FRENCH Trump agit contre les vaccins au mercure (Rivarol); les Kennedys dans le combat contre l’État profond

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Robert Kennedy Junior, opposant aux vaccins au mercure, reçoit le soutien du Président Trump

Etats-Unis : une belle victoire pour les anti-vaccins

Source: N°3354 — 28 NOVEMBRE 2018 — RIVAROL, page 4

L’INFORMATION est passée inaperçue. Del Bigtree, passionné par la sécurité vaccinale, producteur du documentaire Vaxxed, “Vacciné”, et son Réseau d’action informée sur le consentement (ICAN), associé avec Robert F. Kennedy Jr, à la tête de la Commission que lui a confiée Donald Trump, avaient porté plainte contre le ministère de la Santé — à l’instigation du Président.

Un tribunal vient de leur donner raison. Or cette victoire qui sans nul doute fera jurisprudence est d’une importance considérable parce qu’elle pourrait bien bousculer l’actuelle législation américaine sur les vaccins.

Depuis trente ans en effet les agences fédérales chargées de faire respecter la sécurité en ce domaine n’effectuent pas leur travail. Et n’exercent pas les contrôles draconiens auxquels elles sont tenues.

Depuis 1986 une loi oblige le ministère de la Santé à améliorer l’innocuité et l’efficacité des vaccins et à contrôler en permanence les événements fâcheux dont ils sont responsables. Ainsi qu’à faire parvenir tous les deux ans un rapport sur ces améliorations au Congrès. Or dit le document de ICAN : « Nous avons été contraints d’intenter une action en justice pour forcer le Ministère à fournir des copies de ses rapports biennaux sur la sécurité des vaccins au Congrès ou à admettre qu’il n’avait jamais déposé ces rapports. Le résultat de la plainte est que le Ministère a finalement dû admettre de manière choquante qu’il n’avait jamais, même pas une seule fois, soumis au Congrès un seul rapport bisannuel détaillant les améliorations apportées à la sécurité des vaccins.

Cela en dit long sur le sérieux avec lequel la sécurité est traitée par le Ministère de la Santé et renforce la crainte qu’il ne connaisse pas le profil de sécurité réel des 29 doses actuelles de vaccins administrés avant l’âge de un an ». Donc depuis trente ans aucune amélioration ni suivi n’ont été exercés. Quand dans l’intervalle l’industrie pharmaceutique s’est dégagée de toute responsabilité en cas d’accident.

« Si, poursuit ICAN, le Ministère de la Santé n’est pas, comme cela a été confirmé au tribunal cette semaine, à même de s’acquitter de la tâche simple qui consiste à déposer un rapport biennal sur les améliorations de la sécurité des vaccins, il n’y a guère d’espoir qu’il s’attaque au travail beaucoup plus difficile d’améliorer réellement la sécurité des vaccins ». Robert F. Kennedy jr., tout militant Démocrate qu’il soit, a été nommé par Donald Trump à la tête d’une Commission d’Enquête sur les Vaccins. Il y a plusieurs mois nous nous en étions largement fait l’écho.

Ce Kennedy, neveu du Président assassiné et fils du Garde des Sceaux, Robert, lui aussi assassiné, est connu pour ses déclarations virulentes contre l’utilisation de mercure comme conservateur et antibactérien dans les vaccins. Il préside le World Mercury Project qui a pour but d’éliminer le mercure de l’industrie et des produits pharmaceutiques, en particulier des vaccins.

 

*** JdN Les Juifs firent assassiner et Robert (à gauche) et John Kennedy (à droite) pour protéger la bombe atomique israélienne après avoir volé 270 kilo d’uranium et de plutonium d’une usine nucléaire au nom de “NUMEC” au village d’ Apollo en Pennsylvanie occidentale et déversant pendant les nuits les déchets radioactifs partout, provoquant une épidémie du cancer.

Puis s’est révélé que John Kennedy fut en plus aussi antisémite et même admirateur d’Adolf Hitler que feu son père, l’ambassadeur US en Angleterre, Joseph Kennedy, Senior.

