Les microplastiques primaires comprennent tous les fragments ou particules de plastique qui mesurent déjà 5,0 mm ou moins avant de pénétrer dans l’environnement. Il s’agit notamment des microfibres provenant des vêtements, des microbilles et des granulés de plastique (également appelés nurdles). Les microplastiques secondaires résultent de la dégradation (dégradation) de produits en plastique plus gros par le biais de processus naturels d’altération après leur entrée dans l’environnement.

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QUE SONT LES FIBRES MICROPLASTIQUES ET POURQUOI SONT-ELLES DANGEREUSES ?
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Le plastique est partout. Et nous voulons dire : littéralement partout. Peut-être que lorsque l’on pense au plastique, on pense aux emballages des supermarchés ou à la soupe de plastique dans les rivières et les océans. Mais saviez-vous qu’il existe également de nombreuses très petites particules de plastique, invisibles à l’œil nu ? Nous les appelons microplastiques. Ils existent dans toutes sortes de tailles, de couleurs et de formes, y compris en forme de fibre. Ils se retrouvent dans l’environnement et dans notre corps et peuvent nous rendre malades. Mais que sont exactement ces particules, d’où viennent-elles, pourquoi sont-elles dangereuses et que peut-on y faire ?
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CE SONT DES MICROFIBRES
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Les fibres microplastiques sont de très petites particules de plastique filiformes. Ils proviennent en grande partie de vêtements ou d’autres produits textiles, comme les tapis, fabriqués à partir de tissus synthétiques. Vous avez probablement entendu parler du polyester. Il s’agit d’un tissu plastique fabriqué à partir de pétrole. Comme l’acrylique, l’élasthanne, le spandex, le nylon et le lycra. Les fabricants inventent des noms fantaisistes pour ces tissus afin d’éviter d’utiliser le mot « plastique » sur l’étiquette. Au cours des 20 dernières années, l’utilisation de ces matières synthétiques dans la mode a doublé.
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QU’EST-CE QUE LA PERTE DE FIBRES MICROPLASTIQUES?
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Les fibres microplastiques finissent dans l’environnement car elles se détachent des vêtements et autres textiles. Ceci est principalement dû au frottement. Et malheureusement, cela se produit tout au long du cycle de vie d’un vêtement. Depuis la confection du tissu et la fabrication du vêtement, jusqu’à son port et son lavage. Des millions de fibres microplastiques finissent ainsi dans l’eau et l’air. Ces particules de plastique se trouvent partout, depuis les profondeurs des océans jusqu’aux plus hauts sommets des montagnes.
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POURQUOI LES FIBRES MICROPLASTIQUES SONT-ELLES DANGEREUSES ?
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Après le lavage des vêtements synthétiques, les eaux usées contenant des millions de fibres microplastiques finissent dans les égouts. Les stations d’épuration font de leur mieux pour éliminer autant que possible, mais comme les particules sont si petites, beaucoup finissent quand même dans la mer. Les organismes aquatiques mangent les fibres et les transmettent aux animaux plus gros situés plus haut dans la chaîne alimentaire. Ce n’est pas seulement mauvais pour les animaux ; vous pourriez vous retrouver avec du plastique dans votre corps après avoir consommé une poêle de moules ou un filet de poisson.
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De plus, les fibres microplastiques finissent également dans l’air lors de la fabrication et du port de vêtements en matières synthétiques. Nous inhalons ensuite ces particules de plastique ! Les scientifiques sont très préoccupés par leurs effets sur nos poumons et plus encore par leurs effets sur le développement des poumons des jeunes enfants.

En bref : les fibres microplastiques sont partout, presque impossibles à éliminer ou à éviter, et elles présentent un risque sérieux pour la santé humaine et environnementale.

Solution:
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Produire, acheter et porter uniquement des vêtements contenant des fibres naturelles — coton, laine, soie, chanvre, etc. — jusqu’à ce que le problème des microplastiques soit résolu!

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Huit types de microplastiques, dont surtout polystyrène, le polyéthylène, et le chlorure de polyvinyle
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Les microplastiques font souvent parler d’eux. Ils sont présents dans nos vêtements, nos aliments et donc dans notre corps. Ces polymères préoccupent aujourd’hui la communauté scientifique du monde entier. Des experts ont observé jusqu’à huit types de ces particules dans le sperme humain. Alors, ont-ils raison de s’inquiéter ? En quoi cette découverte est-elle importante ? Y a-t-il un lien avec la baisse du taux de fertilité dans le monde ?
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Les méthodes de l’étude
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L’étude a été publiée dans la revue scientifique Science of the Total Environment. Pour la réaliser, les scientifiques ont utilisé la technique de la microspectroscopie Raman pour identifier, quantifier et classer les particules microplastiques. La fertilité masculine est déterminante de la bonne santé des spermatozoïdes. C’est pourquoi, les experts ont aussi analysé la MOT [motilité, les mouvements] à l’aide d’ordinateurs pour comprendre les effets des polymères sur l’appareil reproducteur masculin.
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Quelle est leur taille?

