FRENCH Poème de respect pan-aryen de Hitler au front en 1916 “Dans un fourré du bois d’Artois”

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POÈME presqu’inconnu de 1916 du caporal bavarois Adolf Hitler; traduit en francais de l’allemand http://de.metapedia.org/wiki/Es_war_im_Dickicht_des_Artoiswaldes par JdN, puis peaufiné par le talent du camarade Marcus Van Story, dit “Cattos”

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Dans un fourré du bois d’Artois

Flandre – en Artois, printemps 1916
Basé sur une histoire vraie

(traduit de l’allemand par JdN)

Il était dans un fourré du bois d’Artois.
Au fond des arbres, sur une terre imbibée de sang,
Un guerrier blessé allemand, étendu
Et ses cris retentirent dans la nuit.
En vain … aucun écho répondit à son appel …
Est-ce qu’il saignera à mort, comme une bête
Avec une balle dans l’intestin, qui mourra seul?

Puis, tout à coup …
Des pas lourds s’approchent de droite comme et de gauche
Il les entend piétiner sur le sol de la forêt …
Un nouvel espoir ressort dans son âme.
Et maintenant, de la gauche …
Et maintenant, des deux côtés …
Deux hommes approchent son endroit de sombre repos
Un Allemand — et un Français.
Chacun regarde l’autre avec un méfiant coup d’œil,
Et ils agissent menaçant leurs fusils.

Dessin par Hitler pour illustrer le poème

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Le guerrier allemand demande: “Que faites-vous ici?”
«J’ai été touché par ses appels désespérés au secours.”
“Il est votre ennemi!”
“C’est un homme qui souffre!”

Et tous les deux baissèrent leurs armes sans un mot.
Puis enlacèrent leurs mains ensemble
Et aux muscles tendus, ils levèrent en douceur
Le guerrier blessé, comme sur une civière,
Et le portèrent à travers le bois
Jusqu’à ce qu’ils arrivent aux avant-postes allemands.
«Maintenant, c’est fait. Il obtiendra de bons soins.”

Et le Français se retourne vers les bois.
Mais l’Allemand le saisit par la main,
Le regarde, ému, dans la tristesse de ses yeux obscurcis
Et lui dit avec appréhension sérieuse:

Hitler réconvalescent dans un hôpital à Berlin en 1916

adolf-hitler-berlin-october-1916-convalescence

“Je ne sais pas ce que le destin nous réserve,
Quel sort impénétrable nous subirons sous ces étoiles.
Peut-être que je vais tomber, victime de votre balle.
Peut-être que la mienne vous jetera sur le sable –
Car la fortune des batailles est imprévisible.

Hitler après quatre ans au front

Mais quoi qu’il en soit, et quoi qu’il arrive:
Ce n’est que dans les heures sacrées que nous vivons,
Lorsque un homme se retrouve dans l’autre …
Et maintenant, adieu! Et que Dieu vous accompagne!”

Poilus-verdun

Un flashmob se réunit en Barcelone (Catalogne, Espagne) pour célébrer Beethoven. Quelle autre race créé de telles choses?

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