FRENCH La “Réserve Fédérale” US en kamikaze d’un programme d’une ambition énorme; le chantage juif de Wilson en 1913 pour créer la “Fed”

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La Fed est le kamikaze d’un programme plus ambitieux

Par Brandon Smith − Le 27 décembre 2018 − Source Alt-Market.com

Les banquiers centraux sont de nature sociopathique et les gens sociopathes ont tendance à se comporter comme des robots. Lorsque l’on comprend les motivations des banquiers centraux, ou à tout le moins leurs objectifs, leurs actions deviennent assez prévisibles. La question est de savoir ce qui motive vraiment ces gens.

[source: http://lesakerfrancophone.fr/la-fed-est-le-kamikaze-dun-programme-plus-ambitieux Mais toutes les photos, interjections et commentaires ont été ajoutés par moi, John de Nugent]

Je crois, d’après les faits, que les banques centrales sont motivées par un zèle idéologique dont l’objectif principal est la centralisation mondiale totale du pouvoir économique et politique entre les mains d’un groupe restreint d’élitistes.

Cet agenda n’est en réalité qu’une « relance » moderne du féodalisme ou du totalitarisme. Ils appellent parfois ce plan en public le « nouvel ordre mondial », ou le « reset économique mondial ». J’appelle souvent cette idéologie englobante, le « globalisme », pour des raisons de commodité.

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À son époque Jean-Marie Le Pen introduit ce concept en langue française, le traduisant par “le mondialisme”. Je fit l’interprète pour lui en 1985 lors de sa visite à Washington.

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Pour atteindre cet objectif, les banquiers centraux doivent influencer la psychologie de masse par des événements traumatisants. La peur ouvre les portes à la centralisation du pouvoir. C’est simplement un fait du comportement social et de l’histoire. Plus une population a peur, plus elle sera disposée à renoncer à ses libertés en échange de la sécurité et de la sûreté.

Par conséquent, l’arme la plus efficace à la disposition des globalistes et de leurs homologues des banques centrales est une crise économique artificielle – une arme qui peut, si elle est autorisée, détruire des civilisations entières presque aussi vite qu’une guerre nucléaire, tout en conservant intactes la plupart des infrastructures coûteuses.

*** la crypto-monnaie Bitcoin

Je me suis demandé pourquoi la haute fiancé juive a permis la montée de Bitcoin tout en s’opposant à la montée du prix de l’or. La réponse? Ils veulent habituer les peuples mentalement au concept d’une monnaie virtuelle pour vivre sans du liquide, qui sera remplacée par une puce électronique, insérée sous la peau, qui contiendra tout leur argent et leur épargne.

L’État peut donc à tout moment désactiver leur puce pour rendre tout dissident subitement “fauché”. Il ne peut plus payer son loyer, ni ses autres factures, ni acheter sa nourriture. C’est ça la terreur moderne.

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Au-delà de cela, la crise économique est aussi une arme qui peut influencer une population à embrasser un esclavage encore plus grand tout en considérant ses maîtres esclavagistes comme des sauveurs plutôt que des méchants.

Malgré ce que beaucoup pensent, les banquiers centraux ne sont pas motivés par un désir de profit.

Ils impriment leur propre capital, ils n’ont pas besoin de faire de profit.

Les banquiers centraux ne sont pas non plus motivés par le désir de maintenir le système actuel à flot. Ils ont démontré à maintes reprises leur habitude de saboter délibérément le système en utilisant des bulles inflationnistes suivies d’un resserrement budgétaire dans des conditions économiques faibles.

L’économie américaine d’aujourd’hui est tout aussi sacrifiable que n’importe quelle autre économie que les banques ont détruite dans le passé. Notre pays n’est pas spécial.

Ce fait devient extrêmement clair ces derniers temps alors que la Réserve fédérale met en place des mesures de resserrement, politique menées pendant une faiblesse évidente de l’économie ; une action qui provoque l’effondrement des marchés boursiers et déstabilise d’autres secteurs de l’économie, notamment les marchés immobiliers, les marchés automobiles et les marchés du crédit.

Comme nous l’avons mentionné, c’était très prévisible. En septembre 2015, j’ai publié un article intitulé « Les vraies raisons pour lesquelles la Fed va relever ses taux d’intérêt », prédisant que la stratégie que les banques utiliseraient pour provoquer la prochaine crise serait une hausse des taux d’intérêt en pleine instabilité financière.

