Un camarade allemand a écrit:
On se souvient particulièrement de nos héros aujourd’hui, le 8 mai 2021.
Le génocide devra répondre très bientôt – l’éternel invisible.
ABANDONNÉ DANS LES GOURBIS: FOUILLES DE SOLDATS ALLEMANDS DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE
Ma réponse:
Oui, c’étaient principalement des hommes nobles, ou des personnes anoblies par le national-socialisme et l’expérience de la communauté nationale.
J’ai aussi regardé cette autre vidéo des mêmes Russes qui, d’ailleurs, agissent avec respect et ne prononcent jamais rien de haineux contre les Niemtsi (Allemands) tombés au combat , même si ces cadavres provenaient de soldats de la Waffen-SS («SS-Verfügungstruppe” – le nom des débuts de la W-SS – était estampillé sur une étiquette d’identification):
Je propose que la prochaine fois que les peuples germaniques, celtes, slaves et latins marchent unis contre le judaïsme!
De plus, ces hommes revivent à cause de la réincarnation, et s’ils étaient nés entre 1914 et 1930, ils seraient morts de toute façon.
Mais ils vivaient pour quelque chose de haut et de beau, et non seulement existaient! Certains d’entre eux sont à nouveau avec nous, attendant juste l’appel pour agir à nouveau!
Cet appel arrive!
J’ai deux mille ans (1974)
Michel Sardou
Je n’ai pas l’âge de mes artères
Mon front sans ride est un abus
Quand je suis sorti de ma mère
J’avais déjà beaucoup vécu
Et pour mon âme aux tempes grises
Mathusalem est un gamin
Je vais prier dans des églises
Que j’ai connues temples romains
Faut pas se fier aux apparences :
J’ai l’air de sortir de l’enfance
Sur mes papiers, j’ai vingt-cinq ans
Ce sont des faux : j’ai 2000 ans
J’ai prié toutes les idoles
Du roi des Juifs au veau païen
J’ai prêché la bonne parole
Et je me suis lavé les mains
J’ai fait la guerre dans tous les camps
J’ai soutenu tous les drapeaux
J’ai bu la paix à tous les sangs
Je suis un lâche et un héros
Faut pas se fier aux apparences :
J’ai l’air de sortir de l’enfance
Sur mes papiers, j’ai vingt-cinq ans
Ce sont des faux : j’ai 2000 ans
J’ai pleuré mes amours d’enfance
De Cléopâtre à Walewska
Perdu cent fois mon innocence
Mais je l’ai retrouvée cent fois
J’ai souvent craché sur mon sort
Prié pour que tout soit fini
Mais chaque fois que je suis mort
C’était en hurlant à la vie
Faut pas se fier aux apparences :
J’ai l’air de sortir de l’enfance
Sur mes papiers, j’ai vingt-cinq ans
Mais ce sont des faux : j’ai 2000 ans
Leni Riefenstahl
Mémoires, 1987
(extraits)
C’est elle avec la jupe blanche
La cinéaste raconte une discussion avec Hitler :
Alors que nous nous promenions, il [Hitler] commença brusquement à parler de religion. Bien qu’après ma visite je pris des notes sur notre conversation, je peux seulement résumer ses remarques. Il pensait que la religion était nécessaire pour la populace, puisque la plupart des gens ne pouvaient pas se charger eux-mêmes du fardeau de la vie. A ses yeux l’Eglise catholique réussissait beaucoup mieux que les protestants, qu’il considérait comme trop sobres. L’insistance catholique sur le rituel et la cérémonie, l’usage de l’encens, par exemple, était plus efficace que l’austérité protestante. En même temps il déplorait l’histoire de l’Eglise catholique, et dénonçait ses crimes historiques, les bûchers de sorcières et autres atrocités commises au nom de la Croix.
J’étais perplexe, car il était impossible de parler avec lui des choses que j’avais surtout à l’esprit, par exemple son antisémitisme. Dès que je sus que j’allais voir Hitler je résolus à l’avance de soulever le sujet, et je préparai mes questions en conséquence. Mais dès que j’abordai le sujet Hitler me coupa, disant qu’il ne m’avait pas invitée ici pour parler de choses qui n’étaient pas ouvertes à la discussion.
