Science sans conscience n’est que ruine de l’à¢me. — Franois Rabelais
L’homme n’existe que dans le combat, l’homme ne vit que s’il risque sa vie. — Pierre Drieu La Rochelle.
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Pour toute réponse : vincentreynouard@hotmail.fr
Chère Correspondante, Cher Correspondant,
Pour mon travail de prof particulier, c’est fini. Ma patronne va se séparer de moi. Il n’y a même pas eu d’entretien samedi. Je le pressentais dès le début, dès la fin de notre première conversation de vendredi, quand elle ne cessait de répéter que je lui avais menti (en gardant le silence sur mes activités révisionnistes), que j’avais fait de la prison, ce qui était grave pour un professeur (elle n’était donc absolument pas choquée qu’on puisse aller en prison pour des “idées”),
Sa prison de Valenciennes en France en aôut 2010
…que mes idées la faisaient “vomir” et que, désormais, la relation de confiance était brisée.
Samedi au petit matin, je lui ai écrit : “Si une rencontre est toujours au programme, cela peut-être vers 15h30… Mais soyons francs: il est impossible de travailler si la relation de confiance est brisée. Je m’explique: je ne vous vois pas (ainsi que Victoria) continuer à m’appeler ou à m’écrire en disant “ce mec à des idées vomitives” et moi, je ne me vois pas vous appeler ou vous écrire en me disant à chaque fois: “pour elles, je suis un monstre…”. Les rapports hypocrites de ce genre, c’est invivable. Nous le savons tous… ”
J’attendais sa réponse mais dimanche soir vint sans qu’elle ne m’ait ni appelé, ni envoyé le moindre message. Hier, elle m’a enfin répondu par écrit: “Effectivement j’ai retourné le problème dans ma tête des derniers jours et je suis d’accord au niveau de la confiance. Est-ce que vous êtes disponible demain matin pour passer au bureau afin qu’on fasse le point sur vos élèves ?” Nous allons donc faire le point sur mes élèves, c’est-à -dire que je vais lui dire où j’en suis avec chacun d’entre eux, ceci afin “de diminuer le période d’adaptation” (dixit ma patronne). Elle a donc trouvé un autre prof (ce n’est pas compliqué ici, en un week-end, cela se trouve…) et organise la transition…
C’est amusant. Voilà quelques semaines encore, cette femme me priait d’être prudent à vélo, de mettre un casque (ce que je ne fais jamais), d’avoir un gilet jaune (ce que je n’ai pas)… “Nous avons besoin de vous” me disait-elle, “on ne peut pas se permettre de vous perdre”. Et soudainement, quand elle apprend mes opinions politiques et historiques, c’est elle-même qui prend son téléphone et me fait comprendre que c’est fini.
Nouvelle preuve que le national-socialisme et le révisionnisme sont les deux tabous modernes. Ceux qui les enfreignent doivent être écartés, quelles que soient par ailleurs leurs compétences, leur efficacité et, de surcroà®t, leur gentillesse. Non, tout cela s’efface. Cela me rappelle ce père de famille bruxellois dont j’avais sorti la fille des difficultés en math-physique et qui m’appelait : “Notre sauveur”. De jour au lendemain, après l’affaire Williamson et l’article sur moi dans Paris-Match, il m’a jeté comme un chien galeux.
L’évêque Richard Williamson, “nieur” d’Holofraude
Cette affaire est intéressante pour une raison au moins. Certes, les associations juives font régner la terreur idéologique. Nous sommes tous d’accord sur ce point. Mais cette femme qui va me virer dans les prochains jours, elle aurait très bien pu dire: “L’absence de plaintes démontre qu’en effet, vous mettez une barrière étanche entre votre vie de militant révisionniste et votre vie de professeur. C’est tout ce que l’on vous demande. Certes, vos idées me déplaisent profondément, mais après tout, il faut être tolérant et, surtout, j’ignore le dossier, donc je ne puis juger”.
Mais non: lors de notre conversation, elle m’a dit: “Je comprends d’autant moins vos idées qu’elle sont contraire à la science que vous enseignez…” Madame avait donc déjà son opinion arrêtée sur la question: ce sont des opinions fausses et vomitives. Alors certes, elle est victime de la propagande, me dira-t-on. C’est indéniable: mais elle était dans une situation où elle aurait pu, aurait dà» même, s’interroger et faire preuve d’esprit ouvert. C’était le moment ou jamais… Et sachant qu’en Angleterre, il n’y a pas de loi, elle aurait pu dire aux éventuels grincheux: “C’est notre prof ici, ses idées sont sans rapport avec son enseignement, donc on le garde…”.
Or, cela lui a été impossible. Lorsqu’elle m’a téléphoné vendredi, elle était encore sous le choc et ne savait pas quoi faire, mais non pas pour des raison de “tolérance” ni de questionnement intellectuel. Elle hésitait à se séparer d’un prof compétent qui “faisait” 60% de son chiffre d’affaire… Cela n’allait pas plus loin. Elle s’est donc mise en quête d’un autre prof, l’a trouvé et organise désormais la transition. Alors oui, certaines associations juives font régner la terreur idéologique, mais au bas de l’échelle,
les goà¯m courbent l’échine à tous les niveaux. Voilà pourquoi ces associations juives sont puissantes. Elles ne sont puissantes que de notre faiblesse.
On peut donc les dénoncer autant qu’on voudra, tant que les goà¯m ne seront pas plus courageux, cela ne servira à rien. Il faut d’abord lutter pour rendre aux goà¯m leur dignité d’hommes et de femmes. Et pour cela, il faut s’interroger:
qu’est-ce que la Vie? pourquoi sommes-nous ici? quelle est la nature de l’Homme? quelle société lui faut-il? Aboyer contre les Juifs tout en restant dans nos idées matérialistes et consumériste n’est pas la solution. Voilà ma position…
Je vais perdre mon travail, mais je ne perds pas confiance. La Providence m’aidera par le biais de personnes qui se présenteront à moi que ce soit par des dons ou des offres d’aide concrète. Encore une fois, donc, je ne perds ni mon enthousiasme, ni ma volonté de continuer à lutter pour les idées révisionnistes.
Merci à Toutes et à Tous qui me suivez et qui me soutenez.
Vincent
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