C’est la même stratégie qu’ils ont utilisée pour déclencher la Grande Dépression.

Et comme nous l’avons déjà mentionné, les sociopathes agissent comme des robots – ils ont tendance à utiliser des tactiques similaires à maintes reprises parce que ces tactiques ont fonctionné dans le passé.

À l’époque, la grande majorité des analystes prédisaient que les banques centrales allaient s’orienter vers des taux d’intérêt négatifs. Mais si l’objectif des élites bancaires est la centralisation totale de l’économie mondiale, le maintien du système américain pour une autre décennie ou plus n’a guère de sens. Elles avaient déjà créé la bulle financière parfaite en utilisant l’assouplissement quantitatif et des taux d’intérêt proches de zéro pour encourager l’accumulation de la dette à des niveaux historiques.

C’est une veritable bombe atomique économique, pourquoi ne pas l’utiliser ?

Au début de cette année, j’ai publié un article intitulé « Le nouveau directeur de la Fed va pousser à un crash historique des marchés financiers en 2018 ».

Dans cet article, j’avais prédit que Jerome Powell irait de l’avant avec des hausses de taux d’intérêt et des réductions de bilan. Cela exercerait une pression extrême sur les sociétés très endettées et les obligerait à cesser de dépenser leur capital en rachats d’actions, qui soutiennent les actions depuis plusieurs années.

Je tiens à souligner que non seulement Powell a fait exactement ce que j’avais prévu, mais qu’il l’a fait consciemment, en sachant quels en seraient les résultats. En 2012, M. Powell a décrit les conséquences exactes du resserrement de la politique monétaire dans le procès-verbal de la Fed d’octobre. Ce procès-verbal n’a été rendu public que récemment. Il prouve que la Fed est pleinement consciente de ce qu’elle fait et qu’elle n’agit pas aveuglément.

En septembre de cette année, dans mon article « La bulle de tout : quand va-t-elle enfin éclater ? », j’avais prédit que les marchés boursiers commenceraient à s’effondrer en décembre 2018, malgré les nombreux sceptiques qui soutenaient qu’un « Rally de Noël » était garanti.

D’après l’article :

Les politiques de resserrement de la Fed ont entraîné une réaction sévère de la part des marchés émergents qui s’effondrent déjà et divergent fortement des marchés américains. Les actions américaines n’échapperont pas au même sort.

*** L’impacte sur Trump

Plus l’économie US chute, plus le populiste Trump — qui déteste les hauts Juifs, le cache mal, et se voit détesté par eux — perdra de sa popularité et donc de son pouvoir. Au pire, il pourraifinir destitué de sa présidence, assassiné comme Kennedy, ou emprisonné pour avoir supposément “trahi les États-Unis aux Russes”.

Déjà dans l’élection parlementaire du novembre 2018 il perdit le contrôle de la Chambre des Représentants à la Démon-crate Nancy Pelosi (dans la photo à gauche), une mégère qui peut et veut, par un de ces beaux jours, déclencher sa destitution avec le concours du Sénat (encore de peu contrôlé par les Républicains, mais où le sénateur  Démon-crate de New York et archi-juif Chuck Shumer (à droite) harcèle Trump sans cesse.

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Les efforts de la Fed en matière de taux neutre laissent entrevoir un tournant entre la fin de 2018 et le début de 2019. On s’attend à ce que les réductions du bilan augmentent en ce moment, ce qui accélérerait également l’effondrement des actifs existants sur le marché. La seule question est de savoir combien de temps les entreprises peuvent soutenir les rachats d’actions jusqu’à ce que le fardeau de leur propre dette écrase leurs efforts.

Dans le cas de ces entreprises, les taux d’intérêt détermineront la durée de leur résolution. Je crois que deux autres hausses seront leur limite.

Si la Fed continue sur sa trajectoire actuelle, le prochain crash boursier commencerait vers décembre 2018 et se poursuivrait au premier trimestre 2019. Par la suite, d’autres secteurs de l’économie, déjà très instables, se décomposeront jusqu’en 2019 et 2020.

Bien que les rachats d’actions aient sauvé les marchés de la chute en février dernier, ils ont cessé depuis longtemps au dernier trimestre, à mesure que le coût de la dette des entreprises augmentait. Les marchés actions sont maintenant presque en chute libre en décembre. L’effondrement de la « bulle de tout » a commencé. Jusqu’à présent, les rebonds intermittents ont été brefs, ne durant dans certains cas que quelques heures ou quelques jours, puis leurs gains ont été complètement effacés. La tendance indique que la suite va être pleine de souffrance.

