Johe de Nugent, né à Providence dans le Rhode Island aux  Etats-Unis le 14 Juillet, 1954 est un militant de lointaine ascendance francaise pour la race blanche (en anglais «nationaliste blanc»), leader du mouvement “solutréen”, écrivain, et animateur d’émissions de radio qui parle couramment, en plus de sa langue maternelle anglo-américaine, allemande, français et espagnol.

Ses trois sites web:

1) https://johndenugent.com (et son site miroir: http://democratic-republicans.us ) écrit pour les plus durs nationalistes blancs

2) http://johndenugent.org d’un ton d’abord modéré, concu pour ceux ayant subi le lavage de cerveau

3) http://www.johndenugentforsheriff.com site officiel de la campagne électorale de JdN de 2013 pour sheriff du conté d’Armstrong dans l’ouest de la Pennsylvanie

Les parents de Nugent descendirent tous deux de lignes distinctes de l’Anglo-Normand du 17e siècle au nome de Thomas Angell (“Ange”), qui fut un des co-fondateurs en 1636 de la colonie britannique de “Rhode Island” (dont l’île principale de Newport ressembla à l’île de Rhodes),  futur Ètat des Ètats-Unis, où John de Nugent grandit.

Le premier ancêtre de Nugent en Amérique, Thomas Angell, fit don d’une partie de son jardin de pommiers pour la première église des Anabaptistes en Amérique du Nord. Les Anabaptistes soutinrent, contrairement à l’église officielle britannique “Anglican”, la pleine liberté religieuse, sauf pour la religion juive. trouvant par exemple le baptême d’enfants contre le libre arbitre.

 

Palais de justice du comté de Providence

La mère de John de Nugent, Constance Colwell, étudiante de peinture et du ballet à la Rhode Island School of Design

Son père, James Nugent (1927-2012), lieutenant-colonel dans l’infanterie marine d’élite “Marine Corps”

(1965 dans l’uniforme d’été; photo endommagée)

James Waddell Nugent fut 1974 le candidat officiel du Parti Républicain pour gouverneur de l’état de Rhode Island; il échoua comme bien d’autres Républicains à cause de la crise de Watergate de cette année. 

Il fut l’ami des président US Richard Nixon (en fonction 1969-74) et Ronald Reagan (en fonction 1981-89).  James Nugent présida en Rhode Island les campagnes présidentielles de Nixon en 1968 (élection) et 1972 (ré-élection) et de Reagan en 1976, 1980 (élection) et 1984 (ré-élection).

Nugent et le président Gerald Ford dans le Bureau Ovale de la Maison blanche

Nugent et Reagan à la Maison Blanche en 1983

Photo familiale de 2007:

(rangée du haut, de gauche à droite) John de Nugent, son frère Todd Nugent, et le fils de John, le basque argentin José Irigoyen;  (rangée du bas) la belle-mère , Helen Nugent, originaire de l’Île du Prince-Édouard sur la côte atlantique du Canada, son père, James Nugent, sa fille aînée Ingrid Atzl Nugent (maintenant Ingrid Irigoyen, mariée avec José et mère de deux filles jumelles) et Margaret Huffstickler, une chanteuse d’opéra et la fiancée de John de Nugent, originaire de la Caroline du Nord, d’ascendance partielle acadienne de la Louisiane .

Nouvelles de sa mort (en anglais, bien sûr) de James Nugent: https://johndenugent.com/about-john/james-waddell-nugent-obituary

Les ancêtres maternels anglaos au nom de Colwell servirent pendant des siécles dans les Coldstream Guards, qui protègent depuis des lustres le Palais de Windsor de la Reine et vont aussi au front en temps de guerre.

