel Prêtre.
Le meurtrier présumé, d’abord placé en hôpital psychiatrique en raison de son agitation et d’un risque de suicide, a finalement été entendu par les enquêteurs de la brigade criminelle de la Sureté départementale.
Présenté à un juge d’instruction dans le cadre d’une enquête pour meurtre aggravé, il a été placé sous mandat de dépôt.
Le sort de cette égarée va sans doute se périmer dans la poubelle des faits divers, ou renforcer le fatalisme, mais la monstruosité de la chose pourra peut-être percer quelques blindages padamalgamistes.
Les horreurs de ce genre connaissent une telle multiplication que beaucoup de jeunes femmes à qui il est arrivé de sortir avec un bicot commencent à avertir les plus jeunes. Il ne faut jamais se commettre avec cette engeance. Il ne s’agit pas encore hélas de conscience raciale explicite, mais d’un pur et simple instinct de survie.
Akil, âgé de 27 ans, vit en France mais il est en situation irrégulière. Un mois après avoir rencontré Julie, il lui parle de mariage, insiste, devient trop jaloux, la suit dans la rue et toutes sortes de harcèlements. Ce qui pousse la mère d’un petit garçon à mettre fin à leur relation. Ce qu’il n’accepte pas, s’acharnant et s’accrochant, avant de lui lancer : « Tu ne sais pas ce que c’est de sortir avec un Tunisien », selon des témoins proches de la victime.
Ce parasite clandestin est l’archétype du crouille dont la fierté est inversement proportionnelle à la qualité. Ces types sont des chacals qui se prennent pour des lions.
En Tunisie, la consanguinité est un principe si accepté qu’il y a des dictons du genre : « Ne laissons pas nos richesses aux autres », ou « Marie-toi avec ta cousine, ta chair et ton sang ».
Pratiqué depuis des siècles, ce dysgénisme s’ajoute au tempérament exécrable des crouillons pour donner ce genre de gremlins malfaisant.
Nice Matin :
Son agitation au moment du drame était, semble-t-il, davantage liée à la prise conjuguée d’alcool et de cocaïne, plutôt qu’à son état mental.
Le drame qui a coûté la vie à la jeune femme s’est déroulé dans le huis clos d’un trois-pièces, au fond de la cour intérieure du 11, rue de Lepante. L’homme, avec qui Julie avait entretenu une liaison au cours des derniers mois, ne supportait pas la rupture.
Julie Puzenat en avait peur et avait confié à des amis qu’elle se sentait menacée. Ses proches lui avaient conseillé de ne pas fréquenter cet homme, mais la jeune femme n’avait pas tenu compte de ces avertissements.
Cette femme est en partie responsable de sa triste fin. Elle n’a écouté que ses stupides hormones et a fini son destin de tolérante lardée de coups de couteau. Il faut que la pression sociale et surtout l’autorité d’un homme préserve ces sottes d’elles-mêmes.
Un crouille de merde qui vivait aux crochets de la societé française. Il faut dératiser la France
Il y a de quoi faire 1 article par jour avec tous les féminicides causés par les sangliers (tes congénères).