J’ai pu calculer ce résultat parce que je suis prêt, en tant qu’analyste, à accepter certaines réalités.

Le plus important, c’est qu’à ce stade-ci, la Fed ne se soucie PAS de soutenir l’économie américaine et qu’en fin de compte, elle ne se soucie même pas de ce qui lui arrive en tant qu’institution.

La vérité, c’est que la Fed travaille à une fin idéologique de la centralisation mondiale, c’est-à-dire une économie, une monnaie et finalement un gouvernement mondial (un plan qui a été ouvertement admis par les mondialistes dans le passé).

Il n’a aucune loyauté envers le système américain, et il détruira le système américain s’il le doit pour tenir cet objectif.

Le concept d’« équipe de protection en plongée » (EPP) s’est répandu ces dernières années, et à juste titre. Ce sont les banques centrales, de concert avec les organismes gouvernementaux, qui ont caché des données économiques honnêtes au grand public ainsi que des évaluations d’actifs artificiellement gonflées pour cacher la vérité – que les États-Unis et une grande partie du monde souffrent d’un déclin systémique, un effondrement qui dure depuis au moins 2008.

Cependant, les choses changent et les plans des banques centrales évoluent. Il a fallu une décennie pour créer la « bulle de tout », une bulle sans précédent qui englobe tous les aspects de notre économie, y compris les bons du Trésor et même le dollar.

Le véritable but de la plupart des bulles financières est de créer un crash.

L’équipe de protection n’est plus un élément garantissant le niveau des marchés américains. S’ils interviennent, ce n’était qu’une vanne de régulation de la pression pour ralentir le crash actuel à des niveaux plus gérables.

En d’autres termes, c’est une démolition contrôlée.

Je ne les appelle plus une « EPP », mais plutôt la CAP (Commission d’accélération de la plongée). Les hommes de cette CAP dévorent l’économie pièce par pièce et la digèrent au fur et à mesure. Ils veulent un effondrement. En fait, ils en ont besoin.

Beaucoup trop de gens pensent à tort que la Fed est le sommet de la puissance globaliste. La Fed n’est rien de plus qu’un tentacule d’un grand calmar vampire. C’est la branche d’une franchise, pas le sommet de la pyramide.

J’assimilerais la Fed à un saboteur et à un kamikaze. Il a été envoyé ici en Amérique dans le but explicite de saper l’économie américaine et la monnaie américaine pendant un siècle en vue d’un acte destructeur final qui ouvrirait la voie à la centralisation mondiale.

Il a été envoyé ici déguisé, pour s’approcher de la cible, pour faire exploser notre économie. Son rôle est de faire le plus de dégâts possible, jusqu’au point de se sacrifier.

Lorsque la poussière se sera dissipée, d’autres institutions globalistes ont l’intention d’intervenir pour recoller les morceaux et offrir aux citoyens désespérés une solution préétablie.

En ce moment, suicider la Fed est encore utile comme acte symbolique, mais stratégiquement, ce serait inutile pour sauver l’économie. La Fed a déjà accompli sa mission.

C’est pourquoi je ne prends pas très au sérieux le match de catch entre Donald Trump et la Fed. Trump continue de s’appuyer sur les élites des banques et des think-tanks, ce qui me porte à croire que son combat contre la Fed est une mise en scène théâtrale.

Considérez ceci : Si la Fed est conçue pour faire sauter notre économie et peut-être elle-même avec, il faut que le blâme soit redirigé loin des banques centrales. Quelle meilleure façon de le faire que de laisser les conservateurs penser qu’ils pourraient « gagner » en fermant la Fed ? C’est une entité que les globalistes prévoyaient de toute façon de sacrifier.

Trump a fait campagne sur l’argument que la Fed créait une bulle artificielle sur les marchés actions par le biais de faibles taux d’intérêt. Puis, il s’est attribué tout le mérite de la reprise des marchés boursiers au cours des deux dernières années. Maintenant, il s’en prend à la Fed pour avoir fait monté les taux d’intérêt et fait chuter les marchés. Il me semble que le récit à l’avenir des médias dominants dira que c’est un Trump capricieux qui aura causé le crash, blâmant [supposément à tort] une banque centrale « innocente » qui essayait seulement de « normaliser » l’économie, et dans le processus a rendu la situation encore pire.