Ses plus lointains ancêtres étaient des Vikings norvégiens, qui arrivèrent en France en 911 avec leur chef Rollo pour coloniser la Normandie …..

http://www.youtube.com/v/AmrCH0AhbDg?version=3&autohide=1

Statue de Rollo (Rolf/Raoul/Robert I de Normandie) à Falaise

 

La fameuse chute d’eau  «Aux sept soeurs” en Norvège

«La chaire” à Stavanger / Norvège

Ses ancêtres vikings s’installèrent dans le neuvième siècle à Nogent-le-Rotrou dans le Sud de la Normandie [en norvégien: “Pays des Nordmanner”], et parce que ces Vikings eurent marre de tant de paix, ils franchirent en 1066 la Manche pour conquérir l’Angleterre.

Carte de la Normandie

Blason de la communauté de Nogent-le-Rotrou ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Nogent-le-Rotrou)

Château de Saint-Jean à Nogent-le-Rotrou

Le cheval le plus puissant du monde vient de La Perche aux environs de Nogent-le-Rotrou, et s’appelle le Percheron.

La propagande d’Adolf Hitler se fonda sur le livre “La psychologie des foules” d’un natif de Nogent-le-Rotrou, le médecin et psychiatre Gustave Le Bon (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gustave_Le_Bon) Hitler cita presque mot pour mot des passages de son livre dans “Mein Kampf”.

Foules

Alors que nos antiques croyances chancellent et disparaissent, que les vieilles colonnes des sociétés s’effondrent tour à tour, l’action des foules est l’unique force que rien ne menace et dont le prestige grandisse toujours. L’âge où nous entrons sera véritablement l’âge des foules. (Psychologie des foules)

Les foules sont un peu comme le Sphinx de la fable antique, il faut savoir résoudre les problèmes que leur psychologie nous pose ou se résigner à être dévoré par elles. (Psychologie des foules)

Les foules n’écoutent guère que les démagogues flattant servilement leurs instincts. (La Psychologie politique et la défense sociale)

On n’arrive à comprendre la philosophie de l’histoire qu’après voir bien pénétré ce point fondamental de la psychologie des foules : il faut être un dieu pour elles ou n’être rien. (Psychologie des foules)

Connaître l’art d’impressionner les foules, c’est connaître l’art de les gouverner. (Psychologie des foules)

C’est très souvent du côté de la foule que se montrent l’esprit politique, le patriotisme, le sentiment de la défense des intérêts sociaux. (Psychologie du socialisme)

L’héroïsme, l’oubli de soi, sont plus beaucoup plus fréquemment le fait des foules que des individus. (Psychologie du socialisme)

2004 de Nugent visita la Normandie de ses ancêtres. Là, il se trouva à la plage bien- aimée des peintres d’Étretat, ville côtière avec des falaises de calcaire blanc et en face des célèbres falaises blanches de Douvres / Angleterre.

JdN dans un cimetière de Verdun, où, en 1916, plus de 600 000 Français et Allemands s’entretuèrent pour les Juifs.

Voici à Caen, capitale de la Normandie, la forteresse massive du Duc Guillaume (dit, après la conquête de l’Angleterre, “le Conquérant»).

La devise de Caen: «Un Dieu, un roi, une foi, une loi” …. inspiration peut-être pour le slogan du Troisième Reich “Un peuple, un empire, un leader”? Hitler passa quatre ans de guerre,  1914-1918, en France dans le combat, dans la lecture, la peinture des villages de France ou la composition de poèmes, tandis que d’autres soldats allemands dans leur temps libre se saoulèrent et cherchèrent des femmes.

POÈME presqu’inconnu de 1916 du caporal bavarois Adolf Hitler

Dans un fourré de la forêt d’Artois

Composé entre le Flandres francais et Artois, printemps 1916
Basé sur une histoire vraie

(traduit en francais de l’allemand http://de.metapedia.org/wiki/Es_war_im_Dickicht_des_Artoiswaldes par JdN, puis peaufiné par le talent du camarade Marcus Van Story, dit “Cattos”)

 

Il gît dans un fourré d’un bois d’Artois,
Au fin fond d’une forêt sur une terre imbibée de sang.
C’est un soldat allemand blessé
Dont les cris retentissent en vain dans la nuit.
Aucun écho ne répond à son appel.
Saignera-t-il à mort comme une bête
Seul avec une balle dans l’intestin ?

