« Quand je récapitule, je n’ai qu’un sentiment, c’est un immense regret, regret que nous n’ayons pas pu créer ce monde européen qui eut été le maître de l’univers pour toujours, qui assurait à la race blanche, la première des races, la grande domination de l’esprit.
Quand nous voyons ce qu’il y a en face, ce que trente ans de victoire des autres ont donné : cette anarchie dans le monde, cette débandade du monde blanc, cette désertion à travers l’univers.
Quand nous voyons dans nos propres pays la décomposition des mœurs, la chute de la Patrie, la chute de la famille, la chute de l’ordre social. Quand nous voyons cet appétit des biens matériels qui a succédé à la grande flamme de l’idéal qui nous animait, et bien vraiment, entre les deux, nous avions choisi le bon côté.
La petite Europe misérable d’aujourd’hui, de ce marché commun étriqué, ça ne peut pas donner le bonheur aux hommes. La société de consommation pourrit l’humanité au lieu de la grandir.
Alors nous autres au moins nous avons rêvé à quelque chose de grandiose et nous n’avons qu’un seul désir, c’est que cet esprit-là renaisse, et avec mes forces et jusqu’au dernier moment de mon existence, je lutterai pour ça, pour que ce qui fut notre combat et notre martyr soit un jour la résurrection ».
Léon Degrelle
À Bruxelles avec le général Jungclaus
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