La princesse germanique Thusnelda rallie des guerriers mâles pour combattre Rome qui avaient commencét à s’énerver après le départ avant la bataille d’une immense tribu allemande. « Arminius a risqué sa vie pour attirer trois légions romaines dans cette forêt pour que vous leur tendiez une embuscade. Et maintenant vous voulez arrêter ?” Quel vrai homme est capable de résister à une belle et courageuse femme blanche qui exhorte les hommes à ne pas devenir des lâches, mais à trouver le héros qui sommeille en leur for intérieur ?
….. « Barbares » : les anciens Romains égoïstes contre les anciens Allemands égoïstes
Tous nos hiers ont allumé les imbéciles
dans leur chemin vers une mort poussiéreuse.
Éteignez, éteignez, brève bougie !
La vie n’est qu’une ombre ambulante, un pauvre joueur
Qui se pavane et s’inquiète pendant son heure sur scène
Et puis on n’entend plus rien.
C’est un conte Raconté par un idiot, plein de bruit et de fureur
Ne signifiant rien.
— Macbeth (Acte 5, scène 5, lignes 17-28)
(composé par Edward de Vere, anglo-normand, le comte d’Oxford, qui fut le vrai auteur des oeuvres de Shakespeare)
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Il s’agissait d’une série Netflix à gros budget 2020-21 en provenance d’Allemagne (et pas trop politiquement correcte, en fait), un drame semi-fictionnel, sur les événements historiques réels d’il y a 2 000 ans, lorsque de nombreuses tribus proto-allemandes (germaniques) se sont finalement unies sous la direction d’un jeune leader allemand.
Hermann/Arminius avait lui-même grandi à Rome et était un officier supérieur dans les légions, un chef de la cavallerie, et s’est soulevé avec succès contre la domination romaine, devenue bien trop sauvage, arrogante et brutale.
Un spectacle impressionnant et pour les amis et les ennemis de Rome, trois légions en marche, le fruit de 700 ans de valeur et science militaire
Un guerrier germanique rapporta à Thusnelda, une personne réelle et une princesse héroïque qui épousa Arminius : « Des Romains à perte de vue. C’est une rivière d’acier.”
Mais ils furent tous anéantis!
Dans une embuscade gigantesque et parfaite, les Allemands anéantirent trois légions et 20 000 soldats romains entraînés et expérimentés au combat. Cela a changé toute l’histoire, parce que Rome n’a jamais absorbé les Allemands (ni les Slaves à l’est d’eux) et après 500 ans de conflit insensé — Blancs contre Blancs — les Allemands (qui étaient intelligents et avaient appris toujours davantage la science militaire romaine) ont détruit l’Empire romain d’Occident. et l’âge des ténèbres commença.
La chute de Rome a fait reculer la race blanche de mille ans.
Il y a un grand héroïsme et aussi un comportement égoïste épouvantable des deux côtés… les Blancs sur cette planète sont tellement un « mélange » du beau et de l’horrible, à cette époque-là comme aujourd’hui.
Les anciens Allemands de la série parlent en allemand moderne avec d’excellents sous-titres dans toutes les langues principales, inclusivement le français.
Les Romains sont joués par des acteurs italiens et parlent un latin ancien correct, avec des sous-titres également dans toutes les langues.
Hermann/Arminius doit choisir entre trahir et briser le cœur de son propre père adoptif à Rome– qui dans cette série est décrit comme étant le principal général romain, Varus, lui-même – ou trahir sa propre nation, l’Allemagne, en aidant sa patrie adoptive, Rome, à terroriser et asservir ses parents indigènes.
Le garçon germanique Arminus, grandissant à Rome, découvre un cadeau — un magnifice épée court romain — que l’empereur Auguste avait donné à Varus
Son père adoptif, Varus, le lui explique
Arminius est fier de son papa adoptif et veut mériter, lui´ aussi un jour, un tel épee
Varus (à gauche), le général romain écrasant l’Allemagne et faisant preuve d’un mépris extrême envers tous les Allemands qu’il rencontre, y compris même les chefs de village et de tribu, est (dans cette série) le père adoptif d’Arminius (à droite). Les deux hommes finiront par se rencontrer une dernière fois en tant qu’ennemis mortels. Tout cela s’est réellement produit.