Je vois déjà un flot d’articles défendant Jérôme Powell comme une sorte de rebelle héroïque prêt à augmenter les taux face à l’opposition de l’establishment. Cette idée est risible si l’on considère la longue histoire de la Fed qui a gonflé puis fait imploser des bulles pendant que les élites bancaires siphonnaient des biens tangibles et poussaient les citoyens vers la pauvreté et la servitude.

Powell n’est pas un « rebelle », c’est un cadre intermédiaire qui applique la même vieille stratégie que les globalistes ont toujours utilisée : Problème – Réaction – Solution.

Bulle d’endettement ; crise de la dette ; effondrement financier ; désespoir public ; absorption des actifs, centralisation.

Dans mon prochain article, je parlerai plus en détail de la participation de Trump au plan de relance de l’économie mondiale. Inutile de dire que le faux paradigme du combat Trump contre la Fed était également prévisible. Lisez mon article « S’il y a une bataille entre Trump et la Réserve fédérale, qui va vraiment gagner ? », publié en février 2017, ainsi que mon article « Trump contre la FED : l’Amérique sacrifiée sur l’autel du NOM » , publié en juillet 2018, pour une analyse approfondie.

En fin de compte, la Fed est une menace indirecte. Elle se cache derrière l’ombre d’un plus grand monstre qui doit être vaincu.

Nous devons maintenant nous concentrer sur la reconstruction du système après le crash. Cela signifie qu’il faut empêcher les centres mondiaux des banques centrales comme le FMI ou la BRI de devenir la force économique dominante dans le monde.

Cela signifie une lutte longue et ardue. Cela signifie des structures pour s’y opposer – des économies et une production localisées, des gens autonomes qui répondent à leurs propres besoins et font du commerce entre eux, et des communautés formées autour de l’entraide et de la sécurité.

Cela signifie qu’un combat s’annonce qui va au-delà de la guerre de l’information.

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Brandon Smith

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Traduit par Hervé pour le Saker Francophone

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…..Le chantage juif de Wilson pour créer la monstrueuse Fed

La Fed fut montée en 1913 par le président catastrophique Woodrow Wilson et tous ses Juifs et crypto-Juifs (tel Rockefeller, Morgan et Vanderbilt).

Wilson fut menacé par le chantage de l’avocat et énergumène juif Samuel Untermyer à cause des DEUX CENT lettres hautement érotiques et adultères que le president avait envoyée follement à sa maitresse, missives qu’elle revendit à Untermyer après que Wilson avait coupé court à leur affaire.

Le chantage de Woodrow Wilson et la montée de Louis Brandeis

[JdN: ma traduction de ceci: https://ironink.org/?p=3454

Tous les présidents américains arriveent dans le Bureau Ovale avec un certain “passé”. Ce n’était pas moins le cas de Woodrow Wilson comme de Warren Harding, John Kennedy ou Bill Clinton.

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Kennedy avec Mary Pinchot (https://en.wikipedia.org/wiki/Mary_Pinchot_Meyer d’ascendance française — assassinée comme une trentaine d’autres personnes qui savaient trop de choses délicates sur les ennemis de Kennedy sur ordre du president Johnson, lui-même crypto-Juif, moin d’un an après la mort de son amant)

La juive Monica Lewinsky avec Bill Clinton

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Wilson, comme on dit, fut un coureur de jupons et cette femme est revenue le mordre pendant sa présidence.

Ceux qui firent chanter Wilson furent venus vers lui par le biais d’une coterie qui avait commence par soutenir Wilson dans sa candidature à la présidence. Cette coterie fut la présence de Juifs riches en Amérique. Des grands fabricants américains reconnurent cette relation étroite avec le vote juif en écrivant: «Les Juifs ont beaucoup aimé Woodrow Wilson, beaucoup trop pour son propre bien-être. Ils formaient un anneau solide autour de lui. » L’avocat de New York, Samuel Untermyer, était l’un de ces dirigeants juifs très proches de Wilson.

Ce même Untermyer fut retenu comme avocat par une des anciennes maitresses de Wilson [JdN: une certaine Mary Hulbert, dont je présente des infos en bas] afin de tenter de régler discrètement une éventuelle action en violation de promesse intentée contre Wilson par cette ancienne maîtresse de Wilson.

Mary Hulbert

Untermyer avait été un partisan de la campagne Wilson et un contributeur en plus. Untermyer est venu chez Wilson dans l’espoir que l’affaire pourrait être traitée discrètement sans gêne publique pour le président.

