L’épreuve du feu

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Ce livre de 1944 ,”L’épreuve du feu”, fut un brillant oeuvre sur l’éthique national-socialiste par  René Baert, un proche collaborateur du leader rexiste et héros de la Waffen-SS Léon Degrelle.

L’homme médiéval avait des devoirs, l’homme du XXe siècle a des droits.

Car n’est-il pas vrai que chaque jour, dans le secret de notre âme, nous tolérons les pires désordres, n’est-il pas vrai que la journée d’un homme compte mille petites lâchetés, mille manquements à la  dignité?

Une nation qui ne tend à rien d’autre qu’au bien-être est une nation dont la déchéance est proche.

Seule la passion pourra reconstruire ce que l’instinct a abattu; seule elle pourra nous pousser toujours en avant sur le chemin de notre propre conquête. Le besoin d’absolu qui est en nous ne  peut s’abreuver à nulle autre source qu’à celle de la passion.

Les seuls buts que nous semblons poursuivre aujourd’hui sont d’ordre purement matériel. Ce que les hommes souhaitent, c’est  avant tout se procurer quelques biens, afin de pouvoir goûter aux volupté de la paresse. D’une ascension morale qui relèverait l’esprit, de la gravité de la condition humaine, et des responsabilités qu’implique le fait de vivre, il n’est à aucun moment question.

Ce qui distingue l’homme antique de celui d’aujourd’hui, c’est que le premier savait accepter son destin, et qu’il est en quelque sorte le destin lui-même, tandis que le second n’a plus la moindre conscience de ce qu’il fut la mesure du monde!

L’homme d’aujourd’hui ignore le sentiment de noblesse. Le souci des meilleurs d’entre nous est  encore lamentablement médiocre. L’idéal semble être:”S’entendre avec tout le monde” et “vivre chacun pour soi.”

La liberté ne signifia bientôt plus rien d’autre que le droit de se défaire de toutes les attaches. On érigea la liberté en systéme et l’on aboutit inévitablement à la négation de soi. Au vrai, l’on ne souhaitait rien tant que trouver quelque justification à sa perfidie. Au nom de la liberté on entendait justifier l’infamie; au nom de l’esprit, on excusait la bassesse!

N’incitons pas autrui à s’engager dans une voie où nous n’avons jamais osé nous aventurer nous-même.  Ici, comme ailleurs, il n’y a que le premier pas qui coûte, mais de ce premier pas dépend la vie ou la mort de notre cause; or, notre cause ne peut vivre que si rien n’entache la pureté de nos intentions.

— René Baert

 

La Belgique est un paradoxe. D’un côte une belle architecture

Bruxelles dans la nuit  –je visitai la capitale belge avec Marguérite en 2006 pour parler avec Vincent Reynouard, résidant alors en exile de sa France dans cette ville avec sa nombreuse famille 

….des gens blancs d’assez bonne race…. comme Azélie alors, la plus jeune fille de Vincent, dont la mère est Wallonne….

…et des choses carrément délicieuses à manger ou à boire….

De l’autre côte, c’est un petit pays entièrement artificiel et par la suite un peu ridicule, étant mi-néerlandais (flamand), et donc germanique — et mi-français, donc latin dans son tempérament.

Facile donc de les diviser pour y mieux regner. Pour les Flamands, les Wallons francophones sont naturellement paresseux, bavards et parasitaires. Les Wallons, pour leur part, n’aiment pas se voir méprisés. Et ils ont les merveilleux atouts de leur forte Francité!

Mais l’État belge est un nid pestiférent de Franc-maçons, de Juifs, et de pédophiles (dont l’ineffable assassin d’enfants Marc Dutroux — https://fr.wikipedia.org/wiki/Marc_Dutroux.)

Cela ne doit surprendre personne, car la Belgique fut créée en 1830 par l’Angleterre, elle-même siège mondiale de la juiverie et de ses serviteurs goïs Franc-mac.  On organisa un “changement de régime” pour détacher ce territoire sud du Royaume néerlandais. Depuis, la Belgique est le pion de la City de Londres, surtout pour agir dans l’intérêt juif envers la France et l’Allemagne.

Qzuant à René Baert,  il fut fusillé par des killers de l’armée belge sans procès aucun en mai 1945 à Hanovre dans une Allemagne prosterne et occupée. Cètait l’après-guerre affreux où tout était permi  aux psychopathes des Alliés.

(En Hollande, le directeur national-socialiste de la Banque des Néerlandes, Meinoud Rost van Tonningen, fut torturé et battu à mort, puis sa ville enterra le corps mutilé quelque part et envoya une facture d’élimination des déchets à sa veuve! Sa femme Florentine fut pendant et surotu aprés laDGM une héroïne NS de toutes pièces, une dame que je connus et pour laquelle j’interpréta un discours en Californie en 1989.

Dieux merci qu’il y a la vie après la mort du corps!

Le film “Miracles du Ciel” (-“du Paradis” au Québec) montre la joyeuse vie céleste entre les vies terrestres.

Car un René Baert, tout comme Léon Degrelle, et le couple van Tonningen, ou Édouard Drumont en France, fut un homme blanc magnifique, dont le Tout-Puissant a vu “la pureté de ses intentions.”

Peut-être que par la voie de la réincarnation, le noble René, sous un autre nom, est de nouveau parmi nous!

 

Ou peut-ête que René attend la nouvelle religion pour renaître sur terre et renouveler son combat!

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