Mais tout à coup …
Des pas lourds s’approchent de droite et de gauche.
Il entend piétiner sur le sol de la forêt.
Un nouvel espoir se fait jour dans son âme.
Et maintenant à sa gauche …
Et maintenant des deux côtés …
Deux hommes approchent du lieu de son sombre repos :
Un Allemand et un Français.
Chacun regarde l’autre d’un air méfiant,
Se menaçant l’un l’autre de leur fusil.

 

Dessin par Hitler pour illustrer le poème

Le soldat allemand demande au Français: “Que faites-vous ici?”
«J’ai entendu appeler au secours.”
“Mais il est votre ennemi!“
“C’est seulement un homme qui souffre.“

 

 

 

 

Et les deux hommes abaissent leur arme sans un mot.
Puis, joignant leurs quatre mains,
Tous muscles tendus, relèvent en douceur
Le soldat blessé et le portent, comme sur une civière,
A travers le bois jusqu’aux avant-postes allemands.
«Maintenant, c’est fait. Il recevra de bons soins.”

 

 

Et le Français se retourne vers les bois.
Mais l’Allemand le saisit par la main,
Le regarde avec la tristesse émue de ses yeux obscurcis,
Et lui dit avec une sincère appréhension :

Hitler réconvalescent dans un hôpital à Berlin en 1916

 

 

“Je ne sais pas ce que le destin nous réserve,
Quel sort impénétrable nous subirons sous ces étoiles.
Peut-être vais-je tomber victime de votre balle.
Peut-être que la mienne vous jettera sur le sable –
Car la fortune des batailles est imprévisible.

Hitler après quatre ans au front

 

 

Mais quoi qu’il en soit et quoi qu’il arrive,
Ce n’est que dans les heures sacrées que nous vivons,
Lorsqu’un homme se retrouve dans un autre.
Maintenant, adieu. Que Dieu vous accompagne.”

 

***

Devant l'”Abbaye aux Hommes” construite par Guillaume le Conquérant  à Caen en 2004

Caen en Juillet 1944, après l’invasion et le bombardement inutile des Alliés, qui  produisit la destruction presque totale de la cité médiévale. A peine un seul soldat allemand se trouva alors à Caen. Le raisonnement froid d’Eisenhower était de pillonner les villes de la Normandie côtiere (quoique pleines de civils francais) pour créer des haute piles de gravats dans les rues, de cette facon empêchant l’avance des chars allemands vers la côte normande pour affronter les envahisseurs anglo-américains. Presque 40 000 civils normands trouvérent ainsi  la mort dans une province pleine de vieux sang celtogermanique.

Berlin? Francfort? Munich? Non, Caen.

La ville de bois et de pierre à chaux fut “dresdé” six mois avant l’holocauste de Dresde.

Parce que beaucoup de Francais soutenaient le Maréchal Pétain, les Alliés déclarèrent la France “nation ennemie” au choc immense de Charles de Gaulle. Selon la volonté du général Eisenhower la France, car “antisémite”, aurait dû tomber en 1944 sous un régime “A.M.G.O.T.” (“Allied Military Government Occupied Territory”), ce que de Gaulle sut empêcher par un grand effort frénétiqueen dernière minute, une fois atterri dans le nord de la France.

Les Américains avaient imprimé aux États-Unis, peu avant l’invasion et sans rien dire à de Gaulle, des billet bancaires appellés “francs”, qui ressemblaient beaucoup au dollar américain. De Gaulle, enragé et en même temps hautement inquiet par cette mesure, les fit brûler.  Il apprit par la suite que des milliers de femmes normandes avaient été violées par des Américains, persuadés dans leur propagande que les Francaises étaient toutes “légères” ou bien des pro-nazies qui mériteraient le pire.

Le mannequin Laetitia Casta de la Normandie

On apprend davantage dans l’article (en anglais) de John de Nugent “Charles de Gaulle” dans la revue “Barnes” de Washington, écrit non point pour défendre toute  la politique de De Gaulle, loin s’en faut, mais pour  expliquer aux Américans pourquoi Charles de Gaulle était devenu si “anti-americain” de 1944 jusqu’à la fin de sa vie.