Le problème était que l’ancienne maîtresse de Wilson, qui s’était remariée depuis la dernière allégeance, avait un beau-fils qu’elle aimait bien et qui devait pondre de 40K dollars [JdN: une somme équivalente à DEUX MILLIONS d’euros aujourd’hui.]

La demoiselle, par le biais d’Untermyer, espérait que le président aurait accès aux fonds nécessaires pour aider son beau-fils à se libérer de sa dette et en retour, elle renoncerait aux lettres d’amour brûlantes de Wilson, qui étaient maintenant dans la poche d’Untermyer.

Le président Wilson a exprimé sa gratitude quant au fait que la “dame” en question essayait de régler discrètement cette situation au lieu de faire appel à un avocat appartenat au parti Républicain qui ferait fausse route de l’indiscrétion de Wilson.

Wilson, cependant, en a eu quelques problèmes. Tout d’abord, il ne disposait pas de 40 000 dollars. Deuxièmement, il n’a pas jugé prudent de publier ses besoins en argent pour ses partisans, compte tenu des questions qui se poseraient naturellement. (Nous devons garder à l’esprit que 40K au début du 20ème siècle était une grosse somme d’argent en dollars d’aujourd’hui.)

[Et que dans l’anglosphère blanche et alors encore victorienne d’esprit, prude et hypocrite, l’adultère répété du Chef de l’État, une fois commenté par la presse de tendance “Républicaine”, aurait détruit sa carrière politique.] 

Untermyer a proposé à Wilson une solution qui satisferait toutes les parties. Untermyer offre ça,

1.) Untermyer lui-même fournirait les  40K dollars nécessaires
2.) Untermyer a assuré à Wilson que la poursuite pour violation de promesse ne verrait jamais le jour
3.) Untermyer a promis à Wilson qu’il placerait les lettres d’amour dans un endroit sûr où personne ne les verrait jamais

La seule contrepartie demandée par Untermyer était que Wilson prendrait l’avocat de Untermyer lorsque la prochaine séance de la Cour supreme nécessiterait la nomination d’un nouveau juge-membre par Wilson. Ce poste étant vacant, ntermyer suggéra que le juriste Louis Brandeis [Juif] soit nommé premier juge juif à la Cour suprême. La suggestion de Untermyer est devenue bientôt une réalité sous le président Woodrow Wilson.

Sources,

Lundberg, Ferdinand, Les soixante familles américaines (New York: Vanguard Press, 1937).
Murphy, Bruce Allen. La connexion Brandeis / Frankfurter.
Viereck, George Sylvester, La plus étrange amitié de l’histoire (New York: Liveright, Inc., 1932).
Wise, Jennings, Woodrow Wilson: Disciple de la révolution (New York: Paisley Press, 1938).
Freedman, Benjamin, Les faits sont les faits
Coleman, John, Un ordre mondial

Autre article là-dessus: http://www.americanheritage.com/content/love-and-guilt-woodrow-wilson-and-mary-hulbert

Traduc par Google:

Amour et culpabilité: Woodrow Wilson et Mary Hulbert

January 2019 Janvier 2019

On the afternoon of September 18, 1915, Woodrow Wilson, President of the United States and a widower, wrote a brief note that he knew might change the rest of his life. Dans l’après-midi du 18 septembre 1915, Woodrow Wilson, président des États-Unis et veuf, écrivit une brève note indiquant qu’il savait que cela pourrait changer le reste de sa vie. The note, sent by messenger, was for Edith Boiling Galt, to whom he was secretly engaged. La note, envoyée par messager, était destinée à Edith Boiling Galt, à laquelle il était secrètement fiancé. The President asked her to cancel her plans to have dinner that evening at the White House, and to allow him the unusual liberty of coming to her home to discuss a matter of grave importance. Le président lui a demandé d’annuler son projet de dîner à la Maison-Blanche ce soir-là et de lui laisser la liberté inhabituelle de venir chez elle pour discuter d’une question d’une importance capitale. Wilson had decided he must tell her, at whatever cost to their relationship, about a love affair with another woman. Wilson avait décidé qu’il devait lui parler, peu importe le coût de leur relation, d’une histoire d’amour avec une autre femme.