Comme je l’ai expliqué sur un blog l’autre jour,
… Les Romains étaient exceptionnellement brutaux, violant, torturant, volant et crucifiant, et tout cela tournait autour de la « gloire » de la conquête violente, du pillage lucratif des maisons et des fermes, et de l’enlèvement d’hommes et de femmes innocents (qui n’avaient jamais attaqué Rome). ) comme leurs misérables esclaves pour travailler sans un sou dans les mines, les galères, les champs — et les bordels…….
Ainsi, tandis que les peuples voisinant l’Empireromain ont bel et bien vu les progrès étonnants de la vie gréco-romaine : les grandes villes, les temples magnifiques, les beaux-arts, les vins délicieux, les systèmes d’égouts efficaces, les routes pavées, les écoles, les aqueducs, les tribunaux, l’insistance sur la loi et le bon ordre, et le haut des mers libérées, grâce à Rome, par son éradication des pirates meurtriers, et des routes forestières qui furent débarrassées des bandits acharnés – les autre peuples ont également vu des impôts horriblement élevés et des châtiments d’une brutalité écoeurante contres les nations assujetties à l’Empire.
Regardez, en contraste, la vieille Amérique avant que les Juifs ne la ruinent. Des millions d’Européens (Français, Allemands, Anglais, Irlandais, Écossais, Italiens, Polonais, etc.) ont traversé avec plaisir 4 000 milles/6.400 km d’océan dangereux pour devenir volontairement des Américains, majoritairement pour apprendre une nouvelle langue, et adopter des coutumes différentes, totu cela à fin de construire une nouvelle vie basée sur de belles choses : la justice, le travail acharné, l’éducation publique gratuite, l’État de droit, la famille, la liberté de la parole, ainsi que pour avoir la religion de leur choix ou n’en pratiquer aucune.
Rome, véritablement glorieuse à bien des égards, aurait pu également emprunter cette voie édifiante et non égoïste.
Au lieu de cela, c’était ça :
Les soldats romains venaient régulièrement demander un « tribut » (une sorte d’impôt, de prélèvement) de chaque village allemand : « Donnez-nous, barbares, des centaines de livres de céréales, ou du bétail ou des moutons, ou de fourrures ou du cuir. »
Si les Reiks (chefs, nom apparenté à “rex”/roi en latin) du village protestaient, affirmant que le village était pauvre et même proche de la famine, l’officier romain répondit :
« Barbare, je vois aussi beaucoup d’enfants dans ce village. Bon, alors nous prendrons vos enfants comme nos esclaves.”
Et pour un acte de défi purement symbolique, des civils allemands, hommes, femmes et enfants, sont crucifiés dans le village comme « rebelles »…. Les Allemands, vivant sur leur propre terre ancestrale, seront appelés des « rebelles » et traités à l’époque comme les juifs traitent les Palestiniens de Gaza à nos jours.
Ils sont cloués vivants sur des croix pour mourir lentement dans l’agonie.
Et l’ordre romain, donné aux « reiks » (chefs) du village, est que leurs corps doivent être suspendus là dans le village jusqu’à ce qu’ils pourrissent et que les oiseaux rongent leurs cadavres en décomposition jusqu’aux squelettes, une horreur quotidienne et durable.
Face à toute cette cruauté obscène, la belle Thusnelda, fille d’un reiks, et donc une sorte de princesse, jure de venger ces villageois. Tout cela est une histoire exacte.
Elle épouse même Hermann/Arminius, qui n’est pas l’homme qu’elle aime vraiment (elle préfère le beau et courageux Folkwin Wolfspear, “lance de loup”), par pure admiration pour lui et par sa prise de conscience que cet Allemand romanisé est exactement l’homme qu’il leur faut – avec toute sa noblesse du sang, son courage, sa sincérité et une grande expérience militaire romaine – pour mener les Allemands (qui ne sont que des guerriers amateurs) à la victoire sur les légions romaines quji sont hautement professionnelles et beaucoup plus sophistiquées.
