FRENCH “Quand l’évidence s’impose” de Jacques Vecker; la centralité du combat anti-holocaustique

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Quand l’évidence s’impose

de Jacques Vecker
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[Comme d’habitude, j’ai ajouté des photos. –JdN]
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Je ne saurais dire exactement comment je suis devenu révisionniste. Je le dois à toute une série de circonstances se greffant sur l’expérience acquise durant mon séjour parmi les « déportés » du travail en Allemagne national-socialiste durant les dix-huit derniers mois de la guerre.
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Déterminante, comme je m’en ouvre dans mon livre « Conscience oblige » fut la conduite indigne de Bernard Pivot face à
l’abbé Pierre [photo] à propos du livre de Robert Garaudy «Les mythes fondateurs de la politique israélienen » à la suite de quoi je me suis bien sûr procuré l’ouvrage.
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Déterminante fut aussi certainement ma rencontre avec Arno Breker et les années de réflexion commune ainsi que les contacts que je dois à cet artiste avec Werner Naumann [photo] et de nombreuses personnalités proches de Hitler.
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Décisive probablement fut la rencontre avec l’éditeur Pierre Guillaume qui mit en quelque sorte sur orbite Robert Faurisson. Entre temps un ami très cher m’avait confié sous le sceau du secret le livre de Wilhem Stäglich « Le mythe d’Auschwitz » (1979) qui fut très tôt livré au pilon par la censure.
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« Comment je suis devenu révisionniste » de Gilbert Dubreuil (G. Theil) accompagna certainement ma conversion.
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Sans nul doute ce fut le mémorable entretien avec Robert Faurisson à Vichy qui leva les derniers doutes.
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Comme l’écrit en substance Alain Soral dans l’essai co-écrit avec Eric Naulleau :
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On ne peut pas ne pas devenir révisionniste quand on rencontre un vrai révisionniste.
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Cela dura encore quelques temps jusqu’à ce que je m’affiche en toute clarté comme un mécréant, autrement dit comme un homme de bonne volonté qui ose affirmer, avec de bonnes raisons, ce qu’il tient pour vrai.
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M’entretenir avec de farouches croyants en « l’holocauste » ne fit que renforcer ma conviction qu’une consternante mystification s’était emparée d’une grande partie de l’élite de notre pays à un point tel que la religion de la shoah semble avoir annihilé tout esprit critique, toute rationalité, toute réflexion.
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Les innombrables escroqueries qui ont été démasquées et dont les médias se sont faits l’écho au fil des ans, les dénonciations abusives d’actes dits « antisémites », les preuves accablantes apportées par les chercheurs révisionnistes rendent pour le
moins nécessaire la remise en question de la doxa imposée par les vainqueurs de la deuxième guerre mondiale et l’ouverture d’un large débat car il est temps que soit ébranlé le pouvoir détenu par les bénéficiaires de la supercherie, cela au profit d’un rétablissement de la concorde entre les nations.
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Je n’oublie jamais que la qualité de révisionniste me fait un devoir de ne m’attacher qu’aux faits et de me tenir à distance de toute illusion ! Imputer à quiconque des sentiments de haine dès que l’on aborde le destin des Juifs alors qu’il n’est question que de critique, le plus souvent fondée, évoquer à tout bout de champ la « cyberhaine » à propos de positions parfois excessives ou caricaturales ne permet pas d’aborder sainement la réalité.
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Une religion, fût-elle celle de la shoah, n’est pas connaissance ! Aucune loi ne suppléera jamais la réalité des faits. Refuser tout débat n’est pas la réaction d’un honnête homme !
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Jacques Vecker

« Libre expression » Château de Vaugran 30480 St Paul la Coste

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……Mon courriel à un courageux camarade révisionniste

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Cher camarade [],
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Ma compagne Margaret Huffstickler est entièrement d’accord avec vous et le grand Faurisson (et absolument contre les idées de David Duke et autres) que le combat contre l’Holofraude reste centrale.
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(Duke, lors d’un espéce de débat en anglais entre camarades sur Skype — avec Fred Leuchter et Lady Michele — voulait plutôt prôner que nous mettions notre emphase sur “e véritable holocauste de millions de blancs russes par des bolchéviques juifs”….au lieu de passer notre temps avec la réfutation de ce mythe qui serait si bien ancré dans les esprits.)
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Margaret dit qu’il faut par contre l’attaquer sans cesse comme une “fraude criminelle, massive, actuelle et continue” — car chaque “survivant” de l’Holo recoit 2000 euros par mois, les soins médicaux gratuits à vie et un don initial de 30.000 euros pour sa participation consciente dans une escroquerie délibérée!
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Une fraude qui diffame non seulement la nation allemande mais toute la race blanche!
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….. et un arbre poisonneux qui pousse des branches d’autres mensonges juifs encore: immigration de masse, genderisme, homosexualité, pédophilie, satanisme, etc.
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A son avis à elle, il faut faire dans le style combatif de “j’accuse”. Jadis ce fut prononcé par Émile Zola, bien sûr, pour, à notre avis, faire mieux carrière de facon égoiste et lèche-bottes auprès des juifs de l’édition parisienne, et dans la cause plus que lamentable et erronnée du capitaine Dreyfus. (Marguie me renseigne que certains disent qu’un Juif l’aurait composé — et que Zola aurait accepté un pot-de-vin pour le publier sous son nom quasiment illustre.)
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Mais, comme dit Marguie, cette offensive avec “J’accuse” fut en tout cas une tactique efficace qui donna de l’élan et un vernis de “courage” aux maniaques philosémites.
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Je vais bientôt lancer mon propre mouvement — et la vérité sur cette fraude énorme y sera carrément centrale.
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Solidairement,
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John de Nugent
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