Gustav Schwarzenegger: un héros de la vraie vie

Source :  https://www.theneworder.org/gustav-schwarzenegger.html

par : James Harting

GUSTAV SCHWARZENEGGER est né dans l’Empire austro-hongrois le 17 août 1907. Il était le fils de Cecelia (née Hinterleitner, 1878–1968) et de Karl Schwarzenegger (1872–1927). Gustav a eu une éducation de classe moyenne sans incident. Il a rejoint l’armée autrichienne en 1930 et a servi comme policier militaire jusqu’à sa libération en 1937.

En 1938, quelque 11 jours avant la réunification de l’Autriche avec la patrie allemande, Schwarzenegger a demandé à rejoindre la branche autrichienne du NSDAP ( = Parti national-socialiste allemand des travailleurs).

C’était une période de crise et Schwarzenegger a estimé qu’il devait prendre position, plutôt que de simplement s’asseoir sur la touche en tant que spectateur. Le 1er mai 1939, il approfondit son engagement envers le national-socialisme en rejoignant la SA (“Sturmabteilung” — “Troupe de tempête”).

En novembre de la même année, peu de temps après le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, il s’engage dans la Wehrmacht. Il redevint policier militaire, atteignant finalement le grade de Hauptfeldwebel (sergent-chef). Schwarzenegger a participé à des opérations militaires en Pologne, en France, en Ukraine, en Lituanie et en Russie.

Le rôle de policier militaire peut suggérer à tort à certains qu’il s’était tenu loin derrière les lignes de front, donc  éloigné des dangers du combat.

Ce n’est pas le cas: il a combattu au front dans de nombreux combats, remportant la première classe de la Croix de fer et la deuxième classe de cette Croix.

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Il a également reçu la médaille du front de l’Est, qui a été décernée à tous les soldats qui ont survécu à la brutale campagne d’hiver en Russie de 1941-1942.

Le 22 août 1942, il a été gravement blessé au combat et évacué vers un hôpital militaire en Pologne. Il a ensuite reçu l’insigne de la blessuredeguerre. À un moment donné, il a contracté le paludisme, ce qui a conduit à sa démission de l’armée en février 1944. Il est devenu inspecteur des postes et, en 1947, a repris sa carrière de policier.

En octobre 1945, il épouse Aurelia «Reli» Jadrny, dont le premier mari a été tué pendant la guerre. Ils ont eu deux fils: Meinhard et son célèbre frère Arnold.

Nous ne voulons pas suggérer que Gustav était un saint ou qu’il était sans défauts. Il est possible qu’il ait souffert du SSPT à cause de ses expériences de guerre. Arnold a dit que son père avait bu plus qu’il n’aurait dû et qu’il exploserait de colère à l’occasion pour quelque chose d’insignifiant.

Mais dans l’ensemble, c’était un bon mari, bon soldat, et un bon père.

Gustav Schwarzenegger était ce que nous pourrions appeler un «héros ordinaire», c’est-à-dire qu’il était un homme moyen qui se montra à la hauteur et accomplit des actes de courage extraordinaires lorsque la situation l’exigeait, puis redevint un homme moyen.

Son implication volontaire dans le mouvement national-socialiste, ne serait-ce qu’à un niveau élémentaire, indique qu’il était aussi un homme de caractère, qui prenait ses responsabilités civiques au sérieux. Cela est également suggéré par sa carrière dans l’application de la loi.

Gustav Schwarzenegger était loin d’être unique: il y avait des centaines de milliers d’hommes et de femmes comme lui qui servaient la cause national-socialiste à travers l’Europe!

Malheureusement, son fils plus célèbre, Arnold, n’est pas taillé dans le même tissu. Il s’est adressé aux Juifs à de nombreuses reprises, notamment lors de sa candidature en 2003 au poste de gouverneur de Californie. Il a également dénoncé son père dans les médias.

Gustav,lui, était un héros de la vie réelle: Arnold joue juste un héros dans les films hollywoodiens.

Dans la plupart (sinon la totalité) de ses rôles, il dépeint une caricature exagérée de la masculinité, avec des biceps hypertrophiés et une personnalité ultra-agressive.

Il n’est pas nécessaire d’être psychologue pour voir ce qui se passe ici: Arnold, sachant qu’il n’a pas la force de caractère que son père affichait dans la vraie vie, a tenté de compenser en projetant une image celluloïd de lui-même comme s’il était un courageux. un homme d’action.

Pour souligner le manque de caractère d’Arnold, on note qu’il a admis avoir utilisé des stéroïdes au cours de sa carrière de bodybuilder, et qu’il a trompé sa femme avec sa femme de chambre mexicaine, engendrant un fils métisse illégitime.

Récemment, dans une tentative apparente de rester pertinent, Arnold a décrit l’occupation du Capitole par des militants républicains comme étant l’équivalent de la soi-disant Kristallnacht («Crystal Night») en 1938 en Allemagne. Rien dans les deux événements ne se correspond, sauf que dans les deux cas, les fenêtres se sont brisées, laissant du verre brisé sur le sol.

Il a également profité de l’occasion pour diffamer à nouveau son propre père – ce qui était tout simplement ignoble.

Peut-être a-t-il le sentiment qu’en faisant des bruits antinazis, il plaira aux suzerains juifs d’Hollywood et qu’ils le récompenseront en l’aidant à relancer sa carrière d’acteur en déclin.

Gustav est mort depuis longtemps, il n’a donc pas eu à assister sur terre au spectacle honteux de son fils trahissant sa mémoire et se coupant de son héritage national pour chercher faveur auprès de l’ennemi de son peuple.

Soyons reconnaissants pour ces petites miséricordes! Mais honorons aussi la mémoire de Gustav Schwarzenegger, un vrai héros qui aurait mérité un bien meilleur fils!