Et tout cela est une vraie histoire. Les Romains ont beaucoup écrit sur leur général Varus, sur Arminius, sur sa femme Thusnelda et sur la méga-catastrophe militaire qui leur advint dans la forêt épaisse de Teutoburg.
Entre la tactique d’Arminius (empruntée aux Romains eux-mêmes) et la fameuse furor teutonicus, les Allemands enragés massacrent les légions surprises dans un combat en tête-à-tête.
De nombreux Allemands se sont battus torse nu, à la fois parce qu’ils ne pouvaient pas se permettre d’acheter une armure et, au corps à corps, pour libérer l’immense et intense chaleur corporelle que leur climat froid leur épargnait normalement. La soif peut devenir un problème critique lors d’un combat prolongé.
À mi-chemin de la bataille victorieuse de Teutoburg, Thusnelda se heurte à Arminius, dès ce jour redevenu Hermann, et ils s’embrassent. Cela me rappelle Margaret et moi, engagés dans notre cause et prêts à mourir pour elle, ou à tuer ceux qui nous attaquent. Thusnelda, une princesse qui aurait pu avoir une vie facile, risque la mort par crucifixion en tant que rebelle contre Rome, et Hermann fait face à un pire destin encore : un officier romain qui a trahi son serment sacré envers Rome. Ils ont fait le terrible choix de se battre pour la liberté dans un monde extrêmement lâche, avare et égoïste, donc ces deux grandes âmes nobles sont encore célèbres aujourd’hui.
Un beau moment dans ce film avant la partie finale de la bataille:
Nous nous battons pour l’honneur, pour la liberté, pour nos enfants, dans l’amour de notre peuple!
Douloureux pour les deux hommes : alors que ses soldats se font anéantir, Varus voit son fils adoptif Arminius combattre en armure romaine pour l’ennemi allemand — pour son propre peuple.
Varus laisse son interprète enlever son armure pour qu’il puisse mettre fin dans l’honneur de sa vie avec son épée et éviter la capture
Arminius lui dit lorsqu’il meurt:
“Père, tu n’as jamais pu penser, sentir, et vivre autrement…… [que dans la cruauté du conquérant]”
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Bande-annonce de la saison 1 sur 2 :
(Netflix coûte aux États-Unis 6,99 $ par mois. Je ne l’ai abonné qu’il y a quelques jours.
Heureusement, et étonnamment pour une production néo-allemande, la première saison ne comportait presque aucun élément « woke [réveillé] »…. bien que le spectacle de la belle Thusnelda tuant des soldats romains lourdement blindés et hautement professionnels, armés uniquement d’une lance, eh bien…. c’est possible, mais il est peu probable qu’elle ait survécu plus de cinq minutes à la bataille massive et décisive dans la forêt de Teutoburg qui se déroule à la fin de la première saison.
L’actrice Jeanne Goursaud, qui incarne parfaitement Thusnelda, une femme forte mais féminine de la haute classe dirigeante, a dans la vraie vie un père français et une mère allemande. Peut-être qu’elle descend réellement de Thusnelda.
Pourtant, de nombreux téléspectateurs ont été à juste titre dégoûtés et l’ont exprimé dans leurs commentaires lorsque la saison deux fait intervenir un chef de guerre allemand qui est (attendez) une femme noire/afro. MDR !
Mais dans l’ensemble, la série était excellente…. Et elle montrait la jalousie honteuse, l’envie, l’avidité, la désunion et la trahison parmi les Allemands qui rendaient la tâche de libération de l’Allemagne qu’Hermann/Arminius avait assumée infiniment plus difficile….
Et, dans un acte d’ingratitude et d’envie répugnantes, d’autres chefs allemands assassinèrent Arminius, l’homme qui avait vaincu les Romains pour libérer leur nation, le héros qui fut l’antique version allemande de George Washington !
Et les Blancs sont-ils meilleurs aujourd’hui, 80 générations plus tard ?
Considérez ceci : la plupart de mes lecteurs ont eu une ou plusieurs incarnations vivant sous Rome.
Est-ce que vous faites un don maintenant dans ma crise financière extrême, ou vous mentez-vous ?
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