J’ai tourné deux vidéos (en anglais) sur mon propre combat pour révéler la vérité sur l’affaire NUMEC — et surtout contre le FBI, ses mesures de harcèlement contre moi, et contre l’apathie et la résignation des milliers de victimes blanches du cancer aux environs d’Apollo.

Un taux de cancer 10% plus élevé dans ce comté parfaitement rural d’Armstrong — à part l’usine NUMEC! — que dans le comté avoisinant d’Allegheny qui comporta bien davantage d’industrie.

Ce Juif et militant du sionisme, Zalman Shapiro, tout sourire, planifia et réussit la production sécrète et illégale d’uranium et de plutonium, et son exportation illégale, pour créer la bombe atomique israélienne.

Tant pis pour les goyim pennsylvaniens!

***

C’EST LE MERCURE LE RESPONSABLE

Pour autant il n’est pas opposé à la vaccination systématique et ses enfants ont reçu la trentaine d’injections réglementaires au Etats-Unis au cours de leurs 18 premiers mois.

En revanche, depuis des années, il se bat contre l’utilisation d’adjuvants dans les vaccins, en particulier l’aluminium et le
mercure. En dépit des prises de positions inébranlables de la médecine officielle, de la pharmacologie industrielle et des autorités mondialistes, à commencer par l’OMS, pour laquelle il n’existerait aucune preuve dans les innombrables études sur le sujet qui donnerait le moindre crédit à de telles théories.

Etant évidemment entendu que la plupart de ces études ont été initiées par le système dominant et financées soit par lui,soit par le Big Pharma. Robert Kennedy Jr. est parvenu à la conviction qu’il existait un lien direct entre le mercure et ce fléau en expansion géométrique. Pour lequel d’ailleurs la médecine officielle, comme en matière de cancer, ne possède ni explication ni médication autre que des assurances incantatoires de bientôt découvrir des réponses.

C’est principalement la présence de mercure sous la forme de Thimérosal, ou Thiomersal (composé organo-mercuriel) dans les vaccins à destination des nouveau-nés qui l’a poussé à se joindre aux campagnes dénonçant la présence de cet anti-bactérien et fongicide dans les pandémies autistiques devenues ces dernières décennies un fléau dévastateur dans le monde. La fonction du Thimérosal, est d’allonger la durée de conservation de certains médicaments (dont des vaccins), en évitant que ne s’y développent microbes et champignons.

Pour l’OMS, depuis 2006, « il n’y a pas de preuves de toxicité du Thimérosal aux doses utilisées dans les vaccins ». En vertu de quoi tous ceux qui les contestent sont dénoncés comme des diffuseurs de fausses nouvelles, de fake-news, relevant de théories “conspirationnistes”.

Si on s’en tient aux considérations reprises par Wikipédia, qui s’est rangé sans l’ombre d’une hésitation dans le camp de la vaccination, « à la fin des années 1990, en raison de préoccupations concernant la possibilité d’effets secondaires graves, les autorités sanitaires américaines et européennes se sont engagées à éviter le recours au Thiomersal dans les vaccins ».

Retenons les deux mots importants : possibilité et éviter. On est donc loin d’un principe de précaution draconien. « Les analyses des études épidémiologiques effectuées tant par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2006 et 2008, pouvait-on encore lire, la Food and Drug Administration (FDA), l’Agence européenne des médicaments (EMEA) en 2007 et l’Agence française du médicament (Afssaps) en 2009, convergent pour considérer que l’existence du risque neurologique n’est pas établie ». En décembre 2009, l’Afssaps faisait encore savoir dans un communiqué que « le bénéfice de l’utilisation des vaccins contenant du Thiomersal, y compris pour les enfants, reste très largement supérieur au risque non démontré, associé aux très faibles doses de Thiomersal présentes dans les vaccins ».

L’habituel refrain auquel nous sommes accoutumés à chaque fois qu’il est question de principe de précaution en matière
pharmaceutique.

–René BLANC.