During the eight years that spanned his presidency of Princeton University, his governorship of New Jersey, and a part of his first term as President of the United States, Wilson had written more than two hundred intimate letters to this woman. Durant les huit années de présidence de l’Université de Princeton [grande école de la fameuse Ivy League], de service comme gouverneur de l’État de du New Jersey et d’une partie de son premier mandat à la présidence des États-Unis, Wilson avait écrit plus de deux cents lettres intimes à cette femme.

During seven of those years he was a married man. Pendant sept de ces années, il était marié.

Her name was Mary Allen Hulbert; Elle s’appelait Mary Allen Hulbert. she was beautiful, witty and engaging, and her replies to Wilson’s frequent outpourings were apparently so incriminating that most of them were destroyed or have otherwise disappeared. Elle était belle, spirituelle et engageante, et ses réponses aux fréquentes épanchements de Wilson étaient apparemment si incriminantes que la plupart d’entre elles avaient été détruites ou avaient autrement disparu.

Who may have destroyed them continues to be a subject of speculation among Wilson scholars.

Qui peut les avoir détruits continue d’être un sujet de spéculation parmi les historiens qui sont des experts au sujet de Wilson.

Did Wilson himself dispose of them before his marriage to Edith Galt?

Wilson en a-t-il disposé avant son mariage avec Edith Galt? Or did they disappear after the decidedly possessive Edith Wilson, sole executor of her husband’s estate, took charge of Wilson’s personal papers at his death in 1924?

Ou ont-ils disparu après que Edith Wilson, l’un des exécutants de la succession de son mari, soit résolument possessive, ait pris en charge les documents personnels de Wilson à sa mort en 1924?

The few extant Hulbert-to-Wilson letters and most of his to her are now being published for the first time in The Papers of Woodrow Wilson. Les quelques lettres Hulbert-Wilson encore existantes et la plupart des lettres qui lui sont adressées sont publiées pour la première fois dans “The Papers of Woodrow Wilson”.

In any case, Wilson began writing to Mary Hulbert in February, 1907, when he first met her at the end of a midwinter vacation that he spent without his wife in Bermuda. Quoi qu’il en soit, Wilson a commencé à écrire à Mary Hulbert en février 1907, lorsqu’il l’a rencontrée pour la première fois à la fin des vacances qu’il avait passées au Bermudes sans son épouse. She was forty-four and he fifty years of age. Elle avait quarante-quatre ans et il avait cinquante ans.

In January, 1908, resting again alone for a month in Bermuda, Wilson found Mary Hulbert Peck (her legal name at that time) to be a constant and delightful companion. En janvier 1908, se reposant à nouveau seul pendant un mois aux Bermudes, Wilson trouva Mary Hulbert Peck (son nom légal à cette époque) être une compagnonne constante et délicieuse. During the second Bermuda vacation he started a note to her, in shorthand, that begins, “My precious one, my beloved Mary.” If, indeed, Wilson completed that letter, it may have been among those of his that allegedly were destroyed. Pendant les deuxièmes vacances aux Bermudes, il lui adressa un mot abrégé qui commençait par «Ma chère Mary». Si effectivement cette lettre a été complétée par Wilson, il se peut que qu’elle soit parmi celles qui furent supposément détruites.

After 1908, the friendship deepened, becoming most intense during the period of his bitter academic controversy at Princeton University. Après 1908, l’amitié s’approfondit et s’intensifie au cours de la période de controverse entre lui et l’un de ses universitaires à l’Université de Princeton. Wilson had served as an exceedingly popular college president from 1902 to 1906;Wilson avait été un président universitaire extrêmement populaire de 1902 à 1906; the next, and last four, years as Princeton’s head were marked by continual acrimony that culminated in the submission of his resignation to the board of trustees in October, 1910. In that year his letters to Mary were particularly frequent and intimate. Les quatre années qui ont suivi son arrivée à la tête de Princeton ont été marquées par une acrimonie continuelle qui a abouti à la présentation de sa démission au conseil d’administration en octobre 1910. Cette année-là, ses lettres à Mary étaient particulièrement fréquentes et intimes. they often began, “Dearest Friend,” and closed “with infinite tenderness.” Elles commençaient souvent avec «Ma plus chère ami» et fermaient «avec une infinie tendresse».