Vers 160 une partie de la famille de Nugent envahit avec d’autres Normands le Pays de Galles et l’Irlande.

Delvin Castle, aussi appellé «Château Nugent», dans le comté de Westmeath ( http://en.wikipedia.org/wiki/Delvin )

Le comte de ce même comté de Westmeath en Irlande, le comte Laval Nugent (1777-1862) dût quitter l’Irlande car catholique, pour gagner l’Autriche, où il devint finalement maréchal de l’Empire des Habsbourg. La similitude entre les traits du visage du comte et de John de Nugent saute aux yeux.

Passport Photo US 1999

En récompense de plusieurs grandes victoires de Laval Nugent dans les guerres autrichiennes contre les Français et les Italiens l’empereur lui accorda l’ordre militaire de Marie-Thérèse. la plus haute médaille militaire de l’Autriche, et lui confiert en plus en 1837 ce chateau nommé “Doubovatche” au-dessus de la ville de Karlovatche, en Croatie, à  56 km de la capitale croate, Zagreb.

Timbre croate en l’honneur du château

Le père James était sergent dans les Marines dans la guerre du Pacifique contre le Japon, et participa à la célèbre bataille sur une île japonaise au nom d’Iwo Jima.

Plus tard, son père, James, devint officier des Marines en 1952-53 pendant la Guerre de Corée. Le capitaine Nugent combattit la Corée du Nord communiste et la Chine rouge dans une effroyable guerre des tranchées qui rappella fort la Première Guerre mondiale en France, et son père vit en plus beaucoup d’atrocités nord-coréennes pratiquées sur des civils sud-coréens et des prisonniers américains, qui selon le fils  provoqua six mois de cauchemars dans son père.

Des Marines pendant l’hiver de 1952 qui ritent des salves de mortier contre les communistes chinois. Dans cette campagne très  montagnarde des vents forts soufflent et lA température tombe à -20 degrés Celsius. Au fait, la Sibérie est juste à côté.

Après le divorcé en 1970 de ses parents alors qu’il avait 15 ans, sa mère Constance recut du juge de la Cour familiale sa garde. Il devint sous  son influence membre de la religion des «Témoins de Jéhovah» de 1970 à 1976. Il alla prêchant de maison en maison à la facon des “Témoins” JW et apprit et appliqua leurs méthodes de conversion. De 1974 à 1975 il travailla dans le siège central à New York, dans les hauteurs de Brooklyn Heights (directement en face de la Wall Street et à l’époque encore du complexe des édifices du World Trade Center).

Siège de la Watchtower Society (en francais: “Tour de Garde”) juste à côté du célèbre pont de Brooklyn.

Des immigrants allemands aux Ètats-Unis au nom de Roebling inventèrent et produisirent à Saxonburg en Pennsylvanie occidentale  la composante essentielle des grands ponts suspendus, le câble d’acier.

Le World Trade Center directement en face du siège des Témoins

Les sept millions de Témoins de Jéhovah sont dirigés depuis ici.

D’énormes presses allemandes de la marque MAN (Maschinenfabrik Augsbureg Nürnberg) produisent ici des dizaines de millions de livres et de revues par an pour les Témoins, qui les vendent en plus de maison en maison. La discipline la plus stricte domine chez eux. En 1932, toutes les églises (Salles du Royaume”) furent prises en charge par la direction centralisatrice à New York. De 1942 à 2000, les présidents des Témoins de Jéhovah furent tous des Américains de sang  allemand: Nathan Knorr (1942-1977), Frederick Franz (1977-1992) et Milton Henschel (1992-2000).

Tous les Témoins de Jéhovah doivent aller une fois par semaine de maison en maison pour répandre leur religion et convertir les gens, ou bioen en «témoignant» de leurs vérités aux sceptiques inconvertibles. Ils utilisent leur propre traduction de la Bible, qui sans surprise  confirme leurs doctrines assez héréticales pour les autres Chrétiens.