« Je vous connais, et je sais à quel point vous êtes obstinée », dit-il, « aussi obstinée que je puis l’être. Mais il y a certaines choses sur lesquelles nous n’aurons jamais le même point de vue. Croyez-moi », dit-il, se radoucissant un peu, « je ne prends pas mes décisions à la légère. Avant de me faire une opinion je me pose beaucoup de questions. Je passe des jours et des nuits à réfléchir à cela. Je teste les fondements mêmes de mes croyances », dit-il, « je les regarde de l’œil le plus critique et j’examine tous les arguments contre elles. Je continue à attaquer mes propres convictions jusqu’à ce que je sois certain que noir est noir et que blanc est blanc ».
Je me risquai à objecter. « Mais si vous vous trompez ? ».
« Je crois que je ne me trompe pas. On doit être convaincu de la justesse de ses propres principes. Sinon on ne peut arriver à rien de bon ».
« Croyez-vous en Dieu ? », demandai-je, le regardant directement. Hitler me regarda avec surprise, puis sourit et dit : « Oui, je crois en une puissance divine, pas aux dogmes de l’Eglise, bien que je les crois nécessaires. Je crois en Dieu et en un destin divin ». Puis il se détourna et, croisant les mains, regarda au loin. « Et quand le temps sera mûr, un nouveau Messie viendra – il ne sera pas forcément chrétien, mais il fondera une religion qui changera le monde ».
« Seulement s’il aime tous les êtres humains », dis-je, « et pas seulement les Allemands ».
Je ne sais pas si Hitler avait entendu ma remarque. En tous cas, il ne me dit plus un mot et nous revînmes lentement vers le Berghof, où il me dit au revoir d’une manière assez distante, et me fit reconduire à mon hôtel à Berchtesgaden.
[Fin des citations]
LE BANDIT DE GRAND CHEMIN
par Willy Nelson, Kris Kristofferson, Waylon Jennings et Johnny Cash
Paroles :
J’étais un bandit. Le long des grand-routes je chevauchais
L’épée et le pistolet au coté
Plus d’une jeune servante a perdu ses babioles à mon profit
Plus d’un soldat a perdu son sang sur ma lame
Les salauds m’ont pendu à mon vingt-cinquième printemps
Mais je suis encore vivant.
J’étais un marin. Je suis né sur les vagues
Et sur la mer je vivais.
Je menais un schooner vers la Corne du Mexique
Je suis monté dans la mâture et j’ai enroulé la grand-voile dans un coup de vent
Et quand les vergues ont cassé ils ont dit que j’ai été tué
Mais je suis encore en vie.
J’étais un constructeur de barrage. A travers le fleuve profond et large.
Là où l’acier et l’eau s’entrechoquent.
A un endroit appelé Boulder sur le Colorado sauvage
J’ai glissé et je suis tombé sur le béton humide au-dessous.
Ils m’ont enterré dans cette grande tombe qui ne connaît aucun son
Mais je suis toujours là… Je serai toujours là…
Toujours là… Toujours là… Toujours là… Toujours là…
Je pilote un vaisseau spatial à travers la ligne de partage de l’Univers
Et quand j’arriverai de l’autre coté
Je trouverai un endroit où reposer mon esprit si je peux
Peut-être que je pourrai redevenir un bandit
Ou peut-être que je serai simplement une goutte de pluie
Mais je resterai
Et je serai encore de retour,
Et encore et encore et encore et encore.
“The Highwayman”
by Willy Nelson, Kris Kristofferson, Waylon Jennings and Johnny Cash
Lyrics:
I was a highwayman. Along the coach roads I did ride
With sword and pistol by my side
Many a young maid lost her baubles to my trade
Many a soldier shed his lifeblood on my blade
The bastards hung me in the spring of twenty-five
But I am still alive.
I was a sailor. I was born upon the tide
And with the sea I did abide.
I sailed a schooner round the Horn of Mexico
I went aloft and furled the mainsail in a blow
And when the yards broke off they said that I got killed
But I am living still.
I was a dam builder. Across the river deep and wide.
Where steel and water did collide
A place called Boulder on the wild Colorado
I slipped and fell into the wet concrete below
They buried me in that great tomb that knows no sound
But I am still around..I’ll always be around..and around and around and
around and around
I fly a starship across the Universe divide
And when I reach the other side
I’ll find a place to rest my spirit if I can
Perhaps I may become a highwayman again
Or I may simply be a single drop of rain
But I will remain
And I’ll be back again, and again and again and again and again….
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