Mary Hulbert came into Wilson’s life at a time not only of professional unrest but of personal anguish. Mary Hulbert a fait son entrée dans la vie de Wilson à un moment où il n’ya pas que des troubles professionnels mais aussi une angoisse personnelle. His wife, Ellen Axson Wilson, entered a period of marked depression lasting from 1906 to about 1910. Ellen’s youngest brother, Edward Axson, who was close to being the son that she and Woodrow never had, was drowned with his wife and infant son in a freak carriage accident in 1905. Another brother, Stockton Axson, a professor of English at Princeton University, was incapacitated most of that academic year with a nervous breakdown, and in May, 1906, Woodrow Wilson suffered a severe stroke. Son épouse, Ellen Axson Wilson, entra dans une période de depression prononcée allant de 1906 à 1910 environ. Son frère cadet, Edward Axson, qui était Presque comme le fils qu’elle n’avait jamais eu avec Woodrow, fut noyé avec sa femme et son fils dans un tragique accident de voiture en 1905. Un autre frère, Stockton Axson, professeur d’anglais à l’Université de Princeton, était pratiquement inapte suite àune dépression nerveuse. En mai 1906, Woodrow Wilson fut victime d’un grave accident vasculaire cérébral. As Ellen’s world collapsed around her, she encouraged her husband’s friendship with Mary Hulbert, a woman who was able to divert and entertain. Lorsque le monde d’Ellen s’est effondré autour d’elle, elle a encouragé l’amitié de son mari avec Mary Hulbert, une femme capable de le divertir.

While Wilson’s life in the academic world was being uprooted, Mary Hulbert was experiencing traumas of her own. Alors que la vie de Wilson dans le monde universitaire était en train de se déraciner, Mary Hulbert vivait elle-même des traumatismes. Late in 1909, with moral support and encouragement from Wilson, she separated from her second husband, an affluent New England woolen manufacturer, Thomas Dowse Peck, and moved from Pittsfield, Massachusetts, to New York City. À la fin de 1909, avec le soutien moral et les encouragements de Wilson, elle se sépara de son deuxième mari, Thomas Dowse Peck, un riche producteur de laines de la Nouvelle-Angleterre, et quitta ‘ittsfield (Massachusetts) pour s’installer à New York.
She shared an apartment with her mother and her son, Allen Schoolcraft Hulbert. Elle partageait un appartement avec sa mère et son fils, Allen Schoolcraft Hulbert. Allen was the only child of Mary’s first marriage, a happy one that had ended when Mary’s husband, mining engineer Thomas Harbach Hulbert, died as a result of an accident. Allen était le seul enfant du premier marriage heureux de Mary avec l’ingénieur des mines Thomas Harbach Hulbert, mort à la suite d’un accident. In December, 1890, perhaps over-persuaded by relatives, she had married Peck more as a matter of expediency than affection. En décembre 1890, peut-être dépassée par ses proches, elle avait épousé Peck plus par opportunité que par affection. Bermuda had been a winter haven for her since 1892. Les Bermudes étaient un refuge d’hiver pour elle depuis 1892.

Now that Mary Hulbert was in New York, Wilson saw and telephoned her frequently. Maintenant que Mary Hulbert était à New York, Wilson la vit et la téléphonait fréquemment. He and Ellen sometimes joined Mary at some event, such as an Isadora Duncan recital they attended together. Lui et Ellen se sont parfois joints à Mary lors de certains événements, comme un récital d’Isadora Duncan auquel ils ont assisté ensemble. For reasons not apparent, but perhaps legal or financial, Mary was unable to go to Bermuda in the winter of 1910. Wilson went for a third time by himself in February to what he now regarded as his magic island. Pour des raisons peu apparentes, mais peut-être légales ou financières, Mary n’a pas pu se rendre aux Bermudes à l’hiver 1910. En février, Wilson s’est rendu pour la troisième fois seul à ce qu’il considérait désormais comme son île magique. Aboard the SS Oceana after he had just seen Mary in New York, he wrote her that “Here I am—sad, lonely, homesick, friendsick.… God Bless You!” Après avoir vu Mary à New York à bord du SS Oceana , il lui a écrit: «Je suis là, triste, solitaire, nostalgique, nostalgique de notre amitié… Que Dieu vous bénisse! »

Thus began a series of exchanges that are unique in that both sides of the correspondence have survived. C’est ainsi qu’a commencé une série d’échanges uniques en ce que les deux côtés de la correspondance ont survécu.