Leurs églises, ces “Salles du Royaume”, sont lumineuses mais sans croix, autel ou cérémonies, et souvent sans fenêtres. Cinq heures par semaine sont à consacrer aux sermons, pendants desquels ils ouvrent constamment leur Bible personnelle sur certains versets cités par le prêcheur, ou bien ils apprennent en classe l’art de la prédication de maison en maison. La grande faiblesse de cette religion, c’est  que beaucoup de jeunes Témoins apostasient aprés avoir atteint leur majorité, tout en regrettant le mode de vie propre et pur de cette religion aux traits assez germaniques.

De Nugent  fut profondément déçu comme bien dsautres adhérents en 1975 par la fausse prophétie des Témoins de Jéhovah de “la fin du monde en 1975” qui le direction avait plus 0u moins promis pendant des décennies auparavant. En 1976, à l’âge de 21 ans, il tourna le dos à  cette religion.

Dégoûté en plus par la saleté et le criminalité de la ville de New York,  de Nugent quitta totalement les États-Unis pour l’Europe. Après un trajet à travers l’Allemagne et l’Autriche dans une BMW décapotable jaune de location, il s’installa à Kufstein, petite ville sur le côté tyrolien de la frontière bavaroise-autrichienne, où il prit des lecons de langue allemande. Il vit de 1976 à 1977 à Kufstein et apprit l’allemand standard et en plus le dialecte autrichien, et parle allemand avec un très léger accent austro-bavarois. La culture ressemble fort à celle de la Haute-Bavière et de la ville de Berchtesgaden où Adolf Hitler eut son siège alpin.

Le restaurant Auracher Löchl est une célèbre attraction à Kufstein “sur la rivière verte de l’Inn” comme dit une chanson célèbre, “das Kufsteinlied”. Là, il rencontra la fille de Klaus Barbie (chef de la Gestapo en France occupée), qui travaillait à la bibliothèque de la ville. Le maire Siegfried Dillersberger, membre du parti FPÖ (Parti de la Liberté” ) de Jörg Haider fut le fils du maire national-socialiste pendant la Seconde Guerre mondiale.  Des inscriptions de la Wehrmacht y furent encore visibles, voire un grand symbole des Jeunesses hitlériennes en forme de diamant.

La poste à Kufstein

L’entrée pacifique de la Wehrmacht en 1938 en Kufstein, dont beaucoup d’habitants étaient des nationaux-socialistes

 

Il encontra à Kufstein en 1975 une Tyrolienne du village de Brandenberg au nom de Gertrud Atzl, qu’il épousa en septembre 1976. Le mariage dura jusqu’en 1989 et produit deux filles, Ingrid et Erika.

Brandenberg, un village alpin à mille mètres d’altitude aux hauteurs de Kramsach (en face de Rattenberg). Ce village souffrit dans les deux guerres mondiales des pertes énormes de vie, en 1914-18 en service dans l’armée autrichienne sur le front du sud avec l’Italie et de 1939-45 contre les Soviétiques sur le front de l’Est ou en Norvège. (Les Tyroliens en tant que montagnards combattirent les Britanniques et les partisans locaux dans les fjords.)

ENFANTS

Erika (à gauche et plus jeune) né en 1987, et Ingrid (à droite  et s’inclinant) née en 1980

Ingrid ironise avec deux statues en 2008

Erika Atzl, artiste-peintre et infirmière diplômée de l’Université de Virginie

Vidéo d’une des peintures murales d’Erika avec un sujet sous-marine

Les deux filles passèrent la maternelle (et la fille aînée, Ingrid, l’école primaire) à la  “Deutsche Schule Washington” «École allemande de Washington» dans Potomac, dans le Maryland, riche banlieue de la capitale fédérale états-unienne: https://www.dswashington.org/ )

Cette école représente simultanément une école privée sous l’égide de l’État du Maryland et une école allemande sous la direction de la province allemande Nordrhein-Westfalen ( = Rhénanie septentrionale et Westphalie).

[Le reste ?a a traduire. Le texte originaire en anglais se trouve ici: https://johndenugent.com/wn-biography-of-jdn]