 

Andrew Wakefield : il leur fait peur

Dès 1998 un gastro-entérologue britannique réputé, Andrew Wakefield, étranger au monde de l’autisme, était prié par des
patients de s’intéresser aux rapports possibles existant entre le mercure et l’aluminium, adjuvants des vaccins ROR (rougeole, oreillons, rubéole) et une pandémie, que personne ne parvenait à expliquer et qui depuis des années est en expansion dramatique, l’autisme.

Le texte publié par le Lancet n’affirmait pas de lien causal entre l’autisme et la vaccination, mais présentait une étude de cohorte, des questions et des hypothèses d’investigation. Il suggérait des recherches plus approfondies et invitait à privilégier les vaccins isolés plutôt que combinés.

L’article ne souleva aucune controverse. Ce n’est que plus tard lorsqu’un jeune couple de parents passa à la télévision et raconta son histoire que l’affaire devint un fait de société. En quelques semaines le magazine Autism File atteindra 45 000 abonnés. L’inquiétude allait gagner les puissants en jeu. Le temps des parias était proche.

Wakefield, accusé de toutes les perversions, fut radié. Il s’exilait aux Etats-Unis. Le 7 mars 2012, deux ans après sa radiation par le Conseil Général Médical de l’Ordre des Médecins Britannique, la Haute Cour du Royaume Uni était requise de statuer sur le cas de son patron, le Professeur Walker-Smith — l’un des deux pionniers de la gastro-entérologie pédiatrique mondiale —, radié, comme lui, et qui, avait porté plainte.

La Haute Cour, reprochant à l’Ordre des Médecins, « des raisonnements superficiels et inadéquats et, à plusieurs occasions, une conclusion erronée » autorisa le Pr Walker-Smith à reprendre ses activités. Depuis vingt ans lui et le Dr Wakefield sont couverts de boue, traités d’imposteurs, de falsificateurs, de truqueurs, de complotistes, de “négationnistes”.

Le jugement blanchissant le Pr Walker-Smith, a notamment démontré que le document publié par le Lancet en 1998 était un rapport préliminaire et n’avait aucun lien avec le projet financé par le Legal Aid Board (3,4 millions de livres que celui-ci aurait versé aux docteurs et aux scientifiques ayant poursuivi le laboratoire Glaxo-SmithKline
devant les tribunaux).

Nigel Davis, qui jugeait l’affaire, décida brusquement que le financement était “inapproprié” et il l’interrompit : ce qui mit fin au procès. Juste une coïncidence si son frère Crispin, propriétaire du Lancet et d’Elsevier, venait de rejoindre la direction de GSK. Alors que le propriétaire du Sunday Times qui chaque jour démolissait Wakefield était James Murdoch.

James Murdoch

Les enfants mentionnés dans le Lancet en 1998 étaient très malades, ainsi que l’affirmait le Dr Wakefield, et nécessitaient une enquête clinique approfondie.

Les allégations de fraude appuyées sur cette méconnaissance, propagées par le journaliste du Sunday Times de Murdoch, par le député Evan Harris et le British Medical Journal (et par le journal du British Medical Council) sont donc également non fondées.

On n’a probablement pas tout dit de la personnalité de cet Evan Harris qui entreprit une véritable croisade scientiste contre Wakefield qui représentait tout ce qu’il détestait.

Membre de l’aile gauche du Parti Libéral-Démocrate, fils de Juifs sud-africains, pro-avortement, pro-euthanasie, militant anti-chrétien, président d’honneur de la communauté LGBT de Grande Bretagne. Vingt ans après les faits, Wakefield, interdit de pratiquer la médecine au Royaume-Uni, continue à être présenté dans les media comme un personnage sulfureux.
–R. B

Combattre le Big Pharma

Sitôt élu, Donald Trump proposa à Robert F. Kennedy Jr, de prendre la tête d’une commission chargée d’enquêter sur le lien de cause à effet entre la vaccination, le mercure et l’autisme.

Soumis à de terribles pressions, le Président dut mettre une sourdine à son projet depuis un peu plus d’un an. Il est vrai qu’il traînait dans son entourage un personnage trouble, l’acteur de cinéma Robert de Niro.

