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Quand on conteste l’existence des “chambres à gaz” homicides, la première réponse que l’on entend est toujours : “Mais que faites-vous de tous les témoignages concordants ?”.

L’équipe de Sans Concession est heureuse de vous faire découvrir la première partie de la mise en images de l’article paru voilà quelques semaines dans Sans Concession n°76 et intitulé “Les témoins ne sauvent pas la thèse officielle”. L’article étant très technique, mais très important à nos yeux, nous avons choisi de le transformer en vidéo en y incluant de nombreux extraits de films documentaires, de reportages, d’animations, etc.

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Dans cette première partie, Vincent Reynouard et Fabrice Nouyrigat mettent plusieurs choses au point au sujet des témoignages de survivants. Ils les séparent en trois catégories et écartent d’emblée, en expliquant pourquoi, les deux premières (témoins restés silencieux sur les “chambres à gaz” et témoins n’ayant fait que rapporter des ouï-dire). Concernant la troisième catégorie (témoins qui affirment avoir vu des “chambres à gaz”), les auteurs commencent par réfuter le récit d’Abraham Bomba qui prétend avoir travaillé dans une “chambre à gaz” de Treblinka. S’appuyant sur des schémas et des animations, ils dévoilent la fantaisie de ce témoignage.

Puis, à l’aide de deux exemples assez connus (les expériences de mort proche et le “miracle du soleil” à Fatima), ils soulignent un principe trop souvent oublié : quand des témoignages, si nombreux soient-ils, racontent des faits que l’on estime physiquement impossibles, tous les témoignages sont rejetés. A partir de là, les auteurs vont s’interroger : “Les gazages homicides, tels qu’ils sont décrits dans la thèse officielle, sont-ils physiquement possibles ?” Réponse dans la deuxième et la troisième parties, à paraître bientôt.