L’agence scientifique EFSA définit les microplastiques comme des particules ayant une taille allant de 0,1 à 5 000 micromètres (µm), ou 5 millimètres pour donner une idée. Avec de telles mesures, il est donc impossible d’identifier les polymères à l’œil nu, néanmoins, l’ennemi est bien là !
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Les polymères les plus courants

Sur les huit types de microplastiques identifiés, le plus courant est le polystyrène (31 %), un polymère largement utilisé dans les emballages, les boîtes ou les conteneurs, par exemple. Viennent ensuite le polyéthylène et le chlorure de polyvinyle (14 % chacun).
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Des souris exposées aux microplastiques

Comme le rapporte le blogue Gizmodo, lors de tests sur des souris, l’exposition à ces polymères a entraîné une diminution significative du nombre de spermatozoïdes. Par ailleurs, selon Wired, d’autres expériences menées sur des rongeurs ont révélé que la présence de microplastiques peut entraîner des altérations comportementales :plus les animaux sont contaminés, plus ils sont dociles.
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“plus les animaux sont contaminés, plus ils sont dociles.”

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Où d’autres microplastiques ont-ils été détectés ?

Où d’autres microplastiques ont-ils été détectés ? Depuis des décennies, les scientifiques analysent les effets des microplastiques sur la santé. Des études récentes ont révélé la présence de ces polymères dans le sang, l’urine, le placenta et le lait maternel.

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“dans le placenta et le lait maternel”

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Leur très petite taille favorise leur transport dans l’air, l’eau et les milieux poreux (par exemple le sol). Comme l’explique un article de Wired, on a récemment découvert que les ouragans peuvent déplacer les microplastiques d’un endroit à l’autre : ils peuvent projeter jusqu’à 100 000 fragments par mètre carré.
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L’équivalent d’une carte de crédit

Une étude réalisée en 2019 par l’université de Newcastle, en Australie, a montré que nous pourrions consommer jusqu’à cinq grammes de plastique par semaine. Cela représente pratiquement l’équivalent d’une carte de crédit !
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Dans l’eau et dans les aliments

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Il est partout : eau, aliments et notamment les coquillages (qui sont généralement mangés entiers) de sorte que le plastique qu’ils contiennent est également avalé.
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Plus de 1 700 particules par semaine

La quantité de contamination varie d’un endroit à l’autre, mais en moyenne, les humains peuvent consommer 1 769 particules par semaine rien qu’en buvant de l’eau. Aux États-Unis, par exemple, plus de 94 % des robinets ont été pollués par des fibres plastiques.
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Les risques d’exposition

Les scientifiques continuent d’analyser les risques d’une exposition prolongée aux microplastiques. Comme le rapporte Wired, des études ont déjà identifié que ces particules sont susceptibles de provoquer “une inflammation et un stress oxydatif dans les systèmes gastro-intestinal et respiratoire“.
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Problèmes cardiovasculaires

Une autre étude, publiée dans The New England Journal of Medicine, [liée à l’université Harvard à Boston] met en évidence des corrélations possibles entre les microplastiques et les problèmes cardiovasculaires. Sur plus de 200 personnes ayant subi une intervention chirurgicale sur les carotides (artères du cou), près de 60 % présentaient des polymères dans ce vaisseau sanguin.

Effets sur la fertilité masculine

Au vu des résultats de l’étude chinoise, les scientifiques ont estimé que l’exposition aux microplastiques pouvait présenter un “risque cumulatif et chronique pour la santé reproductive masculine”. (Une autre analyse concernant des placentas humains contenant des polymères n’a pas pu déterminer si les particules avaient un effet négatif sur le développement du fœtus.)

Un risque potentiel pour la santé humaine

“Comme ce domaine de recherche constate que l’exposition aux microplastiques est un facteur potentiel affectant la santé humaine, il est impératif de comprendre l’étendue de la pollution et les relations avec les résultats reproductifs”, conclut l’étude chinoise.

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…..Réfléchissement

Comparison: 1924 avec 2024

Il  y a la Toile qui éveille toujours davantage d’individus, un comportment israélien qui choque à fond le monde entier, la menace d’un guerre nucléaire suivi d’un mort gigantesque massive ou d’un enfer pour les survivants, et il y a le déclin visible de la brute de la juiverie, les États (peu) Unis.

Mais la docilité face aux crimes sans précédent des États enjuivis, la haine des élites pour leurs peuples, et la contenance blasée des gens face à l’extermination nucléaire qui devient toujours plus probable, m’effraye. J’ai beaucoup à faire.