Portant à Donald Trump une haine paranoïaque, il le menaçait à tout bout de champ de « lui mettre son poing dans la g… ».

Robert de Niro (dans le film de 2005 “Trouble Jeu”) 

Trump et de Niro possèdent néanmoins un point commun : ils ont un fils autiste.

Robert Kennedy et l’acteur italo-américain participèrent énergiquement au film “Vaxxed”, (Vacciné) réalisé par le Dr Andrew Wakefield.

Le Dr Thompson, pendant trente ans expert au Centre pour le Contrôle des Maladies, y témoigne en détails sur les trafics du CDC. « J’ai honte », répète-t-il. Tout est mis à jour : les noms, les preuves, les enregistrements, les documents.

Plusieurs parents d’enfants devenus brusquement autistes après avoir reçu un vaccin ROR interviennent. Toute personne ayant assisté à la diffusion de ce documentaire en ressort marquée à vie. Personne n’échappe à la caméra inquisitoriale des auteurs. Pas même Bill Gates, moins flambard qu’à l’ordinaire, lui le pire vaccinateur de notre temps.

“Vaxxed” sera d’ailleurs censuré à peu près partout. Présenté clandestinement à Cannes. Programmé au Festival de Tribeca, forum du cinéma alternatif aux Etats-Unis, il fut retiré à la dernière minute. Par le propre créateur de la manifestation… Robert de Niro.

Le gros dur d’Hollywood se sera dégonflé comme un demi-sel. Arguant qu’après en avoir discuté avec des professionnels de la santé, il avait estimé qu’une telle programmation ne participerait pas à une discussion ! En fait la Fondation Sloan qui sponsorisait le volet Santé du Festival a retiré sa contribution.

Preuve de cette puissance terrifiante du Big Pharma auquel peu de gens ont la force de caractère de résister. Trump y sera un peu parvenu en modérant ses promesses de le casser. Andrew Wakefield aura été parmi les rares résistants. Del Bigtree, le producteur de Vaxxed, en est un autre.

Pourtant sa carrière était assurée avec un Emmy Award pour la série “The Doctors”. Et plusieurs autres émissions à gros succès. Fondateur du réseau “Informed Consent Action Network”. Une émission en ligne, HighWire, qui a déjà été vue par 33 millions de personnes, il a pris de grands risques en traitant de cette histoire d’un « lanceur d’alerte », le Dr Thompson, qui, après avoir osé dénoncer les manipulations du CDC, l’administration américaine en charge de la Maladie, accepta
de revenir sur ses propos.

William W. Thompson avait la particularité d’être un cadre des centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). Il était au cœur névralgique du Système et organisa lui- même un certain nombre des opérations de camouflage. Le 27 août 2014, alors qu’il est parvenu à la retraite, il publie une déclaration dans laquelle il affirme que le CDC a caché et falsifié des données prouvant l’existence d’un lien entre vaccins ROR et autisme dans une étude datant de 2004.

Des pétitions circulent réclamant la rétractation de cette déclaration.

Il est l’objet d’innombrables pressions et finira par se rétracter à demi-mots. disant que son désaccord portait sur la façon dont ses collègues traitaient ces données.

Il se trouve qu’il avait au cours d’une année échangé une quarantaine d’heures de conversation avec le Dr Brian Hooker au cours desquelles il avait très clairement exposé toutes les manipulations auxquelles s’était livré le CDC :

« Il a partagé avec moi, dira Hooker, de nombreuses questions concernant la fraude et les forfaits du CDC, en particulier
concernant le lien entre les troubles du développement neurologique et les vaccins pour enfants ».

Puis, par le truchement de son avocat, Thompson fera savoir qu’il ne s’était pas passé au CDC ce que l’on avait dit. Le Dr Hooker ne changea pas de version. C’est la revue dans laquelle il s’était exprimé qui rétracta ses propos au prétexte qu’il n’aurait pas déclaré un soi-disant « conflit d’intérêts » avec des mouvements anti-vaccins. Lui continue à militer dans cette mouvance.

–R. B.

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