Mary wrote after getting his shipboard note: “Before I write another word, I want to tell you—best beloved—of a small habit you have, which may cause you to be misjudged. Après avoir reçu sa note à bord du navire, Mary a écrit: «Avant d’écrire un autre mot, je tiens à vous dire – bien aimé -, une petite habitude que vous avez, qui pourrait vous faire mal juger. You will laugh when you hear it. Vous allez rire quand vous l’entendez. Do not leave your spoon in your cup when you drink your tea. Ne laissez pas votre cuillère dans votre tasse lorsque vous buvez votre thé. It’s a crime in the eyes of some, no less. C’est un crime aux yeux de certains, pas moins. You do not mind my telling you? Ça ne vous dérange pas que je vous le dise? I would not care if you lapped it up with your tongue. Je m’en fous si vous la lapiez avec votre langue. The king can do no wrong. Le roi ne peut faire aucun mal. … Write me—write me—I miss you and am your devoted friend.” Écris-moi, écris-moi, tu me manques et je suis ton amie dévouée.

The letters flew back and forth every few days. Les lettres volaient en arrière tous les quelques jours. “I did not know how unhappy the attacks upon me by the Princeton men had made me till I got off by myself,” he wrote on his arrival in Hamilton. «Je ne savais pas à quel point les attaques sur moi par les hommes de Princeton m’avaient rendu malheureux jusqu’à ce que je parte seul», a-t-il écrit à son arrivée à Hamilton. “I am quite ashamed to find how much it has affected me. «J’ai honte de constater à quel point cela m’a affecté. But I shall be all right before I write again—when I have got used to this friendless island and have ceased to be made unhappy by its haunting associations.… The place is infinitely bright and sweet and attractive … and at every turn I am reminded of things unspeakably sweet and reassuring. Mais tout ira bien avant d’écrire à nouveau – une fois que je me serai habitué à cette île sans amis et que je ne serai plus rendu malheureux par ses associations obsédantes.… L’endroit est infiniment brillant, doux et attrayant… et cela me rappelle à chaque tournant. des choses indiciblement doux et rassurant. … It is a dear place!C’est un endroit cher! I shall love it all my life—as one of the places for me enchanted, filled with poetry and the eager pulses of life.…”Je l’aimerai toute ma vie – comme l’un des endroits pour moi enchanté, rempli de poésie et de pulsations de la vie… “

Wilson asked in a letter four days later, “Why have you taken such complete possession of Bermuda?” He said that he could not disassociate any part of it from her, that he met some memory of her at every turn, and that he was lonely wherever he went because she was not there. Dans une lettre adressée quatre jours plus tard, Wilson demanda: «Pourquoi avez-vous pris si largement possession des Bermudes?». Il a déclaré qu’il ne pouvait en dissocier aucune partie, qu’il en avait gardé un souvenir à chaque tour, et qu’il se sentait seul où qu’il aille parce qu’elle n’était pas là. “You really must come down to relieve me,” he pleaded. “Vous devez vraiment descendre pour me soulager”, plaida-t-il.

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JdN: Le reste de l’article consiste en un long mensonge selon lequel leur relation serait restée seulement platonique, tout ce pour la protection des Juifs qui avaient fait chanter le président des États-Unis pour 1) créer la Réserve fédérale, 2) introduire un impôt sur le revenu pour financer les guerres futures américaines contre les enemies de la juiverie (Hitler, le Japon, les Arabes, etc.),3) mettre un des leurs à la Cour suprême (pour abolir toutes les lois leucophiles et donc “rassistes” aux USA),

et 4) forcer Wilson à la guerre contre l’Allemagne,

Placard idiot de Wilson dépeignant les Allemands comme des gorilles violeurs

On prétendait que les Allemands auraient crucifié un “capitaine canadien Brandt”, qui devint “sergeant Brand”, puis “sergent Band”.

 

… tout ce pour arracher la Palestine aux Turcs, alliés alors des Allemands, pour la donner aux Britanniques et donc après un certain temps aux Juifs.

Le sultane turc en tant que Caliphe de l’Islam sunnite, avait rejeté tout plan juif pour expulser les Palestiniens (musulmans) de leurs terres.

Et maintentant on comprend pourquoi un Wilson qui s’était vanté pour sa réélection en novembre 1916 d’avoir evité l’entrée US dans la guerre stupide de 1914-8 …

“L’Amérique d’abord!”

“Il nous a préservé de la guerre!”

…lança les Américians dedans en mars 2017, entrainant la mort parfaitement inutile de 98,000 de ses compatriots et la montée le la terrible Union soviétique que les Allemands du Kaiser avaient déjà presque vaincue.

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